L’ANALYSE DE LA RENTABILITE COMMERCIALE ECONOMIQUE ET FINANCIERE

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Les réseaux maritimes

Les transports maritimes ont un rôle primordial à jouer dans le développement des activités socio-économiques inters îles, en complémentarité avec les transports aériens. Le transport inter îles est assuré par uneflottille d’une vingtaine de vedettes et de boutres motorisés d’une capacité moyenne de 15 tonnes, de quelques bateaux automoteurs de capacité moyenne de 250 tonnes et des pirogues.
Le port de Moroni peut recevoir à quai des navires limités en longueur de 80 m et ayant en tirant d’eau de 4,5 m. Mutsamudu, réaménagé en 1985, offre des possibilités d’accostage pour les navires à fort tirant d’eau grâce à un quai de 240 m de long et 9 m de tirant d’eau.
Les places de Mohéli représentent les principaux débarcadères des pêcheurs de la région. Le port de Bwangoma est en cours de construction ainsi qu’il jetée de 342m de long qui remplace la place de Fomboni où débarquaient avant les voyageurs venant des îles voisines par voie maritime, grâce au projet de l’Union Européenne.

Les réseaux aériens

L’accès international principal aux Comores est exclusivement aérien et le seul Aéroport international est localisé à la Grande Comores, à Moroni – Hahaya.

Les perspectives d’évolution

Le gouvernement comorien voit depuis plusieurs années la poursuite de son développement économique et social contrarié par les contraintes financières. La prise de conscience de la nécessité d’une rigueur accrue dans la gestion des finances publiques est maintenant acquise. Elle a conduit les autorités à préparer avec le FMI et la Banque Mondiale un programme d’ajustement structurel.
Le premier semestre de l’année 1991 a été marqué par la négociation et la conclusion de ce programme qui prévoit le retour à l’équilibre budgétaire, des mesures de libération de l’économie, un programme d’investissement public orienté vers le développement rural, les infrastructures et les besoins sociaux. L’objectif est d’arriver à un redressement substantiel de l’économie qui conduirait à une croissance du PIB d’environ 4% par an. A terme, l’effort de développement du pays doit porter sur la diversification de ses activités productives, notamment dans le domaine de la substitution des importations.

Les relations avec l’extérieur

La balance commerciale comorienne, largement déficitaire1 a enregistré ces dernières années, d’assez amples variations (déficit de 10,1% du PIB en 1991). Tributaire des produits d’importation (vanille, girofle, Ylang-ylang), les recettes d’exploitation sont soumises à d’importants aléas climatiques et commerciaux, et à l’évolution du cours du dollar par rapport aux francs français. La mévente d’un ou de deux produits en une année donnée, se traduit par al constitution de stocks qui, écoulés l’année suivante provoque un accroissement important des exportations et pèse sur le prix.
Pour la vanille, depuis 1990, les exportations de la récolte ont été tardives. Elles ont chuté en quantité passant de 163 tonnes en 1989 à 127 tonnes, du fait des difficultés rencontrées auprès des acheteurs américains qui bloque le prix d’achat aux producteurs. En volume de production, l’Ylang-ylang se situe à un bon niveau (70,4 tonnes). L’exportation de girofles a été faible, malgré un relèvement du prix du kg exporté (plus de 12%). La concurrence de l’Indonésie joue maintenant à plein. Les importations connaissent également des variations erratiques explicables par la faible taille du pays.

