L’INSEMINATION ARTIFICIELLE EN MARTINIQUE

Le suivi sanitaire des élevages

La filière ruminant en Martinique : présentation des élevages

i. Diversité des modes d’élevage
Le mode d’élevage classique en Martinique est de type extensif sur prairie naturelle. Les petits détenteurs utilisent la méthode du piquet. La diversité des structures d’élevage est caractéristique du département. La grande majorité du cheptel étant constituée de petits troupeaux, certains détenteurs utilisent le troupeau pour l’entretien des terres en friche, d’autres possèdent quelques bêtes par affection sans objectif économique, d’autres enfin tentent de rentabiliser une parcelle libre par un élevage ponctuel. Parmi les professionnels, on peut observer tous les niveaux de développement des structures d’élevage selon les structures existantes, des potentialités pédoclimatiques et des opportunités commerciales locales, et enfin des goûts et aptitudes propres à chaque éleveur. Il en résulte un certain foisonnement de systèmes d’exploitation, du plus simple, le naisseur extensif spécialisé avec une seule espèce animale, au plus complexe, le naisseur engraisseur combinant 2 ou 3 espèces herbivores avec des productions légumières et fruitières (LEGENDRE, 2004).

ii. Besoins techniques des éleveurs
Si une frange d’éleveurs martiniquais est autonome en matière d’initiatives et de décisions techniques, les éleveurs martiniquais sont demandeurs de soutien technique. Les techniciens des coopératives et le vétérinaire conseil s’efforcent de répondre à la demande de leurs adhérents malgré une charge de travail supérieure à leurs possibilités.
Par exemple, l’alimentation est un domaine complexe donnant lieu à de nombreuses questions. Si les périodes de pénurie donnent lieu en règle très générale à une complémentation en fourrages grossiers, la nécessité d’apporter ou non du concentré aux jeunes et/ou aux mères reste floue pour beaucoup, et encore plus en ce qui concerne la nature et les quantités de ces concentrés. De sorte que l’on rencontre des éleveurs qui ne distribuent rien aux bovins et annoncent en parallèle des veaux légers et en nombre restreint, alors que d’autres pratiquent une complémentation d’assurance leur garantissant des poids élevés et de meilleurs résultats de reproduction, mais pour des coûts excessifs.
Dans le même esprit, la plupart des éleveurs font état de la création sur leur exploitation de parcelles de réserve en prairies temporaires destinées à la fauche en période de Carême. Si la gamme des espèces choisies semble justifiées et rationnelles, la proportion de ces prairies de réserve semble variable aléatoire, en tout cas mal réfléchie et argumentée face aux contraintes pédo-climatiques s’exerçant sur l’exploitation. De fait, s’il existe de bons outils techniques pour faciliter le choix des espèces fourragères à implanter, leur intégration en termes de systèmes fourragers reste à faire. Cela explique que de nombreux éleveurs soient en phase de tâtonnements et d’essais pour trouver la combinaison la mieux adaptée à leur problème. Un travail de recensement et d’analyse critique sur les systèmes fourragers existant serait donc à faire afin de ne pas reproduire sans cesse les mêmes essais infructueux. C’est un travail de technicien qui ne peut être réalisé qu’en allant observer et décrire quantitativement sur les exploitations les pratiques fourragères des éleveurs. Concrètement, une thèse menée par un étudiant en agronomie soutenu et guidé par un technicien de l’INRA serait un moyen intéressant d’éclaircir cette problématique. Associée à l’étude des sols et leur teneur en oligo-éléments, les données recueillies lors de ce travail fonderait la mise en place de ration adaptée aux fourrages et aux sols. (Voir le chapitre consacré aux carences du sol en oligo-éléments).
Les éleveurs martiniquais semblent avoir des besoins de formation sur un dernier domaine, celui de la gestion économique de leur exploitation. Peu d’éleveurs tiennent une comptabilité, la gestion et les résultats économiques ne sont pas des notions faciles à aborder. Le raisonnement de l’investissement en particulier semble problématique. On peut en tout cas noter une forte tendance au surinvestissement, facilité par le DOCUP, aggravé par le système de prêts bancaires à courtmoyen terme, conduisant parfois à des situations impossibles à redresser .

