La violence, un phénomène de causalité complexe

La violence faite aux enfants

  Quelques études mettent en évidence le problème de l’exposition des enfants aux divers types de violence et les effets délétères sur leur développement (Doucet & Fortin,2010; Fowler, Tompsett, Braciszewski, Jacques-Tiura, & Baltes, 2009). Dautres se sont penchées sur les problématiques liées au syndrome du stress post-traumatique chez les enfants (Chemtob & Carlson, 2004; Cohen, Mannarino, & Iyengar, 2011 ; Foster & Brooks-Gunn, 2009; Paiva et al., 20Il; Savard & Zaouche Gaudron, 2014) entre autres,en considérant la magnitude et limportance du sujet.Dans la perspective des étapes du développement comportemental, dabord il faut réfléchir au syndrome du bébé secoué comme une forme particulière de maltraitance qui place la victime de la violence parentale dans limpuissance et l’absence de défenses réelles, comme le démontrent les études de Fernandes, Silva et Javorski (2010) et de Lopes, Eisenstein et Williams (2013). Même si le tout jeune enfant peut certes mobiliser ses premiers systèmes dautorégulation, en faisant appel à ses propres ressources, il ne peut pas survivre psychiquement long temps à linadéquation grave du parent comme démontrent les études menées par Becker et Weerts (2009) et Bourroul, Réa et Botazzo (2008). Dautres études soulignent que la situation devient plus grave encore si la destructivité porte également sur son corps dans une période critique de vulnérabilité (Lind, Laurent-Vannier, Toure, Brugel, & Chevignard, 2013 ; Renier, 2012). Si la petite enfance est une période critique dans le développement dun enfant, il est possible que les conséquences de la violence ne se manifestent cliniquement que plus tard dans la vie (Barudy, 2007). Pour les nourrissons qui ont subi des dommages cérébraux à la suite davoir été secoués, les conséquences peuvent varier daucun effet apparent à une incapacité permanente, y compris un retard développemental, des convulsions ou la paralysie, la cécité et même la mort, qui sont quelques conséquences parmi celles présentées dans les études de Becker et Werts (2009) et Romano (2012),entre autres qui correspondent aux études menées par Delima et Vimpani, (2011) et Keys et al. (2012) qui démontrent que les enfants survivants peuvent être considérablement retardés par des traumatismes neurologiques, et ayant pour résultat toute une panoplie dincapacités observées durant leur vie ultérieure, y compris des déficits cognitifs et des problèmes comportementaux. Les données recueillies par ces derniers indiquent aussi que les bébés qui semblaient en bonne santé quand ils sont sortis de l’hôpital pouvaient montrer des signes probants de problèmes cognitifs ou comportementaux plus tard, notamment à lâge dêtre scolarisé.

La représentation de l’adolescence dans le monde contemporain

  Ladolescence est définie comme le processus de transition entre lenfance et la vie adulte, et possédant des aspects psychosociaux qui lui sont propres. Tant du point de vue de la physiologie que de la psychologie, cette période du développement est influencée par dintenses changements biologiques, psychologiques et sociaux. Cette étape doit être considérée comme un processus psychosociologique de transition, dépendante à la fois des facteurs individuels (biologiques et psychologiques) et des circonstances extérieures à la formation de lindividu (contextes, conditions de vie, etc.), étant donné les aspects qui lui sont associés et les différentes significations élaborées socialement et historiquement (Esteban, 2004; lovchelovitch, 2008). Il sagit dune étape de la vie où lindividu est invité à sengager de façon active et dynamique dans la construction dun projet de vie. Ainsi, lidentité, la sexualité, lentourage, les valeurs et les nouvelles Il expériences qui lui sont imposés doivent être considérés dans les rapports avec lenvironnement immédiat. La représentation de ladolescence dans le monde contemporain, généralement, dépeint cette étape de vie comme une période de latence sociale et, dans le cadre de la société capitaliste, en tant quune période dinsertion sur le marché de travail. Les transformations du corps et les possibilités de relations avec les adultes contribuent à la construction de significations particulières comme décrivent des recherches (Berni & Roso, 2014; Calligaris, 2010; Guareschi, 2012). Pourtant, il faut comprendre ladolescence au-delà des composantes psychologiques, toutes essentielles à la compréhension de cette étape. Mais aussi, dans la perspective sociohistorique, comme constructo social qui a une répercussion sur la subjectivité et le développement de lindividu moderne. La question qui se pose donc pour nous est comment cette période sest constituée historiquement, ce qui implique de la comprendre à partir des contributions des différentes disciplines qui considèrent laspect social et environnemental immédiats de cet adolescent.

