L’accès à la fonction publique

L’école : Agent de socialisation

      L’école peut être considérée comme l’institution par laquelle sont transmises, d’une génération à l’autre, les normes, les valeurs de la société dont elle est le reflet. Ce rôle de l’école a été attribué par la psychologie de l’éducation et la psychologie cognitive. Il a été dit que l’individu, notamment dans le cas de l’enfant, passe la majeure partie de son temps à l’école. Ce temps passé à l’école constitue déjà à la socialisation des enfants. Les enfants s’adaptent au milieu et créent une relation. L’école se construit aussi l’avenir. Selon Piaget qui est à l’origine de la psychologie du développement, c’est à l’école que l’individu s’accommode à la relation sociale. C’est là que se passe le processus de socialisation en laissant à l’enfant la faculté de s’y adapter. Il y apprend à vivre en groupe qui est représenté par la classe. L’adaptation se fait selon le milieu par la création des liens. Piaget constate le besoin de créer une relation entre les enfants. Cette relation peut se manifester par l’hostilité ou par l’amitié. Ce besoin d’affirmation de soi est à souligner dans cette adaptation au milieu. Car l’affirmation de soi ne signifie pas le renfermement de l’enfant sur lui-même mais plutôt une manière pour lui de se repérer par rapport aux autres. Donner et de recevoir sont les enjeux de cet apprentissage. Pour Piaget, c’est cette relation qui détermine l’interaction entre les enfants source de la socialisation future. Elle vise également à assurer à chaque individu le développement de toutes ses capacités physiques, intellectuelles et morales. Selon Lev Vygotski, l’influence positive des individus plus âgés ou plus expérimentés à l’instar des aînés, adultes, moniteurs s’exerce sur l’individu en cours de formation. Cette seconde voie de l’apprentissage consiste dans les effets des pressions sociales et culturelles, extérieures et, par exemple, scolaires, sur le développement individuel. La motivation à l’acquisition des connaissances est démultipliée par le fait d’avoir à gérer des relations sociales: rapports conflictuels, par exemple, dont la résolution va de pair avec la résolution du problème cognitif. Ainsi, le fait d’avoir à confronter les points de vue entre deux enfants qui partent de conceptions a priori opposées favorise l’émergence d’un processus de négociation au plan cognitif, mais aussi relationnel, et à l’issue de ce processus, les acteurs du conflit s’approprient véritablement une solution élaborée en commun.

L’autodidactie

     L’autodidactie existe depuis toujours sans être légitimée. C’est l’avènement de la démocratie qui met en relief ce type d’éducation. L’individu est libre de choisir le type de formation qu’il veut. Cette méthode s’est développée avec l’évolution des nouvelles techniques de communication et d’information.
L’essor de l’autodidactie L’autodidactie s’impose depuis une vingtaine d’année avec le rêve américain. L’autodidactie a une connotation sociale de réussite qui sera développé un peu plus loin. Elle rejoint le concept de « Selfmade man ». En d’autres termes, il s’agit des individus qui dirigent leur mode de vie. Ils choisissent la voie qu’il désire comme le bâtiment par exemple. En fait, ce sont surtout des personnes qui n’ont pas eu beaucoup de capital culturel mais qui sont nourris de bonne volonté. L’autodidactie rejoint le concept de méritocratie.
Les nouvelles techniques d’information et de communication Les nouvelles techniques de l’information et de la communication accroissent les potentiels de l’autodidactie. La diffusion des informations s’accélère. Et l’accessibilité est offerte à tous. Un des moyens disponibles est l’Internet. Travailler soi même est plus facile avec ce support. Les centres de téléenseignement se diffusent aussi dans le monde entier. Ce qui permet aux personnes plus âgées et travailleuses de se parfaire dans leur formation.

Les motivations personnelles

       Les motivations personnelles constituent le premier critère quant au choix d’un emploi. Sur quels éléments se base son choix ? Tout d’abord, il se fonde sur son aptitude physique. Puis, il est déterminé par le référent culturel. Enfin, il ne faut pas oublier les relations au travail. Les aptitudes physiques diffèrent selon chaque individu. Par aptitudes physiques, ce qui est pris en compte c’est la performance d’un individu que ce soit au niveau intellectuel, physiologique et biologique. C’est l’interaction de ceux-ci qui est à la base des aptitudes. Le référent culturel influence d’une manière indirecte le choix de l’individu. Dans le cas des enfants, lorsqu’ils leur sont demandés de définir leur emploi quand ils deviendront grands ; généralement, ils s’identifient à leur idole ou héros. Ces idoles peuvent être les parents, le personnage d’un film ou d’une personne de leur entourage. Les relations au travail se comprennent comme l’environnement ou le climat de travail. Il y a des individus qui recherchent des défis et opteront pour des métiers à risque. De même, ceux qui s’intéressent à des métiers libéraux choisiront des professions comme enseignant.

