Le TRM face aux images : un exercice

Image

  Nous avons décidé d’explorer ce thème, certes général, afin de rassembler des éléments qui pourraient nous aider à mieux appréhender le rôle d’une image. Il ne s’agit pas ici de faire une étude sur la sémiotique visuelle, mais de mieux comprendre la manière dont l’image élabore et transmet des messages. Dans un deuxième temps, nous essayerons d’approfondir ce concept d’un point de vue analytique et historique afin d’établir, dans la mesure du possible, un lien avec les représentations. Commençons par deux définitions basiques issues du dictionnaire. « L’image mentale est une représentation psychique d’un objet absent » et « l’image technique est un ensemble plan de points représentatifs de l’apparence d’un objet, formés à partir du rayonnement transmis par cet objet » (Le Petit Larousse illustré, 2004, p.528). Il est donc important de distinguer l’image « mentale » de l’image « technique ». Nous pouvons dès lors déduire de cette simple définition du dictionnaire que l’image n’est pas forcément qu’un objet propre en soi émettant des traits et des couleurs, mais qu’elle peut aussi découler d’un processus mental. Pour illustrer cela, Martine Joly (2009), dans son ouvrage consacré à l’analyse de l’image, nous dit : On emploie encore le terme « image » pour parler de certaines activités psychiques telles que les représentations mentales, le rêve, le langage par image, etc. […] L’image mentale correspond à l’impression que nous avons, lorsque par exemple nous avons lu ou entendu la description d’un lieu, de le voir presque comme si nous y étions. Une représentation mentale s’élabore de manière quasi hallucinatoire […]

   Cette citation nous incite à nous pencher sur la complexité de l’image. En effet, toute image estdifférente selon la nature de sa signification. Elle peut avoir une fonction cognitive, pédagogique, descriptive, symbolique, fonctionnelle, divertissante ou encore esthétique. L’image radiologique estune image fabriquée, comme toute image, à l’exception de l’image rétinienne qui renvoie à des données brutes provenant du monde extérieur (Viévard & Chouteau, 2006, p.4). Il y a dans cette réflexion une question intéressante qui entre en jeu : est-ce que l’image démontre bienla réalité ? Un des tableaux les plus célèbres de René Magritte (1929), « La trahison des Images », est un exemple qui nous a paru pertinent. Par son œuvre, le peintre souhaite démontrer l’écart qui existe entre l’objet et la réalité. Cela ne reste qu’une image, une représentation d’une pipe, certes réaliste, mais qui n’est pas l’objet en lui-même [Annexe I]. Selon Wuneburger (1997) : Il y a donc impression sensorielle d’origine externe qui est à l’origine d’une foule d’images « psychiques subjectives » que nous construisons à partir d’image au sens strict, c’est à-dire représentation en l’absence du référent. (Viévard & Chouteau, 2006, p.5)  A l’inverse de Magritte, Oscar Wilde (1972) clame la toute-puissance de l’image et de l’art dans son roman « Le portrait de Dorian Gray ». Alors que l’apparence du protagoniste ne souffre aucunement de l’emprise du temps ni de sa lente plongée dans la perversion, son portrait évolue et affiche une altération progressive, miroir de la chute du personnage.

  Là où la nature, l’homme de chair, n’est quefausseté et mensonges, le portrait révèle une vérité cachée purement inaccessible en tant que telle, à une société repue d’artifices et de superficialité. Dans cet exemple, l’image permet ainsi une plongée au-delà de l’apparence sensible et affiche le mal dans toute sa quintessence. Nous pourrions dans unecertaine mesure comparer cette analogie à une image radiologique dévoilant une pathologie grave, comme un cancer par exemple. Alors que le patient ne présente aucun signe physique annonciateur,l’image nous révèle la maladie et s’avère ainsi plus utile que la perception sensible de la personne même.Gisèle Harrus-Révidi (2008) nous rappelle quant à elle qu’aux temps bibliques, la maladie était liée à la faute, le châtiment se devait d’être visible et connu de tous. L’intérieur du corps renvoyait soit à la charogne, soit au tabou (p.8). Alors que de nos jours, « contrairement à cette visibilité angoissante et culpabilisante la maladie prend par surprise, à bas bruit, souvent sans le moindre signe clinique annonciateur » (p.9). « L’imagerie médicale, dans ce cas de figure, ne fait que mettre en acte un dévoilement, une révélation à partir d’une absence de symptomatologie – nous sommes dans l’exacte symétrie des temps bibliques » (p.10).