Nova Holanda : un espace violent et vulnérabilisant

  Située à la proximité dune importante voie daccès entre le centre et la région nord de la ville de Rio de Janeiro (Brésil), la communauté Nova Holanda est lune des seize communautés constituant le Complexo de Favelas da Maré.1 Les premières habitations ont été construites de façon provisoire par la préfecture de Rio de Janeiro et ce qui ne devait être que transitoire est devenu permanent. Après quelques années, les propriétaires ont réalisé des rénovations sans obtenir daide du pouvoir public.Placée au bord de la Baia de Guanabara [Baie de Guanabara], elle est caractérisée par la présence de la mangrove. Pour cette raison, il était nécessaire de construire sur pilotis. Cependant, ces habitations, déjà précaires à lorigine, ont subi les effets de la montée des marées et, pour régler ce problème, au début du XXr siècle, le pouvoir public a rempli la mangrove de déchets. Durant le processus de formation du Complexo da Maré, les habitants ont subi toutes sortes de pression. La peur constante dêtre déplacés vers dautres lieux et la violence des policiers, qui réprimaient les travaux et organisaient la destruction des petites maisons précaires, constituaient le quotidien des habitants, à cette époque-là.Aujourd’hui, le Complexe da Maré a beaucoup changé et les anciennes habitations ont été remplacées par des constructions en briques et en béton. Malgré ce changement, le manque durbanisation, labsence de conditions sanitaires favorables et la brutalité policière sont encore présentes dans le quotidien des habitants. Le dernier recensement (2010) indique un nombre de 129770 habitants pour le Complexo da Maré, répartis sur un territoire de 800 mil m2 Pour la communauté Nova Holanda, les données de lIBGE indiquent une population de 13 400 habitants. Cest dans ce scénario, historiquement marqué par la violence, que ce travail de recherche a été mené, à partir dune réflexion sur la non-violence, en tant que constructo social et personnel. Je crois vivement que lantidote contre la violence est la capacité de la société dinclure, damplifier et duniversaliser les droits et les devoirs des citoyens.Dun point de vue de la structure, ce travail de recherche a été divisé de la manière suivante: le premier chapitre présente la Problématique qui a pour but de décrire la situation de la violence et les conséquences qui en découlent, la question de recherche,les sous-questions et les objectifs de cette étude. Il a pour but de discuter la question de lexposition à la violence et limpact de ce phénomène chez les jeunes. Le deuxième chapitre sadresse à la description du cadre théorique et les axes thématiques qui encadrent la méthode de recherche. Ce chapitre présente aussi le parcours pour accéder à lexpérience des adolescents de la communauté Nova Holanda et les approches privilégiées pour analyser le phénomène de lexposition à la violence dans une perspective de victimisation et de covictimisation. Le troisième chapitre réalise un découpage social et historique de la violence au Brésil à partir de lanalyse des éléments culturels, conjoncturels et structurels. Le quatrième chapitre effectue une réflexion sur le processus de vulnérabilité sociale en associant les discussions sur la question sociale. Le cinquième chapitre est dédié à la méthode de recherche et à la description des étapes de la collecte de données. Lanalyse de données quantitatives et la description des résultats sont le sujet du sixième chapitre, dont la discussion a été présentée dans le septième chapitre. Lanalyse des dessins et des résultats qui en découlent a été développée dans le huitième chapitre et la discussion des résultats est présentée dans le neuvième chapitre. Pour mieux comprendre lassociation entre les résultats des analyses, le croisement des données quantitatives et qualitatives est présenté dans le dixième chapitre, à la lumière des approches choisies. Par la suite sont présentés la conclusion, les références et les appendices qui ont servi dappui à cette recherche.

Le rapport entre l’urbanisation et la violence

  LÉcole de Chicago en analysant le rapport existant entre urbanisation et délinquance, a mis en évidence limportance de lespace comme facteur explicatif de comportements sociaux, ce que les chercheurs du groupe ont dénommé « daire naturelle », autrement dit, la surface dhabitation dun « groupe naturel » qui se définit « comme un groupe qui détient en commun une manière dêtre, un mode de vie, des perspectives spécifiques » (Lander, 1954; Shaw & McKay, 1969). Par analogie, ce concept sert à la compréhension de « communauté » telle quelle est conçue au Brésil en tant que constructo social et agent capable de modifier et redéfinir lorganisation sociale et territoriale. Ainsi, la ville développe et sajuste à une structure sociale basée sur des règles plus flexibles et adaptées aux conditions et à la précarité de linformalité . socioéconomique (Lobosco, 2011). Des études menées par Shaw et McKay (1969) ont été essentielles pour réfuter lhypothèse très répandue à lépoque dans les populations défavorisées, selon laquelle la criminalité, la folie et la délinquance auraient une origine génétique. La corrélation entre délinquance et zone dhabitation a été étudiée par quelques chercheurs (Avenel, 2004; Born, 2005; Couppié, Giret, & Moullet, 2010; Maurin, 2004; Mucchieli, 2007; Wacquant, 2006) qui ont démontré que dans ces « espaces sensibles », il y a une tendance au surpeuplement et à la promiscuité et que la population tend à shomogénéiser vers le bas de léchelle socioéconomique. Born (2005) remarque lexistence de la création dune sous-culture de stagnation et dadaptation marginale qui se suffit à elle-même, doù le fait qu’il est très difficile de sen sortir. Quant aux enfants qui habitent dans ces espaces, il observe qu ils ont des contacts très proches avec des gangs et des groupes de jeunes quils prennent pour des « idoles », et parfois, des contacts avec des personnes marginales. De cette façon, les contacts avec les traditions et les standards de la culture conventionnelle sont réduits à des rapports formels avec la police, les tribunaux, lécole et autres services sociaux.Quelques études risquent de montrer la délinquance comme un problème se situant essentiellement à un niveau macrosociologique et pour cette raison, Born (2005) remarque limportance de se faire une analyse de lindividu et de la façon dont laquelle il vit dans son milieu – des éléments essentiels à la compréhension du phénomène de la délinquance et les implications causées par lexposition à la violence chez les enfants et les adolescents.