Le concept de culture

      Le concept de culture renvoie à l’ensemble des connaissances, des technologies, des us et coutumes, des croyances d’une société pour Henri Mendrars. Au départ, c’est ce qui est entendu par culture. Avec l’essor de la psychologie sociale et de l’Anthropologie ; la culture est le phénomène de transmission de normes et valeurs d’une société. De plus, elle est adaptée par l’individu de façon à ce qu’il s’épanouisse. La culture donc, se développe avec l’adaptation de l’individu à son milieu si la culture rejoint la reproduction sociale par la socialisation. Tantôt, la culture devient le pilier de transformation sociale. L’évolution du concept de culture donne son acception actuelle d’identité. La culture se partage entre reproduction sociale et développement des valeurs. C’est ainsi que Redfield sur ces études sur les folks society décrit la culture comme une instance de cohésion sociale. La culture forme la personnalité sociale.

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Table des matières

Introduction
Première partie : DE LA FORMATION A L’EMPLOI 
Chapitre I : L’effervescence de l’enseignement 
Section 1 : L’évolution de l’enseignement
1 – 1 – La conception de l’enseignement
1 – 1 – 1 – Du point de vue sociologique
1 – 1 – 2 – Du point de vue pédagogique
1 – 1 – 3 – La dimension économique de l’enseignement
1 – 2 – Le rôle de l’école
1 – 2 – 1 – L’école : Agent de socialisation
1 – 2 – 2 – L’école et la reproduction
1 – 2 – 2 – 1 – La transmission de l’habitus
1 – 2 – 2 – 2 – La violence symbolique
1 – 2 – 2 – 3 – L’inégalité scolaire
1 – 2 – 3 – L’émancipation de l’individu
1 – 3 – La diversification de l’enseignement
1 – 3 – 1 – Le contexte politique
1 – 3 – 2 – Le contexte technologique
Section 2 : La démocratisation de l’enseignement
2 – 1 – L’égalité des chances d’accéder à l’école
2 – 1 – 1 – Les dispositions légales
2 – 1 – 2 – Les infrastructures
2 – 2 – De l’enseignement général aux formations professionnelles
2 – 2 – 1 – L’enseignement général
2 – 2 – 2 – Les formations professionnelles
2 – 2 – 2 – 1 – Une formation à court terme
2 – 2 – 2 – 2 – Les formations aux professions libérales
2 – 2 – 2 – 3 – La continuité avec l’enseignement général
2 – 2 – 2 – 4 – Les formations supérieures
2 – 2 – 3 – L’insertion directement professionnelle
2 – 3 – L’autodidactie
2 – 3 – 1 – L’essor de l’autodidactie
2 – 3 – 2 – Les nouvelles techniques d’information et de communication
Section 3 : La continuité entre l’école et l’emploi
3 – 1 – La disparité des emplois
3 – 1 – 1 – Le mode de gestion
3 – 1 – 1 – 1 – Le taylorisme
3 – 1 – 1 – 2 – Le post fordisme
3 – 1 – 2 – L’évolution des formes de travail
3 – 1 – 2 – 1 – La précarité du travail
a – Les stages
b – Les contrats à durée déterminée
c – Les contrats à durée indéterminée
3 – 1 – 2 – 2 – Les emplois stables
3 – 1 – 3 – Les horaires de travail
3 – 1 – 3 – 1 – Le travail à temps plein
3 – 1 – 3 – 2 – Le travail à mi-temps
3 – 1 – 3 – 3 – Les horaires décalés
3 – 2 – Le choix de l’emploi
3 – 2 – 1 – Les motivations personnelles
3 – 2 – 2 – Le contexte social et économique
3 – 3 – La formation et l’emploi
3 – 3 – 1 – La filière
3 – 3 – 2 – Le diplôme
Chapitre II : Le déterminisme culturel 
Section I : L’origine sociale
1 – 1 – L’environnement social
1 – 1 – 1 – Le rôle éducateur de la famille
1 – 1 – 1 – 1 – La famille et l’éducation
1 – 1 – 1 – 2 – L’identité familiale
1 – 1 – 1 – 3 – La variabilité entre les acquis familiaux
1 – 1 – 2 – L’église et l’éducation
1 – 1 – 3 – Les groupes de référence
1 – 1 – 3 – 1 – Les groupes d’amis
1 – 1 – 3 – 2 – Le voisinage
1 – 1 – 3 – 3 – Les groupes de référence
