L’apport de la migration internationale dans le développement de la ville

Une morphologie dominée par des sols ferrugineux-ferralitiques

    Son relief plat est constitué de vastes plaines et de grandes vallées qui facilitent l’agriculture et l’élevage. La géomorphologie présente des sols de plateaux, des terrasses (sols ferralitiques, ferrugineux) et des rizières près des estuaires et le long des cours d’eau, caractérisées par des sols hydro morphes riches, propices à la culture du riz et des sols halomorphes. Les sols argileux représentent 40 % alors que les sols sablo argileux avec 60 % constituent la partie dominante réservée à la culture de l’arachide, du mil, du maïs etc. Les sols de type Deck-Dior (65%), Dior (20%) et Deck (15%) sont très propices aux différentes sortes de cultures pratiquées par les populations. La prédominance des terres sablo – argileuses (Deck-Dior) explique l’importance accordée par les populations aux cultures d’arachide et de mil. La forme du relief conjuguée à l’importance de la pluviométrie favorise une végétation dense et diversifiée par endroits et clairsemée dans d’autres. Elle se compose d’espèces d’arbres divers avec une dominance des palmiers à huile, des cailcédrats et des rôniers. Selon les zones, la nature du relief reste variable. Dans le Sindian, le relief est plat sillonné de bas-fonds peu profonds. Les différents types de sols qu’on y rencontre sont :
 Deck : bas-fonds (texture argilo-sableuse)
 Dior : plateau (texture sableuse)
 Vallées mortes, situées le long des cours d’eau du marigot de Baila Dans le Tendouck,
Il y a une succession de plateaux, surfaces planes avec des zones déprimées, de versants constitués par de terrasses et de bas-fonds occupés par les marigots, les mares d’hivernage et celles délaissées par la marée, et les zones marécageuses occupées par la mangrove.

La pêche artisanale : une activité économique par excellence mais compromise

    La pêche est une activité très développée dans le département même si dans la commune de Bignona le tarissement des eaux, l’effet du barrage d’Afignam et certaines conditions naturelles tout comme l’étalement de la ville et certaines activités anthropiques ont sérieusement menacé l’activité. A cela s’ajoute l’augmentation incontrôlée du nombre de pirogues en quête de poissons. Ce phénomène renforce la concurrence, conduit à la pêche à l’explosif, menace la biodiversité et par conséquent freine à présent l’activité. Beaucoup de jeunes et familles dont l’activité économique principale est la pêche sont aujourd’hui appelé à changer de métier ou à tenter l’émigration. Il est aussi à noter que l’activité de la pêche au-delà d’être une cause de l’émigration, constitue aussi un facteur attractif des populations venues de toutes les zones de l’intérieur du territoire tout comme des pays étrangers particulièrement les pêcheurs des pays frontaliers dont l’activité est menacée car leurs prises ont chuté en raison de la migration des poissons qui cherchent à suivre les conditions climatiques meilleurs ou en raison d’autres facteurs. Ainsi le nombre d’autorisations de circulation passe de 157 (pirogues à moteur ou à voile) en 2001 à 475 en 2014 soit une hausse de 25 pirogues par ans en moyenne.