La pauvreté et la violence: une association légitime?

   Waiselfiz, cité antérieurement dans ce travail, a réalisé la déconstruction de quelques mythes encore courants qui sont de fait devenus des ‘vérités’, et qui, à force dêtre répétés, ont été assimilés par le sens commun, et ainsi ne sont plus discutés. Il s’agit de la préconisation dune corrélation existante entre pauvreté et violence qui affirme notamment que « la pauvreté est la cause de la criminalité» (Waiselfiz, 2012).En fait, avec la publication de Surveiller et Punir : naissance de la prison de Michel Foucault (1987), l’approche de causalité dans la question criminelle a été changée pour intégrer celle-ci dans les autres appareils répressifs de l’État qui détient le pouvoir détablir l’ordre et la discipline. Foucault met en évidence les rapports du pouvoir existants dans nimporte quels rapports sociaux. Dans ce sens, il fait appel à la mécanique et aux éléments du pouvoir qui ne sont pas le pouvoir de l‘État, mais avant tout le pouvoir qui  se fait présent dans certaines sociétés et institutions formelles de contrôle social comme, par exemple, le système demprisonnement, l’hôpital des malades mentaux criminels, etc., mais qui se constituent comme des institutions disciplinaires qui produisent et reproduisent les relations de domination (Serra, 2010).La production littéraire brésilienne sur lassociation pauvreté/criminalité était insuffisante et pour cette raison, ce livre de Foucault a eu un grand impact au pays pour mettre en lumière un agent important dans la constitution du cadre de violence au pays. Campos Coelh a publié, en 1978, un essai sur les relations implicites de la criminalité dans une approche néomarxiste, selon laquelle, la criminalité était associée aux « effets dune structure ». Les travaux centrés sur la question pénitentiaire (Adorno,1980; Paixao & Deslandes, 2010; Pinheiro, 2006; Ramalho, 1976) ont marqué le début dun investissement systématique dans la thématique de la criminalité sous une approche sociologique, en conformité à la pensée de Michel Foucault.Pour Serra (2010), dans la société brésilienne, il existe une culture de lextermination cachée dans un état punitif qui persiste à maintenir et légitimer un état dexception au travers de lexercice du pouvoir absolu, illimité par des autorités légalement constituées et quil définit comme « des despotes qui produisent des effets dramatiques et concrets dans la vie sociale quotidienne ». Ainsi, il y a eu une production intellectuelle sur la question de la violence urbaine et de la criminalité en dénonçant les associations dominantes sans fondement dans limaginaire de la classe moyenne urbaine brésilienne selon deux axes: dune part, police / justice / prison et dautre part, pauvreté / criminalité (Magalhaes, 2012).

