Le stage de préparation du mémoire de fin d’études en DESS au sein du PROSPERER ITASY

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Engagement des deux parties :

Durant lequel, ci-après les engagements des parties :
L’EPRI s’engage à encadrer le stagiaire pour les r echerches qu’il veut effectuer au sein du PROSPERER, et designer un encadreur professionnel pour le stagiaire.
Le stagiaire s’engage à:participer au diagnostic et à l’exploration des besoins de formation des MER (Micro-entreprises ruraux) et OP (Organisations paysanne) de base et des Associations, participer à l’analyse et à la priori sation des besoins y afférents en vue de l’élaboration d’un plan de renforcement de capacités, appuyer l’EPRI à la réalisation des activités de formation : sélection des Prestataires de Service aux Entreprises (PSE), planification, organisation, suivi et évaluation, adopter des démarches conceptuelles optimalisant la mise en œuvre des activités des dif férentes composantes du Programme : Composante I : Identification et mobilisation des Micro et petites entreprises rurales et structuration des Interprofessions, Composante 2 : Service d’appui aux Micro-entreprises rurales et formation professionnelle, Composante 5 : suivi-évaluation, capitalisation et communication. Et l’étudiant doit rédiger un rapport de stage à la fin du stage.

Les autres missions accomplies pour la recherche personnelle du stagiaire :

Pour les missions de recherche personnelle, nous avons effectué des enquêtes auprès des Coopératives, Associations, Groupements, Unions, des microfinances, des experts des domaines ruraux. En plus, nous avons fait de la collecte d’informations auprès des services responsables de la coopérative dans la région de l’Itasy, de l’Observation sur terrains de la réalité sur les coopératives dans cette région de’Itasyl : patrimoines, membres (nombre, niveau intellectuel, notion sur la coopérative, présence d’esprit associatif, dynamisme, …), ses activités (réalisées, en cours, à exécuter), les oblèmes,pr ses besoins, ses atouts, les menaces…. Par ailleurs, nous avons participé aux ré unions des unités coopératives, des unions de coopératives ou autres organisations professionnelles,

LES AUTRES SOURCES D’INFORMATIONS :

En ce qui concerne toujours les méthodes et outils utilisés lors de la collecte des informations, des interviews semi-directives et des entretiens libres ont été effectuées auprès des entités sources principales d’informations. Les questionnaires leur ont été distribués afin d’avoir les données quantitatives (et qualitatives), et récupérés les jours suivants.
Des entretiens téléphoniques avec ces principaux informateurs ont également été faits durant la phase de traitement de données et de rédaction pour avoir de compléments d’informations et/ou d’éclaircissements.
Certaines données et informations nécessitent la consultation de documents de base : PRD, PRDR, Monographies, MAP.
En outre, les listes bibliographiques et webographiques citent les autres sources consultées durant nos recherches.

Analyse terminologique de « coopérative » :

Selon l’article 02 de la loi 99-004 : « la Coopérative est une société civile particulière à capital et personnel variables rassemblant des personnes qui se sont volontairement groupées pour atteindre un but commun, par la constitution d’une entreprise gérée collégialement, en fournissant une quote-partéquitable du capital nécessaire et en acceptant une juste participation aux risques et aux fruits de cette entreprise, au fonctionnement de laquelle les membres participent activement. Elle a pour objet essentiel d’être le mandataire de ses membres pour exercer des fonctions économiques et sociales répondant à des besoins communs de ceux-ci »11.
Bref, la coopérative est un ensemble de personnes physiques qui s’unissent pour mettre en commun leurs idées et leurs moyens afin d’atteindre des objectifs d’intérêt commun auxquels ils ne pourraient parvenir isolément. Un tel regroupement de personnes doit aider chacune à développer des stratégies plus efficaces (défense des intérêts), et à atteindre individuellement de meilleurs résultats techniqueset économiques. La coopérative peut être, donc, considérée comme outil qui a pour objet de ndre des services à leurs membres; en particulier pour permettre à ceux-ci d’atteindre des résultats qui seraient inaccessibles s’ils les poursuivaient individuellement.

La forme d’une coopérative :

« La Coopérative est la combinaison originale d’une association et d’une entreprise qui trouvent leur raison d’être dans la satisfaction des besoins de leurs membres12». Par l’association, elle vise à permettre à chaque coopé rateur de grandir humainement et socialement, par l’entreprise, elle saisit des occasions de développement économique de la coopérative.

Le décret d’application N°256/2000 du 03 Août 2000 :

L’application de ce décret relative à la coopérative présente encore un problème de fond un peu ambigu, d’après le résultat de notre demande d’explication auprès des différents responsables et autres agents concernés.
Ce qui fait donc, que jusqu’à aujourd’hui, l’applic ation de ce décret reste encore un des facteurs bloquants au développement de la structure coopérative.