Les personnes déplacées

   En effet, à chaque accrochage, les populations des environs quittent leurs villages pour se réfugier en Gambie. En 2006, plus de 15000 personnes avaient abandonné leurs villages pour trouver refuge en Gambie. Les villages sont ainsi abandonnés, le bétail décimé, les écoles fermées, les maîtres redéployés ailleurs, et le système éducatif avait quasiment disparu de la carte du Fogny. Sans compter la déstructuration des structures traditionnelles, les replis identitaires, les conflits intra et inter villageois… Cependant selon les données de l’association COPI et de la Mairie de CATABA, on enregistre plus de 20000 personnes déplacées dans le département de Bignona. Mais depuis 2012 avec l’accalmie de la crise, beaucoup de réfugiés aidés par les autorités et les ONG ont accepté de retourner chez eux en recommençant une autre vie et entre 2005 et 2006 seuls près 16000 retours sont répertoriés selon les villages. Mais ces retours sont ponctués d’importants problèmes liés à l’insertion, à la réadaptation, à la restructuration, d’éducation, de reconquêtes des terres, de leur maison, de leurs richesses et ou de leur patrimoine. En effet dans ces six (6) villages si dessus dans l’arrondissement de Sindian particulièrement, les populations sont grandement touchées par la guerre. Ce qui explique leur déplacement dans les villages voisins et dans les régions ou commune voire la zone frontalière. La communauté rurale de Oulampan qui a longtemps été un champ d’opération n’est pas épargnée. Cependant des programmes et démarches sur la paix dans la région ont permis d’assister au retour de 545 personnes dans leur lieu d’origine. Les villages de DialankineKouine, de wellkalir et de wellMondayTilayeenregistrent les plus forts taux de personnes déplacées. Cette situation peut s’expliquer par leur position géographique car ce sont des villages frontaliers avec la Gambie qui constitue une véritable échappatoire. Les noms de ces villages même se réfèrent à des termes anglais toujours pour montrer l’influence de la frontière gambienne dans la crise. En effet nous avons constaté que plusieurs attaques et affrontement entre l’armée sénégalaise et les forces casamançaises se déroulent et s’achèvent au voisinage de ces zones frontalières qui offrent plus d’opportunités aux combattants de se sauver en entrant en Gambie en cas de position de faiblesse. C’est pourquoi aussi les populations de ces lieux sont plus exposées et menacées d’où leur disertementsoit dans un village ou ville voisin(e) soit en Gambie. Dès lors des efforts sont consentis par ces volontaires et l’ONG dénommée COPI dans les domaines suivants :
1. Distribution de bulletins dans les villages de retour= facilitation de l’intégration
2. Confection de briques dans les villages de retour
3. Organisation de journées culturelles d’intégration
4. Fédération des activités de la zone autour du CEM
5. Négociation du retour des enfants déplacés et retournés
6. Prise en charge des enfants de wellKalir et Dialankine, Diocadou, 47 et ceux qui sont pris en charge continue
7. Prise en charge des adolescents en rupture de scolarité, exposés au cannabis, coupe illicite de bois, et autres (CES COPI) Papiers/ non, Appui à la structure en cantines et fournitures
ETATet ECOLES
1. Acquis= accord de tous pour la poursuite de l’éducation
2. Félicitations aux instituteurs
3. Ecoles qui se font face (Kouram/Boulock)
4. Formations à la gestion des groupes disparates, car les élèves arrivent tout le long de l’année
5. Retards à cause du manque de cantines 35/41 / 155 Tonnes
6. Kits scolaires Unicef
7. Constructions : le village qui n’a pas d’école attend que les enfants sachent marcher 3 km /jour pour les amener dans le village voisin.
Ces organisations ont aussi compris que la présence des mines constitue de sérieuses menaces pour les réfugiés et pour leurs activités socio-économiques car freinant la libre circulation et les déplacements d’où elles gênent les activités socio économiques telles que l’agriculture dans les rizières ainsi dans les autres espaces arables. A cela s’ajoute l’activité de chasse et de cueillette de fruits de consommation et pourla commercialisation qui sont aujourd’hui des activités génératrices de revenus à grande échelle mais sérieusement risquées car se trouvant dans des surfaces remplies de mines anti personnelles non seulement mais ensuite sillonnées par les bandes armées contre qui on peut risquer sa vie. On a aussi le rapt des exploitants. Ces ainsi que des programmes anti- mines sont développés et renforcés afin d’assurer plus de sécurité à ces couches vulnérables et leur donner plus d’espoir.Ce faisant, il est nécessaire d’évaluer avec précaution les besoins des populations dans les villages de retour, afin de réduire ou de soulager leurs difficultés.

