L’APPROVISIONNEMENT ET LA COMMERCIALISAION DES PRODUITS ALIMENTAIRES

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La formation forestière

Ce type de formation végétale ne couvre que moins ’und quart de l’archipel actuellement. Il comprend la réserve de Lokobe, la partie sud de Nosy Sakatia et quelques forêts de mangroves sur les côtes.
La première et la seconde constituent les forêts originelles tropicales qui sont en quelques sortes ombrophiles. On trouve encore dans ces forêts quelques arbres endémiques de la région tels que le Torotoro (Gluta tourtour), le Hazomalama (Dispyros)), le Ramy (Canarium madagascariensis), le Manary (Dalbergia).
Ces forêts existent encore grâce à la mise en place de la politique de conservation par le gouvernement malgache. Ils se maintiennent surtout dans l’accès et les endroits interdits pour l’exploitation (ala fady).
On peut également trouver quelques « îlots » de forêts humides dans les sources des cours d’eau qui sont en général situées aux pieds des montagnes. Les ancêtres savaient déjà que défricher ces forêts présente un risque de faire baisser la capacité de l’approvisionnement en eau, c’est pour cela qu’ils ont créé des mythes pour que les gens ne détruisent pas ces forêts qui sont encore conservées jusqu’à nos jours.
Nosy-Be dispose actuellement quelques hectares de forêts de mangroves. Cependant, il n’en reste qu’environ 550 ha (en 2004) contre 1000 ha avant 1999. Ce recul est du à l’exploitation incontrôlable faite par des migrants du sud et du s ud-est qui ont travaillé dans la société sucrièreed
Dzamandzar vers la fin du XX siècle et au début du XXI siècle. La crise économique a frappé de plein fouet cette société. Ces anciens ouvriers réduits au chômage s’attaquent aux mangroves (alakônko) pour fabriquer du charbon de bois.
Actuellement, grâce à la mise en place des organism es environnementaux tels que le MNP (Madagascar National Parks), le SAGE (Service d’Appui à la Gestion de l’Environnement)…ces forêts de mangroves commencent à se rétablir peu à peu.

Les savanes

Ce type couvre presque les trois quarts de la surface de Nosy Be. On en distingue trois catégories.
La première est la savane boisée. Ce type de savaneest caractérisé par la présence des arbres fruitiers dont les plus importants sont des manguiers sauvages appelés localementManga bory, Manga esy, Manga ampôndra.
La deuxième est la savane arbustive dans laquelle on trouve des arbustes qui sont plus ou moins serrés. Souvent, il s’agit de Ravinala (Ravenala madagascariensis) et d’autres espèces. Elle constitue la majorité de la couverture végétale du centre.
La troisième est la savane herbacée qui occupe presque la moitié de la surface savanicole. Elle s’étend sur la plaine côtière de l’ouest, c’est dans cette partie qu’on trouve la plantation de canne à sucre destinée à la société sucrière (SIRAMA) de Dzamandzar. Cette formation végétale artificielle contribue à la beauté de l’île car si on survole dans cette partie, on voit un tapis de ces herbes vertes.
Actuellement, compte tenu de la crise, qui a entraîné la faillite de société SIRAMA, les champs de canne à sucre sont remplacés par des champs de cultures vivrières telles que le riz, le maïs, le manioc.