  Toujours dans un contexte historique en rapport avec le corps, Antoinette Gimaret (2011) décrit les ambiguïtés de l’imaginaire anatomique (XVIe-XVIIe siècles): La « révolution vésalienne » des années 1540 conduit à la revalorisation de l’anatomie comme pratique et remet le corps au centre du dispositif de connaissance, dans un va-et-vient entre chair et texte, lecture et maniement du scalpel […] Mais sa scientificité se trouve le plus souvent brouillée par la superposition de plusieurs imaginaires, par la mémoire d’autres images ; pathos, horreur ou esthétisme y court-circuitent la lisibilité d’un geste anatomique pourtant légitimé dans sa valeur épistémologique […] Processus de « domestication » qui ne fait qu’accroître le pouvoir de fascination des gravures et donc l’opacité du corps. (p.3)Elle nous montre qu’à travers l’histoire, le corps humain et les images ont toujours fasciné. Les images nous captivent tout en nous tenant à distance de l’horreur que peut susciter le geste d’ouvrir un corps pour y observer l’intérieur (p.14). L’anatomiste cherche à révéler les secrets du vivant. La leçon d’anatomie est aussi un emblème de la vanité humaine si on repense à l’amphithéâtre anatomique de Leyde construit en 1595 (p.15).

Attrait et émotions

  Durant nos formations pratiques, nous pouvions ressentir par moments une sorte d’excitation à l’idée de découvrir une éventuelle pathologie. Une étude menée sur des TRM dans un centre de cancérologie met en avant que, comparé à d’autres professions médicales, les TRM sont confrontés directement et visuellement à la pathologie (Estival, 2007, p. 2). Nous sommes en effet les premiers à la « visualiser », grâce à l’image. A partir de là, nous nous sommes demandés si une certaine forme de ludisme n’existait pas dans la lecture d’un cliché radiographique. Voulons-nous à tout prix repérer une anormalité dans l’image ? Lorsque celle-ci est découverte, nous avons tendance à nous sentir fiers, en admettant que l’examen n’aura pas été fait inutilement. Une étude anthropologique dans un centre de cancérologie montre que la notion de patient tendrait à s’effacer au profit d’un corps qui deviendrait technicisé (Estival, 2009, p.54). Selon la même étude, « travailler au quotidien face à un corps représenté sous forme radiographique constitue une routine, ce qui peut expliquer le peu de commentaires des manipulateurs concernant ce qu’ils voient à l’écran » (Estival, 2009, p.53). Il serait intéressant de voir si cette théorie se manifeste au cours de notre travail. En revanche, pour une autre auteure, les images peuvent souvent provoquer un sentiment d’émerveillement, d’excitation, de crainte et de plaisir à l’idée que l’image révèle l’intérieur du corps [traduction libre] (Joyce, 2005, p.437). Lors de nos dernières expériences pratiques, nous avons pu ressentir, en tant que novices, un certain attrait pour l’image. Nous redéfinirions cet « attrait » comme une sorte d’excitation provoquée par quelque chose dont nous ne connaissons pas précisément l’origine. Ladite excitation provient-elle de la découverte de la pathologie, de la qualité de l’image ou autre, et tend-elle à s’estomper avec l’expérience ?