Les migrations internationales

    De 82 millions en 1970, le nombre de migrants internationaux est passé à 175 millions en 2000. Cette évolution s’accélère (près de 200 millions en 2005) et se caractérise par une forte hausse du nombre d’immigrés clandestins. On estime ainsi qu’entre 10 % et 15 % des 56 millions d’immigrés en Europe sont des clandestins et qu’environ 500 000 immigrés sans papiers entrent chaque année dans l’Union européenne. Cette immigration irrégulière est liée aux conditions économiques dans les pays de départ, ainsi qu’aux problèmes de mauvaise gouvernance et de violation des droits de l’homme. Dans les pays d’arrivée, elle est entretenue non seulement par une demande en main d’œuvre flexible et bon marché, mais aussi par le manque d’opportunités de migration régulière, dans un contexte international marqué par un durcissement du contrôle de l’immigration. Face à la nécessité de freiner les flux migratoires, les pays d’arrivée intensifient leur lutte contre l’immigration illégale, le contrôle de leurs frontières ainsi que le rapatriement des clandestins dans leur pays d’origine. Outre ces mesures, dont l’efficacité est incertaine face à la résolution de candidats à l’immigration souvent mus par le désespoir, les experts préconisent aussi, d’une part, de faciliter l’immigration légale dans les pays d’arrivée et, d’autre part, de contribuer davantage au développement économique des pays de départ (en particulier en Afrique subsaharienne). En chiffres absolus, les États-Unis sont le pays où l’on trouve le plus grand nombre de migrants : plus de 35 millions, et près de 10 millions de clandestins (Mexicains et CentreAméricains notamment). Toutefois, le poids de la population immigrée est proportionnellement supérieur dans quelques pays d’Europe occidentale qui ont attiré pendant la période de croissance industrielle rapide des dizaines de millions de travailleurs venus d’Europe du Sud, des pays d’Afrique et d’Asie et depuis la chute des régimes communistes, d’Europe de l’Est. Depuis le début des années 1970, cette immigration motivée essentiellement par la recherche d’un travail est devenue pour une large part une migration d’établissement, pour autant que cette transformation ait été rendue possible par les législations nationales concernées. Les autres grandes régions mondiales d’immigration sont le Canada, l’Australie, les pays du Golfe et la Libye — dans ces deux derniers cas, le phénomène de déplacement est lié aux possibilités d’emploi offertes par les économies pétrolières. Les principaux pays d’origine sont la Chine, l’Inde et les Philippines. En Europe, la majorité des immigrés proviennent des années 2000 et de l’Afrique subsaharienne. Il est possible de distinguer quatre types de migrants internationaux, et autant de motifs de départ, à partir de critères juridiques : les personnes déplacées, chassées de leur pays d’origine ou de résidence à la suite de décisions politiques (déportés juifs ou tsiganes, populations germanophones déplacées d’Europe de l’Est en 1945) ; les réfugiés (par exemple, Kosovars ou Rwandais) qui fuient leur pays en raison de conflits ou de persécutions ; les émigrants économiques, qui souhaitent changer de pays afin d’améliorer leur situation ou pour des raisons purement professionnelles (ingénieurs, chercheurs scientifiques et ouvriers qualifiés) ; enfin les étudiants, généralement en provenance du tiers-monde, venant poursuivre une formation dans les universités occidentales. Un certain nombre de traits communs aux divers « champs migratoires » étudiés dans le monde ont été établis. Dans sa première phase, la migration est souvent composée pour une large part d’hommes jeunes, célibataires et à faible qualification ; la répartition spatiale des migrants montre clairement les liens qui les attachent aux activités industrielles lourdes ou à certaines activités de services pénibles ; en Allemagne, les communautés immigrées les plus importantes se trouvent ainsi à Munich, Stuttgart ou Francfort, villes les plus industrialisées du pays. Aux États-Unis, les migrants du Mexique et des Caraïbes fournissent de gros contingents de main-d’œuvre à l’économie agricole et aux secteurs industriels et des services dans les grandes métropoles comme New York, Chicago et Los Angeles. Souvent placés en marge de la société du pays qui est censé les accueillir, ils vivent à moindre frais dans des hôtels meublés et des appartements peu confortables