Les autres formations végétales

Les plantes à parfum, notamment l’ylang-ylang ( Cannanga odorata ou Artabotrys), domine largement l’espace agricole. C’est une plante odora nte originaire de l’Asie de Sud-Est et plus précisément de l’île de Luçon dans l’archipel des Philippines. Elle est de la famille des anonacées. Son introduction à Nosy-Be remonte vers la fin du XIXè siècle après que l’île devint française. L’administration, dépendante de l’île de Bourbon (île de la Réunion actuelle) créa dès 1840 des pépinières dans tous les villages. En effet, l’ylang ylang est une culture caractéristique de Nosy-Be et d’une partie de la côte nord-ouest malgache (Ambanj a).
Cet arbuste possède des fleurs à l’arôme délicat, leur distillation produite une série d’essences dont les meilleures qualités constituent des bases de la parfumerie alcoolique de luxe. L’aspect rabougri des arbustes est dû à leur taille de confo rmation : ils sont étêtés de manière à ce que leurs branches restent basses pour faciliter la collecte des fleurs. Celles-ci doivent être collectées au adest où leur couleur vire au jaune et tôt le matin pour avo ir la plus haute teneur en huile essentielle. Il est primordial de les distiller dans les heures qui suivent la cueillette.
Il faut également tenir compte des cocotiers qui poussent généralement sur les côtes ou dans les villages côtiers. Ils sont très nombreux sur le littoral occidental de l’île (d’Ambatoloaka à Amporaha ). En plus, les forêts de mangroves sont très importantes à Nosy-Be. Ce type de végétation borde les côtes de l’archipel et se concentre surtout sur les embouchures des rivières.
Avant 1999, l’archipel de Nosy-Be comptait plus de 1000 ha de forêt de mangroves, contre 563 ha en 2007. Cela veut dire que cette formation connait une destruction inconsidérée du fait de la fabrication du charbon de bois et de la production du bois de chauffe.

Les loaux-tompontany

Ce groupe est composé des ethnies Antakarana et Sakalava. Les Antakarana sont les premiers habitants de cet archipel. C’était au XVII siècle, lors du règne du roi Kozobe, le village d’Antafondro était créé et comptait déjà 200 habitants environ.
A partir de la première moitié du XIX siècle, poussé par des troupes merina du Radama I,le groupe sakalava du Boina y arrivait, avec sa reine Tsiomeko. Après brassage, le Sakalava est devenu le groupe le plus important du coin. Le mélange des ces deux groupes autochtones forme un groupe que les gens l’appellent « Sakalava Avaratra » qui constitue environ 61% de la population nosybéenne actuellement.
A part les Antakarana et les Sakalava, il faut tenir compte de l’existence d’un groupe très restreint de Makoa du village de Marodoka (6 km à l ’est de Hell-Ville). Selon les sources orales, ce groupe est issu du groupe venu de l’Afrique orientale, les Souahili, notamment du Mozambique. Il s’est mêlé avec les deux premiers mais il a gardéncore sa propre culture et se distingue par ses danses traditionnelles.

Les Tsimihety

Ce sont des habitants originaires de la région Sofia qui est composé de sept districts. Ce groupe est parvenu à Nosy-Be après un transit par le Sambirano. Beaucoup d’entre-eux sont arrivés dans cette région en suivant les vallées qui descendent du massif Tsaratanana (vallée du Sambirano, de Ramena, de la Mahavavy). Certains décidaient d’y rester mais, d’autres ont continué leur trajet vers le nord en passant par le petit port d’Ankify ou d’Antsahampan o.
Il y a un autre itinéraire sans passer par Sambirano et qui mène directement à Nosy-Be par voie maritime. Cet itinéraire part d’Antsohihy, passe par la baie de Narindra et arrive à Nosy-Be après quelques jours de navigation. Ces migrants viennent par boutre ou par pirogue à voile.
Une fois arrivés à Nosy-Be, les Tsimihety cherchent des embauches, ainsi beaucoup travaillent à la sucrerie (SIRAMA) ou dans les plantations d’yl ang ylang ou encore chez de simples propriétaires des plantations. Certains vendent des produits alimentaires tels que le riz blanc, les grains secs de légumineuses (haricots, pois chiches, légumes…). Ac tuellement les Tsimihety forment des groupes très importants en se mêlant avec les groupes locaux.

Les gens du Sud et du Sud-Est

Il s’agit des Antandroy, des Antesaka, des Antemoro, des Bara, des Antanosy…Ils arrivaient à Nosy-Be en plusieurs vagues dont les plus importantes se sont formées au temps de la colonisation. Il y avait à cette époque un fort appel de Main-d’œuvr e dans l’île.
Les Antemoro et les Antesaka sont, dans la plupart des cas, des ouvriers agricoles, tandis que les Antandroy et les Antanosy, en raison de leurs excellentes conditions physiques, travaillent dans les champs. Ce qui caractérise ces groupes c’est qu’ils vivent dans les villages à part (fermes), d’où les difficultés de leur intégration aux ethnies locales.