La perception en psychologie

   Linterprétation des réponses au questionnaire et l’analyse des dessins balisées par la sémiologie et par la théorie de la perception en psychologie, constituent un effort dintégrer les approches privilégiées de la sociologie dans la perspective de la construction de lexpérience sociale des adolescents et de lanthropologie urbaine, par rapport à l’analyse de lespace qui les rend vulnérables.Daprès Luz et Amatuzzi (2008), la perception sociale désigne l’ensemble des processus qui favorise la connaissance des autres et aussi lauto connaissance. La majorité des thèmes des études sur la perception sociale recouvre la manière dont les caractéristiques des autres sont perçues et la façon selon laquelle leur comportement « est rendu compte ». Il faut considérer aussi les divers facteurs susceptibles daffecter les opérations ainsi que les conséquences des connaissances sur les interactions sociales. La recherche sur la perception sociale doit beaucoup aux travaux de Solomon Asch sur la formation de l’impression (Williams & Bargh, 2008). D’inspiration gestaltiste, Asch a rompu avec la tradition axée sur lévaluation du degré dexactitude du jugement social et propose d’étudier la perception sociale des individus en tant que processus de construction sociale. Cet aspect particulier est en consonance avec les propos de la sociologie de lexpérience qui intègre notre cadre théorique. Luz (2008) suggère que la perception sociale se distingue de la perception des objets parce que la cible du jugement est elle-même un individu percevant.Le processus de formation de limpression incorpore le conflit entre les schémas perceptifs et lenvironnement dans le modèle suggéré par Asch. Dun côté, il existe les stéréotypes représentés par les croyances partagées portant sur les attributs et comportements dun groupe humain. De lautre, il y a laffirmation des propriétés uniques des individus. Le travail de formation dimpressions démarre sur la base de caractéristiques saillantes à linstar du sexe, de lâge ou de lapparence physique. Ces caractéristiques évoquent, de façon automatique un certain type de personne ou un groupe social déterminé.Selon Sanders (2010), limpression initiale basée sur la catégorie sociale est affinée, pour peu que les propriétés de la cible entrent en conflit avec les attentes ou qui révèlent un intérêt particulier pour le percevant. Ainsi, à partir de linterprétation que nous faisons du comportement de lautre il y a une tendance à lexpliquer. Pour Almeida, Miranda et Guisande (2008) et Rodrigues; Assmar et Jablonski (2002) qui défendent la théorie de causalité et qui sert à expliquer la façon selon laquelle nous attribuons des causes et des motivations aux comportements des personnes. Luz (2008) a classé les causes en deux groupes: 1) internes (celles qui sont en rapport avec les caractéristiques inhérentes aux individus); et 2) externes (celles associées aux réactions aux facteurs externes, autrement dit, il sagit des causes instables parce quelles varient selon lenvironnement)

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Table des matières

Sommaire
Liste des tableaux

Remerciements

Introduction
La violence faite aux enfants
La représentation de l’adolescence dans le monde contemporain 

Nova Holanda
: un espace violent et vulnérabilisant
Chapitre
1. Problématique: La violence, un phénomène de causalité complexe
Le rapport entre l’urbanisation et la violence
La pauvreté et la violence: une association
légitime?
Question de recherche

Chapitre II. Contexte théorique
L’adolescent exposé à la violence, l’espace où il habite, la représentation du phénomène dans un contexte interdisciplinaire

L’approche sociologique: un regard essentiel
L’approche anthropologique: un regard sur la métropole

Le lieu d’habitation et la délinquance
-les premières études
L’anthropologie urbaine -l’étude des sociétés complexes

L’anthropologie urbaine au Brésil
L’ethnographie et le point de vue des acteurs
sociaux
Les présupposés de la sémiologie
La signification de l’image

Laspect symbolique du dessin
La perception en psychologie 
Chapitre III. Limpact de lexposition au phénomène de la violence: dans quelle société vivons-nous?
Les
violences au Brésil
La violence culturelle
La violence conjoncturelle

La violence structurelle 

L
association entre la violence structurelle et la question sociale 
Chapitre IV. La vulnérabilité sociale 

Le rapport entre
la vulnérabilité sociale et la violence 
Le jeune exposé à la violence 

Chapitre V
. Méthode 
Participants

le groupe principal 

le groupe contrôle

Instrument de mesure

La structure du questionnaire ANCV 

Déroulement de la collecte de données
Chapitre VI. Présentation des résultats des analyses quantitatives 

Chapitre VII. Discussion
des résultats des analyses quantitatives
Chapitre VIII. L
analyse qualitative des dessins

Les analyses de dessins selon les sous-catégories

1 – Récits contraires à létablissement des Unités de Police Pacificatrice
(UPP)

2 – Récits qui racontent le quotidien de la violence subie ou témoignée
3
Récits qui expriment le désir de vivre des jours meilleurs – les dreamers 
Chapitre IX. Discussion des résultats de l
analyse qualitative
Première sous-catégorie: les dessins contraires à l
établissement de lUPP
Deuxième sous-catégorie: dessins qui racontent la violence subie ou témoignée

Troisième sous-catégorie
les dreamers 
Chapitre X. Discussion générale: la triangulation des résultats quantitatifs et qualitatifs

Question 1 : L
impact chez ladolescent par rapport à un vol dont un proche a été la victime
Question 2 : L
impact de la violence chez ladolescent qui a témoigné une fusillade survenue dans la communauté
Questions: (3) le sentiment de sécurité à la maison et (4) dans la communauté/quartier de la part de l
adolescent
Question 5 : Sentiment d
appartenance à la communauté
Conclusion

Les limites de la recherche

Les retombées de cette recherche

Références

Appendice A. Les formulaires utilisés dans la collecte de données
Appendice B
. Journal de bord

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