afin de pouvoir envoyer l’argent économisé dans leur pays. Vient ensuite une deuxième phase qui correspond au regroupement familial, encouragé par l’Organisation internationale du travail (OIT), les associations humanitaires et les pouvoirs publics dans certains cas (pour des raisons de sécurité). La troisième phase, enfin, correspond à l’apparition de la « deuxième génération » des migrants, souvent nés dans l’émigration, dont l’intégration dans la société d’accueil ou au contraire le retour dans la patrie d’origine, dépend de nombreux facteurs économiques, sociaux ou culturels. À l’intérieur d’un même continent, la situation des groupes de migrants varie néanmoins beaucoup selon leur origine nationale, leur statut, la durée de leur séjour et l’ancienneté d’établissement du courant migratoire. Les populations immigrées ne sont pas à l’abri de manifestations de racisme, exacerbées pendant les phases de décélération ou de crise économique, ou par l’afflux de personnes sans papiers. En outre, depuis les années 1960, des personnes disposant d’une haute qualification migrent non seulement des pays en voie de développement vers les pays industriels, mais également et surtout des pays développés vers d’autres pays développés leur offrant de meilleures conditions de travail et des salaires plus élevés. Les États-Unis sont les principaux bénéficiaires de cette « fuite des cerveaux » (brain drain) ; l’Angleterre, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Suède ou la France perdent chaque année plusieurs milliers de spécialistes et de scientifiques. Du fait de leur caractère sélectif, les migrations ont des effets complexes. Dans les régions d’émigration, elles contribuent parfois à soulager la pression démographique, mais ont des conséquences souvent néfastes : l’effet des sommes d’argent envoyées par les migrants à leur famille n’est certes pas négligeable ; toutefois celles-ci ne sont pas toujours employées dans des investissements productifs et suscitent par ailleurs des besoins nouveaux qui sont l’apanage d’une société industrielle (consommation somptuaire par effet de « démonstration »). Les qualifications professionnelles acquises à l’extérieur sont quant à elles souvent limitées et rarement réutilisables sur place. Dans les pays d’accueil (ou pays d’immigration), les avantages dépassent de loin les inconvénients : les salaires plus bas comparés à ceux des habitants du pays d’accueil permettent de réduire d’autant les coûts salariaux ; les coûts sociaux d’éducation et de santé à la charge du pays d’arrivée sont réduits, en comparaison des avantages fournis ; enfin, l’argent expédié vers l’extérieur provoque des effets anti-inflationnistes en 2004, les fonds transférés officiellement représentent 150 milliards de dollars, soit trois fois plus que l’aide internationale au développement. A travers leurs envois, les émigrés entretiennent le filet national de sécurité sociale. Une enquête menée et commanditée par la direction de la Monnaie et du crédit du ministère de l’Economie, des finances et du plan auprès de 3 400 ménages et 3 500 migrants basés en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord a montré que les transferts d’argent destinés aux familles des émigrés ont dépassé 936 milliards de francs CFA en 2011. Etant donné que le taux de croissance de ces envois est de 6% par an, le consultant a soutenu que ce montant devrait dépasser 1 000 milliards de francs CFA en 2015. Les résultats de cette étude qui ont été présentés hier montrent que plus de 80% passent par des banques et les services de transfert d’argent et 19,2%, soit plus de 100 milliards, arrivent par le circuit informel. Les fonds viennent surtout de l’Italie (28%), de la France et de l’Espagne. Etant donné le niveau de ralentissement de l’économie de ces pays, Dr LatifDramane, le coordonnateur de l’étude réalisée au nom du Centre de recherche en économie et finance appliquées de Thiès (CREFAT), a relativisé son optimisme quant à une éventuelle hausse des transferts. Il reste que 84% des envois sont consacrés à la consommation des ménages contre 14% pour les investissements. L’enquête a révélé que la région de Diourbel reçoit 17% des sommes envoyées, devant Dakar et Kaolack. Fatick est la plus faible bénéficiaire (3%). « Ce n’est pas parce qu’on est de Louga qu’on envoie forcément de l’argent à Louga. Par ailleurs, les gens qui envoient le plus, ce sont ceux qui n’ont pas un niveau d’éducation