Les gens des Hautes-Terres

Ce groupe est composé de Merina et de Betsileo. Les Merina habitent parfois dans la ville (Hell-Ville) car ce sont plutôt des bureaucrates. L es Betsileo, quant à eux sont des commerçants ambulants des produits textiles, des produits pour le ménage et pour la cuisine… Ces dernières (les Betsileo) sont également d’excellents cultivateurs et/ou éleveurs s’ils trouvent des endroits favorables à ces activités.

Les communautés étrangères

Les Comoriens sont les plus importants des migrants étrangers à Nosy-Be. La première vague arrivait à partir de 1930 en raison de fort recrute ment des sociétés industrielles (sucrerie, ferme d’ylang ylang) et la seconde était à partir de 1950 à cause de la crise alimentaire dans leur pays. Au début, c’était seulement les hommes, puis aprèsquelques années, en particulier lors de la deuxième vague, arrivaient des hommes et des femmes.
Dans la plupart des cas, les Comoriens vont se marier avec des femmes malgaches, plus particulièrement avec des autochtones (Sakalava et Antakarana) et après quelques années, ils obtiennent leur citoyenneté. Leurs activités sont iversesd mais la plus importante est le secteur informel (gardien, petit commerçant, cuisinier…).
Par ailleurs, les étrangers sont composés égalementdes Arabes et des Somaliens, des Indo-pakistanais (Karany) qui sont tous des commerçants.
Les Arabes et les Somaliens se marient souvent avec des femmes malgaches, d’où un métissage assez important. Il faut tenir compte de l’existence des Français et des autres Européens qui sont pour la plupart des propriétaires des hôtels et des restaurants dans la ville et surtout dans les villages où il y à des sites touristiques.

Les activités liées indirectement au tourisme

De l’autre côté, les gargotes, les buvettes, les épiceries et bars se sont améliorés dans les villes car c’est là où il y a plus de concentration de la population qui est majoritairement jeune, c’est-à-dire la population active.
Les magasins des Indiens et les autres magasins de vente des équipements ménagers (sonorisation, TV, équipement de cuisine, réfrigérateur…), les bijouteries, les menuiseries, les magasins de confection de l’habillement… acquièrent des clients qui sont, pour la plupart des jeunes bénéficiaires du secteur touristique.
Les villages proches des sites touristiques, en particulier les villages côtiers et les villages qui se situent à proximité des points culminants sont dotés des infrastructures de base (route, électricité, adduction d’eau potable, école, établissement sanitaire…) par les accords de partenariat public et pri vé. De ce fait, la population de ces villages ne cesse pas de s’accroître. C’est le cas des villages d’Antanamitarana, de Morafeno, d’Ambalakatakata, d’ Ambaro…

La pêche

Contrairement aux autres activités, la pêche à Nosy-Be, même si elle reste encore traditionnelle dans la plupart des cas, est très importante.
A part les pêches industrielles (les pêcheries de osyN-Be : PNB) et quelques petites et moyennes entreprises (PME) de pêche artisanale, lapêche traditionnelle pratiquée par la majorité dea l population active des villes et des villages côtier s de Nosy-Be connaît actuellement un certain essor, surtout au niveau de la production grâce à l’amélio ration de la gestion des ressources et des techniques de capture (renforcement de capacité).
Selon l’enquête personnelle faite auprès du président du groupement des pêcheurs, Nosy-Be compte actuellement 2043 pêcheurs environ et qui seregroupent dans 53 coopératives. La majorité des pêcheurs se concentre sur la côte occidentale de l’île qui va d’Ambatoloaka à Andilana.