  Dans la même lignée, Pierre Aimard (1995) explique dans « Imagerie médicale : les arcanes d’un succès » que :En effet cette imagerie est merveilleusement confortable pour les médecins, elle permet d’évacuer à la fois le corps, corps malade, souffrant, et la « personne » du patient, qui interpelle, qui regarde et qui juge. Elle permet de répondre à l’ultime désir des médecins : faire de la médecine sans malade. Les malades sont remplacés par les images de leur corps, et les médecins peuvent se réunir, les étudier, les commenter, s’exprimer librement, plaisanter même, loin du regard du malade. Dans ce cas, retrouverions-nous cette même idéologie chez les techniciens en radiologie médicale ? Les termes de « belles images » sont souvent entendus en radiologie. Nous cherchons en effet toujours à faire la plus belle image. Au point de vue éthique, il y a quelque chose de choquant, car cela « signifie que l’on privilégie, la plupart du temps inconsciemment, le résultat technique, à ce qu’il signifie » (Bonnin, Broussouloux & Convard, 1998, p.32). Pour commencer, il faudrait en premier lieu comprendre plus précisément ce qui se cache derrière ces termes. Ensuite, il serait intéressant d’investiguer si les TRM recherchent en effet toujours à faire la plus belle image ou, le cas échéant, de connaître leurs pensées lors de sa production.

« Quel est le rapport des TRM aux images radiologiques ? »

  Si cette question paraît large au premier abord, elle n’en demeure pas moins essentielle dans le but d’extraire des informations sur toutes ces dimensions dans un contexte de pratique en radiologie. Ainsi, l’image étant au centre de l’activité des TRM, nous souhaiterions pouvoir objectiver plus concrètement le rapport qu’ils entretiennent avec elle, que ce soit au niveau de leur exercice professionnel ou encore de la place qu’elle prend dans leur vie de tous les jours. Burri (2012), dans son article « Visual rationalities : Towards a sociology of images », met en avant le manquement dans la littérature d’un cadre conceptuel qui ferait un lien entre la théorie et la réflexion sur le visuel ainsi qu’une analyse du rôle des images radiologiques (p.46). Son article est cependant basé spécifiquement sur les radiologues. A notre connaissance, il n’existe pour le moment pas d’étude spécifique sur les représentations que se font les TRM des images, la valeur qu’ils leur prêtent ou encore comment ils s’y adaptent. C’est pourquoi notre étude se propose d’analyser le rapport des TRM aux images. Elle offrirait aux TRM la possibilité de prendre conscience de l’impact de l’image sur leur activité et de la manière dont elle influence leurs interprétations et leurs attitudes. Afin d’élargir notre réflexion dans un contexte global, nous allons questionner des TRM travaillant dans les trois domaines de la radiologie, soit le radiodiagnostic, la médecine nucléaire et la radiothérapie. Différentes modalités (RX, IRM, CT,SPECT, PET) seront de ce fait prises en compte. Il s’agira en outre de tisser des liens entre les multiples dimensions liées aux images (représentations, fonctions, émotions et attitudes). Nous chercherons aussi à déterminer si ce rapport à l’image change avec les années d’expérience.

