L’ACTUALITE DE LA THEORIE MALTHUSIENNE DE LA POPULATION DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT

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L’émigration 

En partant de la racine de ce mot, il est formé à partir des éléments latins suivants :
Ex- : préfixe qui signifie « hors de ».
Migr- : qui correspond à l’idée de « changement de séjour ».
L’émigration est donc d’après la combinaison de ces deux éléments, un changement de séjour hors de son pays.
Au sens plus large, c’est l’action de quitter son pays pour aller s’installer dans un autre, momentanément ou pour toujours3. A noter que la personne qui effectue ce mouvement est appelée « émigrée ». Le substantif « émigrant » a donc un sens légèrement différent. Il est en effet, celui qui quitte l’endroit ou il se trouve au moment où il le fait.
Outre, le fil de l’histoire nous fait comprendre qu’il y a plusieurs types d’émigration. D’abord, l’émigration civile des couches populaires qui est à l’époque esclavagiste, une émigration forcé mais il y a aussi un déplacement plutôt volontaire pour des différentes causes. Ensuite, l’époque coloniale nous a montré l’importance de l’émigration militaire c’est-à-dire le recrutement de soldat à la solde de puissance étrangère (mercenaires).
A l’époque actuel, on voit des émigrés de la noblesse, ceux qui font une émigration de la formation et de l’acquisition des savoir faire, l’émigration des gens d’Eglise ; l’émigration dans le secteur de la construction etc.4.

L’immigration

Contrairement à celui de l’émigration, l’immigration désigne l’entrée, dans un pays, de personnes étrangers qui y viennent pour y séjourner et y travailler. L’immigration vient toujours du mot latin « immigrare » qui signifie « pénétrer dans ». Elle est une migration vue du coté du pays de destination. Elle correspond, vu du coté du pays du départ à l’émigration. Aujourd’hui, les flux migratoires sont orientés aussi bien dans les pays en voie de développement vers les pays développés que d’un pays développé ver l’autre. Les plus forts taux de population immigrée se retrouvent dans les pays du Golfe Persique : 90%, au Emirat Arabe Unie, 86% au Qatar, 82% au Koweït.
Une controverse existe sur le sens à donner au mot immigration : s’agit-il simplement de changer de lieu (une immigration temporaire) ou bien de changer d’histoire (dans ce cas d’une immigration souhaitée durablement et avec un désir d’intégration de ses enfants à la communauté nationale). Mais il y a un phénomène très connu actuellement qu’on doit rendre compte : l’immigration clandestine. C’est dans le cas où un migrant n’est pas en règle en regard de la législation sur l’émigration en vigueur dans le pays de destination. Elle concerne les habitants de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays plus riches et grand delta démographie, ou des immigrants politiques non reconnus.
L’immigration clandestine se fait donc illégalement. Les clandestins prennent fréquemment des risques important pouvant mettre leur propre vie en péril afin de rejoindre les pays présentant des conditions de vie qu’ils espèrent meilleurs. Ils n’hésitent pas à tout abandonner pour tenter l’aventure souvent « aidée ».

La théorie de l’évolution de l’emploi agricole

Cette théorie est tirée en toute totalité du livre de Y.Sabolo qui stipule que l’évolution de l’emploi agricole peut se subdiviser dans le temps en trois grandes phases :
« 1ère phase : Au cours de la première phase, l’emploi du secteur traditionnel s’accroît en valeur absolue, car le développement des autre secteurs de l’économie est insuffisant pour absorber l’accroissement de la population active agricole. La liaison croissance de l’emploi agricole croissance de la population est directe. 2ème phase : La deuxième phase est caractérisée par la stagnation de l’emploi agricole total due à une double évolution de l’emploi vivrier. En effet, celui-ci décrois en raison de transferts soit vers les secteurs non agricoles, soit vers le secteur agricole »moderne » naissant. L’introduction de méthodes modernes dans les exploitations agricoles favorise l’apparition de ce dernier secteur dont la caractéristique première est la productivité du travail nettement supérieure à la moyenne dans les autres secteurs de l’agriculture.
3ème phase : La troisième phase correspond à une décroissance générale de l’emploi agricole absolu. A coté d’un emploi maraîcher résiduel, l’emploi du secteur moderne tend à décroître en raison des migrations vers les secteurs non agricoles et de l’augmentation de la productivité. Cette évolution correspond à celle de la plupart des pays développés.
Malgré les différences considérables existant entre les agriculture des différents pays, le schéma proposé représente assez bien la situation de la plupart des pays au cours du temps : les évolutions respectives seront plus ou moins rapides, les périodes de transition plus ou moins accentuées, mais l’observation des faits contribue à lui donner un caractère de généralité7. »