Problèmes fonciers et intensification

Les problèmes fonciers sont à l’origine d’une tendance à l’intensification des élevages. Les élevages spécialisés souffrent la plupart du temps d’une dimension foncière insuffisante pour 50
permettre un accroissement de la taille des troupeaux à un niveau permettant l’obtention d’un niveau acceptable sans recours à la pluriactivité. L’espace agricole est rongé par deux fléaux (LEGENDRE, 2004) : – une urbanisation sauvage et galopante, soutenue par une pression démographique durable renforcée dans les zones côtières par une pression touristique non moins forte, – une rétention foncière aveugle, entretenue par une spéculation immobilière sans retenue et sans lois, conduisant à la friche (17 000 ha) par refus du fermage. Cette pénurie foncière conduit donc à une intensification, parfois forcenée sur les petites structures, assortie des nuisances habituelles à ce genre de situation en matière d’atteintes à l’environnement et au bien-être animal. Des mesures municipales furent mises en œuvre en 1997 par un programme d’aménagement foncier. Le démarrage effectif de ce travail a eu lieu en 2000. Le maître d’œuvre est l’état mais le Conseil Général, qui finance les enquêtes publiques, disposait d’un pouvoir de blocage. Ce programme a débouché sur la création de ZAP ou zones agricoles protégées. Cette politique a redonné un rôle important à la SAFER qui intervient désormais sur chaque mutation foncière de plus d’un hectare. Elle est proposée aujourd’hui comme gestionnaire des réserves foncières constituées par des zones de friches intégrées aux ZAP dont les propriétaires refusent de désigner à l’amiable un exploitant. Il reste à définir les bases d’attribution des terres immobilisées. Il s’agit d’un programme à long terme sur les structures agricoles, et au moins une décennie sera nécessaire pour qu’il porte ses fruits (LEGENDRE, 2004).

Approvisionnement en eau d’irrigation

L’abreuvement est assuré par les mares, les rivières ou l’eau courante du réseau distribuée dans des abreuvoirs. Cet approvisionnement semble disponible pour tous les éleveurs, la sécurité fourragère des exploitations en période de carême passe par l’autonomie donc la possibilité pour les éleveurs de produire une ressource végétale destinée à l’affouragement des animaux privés d’herbe sur leurs pâtures. L’irrigation est aujourd’hui la façon la plus sûre d’accéder à cette autonomie et à la sécurité. Mais la situation des éleveurs est loin d’être homogène, entre ceux qui situés à l’intérieur du périmètre peuvent irriguer sans restriction ou presque, ceux qui sont limités par les volumes d’eau disponibles parce que très concurrencés par les cultivateurs, et enfin ceux qui sont situés en dehors du périmètre d’irrigation. Pour ces derniers, la situation peut être très difficile et ils n’ont d’autre choix que de recourir à des achats de fourrages de complément à des tarifs prohibitifs en période de forte pénurie, plus de 50% plus chers qu’en métropole, ou bien de pratiquer l’irrigation de manière autonome grâce à la création de réserves collinaires privées (LEGENDRE, 2004).