Les fiances Publiques

La faiblesse des recettes propres de l’Etat comorien et le manque de maîtrise d’accumulation ont entraîné depuis le début des années 1980 un déficit budgétaire. Cela se sont traduits non seulement par des impayés, mais également par l’assèchement de toutes les disponibilités de trésorerie mise à la disposition de l’Etat par les correspondants, les sociétés d’Etat ou les déposants particuliers au trésor.
Cette situation a entraîné à son tour de nombreuxblocages dans la gestion des finances publiques : paiements des fournisseurs en monnaie « trésor »non transformable en liquidité, règlement par les contribuables de leurs impôts et taxes dans la même monnaie, apparition d’un marché secondaire avec décôte de l’Etat des créances sur le trésor, description des liquidités de caisse de l’Etat, augmentation progressive des opérations extraordinaires ou hors budget par suite de paralysie des circuits budgétaires et comptables.
Dans ces conditions, le redressement des fiances publiques entrepris par l’Etat comorien s’avère particulièrement difficile .Les recettes de l’Etat sont fournies pour l’essentiel par les droits et taxes à l’importation dont le rendement est limité par l’importance de la contre bande sur les cigarettes, de la fraude et des exonérations.
La fiscalité intérieure est peu développée en raison de l’absence de comptabilités structurées dans les entreprises et esl commerces, et de faiblesse du contrôle fiscale. La perception de la taxe sur le chiffre d’affaires se fait presque essentiellement à l’occasion de l’entrée des marchandises sur le territoire. Quelques grandes entreprises publiques (ONICOR et SCH) fournissent l’essentiel de l’impôt sur le bénéfice et les recettes de service.

La situation monétaire

Membre des zones francs, l’Etat Comorien voit son refinancement auprès de la Banque Centrale, ainsi que l’effet inflationniste des déficits budgétaires limité par les statuts de la Banque centrale à 20% de la moyenne de ces recettes des trois années précédentes. En plus, la Banque Centrale a nstalléei aux Comores une banque commerciale, la BIC, et une banque de développement, la BDC, qui bénéficient de lignes de crédits financées par lesbailleurs de fonds (AID, FED, CCCE). La BIC bénéficie d’une situation de monopole. Ses dépôts sont largement supérieurs à ses crédits, dégageant un excédent placé à l’extérieur. Récemment, du fait des difficultés de dénouement des crédits de al campagne 1990 sur la vanille, les liquidités de la BIC placées à la banque centrale ont baissé, sans toutefois entraîner des difficultés majeures ; la rentabilité de la banque reste excellente.

L’environnement commercial

Les Comores souffrent de son morcellement géographique et manque d’infrastructures qui pourraient désenclaver l’archipel. Seul le port de Mutsamudu peut accueillir des navires de gros tonnages. Pour sortir de l’isolement, le pays a adhéré au marché commun de l’Afrique orientale et ustrale, accord qui est entré en vigueur en 1982.
Ses échanges dur le marché diminuent et restent marginaux (autours de quatre millions de dollars). L’union des Comores, en tant que membre, a également la possibilité d’avoir l’accord aux crédits de la banque de la zone d’échange préférentiel (ZEP) pour le financement de ses projets économiques ou commerciaux à vocation régionale. Elle est aussi membre de la commission de l’Océan Indien (COI) et bénéficie à ce titre de quelques avantages économiques. L’union, bien qu’elle ne soit ni membre, ni observateur à l’OMC, bénéficie d’aide entant qu’un des pays les moins avancés.
Après avoir étudié le lieu d’implantation de notre société, il est important d’étudier l’organisation que nous allons mettre en place.
Le chapitre suivant traite l’organisation que nous comptons mettre en place pour la bonne marche et le bon fonctionnement de notre société.

La collecte de poissons

Cette collecte se fait auprès des pêcheurs, des ma reyeurs et aussi des chalutiers. Pour l’approvisionnement, nous achetons auprès des pêcheurs traditionnels qui utilisent des pirogues sans moteurs et d’autres embarcations équipées de filet. Ces pêcheurs n’ont pas la possibilité, ni la capacité de traiter leurs produits ; c’est pourquoi ils sont obligés de les vendre le plus vite possible :
– ce sont des artisans pêcheurs équipés d’embarcations motorisées et peuvent s’en approvisionner auprès des chalutiers .
– des mareyeurs qui achètent les produits auprès des pêcheurs et les vendent aux sociétés hôtelleries.