Perception de l’image radiologique dans la pratique quotidienne

  Une jeune TRM diplômée commence par exprimer son étonnement quant au fait qu’on pouvait faire, il y a quelques années, du traitement en radiooncologie sans l’aide de l’image radiologique. Elle ne s’imagine pas pouvoir travailler sans elle. Quant à une autre des personnes interrogées, elle cite: « Moi je la vois comme un bon outil mais faut savoir l’utiliser à bon escient et ne pas jurercomplètement que là-dessus. Je pense que certains l’oublient. On travaille avec des machines qui ne sont pas parfaites et nous non plus, on n’est pas parfait. Il faut quand même se méfier ». Selon une autre professionnelle, toujours en parlant de l’image radiologique, « on peut la travailler à notre façon et on pourrait presque perdre de l’information médicale pour avoir la beauté de l’image ». Alors qu’une participante trouve « merveilleux et magique de voir dedans », d’autres TRM considèrent l’image comme « leur boulot », « un outil fantastique », « un outil indispensable » ou encore « leurmission, le but fondamental de la radiologie ». L’un des TRM, travaillant en radiooncologie, met l’accent sur le fait que « l’image est indispensable en radiothérapie car elle apporte toutes les informations dont on a besoin ». Nous avons amené les TRM à porter une réflexion sur la valeur de l’image. Pour une TRM de radiooncologie, l’image radiologique représente ce que le patient a dans le corps, sa réalité physique, mais pas ce qu’il a dans sa tête, ni la douleur. Une autre perçoit l’image comme étant le diagnostic, la qualité ou encore le traitement de la pathologie. Dans une autre optique, une autre personne nous dit : « Il ne faut jamais oublier que ce n’est qu’une image, c’est virtuel, on ne peut pas dire que c’est comme ça à cent pour cent sur le patient ». Ou encore : « La réalité, c’est le chirurgien qui la verra ». Dans une opinion plus modérée : « J’aimerais bien, le but c’est qu’elle représente le plus la réalité possible. Je pense qu’on tend à s’en rapprocher, mais avec toutes les reconstructions et les approximations avec les étapes électroniques on s’en éloigne peut-être un peu. ». A l’inverse, seule une TRM a délibérément fait un rapprochement entre l’image radiologique et la réalité. Elle a confirmé radicalement que l’image représentait pour elle la réalité : « Plus clairement que ça, on ne peut pas. C’est la vérité nue qui ne ment pas ».

Pendant la visualisation des images radiologiques

  Lorsque l’on demande aux six TRM interrogés à quoi ils pensent lorsqu’ils voient l’image radiologique affichée sur leur écran de visualisation, les réponses sont diverses. Les deux techniciens de radiooncologie affirment rechercher volontairement la pathologie. Pour eux, c’est même « un réflexe ». Une participante de radiodiagnostic va également dans ce sens : « Nous on est là pour ça, c’est notre but, on sert à ça! ». Les trois autres déclarent cependant ne pas regarder la pathologie en premier lieu mais les critères de réussite en priorité. Ces derniers spéculent immédiatement sur les informations révélées par l’image afin de savoir le plus rapidement si un complément d’examen devra être entrepris. Une TRM exprime le besoin de connaitre le diagnostic posé par le médecin. D’une part elle désire une confirmation : « […] j’ai besoin de savoir si j’ai raison ou pas ; savoir si mon œil est toujours aussi bon qu’avant… ». D’autre part, elle exprime également le besoin de savoir si l’image radiologique qu’elle a produite va répondre à la question indiquée sur le bon d’examen. Une des TRM du radiodiagnostic nous confie prendre du plaisir au poste de traitement : « […] ce n’est pas juste une radiographie face/profil, il y a toute une mécanique derrière, tout un processus qui est mis en route et on ne va pas s’en priver ». Dans un tout autre registre, une jeune diplômée de radiodiagnostic a fait l’aveu de rechercher parfois des formes dans les images, surtout dans celles d’IRM. Cela lui permet de dédramatiser la situation.Nous avons demandé aux sujets interrogés d’exprimer leur opinion ou leur sentiment à l’idée d’être les premiers à découvrir l’image radiologique du patient. De manière répétée, les TRM qui découvrent des pathologies oncologiques affirment ressentir de la peine. Une TRM précise se sentir mal de connaître le diagnostic alors que le patient ne le sait pas encore. Mais le fait de pouvoir mettre en avant une pathologie sur l’image radiologique et d’être capable de la repérer grâce au travail fait en amont, illustre une certaine fierté pour les deux TRM de radiodiagnostic. « On sait avant tout le monde si c’est cassé, si ça va mieux, si ça va moins bien et ça, c’est quelque chose qui est vraiment plusqu’intéressant ».

