Le mouvement des Foyers Ruraux et la Fédération Nationale

Le mouvement des Foyers Ruraux et la Fédération Nationale

L’histoire des Foyers Ruraux remonte à l’après-guerre, mais si le nom et la forme actuels ont été adoptés après la 2nde Guerre Mondiale, c’est bien après la première qu’on doit chercher l’origine du mouvement.
Dans une France dévastée, et vidée de sa population active par les pertes militaires, l’exode rural va s’intensifier dès l’année 1919, et c’est là qu’on retrouve la création des premiers « Foyers des Campagnes » , déjà pensés pour améliorer la vie des paysans par des rencontres, échanges et loisirs, et prenant conscience du cercle vicieux dans lequel sont engagés les villages, qui, privés de leur population, perdent tout attrait pour de nouveaux arrivants ou pour les habitants tentés d’aller chercher ailleurs du travail et des loisirs, entretenant le mouvement de baisse et de vieillissement de la population.
Il faudra attendre le Front Populaire pour retrouver une initiative semblable, et surtout encouragée par l’État, avec la création de « foyers paysans » avant la 2 e Guerre Mondiale ; ceux-ci, plus d’une centaine avant la guerre, étaient destinés à apporter aux exploitants et ouvriers agricoles dans les campagnes des formations techniques à leur métier, mais aussi de la culture et des loisirs. Ces foyers paysans fonctionnaient sur le même modèle que les Jeunesses Agricoles Chrétiennes, mais sur des bases résolument laïques.
Le régime de Vichy prend le contre-pied de cette dynamique associative en imposant sa « révolution nationale » qui vise à conditionner les jeunes au soutien du régime et à l’obéissance, et les foyers paysans disparaissent ou se mettent en sommeil forcé jusqu’à la Libération.
François Tanguy-Prigent est en 1936 le plus jeune député du Front Populaire, agriculteur, fondateur et animateur d’un foyer paysan et de la Coopérative de Défense Paysanne ;résistant pendant la guerre , il s’intéresse au programme commun du Conseil National de la Résistance , et sera le premier Ministre de l’Agriculture à la Libération.
Les difficultés financières de la Fédération Nationale iront croissant et conduiront en 1994 à la suppression des aides directes aux Fédérations Départementales , accompagnée d’une hausse constante de la part des cotisations qui lui est réservée, et le désengagement de l’État se poursuivra avec une chute de 50 % de sa subvention en 2006, et la fin en 2008, après 62 ans de partenariat, de sa convention avec le Ministère de l’Agriculture.
Le système d’adhésion est d’ailleurs assez complexe, constitué d’un empilement de cotisations réglées par l’adhérent physique de base : son adhésion au Foyer Rural à proprement parler, souvent faible, à laquelle s’ajoute une cotisation pour les activités qu’il pratique en son sein, une autre destinée au fonctionnement de la Fédération Départementale dont dépend son Foyer, une autre pour le fonctionnement de la Fédération Nationale, et à cet ensemble peuvent s’ajouter des cotisations pour le Comité Départemental du Sport en Milieu Rural et sa Fédération Nationale ; les sommes sont donc normalement distinguées lors de l’adhésion, mais on observe souvent une « simplification » dans certaines associations, faisant apparaître une somme globale, sans détail.
Dans une société de plus en plus consumériste, la décision de la Fédération Nationale de faire clairement apparaître le coût de l’assurance, mentionnée comme un « service », n’est pas cohérente avec l’idée d’adhérer à un mouvement dans son ensemble , et amène l’adhérent à se poser la question suivante : que m’apporte la Fédération Nationale hormis ‘assurance, et pourquoi devrais-je payer pour elle ?
Cette question occupe également les esprits des administrateurs des Fédérations Départementales et des Foyers Ruraux et associations thématiques de base, puisque la Fédération Nationale, empêtrée dans des difficultés financières, voit son rôle d’aide, et de redistribution des subventions nationales auxquelles les autres structures ne peuvent prétendre, sérieusement réduit au fil des années.
Pour que cette question ne se pose plus, la Fédération Nationale des Foyers Ruraux a procédé à une modification statutaire en juin 2010 pour que seules les Fédérations Départementales puissent y adhérer, charge à elles de gérer l’ensemble de leurs adhérents locaux qui ne verront donc plus apparaître les cotisations nationales.

« Villages en ribambelle » et « Villages en fêtes »

Le projet de départ lancé en 1990, « Villages en ribambelle », visait à promouvoir les manifestations culturelles en milieu rural, trop souvent occultées au profit de grands événements très soutenus dans les villes ; l’aide était surtout financière au départ, mais la question s’est rapidement posée d’une communication plus globale, à la manière d’un grand festival rural qui serait à la fois très éclectique, et très étalé dans le temps et l’espace départemental. Le « label » « Villages en ribambelle » viendrait en quelque sorte mettre en lumière les manifestations locales des Foyers Ruraux, pour rétablir un peu l’équilibre avec les grands festivals de Midi-Pyrénées.
A l’usage, le dispositif est plutôt celui d’un calendrier d’événements disparates auxquels la Fédération apporte son aide financière et sa communication, puisque aucune coordination de contenu n’est prévue entre les Foyers participants.

