L’approche multidimensionnelle de la qualité des soins à son évaluation

La fonction de production et la fonction de demande de soins de santé

La fonction de production de soins de santé

Dans le cadre économique standardisé, la fonction de production permet d’intégrer la demande des soins, dans la mesure où les soins de santé constituent un bien marchand, et entrent explicitement dans la contrainte budgétaire. Dans la recherche de maximiser son utilité, l’individu est conduit à déterminer simultanément la quantité des soins qu’il doit consommer en l’état de santé qu’il doit atteindre.
Selon COUFFENHAL (2000), la demande de PHELPS est pertinente à ce sujet, en considérant une fonction d’utilisation individuelle g (x, h), où X est un panier des biens de consommation en H l’état de santé.
Il vient qu’avec H0 l’état de santé initial et la variable aléatoire représentant l’apparition d’une maladie.
Selon ce modèle, la dégradation de l’état de santé due aux maladies peut être compensée par la consommation des soins médicaux qu’on peut qualifier d’un « bien de réparation h». La fonction de production g possède les mêmes caractéristiques d’une fonction de la production classique pour ce faire l’individu rationnel cherche à maximiser son utilité :
I représentant la contrainte budgétaire, incluant le prix unitaire des soins médicaux pH et celui du bien de consommation. La présence dans ce modèle des variables prix relatifs, du revenu et du niveau du dommage, conduit à la détermination d’une fonction de demande.

La fonction de demande de soins de santé

Au fait, les prix relatifs et le revenu demeurent les variables centrales de décision dans le choix par l’individu de son niveau de santé. La consommation d’une unité supplémentaire des soins par l’individu explique un arbitrage. Cela veut dire que l’utilité marginale de cette consommation est supérieure au prix des autres biens de consommations.
Le fait de demander un panier de bien précis implique que la personne retire une unité supérieure de la consommation de ce panier de bien que celle de toute autre combinaison des biens qu’elle a moyen d’acquérir.
Par ailleurs, la conception la plu large de la fonction permet de considérer les paramètres de la dite fonction comme étant les facteurs explicatifs de la consommation.
Enfin, nous n’allons pas ignorer que le niveau d’éducation est une variable explicative significative de la consommation des soins de santé.

Les outputs de la fonction de production de soins de santé

Ces outputs peuvent être regroupés en trois catégories entre autres la dégradation de la santé, l’utilisation indirecte et les externalités.

La dégradation de la santé

Si l’attente générale confie que les soins de santé produisent la santé, nous ne pouvons pas aussi nier que les mêmes soins de soins administrés sont susceptibles de provoquer une nouvelle dégradation de l’état et non une amélioration attendue.
Cette dégradation de la santé peut tout justement résulter du risque thérapeutique que comportent les techniques médicales utilisées, mais aussi des effets iatrogènes résultant des traitements incompatibles.

L’utilité indirecte

L’utilité de certains individus peut augmenter par la consommation de certains soins. En effet, la consommation des soins préventifs ou de diagnostic peut permettre d’abord de diminuer la probabilité de réalisation d’un dommage.
La vaccination en constitue une illustration la plus frappante. Et puis, elle diminue le montant final du coût du dommage. Dans ce type de consommation des soins, aligné d’ailleurs dans la branche de prévention primaire, les agents cherchent à maximiser le temps en bonne santé et arbitrent entre prévention et soins.
Output indirect, bien évidemment, puisque la consommation des soins préventifs et de diagnostic, soulève des difficultés au regard de l’hypothèse de l’existence d’une fonction de production. En effet, ces soins ne contribuent, par définition, pas ou peu à l production directe de la santé.
Si les soins de santé produisent l’utilité à l’individu les ayants consommés, ils permettent aussi d’avoir une incidence directe sur l’utilité d’un autre individu. Les externalités produites par les soins de santé font l’objet de notre point qui suit.