Le statut :

Les statuts définissent les modalités de fonctionnement d’une organisation dans ses grandes lignes. Les membres ne peuvent changer les statuts qu’en Assemblée Générale Extraordinaire.

Le règlement intérieur (discipline) :

Le Règlement intérieur règle la vie de l’organisation. Il explique comment les membres doivent appliquer dans le détail les articles des statuts. Il peut être révisé à tout moment par les membres réunis en Assemblée Généraleàcet effet.

La constitution d’une coopérative :

« Les personnes qui désirent constituer leur sociét coopérative doivent suivre en bonne et due forme les procédure légales »
La constitution légale d’une coopérative nécessitedes conditions et procédures spécifiques.
En effet, cette constitution demande des connaissances et préparations préalables ainsi que des dossiers qui sont exigés arp ces procédures.

Les conditions de constitution, requises par les services concernés :

Pour la constitution légale d’une coopérative il faut un capital social, un nombre de membres minimum de 7, un assemblée Générale Constitu ive, un statut, et un but commun.

Les phases préparatoires :

Pour la préparation de la constitution, les initiateurs doivent mettre en place la structure d’une coopérative et l’organisation interne de cette coopérative ; en outre, ils doivent avoir des connaissances suffisantes sur les procédures légales à suivre pour la constitution.
Par ailleurs, les membres de la coopérative à constituer doivent bien définir les résultats attendus relatifs aux activités de la coopérative.Il faut également définir les disciplines et techniques visant à éviter tous détournements des objectifs de la coopérative.

Les procédures de constitution de la coopérative :

Ci-après les responsables, les documents requis, et procédures légaux menant à constituer une coopérative :

Les responsables de l’enregistrement et de certification de la création d’une coopérative :

A Madagascar, le département chargé des activités oopératives,c est La DPPC (Direction de Promotion de PME et Coopérative) sise à Ambohidahy Antananarivo, au Ministère du commerce et de l’Industrie.

Les documents requis14 :

Ci-après les documents requis lors de la constitution d’une coopérative : (i) une demande de création, (ii) un procès verbal de l’asemblée générale constitutive présentant: la dénomination de la coopérative, la date et l’heurede l’assemblée, le lieu où la séance s’est déroulée, le résumé de chaque point essentiel deordrel’ du jour, le nom du Président de la séance et le secrétaire, le nombre des assistantsde l’AGC présents, la liste du conseil d’administration élu durant l’AGC : le Président, Le vice-président, le conseiller, le caissier, le Secrétaire, le montant de la part social fixé par les membres ,les signatures du Président de la séance et le secrétaire ; (iii) un statut (dénomination, localité, siège social, Modalités d’adhésion….), (iv) une liste des membres avec leur part sociale, (v) une liste des membres du Conseil d’Administration.

les démarches, enregistrement et formation :

*Les démarches :
Pour la création d’une coopérative, il faut bien suivre les étapes suivantes : – fournir les documents cités ci-dessus, qui sont nécessairespour la reconnaissance et la légalisation de cette nouvelle coopérative, dans le cadre juridiqueet opérationnel.
*L’enregistrement :
Au moment de leur création, l’enregistrement d’une coopérative, union, fédération et confédération est obligatoire.
Les modalités de création et d’enregistrement d’unecoopérative, union, fédération et confédération sont fixées par voie réglementaire
La Service de la Promotion de la PME et Coopérativeou SPPC étudie d’abord les dossiers arrivés chez elle : vérification de la forme et du fond du dossier de la coopérative nouvellement installée.
La DPPC enregistre légalement le dossier de la nouvelle coopérative et délivre le certificat .
*Les formations :
La SPPC (Service de Promotion de PME et Coopérative) élabore des formations pour le renforcement des capacités des cadres et responsables des coopératives : apprentissage de la gestion simplifiée, leadership, management,…., et pour l’animation et encadrement des coopératives, ainsi que pour les études et recherches des patrimoines des coopératives (terrains, magasins…).

Les objectifs et missions de la coopérative

La mission d’une coopérative est de constituer une structure permettant à ses membres d’agir et d’atteindre des objectifs qu’ilsse sont fixés en commun.
Vu l’article 4, chapitre 2, titre I de la loi régissant la coopérative, concernant de l’objet de la coopérative : « La coopérative a pourobjet de fournir des prestations aux membres 16»
Cette mission est clarifiée par les objectifs spécif és dans les statuts; ils ont rapport à la défense des intérêts économiques, techniques, ciauxso et “politiques” des membres, à l’assurance de la vie interne de l’organisation (communiquer, former, informer, prendre des décisions en commun,…), à la fourniture de services aux membres, et aux groupes d’activités au sein d’une coopérative :
Quatre principaux groupes d’activité semblent constituer la caractéristique commune à la coopérative : les activités stratégiques, les activités administratives, les activités techniques, les activités de communication.
Ainsi, nous venons d’expliquer le concept de la coopérative à Madagascar. La partie suivante va nous exposer les données brutes collectées qui concerne, généralement la région de l’Itasy et la situation actuelle des coopératives dans cette région.