Le Centre de Gestion des Personnels d’Animation Rurale

Créé en 1988, la Fédération crée un service de gestion du personnel, qui devient en 1990 le C.E.G.E.P.A.R., réponse à la professionnalisation progressive des activités des associations, qui implique, par le recrutement de salariés, une gestion comptable plus complexe, hors de portée de nombreuses petites structures du département, dont une bonne partie des Foyers Ruraux eux-mêmes.
L’Assemblée Générale de 1992 en donne la définition complète : « Destiné à simplifier les tâches administratives des foyers, des associations d’animation rurale ou de développement, ce Centre de Gestion des Personnels d’Animation Rurale permet d’établir les salaires des vacataires, employés àtemps partiel ou temps plein, il réalise les livres de salaire et les déclarations annuelles. »
Le système fonctionne donc à la manière d’un cabinet comptable, mais assuré par une structure qui présente le double avantage de frais de gestion réduits et d’une expertise dans le même domaine d’activité que les associations « clientes ».
En effet, les Foyers Ruraux et d’une manière plus large toutes les associations d’animation et de développement rural potentiellement concernées par une affiliation à la Fédération Départementale, et par voie de conséquence le recours au CEGEPAR, entrent dans le champ d’application de la Convention Collective Nationale de l’Animation SocioCulturelle , l’une des plus importantes du secteur associatif, sujette à de très nombreux avenants, correctifs et avis d’interprétations par les juges ou le législateur.
Pour accroître l’attrait et le sérieux de son service, la Fédération Départementale a reçu l’agrément « tiers de confiance URSSAF », lui permettant d’assurer l’interface avec les organismes de retraite, d’assurance-maladie, de cotisations salariales et patronales, en lieu et place de l’employeur concerné, tout en le conseillant au mieux pour la gestion de son personnel (obligations légales, rédaction de contrats et d’avenants, avancement de carrière, résolution des litiges…), et rend le service totalement gratuit en 1996.
Le système présente donc un net avantage sur le chèque-emploi associatif, qui gagne pourtant du terrain, sans doute pour partie grâce à sa campagne de communication vantant un système gratuit et simple pour l’employeur ; outre les réserves sur ces deux points, notamment relevées par le Centre d’Initiatives et de Ressources Associatives des PyrénéesOrientales , faisant état d’impacts non négligeables sur le coût pour l’employeur ou sur le salaire final de l’employé , le Chèque-emploi associatif présente de graves lacunes sur la rédaction du contrat de travail, point stratégique, et très complexe, des relations entre employeur et salarié, tout en présentant le contrat comme automatiquement valide dès la réalisation des formalités de déclaration en ligne.