La loi de Ravenstein sur la migration

La première tentative de formalisation de la migration est à mettre au crédit de Ravenstein (1885). Il pressente sept « lois » qui sont des faits stylisés tirés de l’analyse des données disponible à l’époque.
1- La plupart des migrants n’effectuent qu’une migration de courte distance. Ceux qui effectuent une migration de longue distance vont de préférence dans des centres de commerce ou industriels.
2- Il résulte alors un déplacement progressif de la population en direction des centres.
3- Chaque flux migratoire produit un contre-flux compensatoire.
4- Les personnes du milieu urbain migrent moins que celles du milieu rural.
5- Les femmes sont mieux représentées dans les flux de courte durée.
6- La migration augmente avec le développement de la technologie
7- Le principal motif des flux migratoires est le désir de l’homme d’améliorer son statut sur le plan matériel.

Théorie microéconomique des migrations 

La décision de migrer peut être analysée comme le résultat d’un calcul coût avantage.
Dans ce calcul, interviennent plusieurs variables :
1°/ les écarts de revenu observées et anticipées entre les pays .
2°/ les écarts de taux de chômage .
3°/ le degré de générosité des systèmes d’indemnisation .
4°/ un ensemble de coûts liés à la migration (coûts d’information, de transport et d’installation, coûts psychologiques liés au départ de la terre natale).

Théorie historico-institutionnelle des migrations 

Les migrations résultent de facteurs socio-historiques de grande ampleur. L’introduction du capitalisme dans des régions périphériques aurait eu ainsi pour effet de créer une population mobile disposée à émigrer. Il irait de même de la scolarisation d’un nombre croissant de paysans. Dès lors, les destinations de ces travailleurs ne résulteraient pas de calculs économiques d’individus rationnels mais des liens historiquement tissés entre métropoles et semi-colonies.

ANALYSE DES CAUSES DE LA MIGRATION

Divers facteurs peuvent, en général, influencer les mouvements migratoires dans un pays quelconque. Dans ce chapitre, on se propose d’étudier mes causes de ce phénomène. Pour ce faire, on analysera tout d’abord les migrations internationales afin de déterminer les principaux facteurs causals qui ont incité les migrants à quitter leur pays pour d’autre.
Ensuite, on étudiera les migrations internes en prenant un pays à une économie de type dualiste. C’est dans le but de mieux comprendre le phénomène « exode rural ».

Les facteurs de causalité des migrations internationales 

Dans le contexte actuel, le déplacement d’un individu est favorisé par la libéralisation de la circulation d’un pays à un autre. Pour des différentes raisons, on se déplace de plus en plus et on s’installe de plus en plus.

Les facteurs économiques 

C’est l’un des facteurs qui incitent la migration. Parfois, la recherche d’une vie meilleure amènent les gens à quitter leur pays. Ils essaient de trouver un emploi bien rémunéré que celui où ils vivent actuellement. Ils font donc une étude ou comparaison du coût et bénéfice de son déplacement avant de décider. C’est une approche plutôt micro économique et ce sont les habitants des pays pauvres qui font beaucoup ce mouvement. Mais cela n’empêche les habitants des pays riches surtout les opérateurs économiques à chercher une prospérité plus grande et une meilleure condition de travail. Sans oublier les investisseurs qui ont la volonté de s’installer dans un autre pays pour des raisons fiscales. Ce phénomène est propres aux strates les plus élevés de la société et en faveur des paradis fiscaux (Monaco, la Suisse, les îles Cayman..).
On remarque que cette dernière est la principale cause d’émigration actuelle.
Inclus dans ces facteurs, la raison professionnelle, c’est-à-dire les missions de longue durée à l’étranger, les étudiants qui font leurs études dans les universités étrangères etc.