Le TRM face aux images : un exercice

  Une radiographie d’un thorax, une autre d’un abdomen, une image d’IRM cérébrale, une image de PET oncologique et un plan de traitement de radiothérapie, tous comportant une pathologie, ont été présentés sous format papier aux participants de l’étude [Annexe IV]. Dans l’espoir de susciter un discours des plus personnel et des plus enrichissant, aucun indice, ni aucun commentaire sur ces images radiologiques n’ont été transmis de notre part. Le but de cet exercice était de rapprocher le sujet interrogé de sa pratique. Nous avons débuté l’exercice en demandant aux participants de sélectionner et commenter une par une, et ce librement, toutes les images radiologiques dans l’ordre qu’ils souhaitaient. Nous nous sommes notamment intéressés à leurs réactions lors de l’observation deces images. Ainsi, nous avons été attentifs à leur langage verbal et non verbal et avons noté l’ordre dans lequel les images ont été sélectionnées. Une TRM expérimentée admet d’emblée être impressionnée en apercevant l’ensemble des images proposées. Une jeune diplômée a pour sa part immédiatement souri à l’apparition des images. Elle a commencé par celle qui lui rappelait de bons souvenirs de stage. Une des participantes s’est emparée rapidement des images, les unes après les autres, de droite à gauche. A l’inverse, une partie des TRM a pris plus de temps pour sélectionner les images avant d’entreprendre leur description. Une dernière a regardé toutes les images et les a décrites selon un ordre en rapport avec ses connaissances. La moitié des participants ont choisi l’image de radio oncologie en premier, la radiographie du thorax en 2ème et la radiographie de l’abdomen en 3ème. Une seule personne parmi les six techniciens, a choisi en premier lieu de décrire l’image correspondant à sa propre spécialisation. Cette dernière, en s’emparant de l’image, cite: « C’est ce qui me plaît, ce que je connais. C’est mon domaine ! ». Le reste des TRM ont volontairement décrit les images de leur spécialité à la fin en justifiant vouloir « la garder comme dessert », ou alors ne pas tomber trop vite dans la facilité. Une jeune diplômée précise quant à elle, être impressionnée spécifiquement par les images de modalité qu’elle ne connaît pas. L’image de radiooncologie a occasionné beaucoup de réactions auprès de tous les participants. De manière répétitive, les TRM ont avoué avoir été attirés par la couleur de cette image. L’une précise la trouver « jolie », « voire rigolo ». Les TRM ne travaillant pas en radiooncologie se sont en général posées plus de questions sur l’utilité de cette image et cherchaient davantage à la comprendre. L’une d’elles a également déclaré : « Je trouve que c’est extrêmement parlant, n’importe qui qui voit ces images, pourra dire y a quand même quelque chose qui cloche ».

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Table des matières

1. Introduction
2. Problématique et questionnement
2.1 Mise en situation
2.2 Développement : Thème et ses dimensions
2.2.1 Image
2.2.2 Représentations
2.2.3 Attrait et émotions
2.2.4 Objectivation et catégorisation
2.2.5 Le corps : entre image et imaginaire
2.3 Formulation du problème et objectif de recherche
2.4 Pertinence de l’étude pour le champ professionnel
3. Méthode
3.1 Recueil des données
3.2 Echantillon
3.3 Considérations éthiques
4. Présentation des résultats
4.1 Méthode d’analyses
4.2 Généralités
4.2.1 Choix du métier et préférences
4.2.2 Choix du secteur de la radiologie
4.2.3 Préférences des images radiologiques
4.3 Le TRM et l’image dans sa pratique
4.3.1 Perception de l’image radiologique dans la pratique quotidienne
4.3.2 Avant la visualisation de l’image radiologique
4.3.3 Pendant la visualisation des images radiologiques
4.3.4 Après la visualisation des images radiologiques
4.3.5 Vécu du passage de l’analogique au numérique
4.4 Le TRM face aux images : un exercice
4.4.1 Représentations et langage courant utilisés par les TRM
4.5 Fonction de l’image radiologique
4.6 Synthèse des résultats
5. Analyse et discussion

5.1 Attraits et émotions
5.2 Les représentations
5.2.1 La perception de l’image dans la pratique
5.3 Les attitudes
5.3.1 Face au patient
5.3.2 Face aux collègues et dans la vie privée
5.4 Fonction de l’image radiologique
6. Limites de l’étude et perspectives de recherche
7. Conclusion
7.1 Pistes d’action pour la pratique professionnelle
7.2 Conclusion personnelle
8. Références
9. Liste bibliographique
10. Annexes

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