Les actions structurantes

On perçoit déjà, à travers ce service de reprographie, la volonté précoce de ne pas limiter l’action de la Fédération à ses seuls adhérents, et surtout de participer activement à l’aménagement du territoire.
Cet objectif passe par des actions directes comme le maillage à l’aide des antennes de pays ou l’organisation du sport au niveau départemental avec le CDSMR, par des partenariats,principalement avec les collectivités territoriales, mais aussi par la participation de la Fédération à de très nombreuses structures associatives ou para-publiques.
Salariés et administrateurs bénévoles se partagent donc la présence à de très nombreuses réunions, signe du foisonnement des projets dans le département ; malgré ces 16 noms sur cette liste, on ne peut malgré tout pas parler de dispersion : toutes ces structures ont bien un champ d’action à l’échelle d’un territoire (certaines évolueront avec la loi ), voire même du département entier.
Plusieurs sont thématiques, aux objectifs bien définis, dans le domaine du sport comme le C.D.O.S. (Comité Départemental Olympique et Sportif), qui sera tout naturellement en lien avec le CDSMR, puisqu’il est en fait la confédération des fédérations sportives du département et le lien avec le niveau national.
On peut également classer dans cette catégorie A.J.I.R. (Aventure Jeunesse Initiative Responsabilité, devenue par la suite A.J.I.R.-B.I.J., Bureau d’Information Jeunesse),qui est la structure dédiée à la jeunesse, ainsi que l’A.D.D.A. (Association Départementale de Développement des Arts) plus spécifique à la musique, ou Radio Trente Deux, créée après la libéralisation des ondes par François Mitterrand et Jack Lang, qui se veut la radio rurale du département.
La C.U.M.A.V.-Gers (Coopérative d’Utilisation de Matériel Audio-Visuel du Gers) naît en 1983 entre des partenaires multiples, avec pour mission de favoriser l’appropriation par les habitants et les associations de l’essor des appareils photos, caméras et magnétoscopes, par des prêts et locations, mais aussi par des formations spécifiques par des professionnels.
D’autres structures sont spécifiques à un territoire, spécialement créées pour le mettre en valeur comme le ferait un syndicat d’aménagement mais sous une forme associative plus souple.
A partir de 1985, la Charte du Bas-Armagnac a constitué un premier travail sur le recensement des atouts et faiblesses du territoire, qui sera repris en 1995 par une nouvelle association, « Pays du Bas-Armagnac », conçue pour mener à bien la constitution du Pays du Bas-Armagnac ; à partir de 1985 également, l’association « Université de l’Armagnac » fait la même chose sur le nord-ouest du département, et ses travaux seront repris en 1996 par l’association « Pays Val de Baïse-Armagnac », et ces deux associations de préfiguration de Pays se sont finalement regroupées en 2002 pour la création du « Pays d’Amargnac », structure unique sous le statut d’association loi 1901.
Le Pays d’accueil de la Save, la Charte de la Ténarèze, la Charte de Montesquiou, la Charte Arrats-Gimone procèdent de la même logique, associations créées très tôt pour grouper les communes et les partenaires associatifs et publics afin de mettre en valeur une partie du territoire départemental par un état des lieux, des opérations touristiques et de la prospective économique ; ces associations évolueront également vers la constitution de Pays, et la Fédération des Foyers Ruraux aura été partie prenante dès le départ de l’aménagement du territoire aux côtés des collectivités territoriales, en plus de ses actions propres.
La Fédération assurera également la gestion de certains postes de ces associations, par convention.
C’est à la Fédération d’assurer toutes les démarches liées à ces salariés supplémentaires, y compris le montage des dossiers de subvention (ici pour obtenir des FONJEP, puis plus tard auprès du CNASEA pour les emplois-jeunes), mais ce surcroît de travail est largement compensé par l’assurance que les salariés sur ces postes lui permettront de garder un lien fort avec les Foyers Ruraux ; ces salariés partageaient même parfois leur temps de travail entre leur poste « intercommunal » et une antenne technique de pays de la Fédération.

La Communication Sociale – les antennes de pays

La Communication Sociale est le meilleur exemple d’une mission de la Fédération qui va bien au delà de ses propres adhérents, service aux multiples facettes, ouvert à tous, et en prise avec le territoire, les distances de déplacement croissantes qui accompagnent la disparition progressive des services publics et commerces des campagnes au profit de villes.
Car autour de la reprographie et de maquettage, c’est un ensemble de services, auparavant centralisés au siège à Auch, que la Fédération apporte aux cœur même des zones rurales àtravers les antennes de pays.
Les premières ont été ouvertes en 1982, et on peut faire un parallèle avec la situation nationale en offrant une véritable décentralisation des services fédéraux, complétée par l’émergence de nouveaux outils : la reprographie dès l’ouverture, le service de cinéma itinérant et la location de matériel audiovisuel en 1983, la possibilité d’obtenir des informations réglementaires et pratiques (droit du travail, fiches de paye, comptabilité) à l’ouverture du CEGEPAR en 1988 et grâce à un partenariat avec le Crédit Mutuel, information jeunesse en relation avec les services du Ministère de la Jeunesse et des Sports puis également avec l’association partenaire AJIR-BIJ…
Toutes ces activités nouvelles, pour être pleinement opérationnelles sur plusieurs lieux dans le département, nécessitent des locaux, du personnel et des investissements conséquents.
Côté locaux, c’est tout naturellement du côté des Foyers Ruraux locaux que viendra la solution, puisque les antennes techniques s’installent dans leurs propres locaux ; tous ces nouveaux services profitent aussi au Foyer lui-même, à son image de professionnalisme et de développement vis-à-vis de ses adhérents et de sa commune, et lui permettant de bénéficier de matériel d’informatique et de reprographie souvent plus performants. Côté personnel, après une croissance rapide grâce à des crédits débloqués dans le cadre du Programme d’Action n°16 (PAP16 ) du 7e plan quinquennal en France (1976-1980), l’ouverture des 7 antennes est effective en 1984, totalisant 44 heures hebdomadaires d’ouverture au public.
Malgré les aides publiques et les bons résultats du service reprographie qui couvrent le budget à près de 50%, le déficit de fonctionnement est déjà important, plus de 11%, à peine 4 ans après le début du déploiement.
Les administrateurs s’en alarment dès cette période, conscients que « le choix d’une structure éclatée est coûteux » , et que la situation ne pourra pas se poursuivre longtemps avec ce déséquilibre budgétaire ; mais ils constatent également la réussite de cette action, « véritable service pour l’animation rurale » , et cherchent des solutions de pérennisation.
Le projet de 1984 souhaite la création du S.I.D.A.R., ou Sources d’Informations pour le Développement local et l’Animation Rural, réseau qui s’appuierait sur les antennes et le siège de la Fédération, mais aussi sur l’ensemble des associations utilisatrices de la Communication Sociale, évolution ambitieuse qui visait à impliquer plus encore les partenaires associatifs, faire participer les communes et sans doute justifier une hausse des subventions publiques ; malheureusement l’idée ne se concrétise pas, et en 1987 la fin des crédits spécifiques du PAP16 aggravent une situation déjà précaire.