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Table des matières

I – PRESENTATION DES FILIERES
A – La filière ruminants en Martinique
I. PRODUCTION VIANDE
a. La filière ruminant en Martinique : production et consommation
b. La filière ruminant en Martinique : éleveurs et organisation de la production
i. Répartition par taille et organisation
1. Secteur bovin
2. Secteur ovin-caprin
ii. Répartition par race
1. Secteur bovin
2. Secteur ovin-caprin
c. La filière ruminant en Martinique : présentation des élevages
i. Diversité des modes d’élevage
ii. Besoin technique des éleveurs
iii. Problèmes fonciers et intensification
iv. Approvisionnement en eau d’irrigation
d. La filière ruminant en Martinique : approvisionnement en aliment
e. La filière ruminant en Martinique : suivi technique
i. Identification
1. Secteur bovin
2. Secteur ovin-caprin
ii. Contrôle de performances
1. Secteur bovin
2. Secteur ovin-caprin
f. La filière ruminant en Martinique : suivi sanitaire
i. Cabinets vétérinaires et maillage sanitaire
ii. Direction des services vétérinaires
iii. Groupement de défense sanitaire
iv. Coopératives et vétérinaire conseil
v. Suivi des Programmes Sanitaires d’Elevage
vi. Modalités d’attribution des programmes d’attribution de l’aide forfaitaire aux exploitations
g. La filière ruminant en Martinique : abattage
h. La filière ruminant en Martinique : commercialisation
i. La filière ruminant en Martinique : perspectives
II. PRODUCTION LAIT
a. La filière lait en Martinique : production et consommation
b. La filière lait en Martinique : éleveurs et organisation de la production
c. La filière lait en Martinique : présentation des élevages
d. La filière lait en Martinique : approvisionnement en aliment
e. La filière lait en Martinique : suivi technique
i. Taux de cellules
ii. Taux de germes
f. La filière lait en Martinique : suivi sanitaire
g. La filière lait en Martinique : perspectives
i. Perspectives de la COOPROLAM
ii. Rappel sur les points clés de la qualité du lait
1. Conditions de qualité du lait requises pour la fabrication de lait pasteurisé
2. Facteurs de risque de la contamination du lait et mesures de contrôle
a. Facteurs de risque liés aux contaminants coliformes et prévention des mammites
b. Facteurs de risque liés à la conservation du lait
c. Elimination des cas cliniques de mammites
d. Eviter l’altération du lait par le mélange des laits individuels
III. L’INSEMINATION ARTIFICIELLE EN MARTINIQUE
a. Administration générale de la CEIAM
b. Les utilisateurs des services de la CEIAM
c. L’activité de la CEIAM
i. Activité globale
ii. Répartition saisonnière
iii. Répartition par secteur géographique
iv. Répartition par races
v. Taux de pénétration de l’IA
vi. Autres activités
d. Aspects pratiques de l’IA
i. Conditions de l’IA
ii. Technicité des inséminateurs
iii. Encadrement technique
e. Perspectives
B – La filière cunicole en Martinique
I. Filière cunicole en Martinique : production et consommation
II. Filière cunicole en Martinique : éleveurs et organisation de la production
III. Filière cunicole en Martinique : présentation des élevages
a. Les races
b. Les bâtiments
IV. Filière cunicole en Martinique : approvisionnement en aliments
V. Filière cunicole en Martinique : suivi technique
VI. Filière cunicole en Martinique : suivi sanitaire
VII. Filière cunicole en Martinique : abattage
VIII. Filière cunicole en Martinique : commercialisation
IX. Filière cunicole en Martinique : perspectives
C – La filière apicole en Martinique
I. Filière apicole en Martinique : production et consommation
a. Historique
b. Particularité de l’apiculture en Martinique
c. Structure de la filière
II. Filière apicole en Martinique : éleveurs et organisation de la production
III. Filière apicole en Martinique : présentation des élevages
a. Les races
b. Les structures
c. La végétation
IV. Filière apicole en Martinique : suivi sanitaire
a. Audit sanitaire
b. Généralisation de procédés de traitement : PSE
V. Filière apicole en Martinique : commercialisation
VI. Législation
a. Mesures à l’introduction
i. Arrêté interministériel du 13 mars 1978
ii. Avis aux importateurs du 12 mars 1982
b. Organisation de la lutte contre les maladies réputées contagieuses
VII. Perspectives
a. Perspectives sanitaires
b. Sélection génétique
c. Objectifs des apiculteurs
d. Plantes mellifères et environnement
II – BILAN SANITAIRE
A – La filière Ruminants en Martinique
I. Maladies présentes en Martinique
a. Lutte contre les maladies transmissibles ou associées à la tique en Martinique
i. Importance de la tique aux Antilles
1. Espèces de tiques présentes : origine et répartition
2. Sensibilité comparée des ruminants aux tiques et aux maladies transmises par les tiques ou associées ; impact économique aux Antilles
3. Biologie comparée des deux espèces de tiques
a. Aptitude à la propagation
b. Capacité d’implantation
c. Capacité de développement de la population
ii. Conséquences pour la définition des principes de lutte contre les tiques 7
aux Antilles
1. Principes de lutte actuels mis en œuvre aux Antilles
2. Vaccin contre les tiques
iii. Mesures de lutte réalisées en Martinique contre le GDS
1. Historique