1 – 2 – La culture
1 – 2 – 1 – Le concept de culture
1 – 2 – 2 – L’identité culturelle
1 – 2 – 3 – La culture de classe
1 – 3 – L’espace social
Section 2 : La distinction entre les classes
2 – 1 – La stratification sociale
2 – 1 – 1 – Les positions sociales
2 – 1 – 2 – L’organisation sociale
2 – 2 – La lutte de classe
2 – 2 – 1 – La classe sociale
2 – 2 – 2 – Un concept controversé
2 – 2 – 3 – L’évolution de la lutte ouvrière
2 – 3 – L’évolution des classes
2 – 3 – 1 – La classe bourgeoise
2 – 3 – 1 – 1 – L’élite : une position héritée
2 – 3 – 1 – 2 – La domination culturelle imposée
2 – 3 – 1 – 3 – La régression de la classe bourgeoise
2 – 3 – 2 – La classe moyenne
2 – 3 – 2 – 1 – L’émergence de la classe moyenne
2 – 3 – 2 – 2 – La distinction entre la classe moyenne et les élites
2 – 3 – 2 – 3 – La classe ethnique
2 – 3 – 3 – Les couches sociales les plus vulnérables
2 – 3 – 3 – 1 – Le retour de la classe ouvrière
2 – 3 – 3 – 2 – La marginalisation des chômeurs
2 – 3 – 3 – 3 – Les personnes exclues
Section 3 : Le poids de la culture
3 – 1 – L’héritage culturel
3 – 1 – 1 – L’étiquette sociale
3 – 1 – 2 – Le savoir être
3 – 1 – 3 – La valorisation de la culture
3 – 2 – Le rapport entre la culture et la formation
3 – 2 – 1 – La culture source d’inégalité scolaire
3 – 2 – 2 – L’école légitime l’inégalité sociale
3 – 2 – 3 – L’école face à l’influence familiale
3 – 3 – La relation entre l’emploi et la culture
3 – 3 – 1 – Les stratégies pour une continuité entre formation et emploi
3 – 3 – 2 – Le choix personnel de l’individu
Chapitre III : La détermination individuelle dans la réussite sociale
Section 1 : Les facteurs de réussite scolaire et à l’embauche
1 – 1 – Le rôle de l’école
1 – 1 – 1 – La formation et l’ascension sociale
1 – 1 – 2 – Le choix de la filière
1 – 1 – 2 – 1 – La stratégie en matière de formation
1 – 1 – 2 – 2 – Le choix des parents
1 – 1 – 2 – 3 – Les formations pluridisciplinaires
1 – 2 – Le rôle de la famille
1 – 2 – 1 – Le capital
1 – 2 – 2 – Le contrôle social de la famille
1 – 3 – Le contexte économique
1 – 3 – 1 – Le marché du travail
1 – 3 – 1 – 1 – L’offre d’emploi
1 – 3 – 1 – 2 – La demande d’emploi
1 – 3 – 2 – La politique d’embauche
Section 2 : Le contexte économique lié à l’emploi
2 – 1 – L’évolution des structures économiques
2 – 1 – 1 – La création d’emploi
2 – 1 – 2 – La suppression d’emploi
2 – 2 – L’évolution des structures d’emploi
2 – 2 – 1 – Le changement de statut
2 – 2 – 2 – Le développement de nouvelles filières
Section 3 : La motivation personnelle de l’individu
3 – 1 – La position sociale n’est pas acquise
3 – 1 – 1 – Le diplôme n’assure pas forcément la reproduction sociale : le paradoxe d’Anderson
3 – 1 – 2 – Les critères autour de la personnalité de l’individu
3 – 2 – L’ambition personnelle
3 – 2 – 1 – L’aspiration personnelle
3 – 2 – 2 – La déception vis-à-vis de la position sociale des parents
3 – 2 – 3 – L’exclusion sociale développe la détermination personnelle
Deuxième partie : L’INSERTION DES JEUNES AUX EMPLOIS DE LA FONCTION PUBLIQUE 
Chapitre VI : La fonction publique en question 
Section 1 : L’évolution de la fonction publique
1 – 1 – L’administration publique malgache
1 – 2 – L’héritage culturel
1 – 2 – 1 – L’empreinte coloniale
1 – 2 – 2 – Le souffle de l’indépendance
1 – 2 – 3 – La crise du socialisme
1 – 2 – 4 – L’ère de la démocratie
1 – 3 – La nouvelle mission de l’administration
Section 2 : Le mode de recrutement dans la fonction publique
2 – 1 – La fonction publique dans son ensemble
2 – 1 – 1 – Les contractuels
2 – 1 – 2 – Les fonctionnaires
2 – 1 – 2 – 1 – La fonction publique ouverte
2 – 1 – 2 – 2 – La fonction publique fermée