Le traitement des poissons

Les produits collectés seront transportés directement à l’usine pour le traitement et le conditionnement, en respectant la norme de la clientèle. Avant d’exposer ces produits sur le marché, un contrôle sera effectué par le service d’hygiène alimentaire (docteur vétérinaire). Pour assurer la population de la bonne qualité du produit.

Les caractéristiques du projet

Les caractéristiques du projet dépendent du type d’activités choisies. Dans notre cas, les activités principales sont l’exploitation, les traitements et les conditionnements puis la commercialisation des produits.
Nous allons aborder ci dessus la nature et l’objectif du projet dans la région d’exploitation.

La nature du projet

Notre projet est une entreprise individuelle qui a pour objectif la recherche de profits en exploitant des poissons pour approvisionner le marché local dans le but d’améliorer les conditions quotidiennes alimentaires de la population.
Comme toute société légale aux Comores, le notre est régie par des lois.
Nous allons alors voir les lois régissant le secteur de la pêche.

La législation concernant les permis d’exploitation et les licences de pêche

Seul le ministère de l’agriculture de l’élevage et de la pêche a le pouvoir de délivrer une autorisation1 d’exploitation des produits halieutiques à une société ou entreprise, après approbation des services techniques. Les procédures à suivre sont les suivantes :
– une demande adressée à Monsieur le ministre de la pêche, de l’agriculture et de l’élevage en indiquant les activités à effectuer : pêche, collecte de poissons puis commercialisation, Les types de produits à exploiter : exploitation de poissons. Lieu d’exploitation aux Comores .
– la transmission des dossiers doit contenir les renseignements sur l’exploitation (nom de la société, la CIN de l’individu, le registre de commerce, le numéro de la statistique, l’adresse), les emplois créés, le matériel et équipement à utiliser, les prévisions de collecte, les débouchés. Ces licences sont délivrées pour une année, et renouvelable, si ladite société règleses redevances annuelles. Ces redevances seront payées auprès de la trésorerie générale ou par chèque certifié au nom du payeur général, en mentionnant : Fonds de Développement Halieutique et Aquicole (FDHA).

Le régime fiscal du projet

Notre projet est assujetti à la taxe de la valeur ajoutée (TVA) en rapport aux chiffres d’affaires, mais également à l’impôt sur esl bénéfices au taux annuel de 35% et de 9% pour la TVA.

L’objectif du projet

La totalité des ressources accessibles à la pêche artisanale comorienne a été estimée à 3249 tonnes en 2004. Dans notre cas, notre principal objectif est de produire jusqu’à 753 tonnes par an. De ce fait, nous devons adopter des stratégies adéquates telle que la reconnaissance des zones productives pour pouvoir collecter un grand nombre de produits en qualité et en quantité. Notre projet a pour objectif de contribuer au développement de la pêche comorienne par l’approvisionnement des marchés locaux, par la réduction de la pauvreté, par l’amélioration de la qualité de la production et à la réduction du coût d’exploitation ; pour répondre aux besoins de la clientèle et devenir une grande société de la région.
En tant qu’entreprise à but lucratif, notre but est d’accroître le chiffre d’affaires en vue d’augmenter les investissements dans cette filière, car si ce projet est rentable, nous pourrons amasser plus de part sur le marché et donc étendre notre activité.