Les facteurs sociaux 

La décision de migrer peut être dû simplement à une volonté de s’installer dans un pays par goût. Peut être que le pays d’accueil présente de nombreuses incitations tous les genres. Mais il existe des migrants qui ont pris la décision de quitter leur pays pour rejoindre son conjoint et ses enfants. Omniprésent, la principale cause du déplacement est la recherche d’un pays d’accueil plus en sécurité. Celle-ci à cause des guerres dans le pays que se soit une guerre civile ou une invasion.

Les facteurs politiques 

Ce sont les réfugiés politiques fuyant les persécutions c’est-à-dire la fuite d’un régime oppressif. C’est le cas de nombreux aristocrates lors de la Révolution française par exemple.

Le développement durable 

Il est basé la conciliation des « trois piliers » : justice sociale, développement économique et préservation de l’environnements.
Selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland : « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir ».
Autrement dit, il s’agit d’affirmer une double identité :
· Dans l’espace : chaque habitant de cette terre a le même droit humain aux ressources de la Terre.
· Dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations à venir. L’environnement apparaît en effet à partir des années 1970 comme un patrimoine mondial essentiel à transmettre aux générations futures et le philosophe Hans Jonas a exprimé cette préoccupation dans son livre Le Principe responsabilité en 1979. Au deuxième Sommet de la Terre29, la définition Brundtland, axée prioritairement sur la préservation de l’environnement et la consommation prudente des ressources naturelles non renouvelables.
On emploi quelque fois en français le terme de développement « soutenable ». La souténabilité ou la durabilité est le caractère de ce qui respecte le mieux les principes de développement durable. Le terme de « développement » complète la notion de progrès, qui au XIXe siècle, s’est construite autour du progrès industriel, et qui pouvait avoir des connotations idéologiques.
Au-delà de ses aspects communicationnels, le développement durable correspond, avec la mondialisation et l’Internet, à une vision du monde.

Le développement rural 

Le développement est un concept difficile à mesurer et son analyse se demande beaucoup de recherche des critères à mettre en œuvre. Il peut être défini comme la transformation des structures sociales, mentales, techniques et institutionnelles qui permettent la croissance économique et le progrès économique. Mais on peut aussi prendre la définition d’AUTRUY concernant le développement. Il affirme que le développement est le de dépassement des anciennes structures dans l’actualisation des nouvelles cohérences et le transfert de logique que ce processus entraîne.
On entend donc par développement rural, la mise en œuvre par l’Etat de la politique de croissance visant à introduire et à généraliser l’économie de marché à l’intérieur de communauté rural. En terme plutôt économique, on définit le concept du développement rural comme l’accroissement de la production et amélioration de la part du secteur agricole dans le PIB. Elle se traduira par une augmentation de revenu des paysans et en conséquence de leur niveau de vie. D’après Paul HOUEE30, cet développement suit des étapes spécifiques.

L’actualité de la théorie malthusienne de la population dans les pays en développement 

L’ouvrage de Malthus, Essai sur le principe de population (1798) dont la première édition était anonyme, est d’abord un pamphlet contre les partisans de la loi sur les pauvres. Selon Malthus, la population croît selon une progression géométrique (double tous les vingt-cinq ans) tandis que les subsistances croissent selon une progression arithmétique. Dès lors, soit la population accepte volontairement de limiter sa croissance (c’est la moral restreint ou abstention du mariage), soit la population sera détruite par la guerre, la famine, la peste. Aider les pauvres revient à encourager la croissance démographique et à terme sa destruction. La théorie malthusienne de la population est un des piliers de la théorie de l’état stationnaire de Ricardo. Schumpeter dans son ouvrage Histoire de l’analyse économique souligne combien Malthus doit à Botero et à Quesnay pour la construction de sa théorie.
Pour Malthus, donc, il existe une distorsion entre le pouvoir de reproduction de l’espèce humaine, qui est considérable, et la capacité de produire des moyens de subsistances, qui est beaucoup plus limité. Ce déséquilibre provoque périodiquement des catastrophes tel que la famine, l’épidémie, les guerres, la dégradation de l’environnement, les tensions sur les ressources en eaux.
En d’autre terme, le sous développement et la pauvreté sont les résultats de ce déséquilibres. Dès lors, les seuls moyens d’irremedier étant la limitation démographique des classes défavorisées. Les énormes problèmes suscités par l’explosion démographique du tiers monde dans les années 50 à 80 vérifient cette théorie. Ainsi selon les malthusiens, l’accroissement plus rapide de la population dans la plus part des pays en développement par rapport à la croissance de la production nationale fait que le taux de croissance du PNB par habitant reste peu élevé, voire même négatif.
Par conséquent, ces pays s’enfoncent d’année en année dans la pauvreté et que le déficit nutritionnel (sous et mal nutrition) ne cesse de s’accumuler. De ce faite, l’écart entre le PNB moyen/hab. des pays en développement et celui des Pays développés ne cesse de se creuser. Les problèmes de plus en plus grave liés à la dégradation de l’environnement dans les années 1970-2000 semblent également vérifier la thèse malthusienne.