La pêche à pirogue

Il s’agit à la fois de la pêche côtière et au large, c’est à dire aux environs du littoral et jusqu’à une certaine distance vers le large (jusqu’à 30 à 5 0 km). La pêche nosy-béenne s’étend jusqu’à Nosy Mitsio, Port Saint-Louis, Ambavanankarana, Nosy Iranja.
La pratique de la pêche en large met en œuvre trois techniques principales de capture. La première est l’emploi de grand filet à grandes mail les de plus de 200 m (harato jarifa). Il permet de capturer de gros poissons (requin, thon, bonite, cabot,…). Souvent, on pose ce filet dans la zone où abondent ces espèces ciblées. La récupération se itfaaprès quelques heures ou le lendemain. La seconde c’est la pêche à long câble tiré par la pirogue (jonjory). Le but est de capturer de gros poissons. Cette technique se fait en général endantp la nuit (bamboaligny).
Et, enfin, la plongée qui sert à capturer surtout de dingadingana. L’emploi de grandes pirogues à voiles ou à moteur concombres de mer ou holothuries-est très important pour ce type.
Concernant la pêche côtière, c’est à dire à une dis tance de moins de 500 m du littoral, c’est à peu près les mêmes techniques que celle du large. On utilise, en effet, des filets à moyennes et à pet ites mailles afin de pouvoir capturer les espèces à moyenne et petite taille telles que le Mahaloky (Rastreliger kanagurta), Kikô (Caranx sexfasciatus) , Tseraka (Strongylura exilis)… ; des câbles à bobine qui sert à capturer également des poissons de la même taille que celles citées au plus haut. Enfin, l’emploi de la nasse (vôvo) qui a pour but d e piéger les espèces qui aiment beaucoup les algues (Henjy ou Siganus canaliculatus et Kitrangy ou Lutjanus gibbus). Les moyennes et petites pirogues de deux à trois places sont les plus praticables pour ce type.

La pêche à pied

C’est le type le plus traditionnel de tous. De ce fait, elle est économiquement moins importante et souvent pratiquée par des femmes et des enfants(80 %).
La pêche à pied se fait au niveau des embouchures des rivières, sur les récifs coralliens, sur les zones des algues, sur les zones de mangroves, au port et aussi dans l’eau douce, plus particulièrement, dans les lacs cratères.
Les techniques de capture employées par les pêcheurs à pied sont en premier lieu la pêche à la canne ou à bobine qui est la plus pratiquée dans l’eau douce, dans le port et dans les marges, en particulier à proximité des mangroves.
En second lieu, l’emploi de filet à petites mailles pour la capture des poissons à petite taille (Ambamba, Ambariaka, Salelo…) sur les marges est très développé dans les embouchures durant la marée basse.
Enfin, la capture aux mains est pratiquée spécialement dans les zones des algues pour récupérer les espèces de coquillage (Kodiva, Hima…). La capture avec des matériels très simples tels que le bâton et le fer pointu ou crochet s’adresse aux es pèces qui longent dans les trous (crabe, pieuvre, anguilles…).
Dans la plupart des cas, la production de la pêche à pied à Nosy-Be est destinée à la consommation familiale et se fait pendant la période de la vive-eau.

L’industrie et le commerce

Depuis le temps de la colonisation jusqu’aux années 80, l’industrie et le commerce à Nosy-Be étaient basés sur des cultures industrielles et d’exportation. Actuellement, l’industrie de pêche connait un certain essor, malgré la réduction de son rendement depuis les cinq dernières années.

Les sociétés de cultures de plantation

L’île de Nosy-Be, comme elle était un siège des colons, possédait quelques industries et compagnies de marchandises destinées aux cultures ndustrielles ou d’exportation (canne à sucre, café, poivre, ylang-ylang…). Il s’agit, avant tout, de l a sucrerie et rhumerie de Dzamandzar implantée en 1921, des distilleries d’ylang ylang d’Ampasimenabe (SPPM)1, de la Société Hassanaly et Fils pour l’ylang ylang et le café, de la compagnie marseillaise devenu SOMACODIS, de SAB2…Elles étaient très dynamiques depuis leur création (vers les années 20 à 30) jusqu’aux années 80. Vues les concurrences entre les pays tropicaux producteurs (Brésil, Philippines, Côte d’Ivoire…) et de la décadence en qualité et en quantité causée par descatastrophes naturelles (cyclones, perturbation de rythme pluviométrique) et surtout à cause de la nationalisation des certaines sociétés (exemple SIRAMA), elles connaissent des crises à partir des années 90. Il ne reste plus actuellement que quelques petites sociétés comme la SPPM, la SAB, lasociété Hassanaly et Fils dont la situation ne cesse pas d’être incofortable.