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Table des matières

Première partie : ETUDE PRELIMINAIRE DU PROJET
Chapitre I. PRESENTATION GENERALE DU MILIEU
Section I. LES CARACTERISTIQUES DU MILIEU D’IMPLANTATION
§.1. Généralités
§.2. Aspect géographique des Comores
A. La situation géographique
B. Le relief
C. Le climat
D. Les intersaisons
§.3. La population
Section II. LA SITUATION ECONOMIQUE DES COMORES
§.1. Analyse des secteurs primaires
§.2. Les produits de rente
A. La vanille
B. Le girofle
C. L’Ylang-ylang
§.3. Les autres produits de rente
A. L’élevage
B. La forêt
§.4. Le tourisme
§.5. La pêche
§.6. Les cultures vivrières
§.7. Le secteur secondaire
§.8. Le secteur tertiaire
Section III. LES INFRASTRUCTURES ET LES SERVICES
§.1. Les infrastructures
A. Les réseaux routiers
B. Les réseaux maritimes
C. Les réseaux aériens
§.2. Les perspectives d’évolution
§.3. Les relations avec l’extérieur
§.4. Les fiances Publiques
§.5. La situation monétaire
§.6. L’environnement commercial
Chapitre II. ORGANISATION DE LA MISE EN OEUVRE
Section I. LA DESCRIPTION GENERALE DU PROJET
§.1. Choix du projet
A .Les raisons économiques
B. Les raisons sociales
§.2. L’identification du projet
A. Le titre du projet
B. Forme juridique 27
§.3. Les principales activités
A. La collecte de poissons
B. Le traitement des poissons
§.4. Les caractéristiques du projet
A. La nature du projet
B. La législation concernant les permis d’exploitation et les licences de pêche
C. Le régime fiscal du projet
§.5. L’objectif du projet
§.6. La population cible
§.7. Les valeurs fondamentales du projet
Section II. L’ETUDE ORGANISATIONNELLE DE LA SOCIETE
§.1. Structure organisationnelle
A. Le rôle de l’organigramme
B. Définition
§.2. La description des principales fonctions du personnel
§.3. La direction
A. Le gérant
B. Le secrétaire général 32
C. Le responsable d’achat et de vente
D. Le directeur technique
E. Le responsable des ressources humaines
§.4. La rémunération du personnel
§.5. La rémunération mensuelle du personnel
Section III. L’ETUDE DE MARCHE
§.1. La présentation du marché cible
A. Le domaine de l’exploitation du projet
B. La part de marché
C. L’analyse de l’offre
D. La concurrence
E. L’analyse de la demande
F. La situation globale de la demande aux Comores
G. Les besoins des clients cibles
Chapitre III. L’ETUDE DE LA FAISABILITE
Section I. L’EXPLOITATION DES PRODUITS HALIEUTIQUES AUX COMORES
§.1. Historique
A. Le cycle de marées
a. Les marées de morte eau
b. Les marées de vive-eau ou grandes marées
c. Les marées moyennes
B. La pêche artisanale
C. La pêche traditionnelle
D. Les facteurs déterminants
E. Les techniques de pêche
F. La pêche continentale
G. Aquaculture
H. Le rôle économique de la pêche
I. La production de poissons péchés aux Comores
Section II. LES RESSOURCES À METTRE EN PLACE POUR L’EXPLOITATIO .
A. Les ressources financières
B. Les ressources matérielles
a. Le matériel et mobilier de bureau
b. Le matériel informatique
c. Les équipements nécessaires pour la pêche
d. Les équipements utiles au traitement et au conditionnement
e. Les tenus de travail
C. Les ressources humaines
§.2. Les processus d’exploitation et les Méthodes de pêche
A. Les concentrations des poissons
a. La lumière
b. La rouge
c. L’appât vivant
d. Les animaux
B. La capture
C. Les zones fréquentées
a. La pêche à pied et littorale
b. La pêche côtière
c. La pêche au large
d. La grande pêche
Section III. LES TRAITEMENTS DES POISSONS ET LES CONDITIONNEMENTS51
§.1. La congélation
§.2. Produits salés – séchés, Fumés
§.3. La mise en conserve
§.4. Estimation des ventes prévisionnelles
§.5. Le stock