2 – 2 – La réalité de la fonction publique
2 – 2 – 1 – Les champs de recrutement
2 – 2 – 2 –L’extension du domaine judiciair
2 – 2 – 3 – La situation de l’enseignement
2 – 2 – 4 – La perspective des autres domaines
2 – 3 – La politique de recrutement dans la fonction publique
2 – 3 – 1 – Le mode recrutement par rapport à l’alternative locale
2 – 3 – 2 – Les concours d’entrées
2 – 3 – 2 – 1 – Les concours suivis de l’enseignement général
2 – 3 – 2 – 2 – Les concours suivis d’une formation spécifique
2 – 3 – 2 – 3 – Les écoles de préparation
2 – 3 – 3 –Le fonctionnariat contractuel
Section 3 : L’administration pénitentiaire au sein de la fonction publique
3 – 1 – L’évolution de l’Administration Pénitentiaire
3 – 1 – 1 – La période avant la colonisation
3 – 1 – 2 – La période de la colonisation
3 – 1 – 3 – L’administration après l’indépendance
3 – 2 – La formation pénitentiaire
3 – 2 – 1 – La formation sur le tas
3 – 2 – 2 – La mise en place d’un centre de formation pénitentiaire
3 – 2 – 3 – La création de l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire
3 – 3 – Le statut du personnel pénitentiaire
Chapitre VI : Le recrutement dans l’administration pénitentiaire 
Section 1 : Le mode de recrutement
1 – 1 – Les concours d’entrées
1 – 2 – Les conditions de recrutement
1 – 2 – 1 – Les conditions physiques
1 – 2 – 2 – Les conditions intellectuelles
Section 2 : Le profil d’un agent pénitentiaire
2 – 1 – Du point de vue physique
2 – 2 – Du point de vue intellectuelle
2 – 3 – Selon leur origine
2 – 3 – 1 – Le lieu d’origine
2 – 3 – 2 – L’origine sociale
2 – 3 – 2 – 1 – La profession des parents
2 – 3 – 2 – 2 – La religion
Section 3 : La formation des agents pénitentiaires
3 – 1 – La formation militaire
3 – 2 – La formation théorique
3 – 2 – 1 – Les modules relatifs aux droits
3 – 2 – 2 – Les modules relatifs aux sciences humaines
3 – 2 – 3 – Les modules techniques
3 – 3 – Le suivi et l’évaluation
Chapitre VI : L’intégration des recrus au monde du travail 
Section 1 : Les diverses conceptions du métier d’agent pénitentiaire
1 – 1 – La motivation des recrus à devenir agent pénitentiaire
1 – 1 – 1 – La motivation pécuniaire
1 – 1 – 2 – La sécurité de l’emploi
1 – 1 – 3 – Le régime militaire
1 – 1 – 4 – L’influence des parents
1 – 2 – La conception du métier d’agent pénitentiaire
1 – 2 – 1 – La conception des élèves de leur futur métier
1 – 2 – 2 – La conception des agents en service
1 – 2 – 3 – La conception des supérieurs hiérarchiques du métier d’agent pénitentiaire
1 – 3 – Le rapport interpersonnel existant entre les anciens et les nouveaux
Section 2 : L’attente de la profession vis-à-vis des nouveaux recrus
2 – 1 – L’éthique du travail
2 – 1 – 1 – Le comportement d’un agent pénitentiaire
2 – 1 – 2 – Le changement de comportement
2 – 1 – 3 – Les problèmes économiques
Section 3 : Les problèmes rencontrés par les nouveaux recrus
3 – 1 – La limite entre service et corruption
3 – 1 – 1 – Les échanges de services entre personnel et personnes détenues
3 – 1 – 2 – La corruption à proprement parler
3 – 1 – 3 – La promiscuité au quotidien
3 – 2 – Le lien avec le monde extérieur
3 – 2 – 1 – La relation avec la famille des personnes détenues
3 – 2 – 1 – 1 – Les visites
3 – 2 – 1 – 2 – Le dépôt de repas et de biens
3 – 2 – 2 – La relation des agents avec ses proches
3 – 2 – 3 – La relation avec le monde extérieur
3 – 3 – Les premiers pas au sein d’une prison
Troisième partie : ADEQUATION ENTRE FORMATION ET EMPLOI 
Chapitre VII : L’ADAPTATION DE LA FORMATION A L’EMPLOI 
Section 1 : Les nouvelles perspectives de l’éducation
1 – 1 – Les nouvelles conceptions de la pédagogie