La théorie de modernisation ou la thèse évolutionniste de ROSTOW 

Cette théorie met l’accent sur la linéarité de l’évolution spéciale avec une succession des points de passage obligée et un point d’aboutissement unique. Ainsi, le sous développement est assimilé à un retard ou/et à une réaction temporaire de la part de société archaïque ou traditionnelle qui empêche le pays de réunir les conditions préalables au décollage.
Parmi ces conditions, la formation du capital tient un rôle central. Donc la mobilisation de l’épargne est nécessaire afin de générer un investissement suffisant pour accélérer la croissance économique. Par conséquent, un niveau faible de formation de capital constitue un obstacle majeur au développement.
Si l’épargne intérieur n’arrive pas à couvrir les besoins en capital, il faut chercher les épargnes extérieurs (emprunts, IDE, etc.) Ainsi cette théorie justifie d’une part les avances prises par les pays riches et d’autre part les transferts massifs de capitaux vers les pays en développement.
Cette théorie préconise également la nécessité d’une transformation de mentalité, le recours au marché, l’insertion dans les échanges internationaux et le respect du principe de l’avantage comparatif, émergence d’entrepreneur individuel et la lutte contre la faiblesse du productivité en milieu rural.

La théorie de la dépendance ou l’approche structuraliste 

Selon cette théorie, le sous développement est le résultat d’une dominance exercée par certain pays (pays du centre) au dépens du reste du monde (les périphérie). Ainsi, les problèmes de sous développement ne sont pas interne aux pays en développement mais sont déterminés par des facteurs externes et la façon dont les anciennes colonies sont intégrées dans l’économie mondiale. Cette intégration a mis les pays en développement dans une situation de dépendance.
La dépendance est une situation dans laquelle un certain groupe de pays voit leur économie conditionnée par le développement et l’expansion d’une autre économie à laquelle la première est soumise. Dans tous les cas, la situation de dépendance crée un monde’ où les pays dépendant sont sous développés, exploités et dominés par les pays du centre.
Par conséquent, le sous développement est la conséquence du développement des pays de l’Ouest ou le pouvoir économique et le décisions économiques et politiques sont concentré.
Ainsi, le monde est un ensemble au sein duquel les chances même du développement sont inégalement reparties entre les économies centrales et les économies périphéries. Néanmoins, les partisans de cette théorie trouve que certaines structures ont été à l’origine du sous développement.
Ce sont surtout les rigidités politiques et sociales, inégalités sociales produite de l’hétérogénéité des structures productives (Dualisme) et la spécialisation internationale héritier du XIXè Siècle.

Le modèle de LEWIS 

Selon ce modèle, les pays en développement sont caractérisés par un dualisme sectoriel c’est-à-dire la coexistence d’une large agriculture de subsistance traditionnelle et à faible productivité mais de petit taille (Cf. page….).
Il y a un surplus de main d’œuvre dans le secteur agricole dans ce sens que beaucoup des travailleurs ont un produit marginal nul.