Les externalités

L’accès d’un individu aux soins de santé peut influencer l’utilité d’un individu sans que le marché intervienne. Par conséquent, la consommation de certains soins de santé peut générer des externalités qu’on peut regrouper en deux grandes catégories dans le domaine des soins de santé :

Les externalités physiques

La prévention ou le traitement des malades contagieuses produits des externalités physiques positives.
Ceci est vrai dans la mesure où, plus vite une maladie contagieuses est éradiquée et plus les personnes vaccinées sont nombreuses, moins chaque individu court, à titre individuel, le risque de tomber malade.

Les externalités psychologiques

Ces externalités psychologiques peuvent être traduites par le sentiment d’altruisme, certains individus tirent l’utilité non seulement à partir de ses propres consommations de certains soins desanté, mais aussi de la consommation par certaines catégories d’individus de ces mêmes soins.
Par ailleurs, le niveau général d’offre d’un bien public en constitue aussi un paramètre très important.
Pour A. COUFFENHAL, c’est la raison qui a poussé CULYER à dire que « les individus sont affectés par l’état de santé des autres pour la simple raison que la plupart d’entre eux s’en soucient ».
Ainsi, l’ampleur de l’altruisme conduit les individus à sacrifier des ressources pour que d’autres bénéficient des soins.
Nous pouvons aussi noter que l’utilité spécifique que les individus tirent de l’acte de donner, ou plus généralement du fait d’agir dans l’intérêt général peut-être à la base de la production des externalités psychologiques.

Les caractéristiques autour de la demande de soins

En économie, les consommateurs de service disposent d’un budget donné et connaissent parfaitement les caractéristiques des biens qui maximisent la satisfaction de leurs besoins. Ils constituent ainsi un groupe de consommateurs rationnels.
Cependant dans le domaine de la santé les personnes « consommateurs » ignorent l’état précis dans lequel ils se trouvent. Ils perçoivent mal les effets possibles du traitement sur leur état de santé.
En fonction des expériences passées des demandeurs de service en santé et de leur profil, n distingue deux groupes de consommateurs : Un groupe de consommateurs rationnels avec une perception réelle du service demandé et ses effets potentiels sur son état de santé et un groupe de consommateurs dépendant d’une manière totale des professionnels de santé.
La demande de soins obéit à trois approches d’analyses : une approche faisant référence au capital, une approche faisant référence au coût et une approche faisant référence au besoin.
• Approche du capital : l’hypothèse principale du modèle est que la santé est un bien durable : les personnes héritent d’un stock initial de santé qui se déprécie avec l’âge et qu’ils peuvent préserver et/ou augmenter.
• Approche du coût : Dans ce modèle la composante santé est considérée sous l’angle de la consommation et non de l’investissement. Le modèle part d’une charge comprenant deux éléments pesant sur le malade : le prix d’une unité de service demandé (P) et la valeur du temps (heures) consacré aux soins (T). Par conséquent le coût d’une unité de soins se détermine de la manière suivant :

L’offre de soins ambulatoires

Elle concerne plutôt des soins temporaires qui ne permettent pas une hospitalisation. Les personnels sont éparpillés. On peut trouver ce type de soins dans des différents cabinets (cabinet médical ou dentaire), des centres d’analyse ou des laboratoires,…
Quelque soit le traitement administré au patient, cela nécessite la consommation de médicaments et l’utilisation de divers matériels médicaux.

L’offre de soins préventives

La protection maternelle et infantile (PMI) est un service dépendant du conseil général qui offre un suivi médical gratuit des femmes enceintes et des nourrissons jusqu’à 2 ans. La médecine scolaire et universitaire est un service de l’éducation nationale chargé de lasurveillance sanitaire des enfants et des jeunes scolarisés dans une optique de dépistage des handicaps et problèmes de santé. La médecine du travail est un service obligatoire à la charge des entreprises charger de vérifier l’aptitude des individus au travail et de prévenir les risque professionnel (accident de travail et maladies professionnelles).

Les Offreurs de soins dans un hôpital

Dans un hôpital, les professeurs, les médecins qu’ils soient généralistes ou spécialistes, les infirmier(e)s, les paramédicaux, les sages-femmes ainsi que les pharmaciens 15 et les assistantes sociales sont les principaux offreurs de soins.