2. Réalisation des objectifs
3. Produits et méthodes utilisées
4. Difficultés techniques
5. Suivi régulier de l’évolution des populations
6. Perspectives d’amélioration
b. Anaplasmose
i. Données générales sur l’anaplasmose
1. Pourquoi s’intéresser à l’anaplasmose en Martinique ?
2. Quels sont les principaux signes cliniques de l’anaplasmose ?
3. Quelles sont les principales caractéristiques épidémiologiques de l’anaplasmose ?
a. Espèces touchées
b. Sensibilité variable
c. Immunité
d. Taux de mortalité
4. Quelles sont les méthodes de lutte possibles ?
a. Traitement
b. Prophylaxie sanitaire
c. Prophylaxie médicale
ii. Contexte épidémiologique
1. Contexte épidémiologique mondial
2. Recherche sérologique par la DSV Martinique
iii. Méthodes de lutte contre l’anaplasmose dans les élevages martiniquais
1. Etude épidémiologique de l’anaplasmose en Martinique
2. Analyses complémentaires lors de suspicion clinique
3. Précautions à l’introduction dans l’île ou dans un cheptel
2 4. Vaccination
5. Lutte contre la tique vectrice
6. Sélection génétique
II – MALADIES POTENTIELLEMENT PRESENTES EN MARTINIQUE
a. Paratuberculose
i. Données générales sur la paratuberculose
1. Pourquoi s’intéresser à la paratuberculose en Martinique ?
2. Quels sont les principaux signes cliniques de la paratuberculose ?
3. Quelles sont les principales caractéristiques épidémiologiques de la paratuberculose ?
4. Quelles sont les mesures de lutte disponibles ?
a. Traitement
b. Prophylaxie médicale
c. Prophylaxie sanitaire
ii. Contexte épidémiologique
1. Contexte épidémiologique mondial
2. Recherche sérologique par la DSV Martinique
iii. Méthode de lutte contre la paratuberculose dans les élevages martiniquais
1. Analyse complémentaire lors de suspicion clinique
2. Etude épidémiologique
3. Mesures à l’introduction
4. Amélioration de la conduite d’élevage
b. Chlamydiose et fièvre Q
i. Données générales sur la chlamydiose et la fièvre Q
1. Pourquoi s’intéresser à la chlamydiose et à la fièvre Q en Martinique ?
2. Quels sont les principaux signes cliniques de la chlamydiose et de la fièvre Q ?
3. Quelles sont les principales caractéristiques épidémiologiques de la chlamydiose et de la fièvre Q ?
4. Chlamydiose et la fièvre Q : zoonoses professionnelles
a. Modalités et symptômes
b. Prévention
B – FILIERE CUNICOLE
I. Maladies présentes en Martinique
a. Entérocolite Epizootique du lapin
i. Données générales sur l’Entérocolite Epizootique du Lapin
1. Pourquoi s’intéresser à l’Entérocolite Epizootique du Lapin en Martinique ?
2. Quels sont les symptômes principaux de l’Entérocolite Epizootique du Lapin ?
3. Quelles sont les données épidémiologiques connues sur l’Entérocolite Epizootique du Lapin ?
a. Population atteinte
b. Matières virulentes
c. Voies de contamination
d. Facteurs de risque
4. Quelles sont les principales lésions caractéristiques de l’Entérocolite Epizootique du Lapin ?
5. Quelles sont les méthodes de lutte disponibles ?
a. Traitements utilisés
b. Mesures sanitaires
1) Mesures d’hygiène générales
2) Alimentation
ii. Présence de l’Entérocolite Epizootique du Lapin en Martinique
iii. Mesures de lutte dans les élevages martiniquais
1. Confirmation diagnostique de la présence de l’EEL en Martinique
2. Traitement
3. Mesures sanitaires
b. Coccidioses du lapin
i. Données générales sur les coccidioses du lapin
1. Pourquoi s’intéresser aux coccidioses du lapin ?
2. Quels sont les principaux signes cliniques des coccidioses du lapin ?
3. Quelles sont les principales caractéristiques épidémiologiques des coccidioses du lapin ?
4. Quelles sont les méthodes de lutte disponibles ?
a. Traitement
b. Vaccination
ii. Situation des coccidioses du lapin en Martinique
iii. Perspectives dans les élevages cunicoles martiniquais
II – Maladies à surveiller en Martinique
a. Myxomatose
i. Données générales sur la myxomatose
1. Pourquoi s’intéresser à la myxomatose en Martinique ?
2. Quels sont les principaux signes cliniques de la myxomatose ?
3. Quelles sont les principales caractéristiques épidémiologiques de la myxomatose ?
III – BILAN FINANCIER DES MESURES SANITAIRES
A – Mesures générales communes à toutes les filières de production
I. Mise en place d’un réseau de surveillance de la faune sauvage
II. Réalisation de plaquettes informatives
a. Lutte contre les introductions illégales
b. Risques zoonotiques
III. Ramassage des prélèvements par le LDA
B – Filière ruminant B – Filière ruminant
I. Conduite d’enquêtes sérologiques
II. Démarches annuelles
a. Conduite d’analyses complémentaires en cas de suspicion
i. Episodes de troubles de la reproduction
ii. Episodes de troubles digestifs
iii. Episodes de troubles neurologiques
iv. Episodes de mortalités élevées et soudaines
v. Episodes dermatologiques
vi. Episodes de problèmes de boiteries
vii. Episodes de signes généraux : fièvre, ictère et/ou urine foncé
b. Suivis en abattoir et salles de traite
c. Prime à la sélection contre la dermatophilose
d. Garantie à l’introduction
C -Filière cunicole Filière cunicole
a. Conduite d’analyses complémentaires en cas de suspicion
b. Garanties à l’introduction
CONCLUSION
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