1 – 1 – 1- Le rôle de l’enseignant
1 – 1 – 1 – 1 – La nouvelle image de l’enseignant
1 – 1 – 1 – 2 – Rapprochement entre élèves et enseignants
1 – 1 – 2 – Le rôle des élèves dans l’éducation
1 – 1 – 3 – Une éducation concertée
1 – 2 – L’éducation au pluriel
1 – 2 – 1 – La pluralité des formations
1 – 2 – 1 – 1 – Les domaines d’études
1 – 2 – 2 – Les modalités de formation
a – La formation par module
b – Les formations générales
1 – 2 – 3 – La systématisation des débouchés selon la formation
1 – 3 – La valorisation des formations professionnelles
1 – 3 – 1 – L’essor des formations professionnelles
1 – 3 – 2 – La politique internationale éducative
1 – 3 – 3 – L’approbation des institutions internationales
a – Les critères de la formation
b – Le profil du diplômé
Section 2 : Rapprochement entre formation et emploi
2 – 1 – Les politiques actives de formation
2 – 2 – Souplesse face à la politique de recrutement
2 – 3 – Collaboration entre entreprise et établissements de formation
2 – 3 – 1 – L’harmonisation de la formation aux exigences du service
2 – 3 – 2 – Les systèmes d’intégration dès la formation
Section 3 : Les réformes concernant l’emploi
3 – 1 – Les nouvelles politiques d’embauche
3 – 1 – 1 – Le recrutement par rapport à l’âge
3 – 1 – 2 – La formation pré emploi
3 – 1 – 3 – La nouvelle durée des périodes d’essai
3 – 2 – La réinsertion sociale des personnes exclues
3 – 2 – 1 – L’envoi en concession des personnes détenues
3 – 2 – 2 – L’aménagement de nouvelles villes
3 – 2 – 3 – Les formations spécialisées
3 – 3 – La création d’emploi
3 – 3 – 1 – Les emplois temporaires
3 – 3 – 2 – Les dispositifs facilitant la création d’entreprise
3 – 3 – 3 – Les offres des organismes non gouvernementaux
Chapitre VIII : Les contraintes liées à la formation et à l’emploi 
Section 1 : Les inégalités face à l’école
1 – 1 – La distinction entre l’origine urbaine et rurale
1 – 1 – 1 – L’accès à l’école
1 – 1 – 2 – Les compétences dispensées à l’école
1 – 2 – La distinction entre école publique et privée
1 – 3 – Les restrictions vis-à-vis de la formation à entreprendre
1 – 3 – 1 – Les restrictions d’ordres économiques
1 – 3 – 2 – Le manque de formations disponibles
Section 2 : Les obstacles vis-à-vis de l’emploi
2 – 1 – Le profil des offres d’emploi
2 – 1 – 1 – Le manque de débouché
2 – 1 – 2 – Le profil des offres
2 – 1 – 3 – L’exclusion des jeunes
2 – 2 – La situation des jeunes
2 – 2 – 1 – Les jeunes ruraux
2 – 2 – 2 – La pression de la concurrence
2 – 3 – Le suremploi et le développement du secteur informel
Section 3 : Le blocage psychologique
3 – 1 – Les conditions de travail
3 – 2 – La perte de motivation
3 – 3 – Le retard à l’entrée au monde du travail
Chapitre IX : Les perspectives d’accès à la fonction publique 
Section 1 : Les atouts liés à l’accès à la fonction publique
1 – 1 – La formation
1 – 1 – 1 – Le poids des diplômes
1 – 1 – 2 – L’ensemble des connaissances
1 – 2 – L’expérience professionnelle
1 – 3 – Les relations avec le milieu
1 – 3 – 1 – Les relations physiques
1 – 3 – 2 – Les relations personnelles
Section 2 : Les obstacles liés à la fonction publique
2 – 1 – L’accès au flux d’information
2 – 1 – 1 – L’éloignement de services déconcentrés
2 – 1 – 2 – La limitation des nombres de services déconcentrés
2 – 2 – La barrière de la langue
2 – 2 – 1 – Le blocage vis-à-vis de la compréhension
2 – 2 – 2 – La difficulté face à la communication en français
2 – 3 – L’éloignement face aux lieux de concours et de la formation
2 – 3 – 1 – Le problème financier
2 – 3 – 2 – La séparation au niveau de la famille
CONCLUSION
Bibliographies

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