Les services hospitaliers et offre de soins à l’hôpital

Avant, l’hôpital était institution des pauvres et des vieillards que celle de malades et cela jusqu’à ce que surviennent les crises économique du XVIIème siècle. L’hôpital n’était pas seul à offrir des secours, mais était un centre de protection sociale important au point que des économistes tels Turgot et des écrivains comme Montesquieu mirent en question les structures parce que dans une nation où la pauvreté était générale, elles attirent les miséreux par la certitude d’y trouver des secours.
Jusqu’à la révolution française, le système hospitalier est en large partie sous l’influence de l’église, la religion a été le facteur culturel, la force spirituelle permanant le développement de l’aide charitable. Grâce à elle, des établissements ont pu être créés et fonctionnés.
L’Etat essaie de centraliser et de coordonner le système hospitalier en maintenant un contrôle global, l’Eglise s’occupe surtout de la pratique des soins et des cultes.
A l’heure actuelle, le système hospitalier repose sur une distinction fondamentale entre les établissements :

Les prestations offertes

Les prestations sont nombreuses et variées :
– Les consultations médicales spécialisées (toutes spécialités)
– La dispensation des soins spécialisés de qualité, entre autres, une de sevrage alcoolique, prise en charge de la dépression….
– La réalisation de différents actes : ECG, ECG d’effort, fibroscopie digestive, fibroscopie bronchique, pléthysmographie, échographie général, échographie cardiaque, écho
Doppler, biopsie exérèse cutanée, électro-vagulation
– Dépistage gratuit du VIH et traitement.

Les structures de fonctionnement

Les services dans l’hôpital sont très bien structurés. L’hôpital est dirigé par un directeur d’Etablissement. Il est assisté par deux directeurs adjoints.
– Le Directeur Adjoint Technique est à la tête des structures techniques
– Le Directeur Adjoint Administratif qui préside les structures administratives.
On distingue deux catégories bien distinctes :

Les structures administratives

La direction administrative est composée de cinq services : Le Service personnel, le Service d’admission ; le service financier qui comprend trois divisions (Division matériel, cession et comptabilité), le Service environnement et enfin le Service entretien et maintenance, division suivi évaluation et division informatique.

Organisation

D’après l’article 2 du décret N°2004-1027 fixant l’organisation et le fonctionnement des CHU, le fonctionnement du CHU/HJRB et ses composantes sont assurés par les organes ciaprès :
– Organe délibérant : le Conseil d’Administration
– Organe exécutifs et Technique : le Direction Général, les Directions, les Services Administratifs et technique
– Organe consultatif : le Conseil Médical Hospitalo-universitaire.
Cet article concerne tous les CHU, mais le CHU/HJRB présente quelques particularités.
L’établissement est tenu par un conseil de direction qui est dirigé par un directeur d’établissement, et a deux directions : une direction technique et une direction administrative. Chacune de ces deux directions se subdivise en plusieurs services d’où l’organigramme suivant.

Structures techniques

C’est la direction technique qui est à la tête de cette première catégorie. Elle regroupe deux types de services. Il y a tout d’abord les unités et les services dont les constituants sont :
– Le service de soins d’hygiène
– La pharmacie 2
– Le laboratoire
– La statistique
– Action sociale
– Communication
– Le Centre d’Information sur la Grippe HN1
Ensuite il y a les Services Médicaux Composés de :
– La Médecine1 : Accueil triage Urgence ; imagerie Médical (radiologie et Echographie) ; Hémodialyse ; Réanimation ; Rhumato-Dermatologie, Pavillon spéciale (émeraude).
– La Médecine 2 : Néphrologie, Cardiologie ; USIC (Unité de Soins Intensifs de Cardiologie) ; Gastroentérologie ; Endocrinologie, Pavillon spécial B
– La Médecine 3 : Pneumologie ; Maladies infectieuses, Neurologie ; Psychiatrie
– La Pédiatrie : Réanimation pédiatrique, CRENI : Médecine Préventive ; MARFAN ; DEBRE.
D’après ce tableau, le Centre Hospitalier Universitaire Joseph Raseta Befelatanana repartit ses offres de soins de santé dans 21 services de soins médicaux.
En effet, ses services ont chacun leurs spécificités en matière de soins e qui vont être mise à la disposition des demandeurs de soins quand les besoins ressentis sont exprimés et deviennent des demandes.
Par ailleurs, le service Pavillon Spéciale A et B sont considérées comme des services de médecine externe où toutes les offres liés aux soins de santé sont payés. Ainsi, presque tous les services ont des salles payantes.