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Table des matières

PREMIERE PARTIE : NOSY BE, UN ARCHIPEL A VOCATION ECONOMIQUE
Chapitre I : Les milieux biophysiques
I-Le climat de Nosy Be
I-1-L’influence du Massif Tsaratanana
I-2-L’influence de la mer
II-Les types du sol
II-1-Les sols ferrallitiques
II-2-Les sols à mulls
II-3-Les sols hydromorphes
III-Le relief et les réseaux hydrographiques
III-1-Le relief
III-2-Les réseaux hydrographiques
IV-La végétation
IV-1-La formation forestière
IV-2-Les savanes
IV-3-Les autres formations végétales
Chapitre II : Les hommes et leurs activités économiques
I-La population : origine et composition
I-1-Origine
I-2-Composition
I-2-1-Les locaux-Tompontany
I-2-2-Les Tsimihety
I-2-3-Les gens du Sud et du Sud-est
I-2-4-Les gens des Hautes-Terres
I-2-5-Les communautés étrangères
II-Les activités économiques de la population
II-1-Les activités liées au tourisme
II-1-1-Les activités liées directement au tourisme…
II-1-2-Les activités liées indirectement au tourisme
II-2-La pêche
II-2-1-La pêche à pirogue
II-2-1-La pêche à pied
II-3-L’industrie et commerce
II-3-1-Les sociétés de plantation….
II-3-2Les sociétés de pêche
II-4-L’agriculture
II-4-1-Les cultures de plantation
II-4-2-Les fruits et la noix du coco
II-4-3-Les légumes
II-4-4-Les céréales et les tubercules
II-5-L’élevage
II-5-1-L’élevage bovin
II-5-2-L’élevage caprin et porcin
II-5-3-L’élevage des volailles
DEUXIEME PARTIE : L’APPROVISIONNEMENT ET LA COMMERCIALISAION DES PRODUITS ALIMENTAIRES
Chapitre III : Les différentes zones d’approvisionnement
I-Les zones d’approvisionnement à circuit commercial court
I-1-La production de l’île
I-1-1-La zone périurbaine
I-1-2-Les zones rurales
I-2-La presqu’île d’Ankify
I-3-Le delta du Sambirano
I-4-La presqu’île d’Antanibe-Andrefa
I-5-Les îles Nosy Mitsio et Nosy Faly et la presqu’île d’Ambato
II-Les zones d’approvisionnement à circuit commercial long
II-1-La région Sofia
II-1-1-La production agricole
II-1-2-Les produits d’élevage
II-2-Mahavavy, Massif d’Ambre et SAVA
II-2-1-La production agricole
II-2-2-Les produits d’élevage
II-3-Les Hautes-Terres malgaches
Chapitre IV : Les marchés et les autres points de vente
I-Les marchés couverts
I-1-Le Bazar-Be
I-2-Le Bazar-Kely
I-Le Bazar d’Ambonara
II-Les autres points de vente
I-1-Les grands commerçants
I-2-Les petits points de vente
I-3-Les ateliers modernes
TROISIEME PARTIE : LES PROBLEMES INHERENTS A L’APPROVISIONNEMENT
Chapitre V : Les problèmes d’approvisionnement
I-Les problèmes classiques
I-1-Le transport
I-2-L’éloignement des régions productrices
I-3-L’étroitesse de champs de culture
I-4-Le manque d’infrastructures, de moyens et de techniques
II-Les problèmes socio-économiques
II-1-Le manque de dynamisme de la population
II-2-La fluctuation et la hausse de prix
Chapitre VI : L’amélioration de l’approvisionnement alimentaire de Hell-Ville
I-L’amélioration de rendement agricole
I-1-L’encouragement pour la pratique des cultures vivrières
I-2-L’emploi des techniques modernes
I-3-La mise en place des infrastructures de base
I-4-La création de coopérative et de l’association des paysans
I-5-La formation et l’information de la population
II-La facilitation de système de commerce
II-1-La mise en place des infrastructures commerciales adéquates
II-2-Le renforcement de contrôle de prix
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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