 Les organismes d’appuis aux coopératives 27:

Ces organismes sont constitués, en général, des organismes d’appuis, des institutions financières. Nous avons classé ces appuis selon leur nature :

Les Appuis Techniques

Nombreux projets et/ou organismes ont mis en œuvre des appuis techniques pour les coopératives de la Région d’Itasy :
· Le PROSPERER : missions : soutien aux pôles des micro-entrepris es rurales et à l’économie rurale.
· Le Centre de Service Agricole (CSA). Mis en place dans chaque District, le CSA a pour missions de : mettre en relation les demandes et les offres de services agricoles, d’appuyer à la recherche de financement, de structu rer les demandes et les offres de services agricoles, de mettre à disposition des in formations techniques et économiques
· AGRISUD. Missions : Appuis techniques et économiques, introduction d’innovations techniques, sites de démonstrations agro-écologiques, identification de producteurs/encadreurs pour la pérennisation des actions. Sites d’intervention : Alatsinainy kely, Analavory, Ankaranana, Miarinarivo, Ambohitrambo, Arivonimamo II, Ampahimanga et Imeritsiatosika.
· PARECAM. Missions : Réhabiliter des périmètres agricoles,mettre en œuvre de sous projets en cultures de saisons et de contre saisons. Sites d’intervention : Niveau régional (en général les sites d’intervention du BVPI).
· BVPI. Missions : Développer l’agriculture commerciale, développer l’irrigation (infrastructures agricoles), développer les bassinsversants (BV) (protection des BV des périmètres irrigués) Sites d’intervention: Ifanja,Analavory, Miarinarivo II, Manazary, Antanetibe, Mandiavato, Arivonimamo, Manjaka, Dondona, Antoby EST, Sarobaratra, Grappe Lac Itasy (Soavinandriana), Manalalondo.
· ORN. Missions: Prévention et sécurisation nutritionnelle, travaux communautaires : aménagement de nouvelles surfaces, aménagement de anauxc d’irrigation, drains et rivières, recherches et développement, promotion decultures maraîchères vulgarisation des techniques culturales et innovations techniques vulgarisation des techniques de transformation et conservation des produits agricoles en grandes quantités. Zone d’intervention : Région Itasy.
· FOFIFA. Missions : recherche de nouvelles variétés adaptées à la Région, semences de base, formations techniques pour les agents du Ministère chargé de l’Agriculture. Zone d’intervention : national.
· FAFAFI. Missions : Renforcement de capacité, améliorationde l’alimentation des populations vulnérables. Zone d’intervention : Région.
· BRL.Missions :Vulgarisation des cultures sous couverture végétale (voly rakotra), protection des lavaka, protection environnementale. Zones d’interventions : Ampary/Soavinandriana

Les Appuis financiers

Le financement des activités des Coopératives se fait généralement par le biais des Institutions de Microfinances (IMF). Il existe 5 IMF dans la Région d’Itasy :
· UNICECAM / CECAM : mutualiste, zone d’intervention : Région.
· OTIV : mutualiste à Arivonimamo.
· PAMF : Non mutualiste à Analavory : Garanti : 100%, réponse aux demandes 18 jours.
· SOAHITA : Non mutualiste (Région) : Effectif de riziculteursayant contracté de prêts : 40 ; taux de remboursement : 98%
· ZOB (Zébu Overseas Board) : Pas d’argent liquide mais vente location d’équipements (Anosibe Ifanja) : Effectif de riziculteurs ayant contracté de prêts : 62 ; Taux de remboursement 100%.
· La seule banque de la région est laBOA. Elle se trouve dans le chef lieu de la Région à Miarinarivo.

Les problèmes majeurs de la coopérative de l’Itasy,

Rappelons que cette partie porte, toujours, sur les informations brutes collectées pendant notre travail de recherche, d’après le model IMReD.

Les problèmes au sein de la coopérative :

Cette partie concerne plus particulièrement les problèmes relatifs à la mentalité, la capacité et la personnalité des membres, des dirigeants, des différents organes existants dans l’organisation, aux stratégies adoptées par la coopérative, à l’organisation interne de la coopérative, et à la planification mise en œuvre pa r la coopérative.
Selon les résultats de nos recherches sur terrains lors de la mise en place d’un plan de renforcement de capacité opérationnelle auprès de l’EPRI (Equipe du PROSPERER Itasy), nous avons pu prioriser ces problèmes suivant leur teneur :
En effet, le tableau ci-dessus expose les informations complémentaires de ceux qui sont au tableau n°: 7 portants sur le résultat d’enquêtesur le potentiel des coopératives de l’Itasy, dans la section : 2.3.