Analyse de l’offre de soins de santé Madagascar vers l’offre de soins de santé auprès du CHUU/HJRB

L’offre de santé à Madagascar

Le système de santé

Les système de santé est constitué de l’ensemble des ressources humaines, matérielles et financières ainsi que les institutions et les activités destinées à assurer la promotion, la protection, la restauration et la réhabilitation de la santé de la population.
Le système de santé malgache comporte trois niveaux à savoir :
– Le niveau central qui définit l’orientation global de la politique nationale de la santé, les grands axes stratégiques et le suivi de la mise en oeuvre
– Le niveau régional, coordonnant l’exécution de la politique national de santé et la mise en oeuvre au niveau des régions
– Le niveau District, constituant le niveau périphérique et qui assure la mise en oeuvre de toutes les activités de programme de santé au niveau des Centres Hospitaliers du niveau 1 et 2 et des Centres de Santé de Bases (CSB) qui assurent les soins de santé primaires.

Le cadre juridique qui régit le système de santé malgache

Le code de santé publique a été élaboré en 1962 et a été institué par l’ordonnance N° 62-072 du 29 septembre 1962. C’est la première référence réglementaire en matière de santé. Elle est assez obsolète et mérite beaucoup d’amendements.
D’autres textes législatifs, relatifs à la santé ont été quand même élaborés, on peut citer entre autre :
• La Loi n°2004-029 du 09 septembre 2004 autorisant la ratification de la Convention cadre de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la lutte anti-tabac ;
• Le décret n°90-026 du 16 février 1992 portant création d’un conseil national de lutte contre les infections sexuellement transmissibles ‘IST) et le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA) :
• Le décret n°94-678 du 31 octobre 1994 fixant les attributions et l’organisation général du Ministère de la Santé instituant la mise en place des Services de Santé de District ou Districts Sanitaires ;
• Le décret n°95-159 du 22 février 1995 autorisant la création d’une Centrale d’Achat de Médicaments essentiels et de consommables médicaux ;

L’offre de soins

L’offre de soins à Madagascar par des centres et des établissements privés ou publics. Les établissements privés sont organisés en hôpitaux privés (clinique, polyclinique…), des cabinets médicaux, les établissements publics sont organisés en CSB, CHD, CHRR et des CHU.
Puisqu’on s’intéresse à ces dernier types’ les tableaux ci-dessous nous monter l’évolution de quelques indicateurs qui reflètent certaines caractéristiques de l’offre de santé du secteur public.
On peut remarquer ici qu’il y a deux régions (Analamanga et Boeny) parmi les 22, n’ont pas de CHRR car pour eux, ce sont les CHU qui sont les centres de référence. En en ce moment, le CHRR de la région Atsinanana est de venu un CHU.

Les ressources humaines dans la profession de santé

Les professionnels de santé se distinguent en secteur privé et public. Ici, notre étude se focalise sur les établissements de soins publics où ils détiennent une place très importante dans les actions que mène le gouvernement malgache en vue d’éradiquer la pauvreté.
Ces professionnels peuvent être des médecins, des infirmiers, de dentistes, des sages-femmes qui exercent leur métier dans le secteur public.
Le tableau suivant illustre l’évolution des ratios de la population par rapport à ces prestataires cités précédemment de 2006 à 2008.