Le sport en milieu rural

Le sport est l’un des principaux vecteurs de l’éducation populaire, et les Foyers Ruraux s’en sont emparés dès l’origine ; c’est donc tout naturellement que la Fédération a décidé d’accompagner les pratiques sportives de ses adhérents, pour leur donner un rayonnement départemental.
Les rassemblements départementaux seront l’occasion de mettre en pratique ces échanges sportifs entre foyers, et il est question dès 1967 de tennis de table et d’athlétisme , et en 1968 apparaît déjà la question d’une fédération départementale de volley-ball , signe d’une volonté de structuration, avec formation des animateurs et organisation d’un championnat.
Les comptes-rendus et actions de l’année 1969 montrent clairement la place importante du sport dans la vie des Foyers Ruraux, 57% des adhérents organisant des activités sportives, et quelle peut être l’action de la Fédération, à travers le rassemblement départemental annuel, le championnat de volley-ball ou un premier séjour au ski.
Dès l’année suivante, une section complète du rapport d’activités lors de l’Assemblée Générale est consacrée au sport , un championnat départemental de tennis de table rejoint celui de volley-ball, et en 1972, avec l’aide de la Fédération Régionale des Foyers Ruraux de Midi-Pyrénées, s’ajoute le basket-ball et la possibilité pour les équipes de participer, pour ces trois sports, à des championnats régionaux.
En 1974, c’est au tour des quilles de se doter d’un championnat départemental , et la Fédération relève chez ses adhérents de nombreuses activités sportives : judo, football, rugby, canoë, pétanque, pelote basque, athlétisme ; vers la fin de la décennie s’ajoute le ski de fond, puis en 1982 le cyclotourisme et le badminton.
Au plan départemental, la Fédération acte dans son Assemblée Générale 1983 la création en son sein d’un « Comité Sportif pour le Milieu Rural » , et cotise tout naturellement à la FNSMR, en plus de l’adhésion à la FNFR ; l’objectif initial est atteint puisque les sections sportives des Foyers Ruraux peuvent désormais poursuivre leur activité dans les mêmesconditions qu’avant le vote de la loi.
Il est difficile de faire le compte des sections sportives des Foyers Ruraux qui auraient créé leur propre association sans ces évolutions, mais vu l’ampleur prise par les championnats départementaux de volley-ball et de tennis de table, il est probable que l’impact de cesdéparts aurait été significatif, voire même dévastateur pour certains.
L’ouverture du mouvement à toutes les associations de développement et d’animation rurale en 1983 accompagne ce mouvement en permettant à de nouvelles associations de se joindre à la Fédération Départementale au fil des années ; ce seront principalement des associations de palet gascon , mais aussi de volley-ball, gymnastique, multisports…
Signe de la fragilité de la structure pluridisciplinaire « foyer rural » face aux associations spécialisées, et sans doute face à la mutation du bénévolat, plusieurs communes (Éauze,Estang, Vic-Fezensac…) ont sur leur territoire plusieurs associations thématiques affiliées à la Fédération Départementale, qui auraient pu être des sections d’un Foyer Rural d’une portée plus large.

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Table des matières
Introduction
Historique
Le mouvement des Foyers Ruraux et la Fédération Nationale
Les Foyers Ruraux du Gers et la Fédération Départementale
L’action à l’échelle du territoire
Sauvegarde et promotion de la culture gasconne
Les jeux traditionnels
La « gasconnité », ou l’identité gasconne
La Flamme de l’Armagnac
Les actions directes en faveur des Foyers Ruraux
« Villages en ribambelle » et « Villages en fêtes »
Le Centre de Gestion des Personnels d’Animation Rurale
La Communication Sociale – service reprographie
Les actions structurantes
La Communication Sociale – les antennes de pays
Le sport en milieu rural
Des difficultés aux origines diverses
Des partenariats qui s’achèvent
Maisons d’Animation Rurale, Pays et intercommunalités
L’enseignement musical
Le financement, un problème récurrent
La Fédération aujourd’hui
Conclusion
Bibliographie
Annexes
Résumé

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