Deuxième partie :L’ANALYSE FINANCIERE ET ETUDE DE LA RENTABILITE DU PROJET
Chapitre I. LES SOURCES DES FINANCEMENTS ET LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
Section I. LA MISE EN PLACE DES SOURCES DES FINANCEMENTS NECESSAIRES
§.1. Les sources de financements
§.2. Les prêts auprès des établissements financiers
A. Les banques
B. La Caisse Nationale d’Epargne (CNE)
C. L’Union « SANDUK » (Caisse d’argent) et les mutuelles d’épargne et de crédit (MECK)
§.3. Le choix du mode de financement
§.4. Le mode de financement
A. Le financement interne
B. Le financement externe
§.5. La politique marketing envisagé
§.6. La politique marketing à adopter.
A. La politique du produit
B. La politique de prix
C. La politique de distribution
D. La politique de communication
§.7. La stratégie marketing
A. La Stratégie push
B. La stratégie pull
§.8. La publicité
A. Objectif qualitatif 63
B. Objectif quantitatif
§.9. La mise en place d’un site Internet
§.10. La structure environnementale
Section II. LA NATURE DES INVESTISSEMENTS
§.1. La nature et le rôle des éléments des investissements
A. Les investissements matériels
B. Les investissements immatériels
C. Les investissements financiers
a. Le terrain
b. La construction
c. L’aménagement, agencement et l’installation (AAI)
d. Le matériel et mobilier de bureau et le matériel informatique
e. Le matériel de transport
f. Le matériel et les équipements d’exploitation (MEE)
g. La récapitulation des investissements
Section III. LA PRESENTATION DES TABLEAUX D’AMORTISSEMENT
§.1. Définition
§.2. Le mode de calcul de l’amortissement
§.3. Les tableaux d’amortissement
A. Amortissement de construction
B. Amortissement d’AAI
C. Amortissement du mobilier de bureau
D. Amortissement des matériels informatiques
E. Amortissement de matériel de transport : M.T.
F. Amortissement de M et O
Chapitre II. LES FONDS DE ROULEMENT ET COMPTES DE GESTION 
Section I. LES FONDS DE ROULEMENT
§.1. Définition
A. Le besoin en fonds de roulement
. La trésorerie
§.2. Les achats
§.3. Les services extérieurs
§.4. Les charges du personnel
§.5. Le bilan d’ouverture
§.6. Les impôts et taxes
§.7. Le plan de remboursement d’emprunt
Section II. LES COMPTES DE GESTION
§.1. Les comptes des charges
A. Les charges variables
B. Les charges fixes
§.2. Les comptes de produits
Section III. LES COMPTES DE RESULTAT ET LES BILANS PREVISIONNELS POUR LES CINQ (5 ans) PREMIERES ANNEES
§.1. Les comptes de résultat prévisionnel
§.2. Les bilans prévisionnels
§.3. Le tableau des flux de trésorerie
Chapitre III. ANALYSE DE LA RENTABILITE ET EVALUATION DU PROJET
Section I. ANALYSE DE LA RENTABILITE
§.1. Le compte de résultat par nature
§.2. Le plan de financement
A. La capacité d’autofinancement (CAF)
B. La présentation du plan de financement 95
§.3. Le cash flow
§.4. Le seuil de rentabilité
§.5. Le caractère du seuil de rentabilité
§.6. Calcul du seuil de rentabilité
Section II. L’ANALYSE DE LA RENTABILITE COMMERCIALE ECONOMIQUE ET FINANCIERE
§.1. L’analyse de la rentabilité commerciale
§.2. L’analyse de la rentabilité économique
§.3. L’analyse de la rentabilité financière
Section III. L’EVALUATION DE LA RENTABILITE ET LES STRUCTURES
§.1. La valeur actuelle nette (VAN) (bénéfice actualisé)
§.2. Le taux de rentabilité interne
§.3. L’indice de profitabilité
§.4. Le délai de récupération du capital investi (DRCI)
§.5. D’après les critères d’évaluation et l’analyse du projet
A. La pertinence
B. L’efficacité
§.6. L’impact du projet
§.7. Les perspectives d’avenir
§.8. L’évaluation sociale
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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