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Table des matières

« GESTION DE L’OFFRE DE SOINS DE SANTE A DES PATIENTS A FAIBLE REVENU – CAS DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE HOPITAL JOSEPH RASETA BEFELATANANA »
REMERCIEMENTS 
LISTE DES ABREVIATIONS
INTRODUCTION 
PARTIE I : LES CONCEPTS THEORIQUES CONCERNANT LE MARCHE DE SOINS DE SANTE 
CHAPITRE 1 : LES CONCEPTS THEORIQUES SUR LA SANTE, L’OFFRE ET LA DEMANDE DE SOINS DE SANTE
SECTION 1. LES CONCEPTS DE BASE LIES A LA SANTE 
1.1- La santé
1.2- La santé et les droits de l’homme : droit à la santé
1.3- La valeur juridique, sociale et économique de la santé
1.4- Les déterminants de la santé
1.5- Les besoins de santé
1.6- Le système de santé
1.7- La santé publique
1.8- Le système de soins de santé
1.9- Les soins de santé
SECTION 2. LES CONCEPTS LIES A LA DEMANDE DE SOINS DE SANTE 
2.1- La demande de soins de santé
SECTION 3. LES CONCEPTS LIES A L’OFFRE DE SOINS DE SANTE 
3.1- L’Offre de soins de santé
CHAPITRE 2 : LA FONCTION ET LA PRODUCTION DE LA DEMANDE DE SANTE ET L’HÔPITAL ENTANT QU’OFFREUR DE SOINS DE SANTE 
SECTION 1. ETUDE ECONOMIQUE DE LA SANTE AU SEIN DE L’HOPITAL 
1.1-Le marché classique
1.1.1- La définition du marché
1.1.2- Les structures du marché
1.1.3- La demande
1.1.4- L’offre
1.2- La particularité du marché de la santé
1.2.1- Du côté de la Demande
1.2.2- Du côté de l’Offre
1.3- Les hôpitaux sur le marché
1.3.1- Les hôpitaux et le marché du personnel médical
1.3.2- Les hôpitaux et les patients
1.3.3- Un modèle d’équilibre entre la qualité et le prix
SECTION 2. LA FONCTION ET LA PRODUCTION DE LA DEMANDE DE SOINS DE SANTE
2.1- La fonction de production et la fonction de demande de soins de santé
2.1.1- La fonction de production de soins de santé
2.1.2- La fonction de demande de soins de santé
2.2- Les outputs de la fonction de production de soins de santé
2.2.1-La dégradation de la santé
2.2. 2- L’utilité indirecte
2.2. 3- Les externalités
2.2.3.1- Les externalités physiques
2.2.3.2- Les externalités psychologiques
2.3- Les caractéristiques autour de la demande de soins
SECTION 3. L’HOPITAL ENTANT QU’OFFREUR DE SOINS DE SANTE 
3.1- Les différents types d’offres de soins et les offreurs
3.1. 1- Les différents types d’Offre de soins
3.1.1.1- L’offre de soins hospitaliers
3.1.1.2- L’offre de soins ambulatoires
3.1.1.3- L’offre de soins préventives
3.1. 2- Les Offreurs de soins dans un hôpital
3.2- Les services hospitaliers et offre de soins à l’hôpital
3.2. 1- Les différentes catégories d’hôpitaux publics
• Les hôpitaux généraux
• Les hôpitaux spécialisés
• Les hôpitaux universitaires
• Les hôpitaux locaux
3.2. 2- Les services hospitaliers
• Les services internes
• Les services externes
3.3- Les spécificités de l’offre de soins de santé
3.3. 1- Les facteurs influant l’offre de soins hospitaliers
3.3.1.1- Les facteurs démographiques et infrastructures
3.3.1.2- Les facteurs culturels
3.3.1.3- Le financement de l’offre hospitalière
3.3. 2- La performance de l’offre de soins hospitaliers
3.3.2.1- La mesure de performance
3.3.2.2- La qualité de l’offre de soins hospitaliers
L’approche multidimensionnelle de la qualité des soins à son évaluation
La qualité de soins : variation selon l’observateur
Les principaux problèmes de qualité de soins
3.3.2.3- La qualité de soins à l’hôpital
3.3.2.4- La modélisation de la qualité