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Table des matières

PARTIE A : LES THEORIES RELATIVES A LA MIGRATION
CHAPITRE I : DEFINITIONS, CONCEPTS ET THEORIES
SECTION I : DEFINITIONS
A- LES MIGRATIONS
1- La migration interne
2- La migration internationale
B- LES MIGRANTS
1- Définition
2- Catégorie des migrants
C- CONCLUSION
SECTION II : LES CONCEPTS
A- L’EMIGRATION
B- L’IMMIGRATION
C- L’EXODE RURAL
D- CONCLUSION
CHAPITRE II : QUELQUES THEORIES LIEES AU DEPLACEMENT DE LA POPULATION
SECTION I : LA THEORIE DE L’EVOLUTION DE L’EMPLOI AGRICOLE
SECTION II : LA LOI DE RAVENSTEIN SUR LA MIGRATION
SECTION III : THEORIE MICROECONOMIQUE DES MIGRATIONS
SECTION IV : THEORIE HISTORICO-INSTITUTIONNELLE DES MIGRATIONS
CHAPITRE II : ANALYSE DES CAUSES DE LA MIGRATION
SECTION I : LES FACTEURS DE CAUSALITE DES MIGRATIONS INTERNATIONALES
A- LES FACTEURS ECONOMIQUES
B- LES FACTEURS SOCIAUX
C- LES FACTEURS POLITIQUE
SECTION II : LES FACTEURS DE CAUSALITE DES MIGRATIONS INTERNES….
A- LES CAUSES AU NIVEAU MICRO-ECONOMIQUE
1- Les facteurs généraux
a- La distance géographique
b- L’urbanisation
c- La tenure
d- La nature des activités agricoles des ménages
e- La taille de l’exploitation
f- La faiblesse du revenu agricole relatif
g- Le degré de chômage et du sous-emploi
h- Le niveau d’éducation
i- La migration en chaîne
2- Les facteurs individuels
a. L’age
b. Le sexe
c. Les facteurs de dépendance familiale
B- LES CAUSES AU NIVEAU MACROECONOMIQUE
1- Modele de R. Minami
2- Modele de M. Todaro
PARTIE B : CONTEXT DU DEVELOPPEMENT DU MILIEU RURAL
CHAPITRE I : LES CONCEPTS ET THEORIES
SECTION I : LES CONCEPTS
A- LA CROISSANCE
B- LE DEVELOPPEMENT DURABLE
C- LE DEVELOPPEMENT RURAL
SECTION II : LES THEORIES EXPLICATIVES DU DEVELOPPEMENT
A- L’ACTUALITE DE LA THEORIE MALTHUSIENNE DE LA POPULATION DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT
B- LA THEORIE DE MODERNISATION OU LA THESE EVOLUTIONNISTE DE ROSTOW
C- LA THEORIE DE LA DEPENDANCE OU L’APPROCHE STRUCTURALISTE
D- LE MODELE DE LEWIS
CHAPITRE II : L’ECONOMIE RURALE
SECTION I : LES CARACTERISTIQUES DU MILIEU RURAL
A- LA STRUCTURE ET LE MODE DE PRODUCTION
B- LES ACTIVITES
C- LES MOYENS DE PRODUCTION
D- LE MILIEU
E- LA PAUVRETE
SECTION II : LES MENAGES AGRICOLES
A- GENERALITE
B- CARACTERISTIQUES DES MENAGES AGRICOLES
PARTIE C : CONTRIBUTION DE LA MIGRATION DANS LE DEVELOPPEMENT
CHAPITRE I : APPORTS DE LA MIGRATION INTERNATIONALE
SECTION I : GENERALITE
SECTION II: ETUDE AXEE SUR LE PAYS DE DEPART
SECTION III: ETUDE AXE LE SUR LE PAYS D’ACCUEIL
CHAPITRE II : APPORTS DE LA MIGRATION INTERNE
SECTION I : LES DEPLACEMENTS DES AGRICULTEURS, SANS CHANGEMENT D’ACTIVITE
A- LES MOUVEMENTS LIBRES D’AGRICULTEURS
B- LES MOUVEMENTS ORGANISES
SECTION II : L’EXODE RURAL ACCOMPAGNE DU CHANGEMENT D’ACTIVITE
CONCLUSION
ANNEXE
BIBLIOGRAPHIE

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