élevé », va-t-il fait remarquer. Selon l’expert, il s’agit d’initiatives individuelles des migrants et non pas d’une politique bien orientée. Et « l’Etat du Sénégal n’a aucune maîtrise sur les montants importants qui transitent par le circuit informel. Cela reflète une faiblesse des statistiques sur les transferts de fonds », va-t-il ajouter. Toutefois, la méthodologie utilisée par le CREFAT n’a pas trop convaincu certains participants. Selon ces derniers, le fait que 90% des questionnaires soient remplis par les ménages de Kaolack peut fausser les résultats, dès lors que cette région n’occupe pas le premier rang des régions d’émigration. Le cas échéant, disent-ils, il n’est pas exclu que le taux de recours aux moyens informels de transfert dépasse 19,2%. Toutefois, Mamadou Lamine Gueye, président de l’Association des professionnels du système financier décentralisé, a partagé plusieurs anecdotes pour expliquer les difficultés des émigrés sénégalais établis dans certains pays, au point que lui-même a envoyé de l’argent à ses proches pour leur permettre de couvrir leurs dépenses. C’est un problème complexe qui dépasse les chiffres, d’après AlimatouDiop, directrice de la Monnaie et du crédit. Elle s’est néanmoins réjouie de la connaissance de l’apport de la diaspora offerte à cette enquête. Il faut relever que la balance des paiements des 2011 ne dépassait pas 700 milliards de francs. Mais elle n’avait pas pris en compte les transferts informels estimés à plus de 10% des envois formels par la BCEAO. C’est bien plus que cela, selon le CREFAT. Ce sont des migrations très importantes et concernent aussi et surtout des pays comme la France, l’Espagne, la Belgique, l’Angleterre le Danemark, la Norvège, et les Etats Unis. Près de 68000 personnes pour le département de Bignona vivent en dehors du territoire soit deux pour cent (2%) de la population. Cependant avec la forte influence de la crise politique, Bignona enregistre ces dernières années de forts mouvements migratoires internationaux.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PROBLEMATIQUE
METHODOLOGIE DE RECHERCHE
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA COMMUNE DE BIGNONA 
CHAPITRE II : DES CONDITIONS NATURELLES FAVORABLES
I. LE CLIMAT ET LA VEGETATION
I. 1-Le climat
I.I. A Les facteurs généraux du climat
I.I.B Les éléments du climat
II. Le réseau hydropique et la morphologie
II. 1- L’hydrographie fortement dominée par des vallées fluviales
II. 2- Une morphologie dominée par des sols ferrugineux-ferralitiques
CHAPITRE II : UNE POPULATION TRES DIVERSIFIEE
I. HISTORIQUE DU PEUPLEMENT
II. EVOLUTION ET REPARTITION DE LA POPULATION
II. 1- Evolution de la population
II. 2- Répartition de la population
III. Le cadre économique de la ville un facteur attractif ou répulsif de populations
III.1. L’activité commerciale
A – Situation des versements
B – Poids et Mesures
C – Contrôle de l’iodation du sel
III.2. L’agriculture et l’élevage
A- L’agriculture une activité en baisse
B- L’élevage une activité économique purement menacée
III.3. L’artisanat et la pèche : des domaines économiques d’une grande importance
A- L’artisanat, une économie de transformation rentable mais précaire
B- La pêche artisanale : une activité économique par excellence mais compromise
DEUXIEME PARTIE : L’IMPACT DE LA MIGRATION SUR LE DEVELOPPEMENT A BIGNONA
CHAPITRE I : LES DIFFERENTS TYPES DE MIGRATIONS ET LEUR ZONE D’ACCUEIL
I. Les migrations internes
I.1 Les personnes déplacées
I.2. Les réfugiés
II. Les migrations internationales
III. Les rapports entre les migrants et leur zone d’origine
CHAPITREII : LES INVESTISSEMENTS DE CES MIGRANTS
I. Les transferts d’argent et de matériels
I.1. Les transferts d’argent
I.2. Les transferts de matériels
II. La facilitation à la coopération
CHAPITRE III. LES PRINCIPAUX INVESTISSEMENTS DE CES MIGRANTS 
I. Les investissements traditionnels : l’immobilier, le foncier et le social
II. Les investissements modernes sources d’emploi et de développement durable
A/ La boulangerie carassene et le Magasin « Niakoul Daara »
B/ Le complexe BBC (Bignona Boys Club)
C) L ’Auberge Kayokulo Guest House
III. Les difficultés pour la réalisation du mémoire et celles des migrants dans leurs projets
III.1. Les difficultés pour la réalisation de notre mémoire
III.2 Les difficultés des migrants dans leurs projets de développement
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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