3.3.2.5- Le lien entre le volume de soins et la qualité dans les hôpitaux
3.4- Les indicateurs et descripteurs hospitaliers
3.4. 1- Les descripteurs
• La population
• Les patients
• Les prestations
• Les ressources
3.4. 2- Les indicateurs
• Le rayonnement
• L’efficacité
• La pertinence
• L’adéquation
• L’effectivité
• L’efficience
• La productivité
3.5- Analyse SWOT du secteur
PARTIE II : ANALYSE DES SITUATIONS DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE DE SOINS DE SANTE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE HPITAL JOSEPH RASETA BEFELATANANA DANS LE SYSTEME DE SANTE
Chapitre 3 : LE CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE HOPITAL JOSEPH RASETA BEFELATANANAN DANS LE SYSTEME DE SOINS 
3.1. L’hôpital dans le système de santé
3.1. 1- Les rôles de l’hôpital
3.1.2- Les fonctions de l’hôpital
3.1.3- Le système de référence et de contre référence
3.2. La situation sanitaire de la population malgache vers la demande de soins de santé en milieu
hospitalier
3.2.1. La situation sanitaire de la population Malgache
a- Présentation de Madagascar
b- Situation économique
c- Situation sanitaire de la population malagasy
3.2.2 – La demande de soins santé du CHU/HJRB
3.2.2.1 : Le Service Social : « Action pour les Plus Démunis » de l’HJRB
* Présentation du service social
* Données relatives aux patients démunis hospitalisés
* Le recours tendanciel à l’automédication et à la médecine traditionnelle
*Renflouement de la caisse du fonds d’équité pour la prise en charge des malades démunis
3.2.2.2- Analyse de la demande de soins à des personnes à faible revenus
3.3 – Analyse de l’offre de soins de santé Madagascar vers l’offre de soins de santé auprès du CHUU/HJRB
3.3.1 : L’offre de santé à Madagascar
3.3.1 .1- Le système de santé
3.3.1.2- Le cadre juridique qui régit le système de santé malgache
3.3.1.3- L’offre de soins
a- Les établissements du secteur public, les soins sont organisés selon trois niveaux
b- Les ressources humaines dans la profession de santé
c- Les caractéristiques des CHU
3.3.2- LE CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE/ HOPITAL JOSEPH RASETA BEFEATANANA
3.3.2.1 Présentation de l’hôpital
• Historique
• Missions
• Les buts
• Les prestations offertes
• Les structures de fonctionnement
• Organisation
3.3.2.2 Analyse de l’offre de soins de santé du CHU/HJRB
a- Les points forts de l’hôpital
b- Les problèmes et les critiques sur l’offre des soins de santé
c- Suggestions
CHAPITRE 4 : LES LIENS ENTRE SANTE ET DEVELOPPEMENT SOCIAL ET LES RECOMMANDATIONS POUR
L’AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS A FAIBLE REVENU, L’OFFRE ET LA DEMANDE DE SOINS DE SANTE 
4.1- Liens entre santé et développement social
4.1.1-Financement de l’accès aux soins pour les démunis
4.1.2- Des services adaptés pour les démunis
4.1.3- Les services adaptés au système de santé
4.2- Les recommandations pour l’amélioration de la prise en charge des patients à faible revenu
4.2.1- Envisager une nouvelle forme de gratuité
4.2.1.1- La gratuité comme un moyen de politique de développement
4.2.1.2- La gratuité saisonnière
4.2.2- La coopération entre l’Etat et les partenaires oeuvrant pour le bien-être de la santé de l’homme
4.2.2.1- Les activités à entreprendre
4.2.2.2- Les résultats attendus
4.2.2.3- Les impacts envisagés
CONCLUSION 
LISTE DES TABLEAUX 
LISTE DES FIGURES 
BIBILIOGRAPHIE

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