Absence de leaders paysans :

Tout d’abord, « Leader30 » a été introduit dans lalangue française au XIXe siècle et sert à désigner un meneur, un chef de file, un dirigeant de terrain, acteur influent, écouté, conduisant des personnes vers des objectifs, souvent associésà la conduite de changements
Un leader est un individu qui par ses actes dans le groupe va prendre des décisions et motiver les autres membres du groupe par ses qualités relationnelles.
En effet cette personne applique les règles du leadership (C’est l’art d’influencer le comportement humain de la manière voulue par le chef.). Le leadership ne consiste pas à une technique mais un trait de caractère.
Après nos descentes sur terrains dans les trois (3) districts de la région de l’Itasy, nous pouvons constater que la quasi-totalité des coopératives ne possède pas encore, un vrai leader.

Concernant le Conseil d’Administration :

Un bon nombre des membres enquêtés confirme qu’ilexiste trop de contrôles par le conseil d’administration sur le fonctionnement ou trop de contrôles par un individu, soit le président ou le gestionnaire En ce qui concerne l’organisation interne d’une coopérative :
Nous avons relevé un manque de confiance entre certains membres : Ils refusent de confier leur argent, leurs biens ou leurs travaux à des responsables en qui ils ne veulent pas faire confiance car des expériences passées ont échoué causeà de la malhonnêteté des responsables d’alors ; Ils voient dans toute forme d’organisatio n et de groupement un risque de collectivisation du village qui naît à l’encontre de leur liberté individuelle. Cette crainte est fondée sur leurs expériences : les paysans ont effectivement perdu ’essentiel de leur autonomie au sein d’organismes imposés de l’extérieur qui étaient enfait des instruments pour réaliser les objectifs d’un projet de développement rural ou même d’une politique gouvernementale.

lié aux cibles de la coopérative:

Elle a pour but de mettre en évidence la concentration des cibles de la coopérative.
En reprenant l’information donnée par le PROSPERER Itasy, le nombre moyen des membres d’une coopérative dans la région de l’Itasy tourne autour de 11. Effectivement, avec les 66 coopératives inscrites formellement, on peut envisager environ 726 membres, soit 0.40% des cibles totales.

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Table des matières

INTRODUCTION:
1 LES MATERIELS ET METHODES UTILISES PENDANT LA COLLECTE D’INFORMATIONS
1.1 Le stage de préparation du mémoire de fin d’études en DESS au sein du PROSPERER ITASY
1.1.1 L’organisation : PROSPERER : Programme de soutien aux poles de micro entreprise rurales et aux économies régionales:
1.1.2 La durée de stage
1.1.3 Engagement des deux parties
1.1.4 Les autres missions accomplies pour la recherche personnelle du stagiaire
1.2 Les autres sources d’informations
1.3 Les matériels et outils utilisés pendant la recherche
1.4 la démarche de recherche
1.5 Limites de la recherche
2 LES RESULTATS
2.1 LE CONCEPT : « COOPERATIVE »
2.1.1 Analyse terminologique de « coopérative »
2.1.2 La forme d’une coopérative:
2.1.3 Les textes réglementaires de la coopérative
2.1.4 La constitution d’une coopérative:
2.1.5 Les objectifs et missions de la coopérative
2.2 LA REGION DE L’ITASY
2.2.1 ETUDE MONOGRAPHIQUE
2.2.2 LES STRUCTURES ASSOCIATIVES EXISTANTES :
2.3 LE POTENTIEL DES COOPERATIVES DANS LA REGION DE L’ITASY :
2.4 LA COOPERATIVE DANS LA REGION DE L’ITASY
2.4.1 La situation générale de la coopérative
2.4.2 Les organismes d’appuis aux coopératives33
2.4.3 Les problèmes majeurs de la coopérative de l’Itasy,
3 DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS :
3.1 LES AVANTAGES COMPARATIFS ET L’UTILITE DE LA COOPERATIVE : AU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DANS LA REGION DE L’ITASY
3.1.1 Ses avantages comparatifs
3.1.2 L’utilité de la coopérative
3.2 ANALYSE SWOT DE LA COOPERATIVE DANS LA REGION DE L’ITASY
3.2.1 Les forces
3.2.2 Les faiblesses
3.2.3 Les opportunités
3.2.4 Les menaces51
3.3 LES BESOINS PRIORITAIRES DE LA COOPERATIVE
3.4 RECOMMANDATIONS FACE AUX BESOINS DE LA COOPERATIVE DE L’ITASY
3.4.1 Rôle de l’Etat
3.4.2 Rôle de la coopérative elle-même
3.4.3 Rôle des organismes d’appuis
3.5 SITUATION ATTENDUE
CONCLUSION:
BIBLIOGRAPHIE

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