La typologie du mythe

La typologie du mythe 

Introduction générale

  Le mythe est un mot qui vient du latin mythus, et du grec muthos qui signifie récit. Daniel Chauvin le définit comme « une réalité anthropologique et comme disposition mental ». De là, on pourrait dire du mythe que c’est une pratique anthropologique et qu’il est considéré comme l’un des plus importants objets d’étude de la littérature comparée. Le mythe est un récit qui met en relief des êtres surnaturels ou des faits historiques que l’imagination populaire ou l’imaginaire collectif et intellectuel a embelli ou amplifié de manière à correspondre à un idéal humain. Dans la littérature, le mythe est sous forme de texte qui transpose une histoire toujours originale, typique, qui a été ré exhibé devant le lectorat. La réécriture du mythe est une littérarité reconsidérée qui expose des exceptions par rapport à une réécriture courante car le mythe combine un sens original précis, une interprétation nouvelle qui lui donne de nouvelles dimensions politiques, idéologiques et psychologiques. Tout au long de notre travail de recherche, nous allons nous focaliser sur diverses approches théoriques telles que la ainsi que la sociocritique mythocritique. Car cette dernière met à notre dispositions une grille d’analyse pouvant nous permettre d’identifier et de comprendre un tant soi peu les caractéristiques du mythe en littérature, ce qui pourrait être le cas dans l’analyse de notre corpus.

  Certes, plusieurs approches théoriques élaborent des grilles d’analyse du mythe tel que la mythanalyse, la méthode comparatiste et la théorie de l’imaginaire.Entre autre, la mythocritique est une théorie conçue par Gilbert Durant en 1970 qui consiste à étudier le texte sous l’emprise du mythe. Par ailleurs, Pierre Brunel trouve que la mythocritique a pour objet l’études des textes et non des ensembles. Elle veut être un des guides de l’analyse littéraire. Son objet d’étude serait de décortiquer un texte sous l’emprise du mythe et plus précisément à partir des mythèmes, à commencer l’émergence mythologique qui est mise en évidence.Le choix de notre sujet n’est pas un simple hasard, mais plutôt un choix mûrement réfléchît. Nous avons embrassé ce thème qui représente pour nous un double intérêt, avant qu’il soit un travail de fin d’étude parce il fait d’abord référence à notre culture. Ensuite ne nous connaissons aucun travail universitaire qui lui est consacré, notamment dans le domaine des études littéraire. Cela consiste à faire connaitre la mythologie en général et le mythe Anzar en particulier, qui est un mythe ethno-religieux berbère qui fait parti de notre culture, accompagné par ailleurs de pratiques rituelles. Notre objectif est de démontrer qu’il s’agit bien d’un mythe dans le roman La fiancée du soleil de Shamy, cela par le biais des modalités d’écriture et de réécriture conçues par Pierre Brunel et qui sont « l’émergence », la « flexibilité » et « l’irradiation ». 

L’identité mythique d’Anzar

1-Mythe, conte et légende

  Il ya bien lieu d’informer que le récit Anzar, appartient à la culture de l’oralité berbère de l’antiquité et qui est accompagné dans sa version originale de pratiques rituelles composées de chants, danses, dons, est un mythe ethnoreligieux, puisqu’il fait référence à une force surnaturelle qui peut décider du destin de l’Homme. Autrement dit, il fait référence à une divinité qui décide de donner ou non l’eau, donc qui décide de la vie ou de la mort des humains et de la Nature. Nous pouvons avancer dès à présent que ce récit appartient au genre mythe et non à d’autres genres de l’oralité qui sont le conte et la légende, car il faut bien rappeler que ce récit appartient à la pensée païenne, laquelle attribue à chaque élément du cosmos une divinité particulière qui aboutit donc au polythéisme. Partons de là, nous comprenons que ce récit et les pratiques qui l’accompagnent visent à fonder une identité ethnique bien précise. Il est destiné donc à être cru des le début, contrairement aux contes qui ont d’autres fonctions dans la société : l’éducation en premier lieu, mais qui ne sont pris pour une réalité que par des enfants.
1-Mythe
Au sens étymologique, mythe veut dire parole. Il est un récit fondateur dont ceux qui le rapportent avouent en être les dépositaires et pas les auteurs. C’est un récit anonyme et collectif qui remplit une fonction socioreligieuse. […]. Le mythe met en scène des personnages le plus souvent surhumains qui ont des pouvoirs surnaturels mais aussi des comportements et des sentiments humains. […]. Dans sa composition, il est le plus souvent très court et d’un agencement parfait. Chaque détail est chargé d’une signification intense.[…]. Les mythes restent cependant L’identité mythique d’Anzar l’expression d’une culture, ils expriment les aspirations profondes de l’inconscient humain et mettent en scène des situations éternelles. La pensée scientifique n’a pas réussi à les faire disparaître. Bien plus, dans toutes les productions littéraires se décèlent des soubassements d’images permanentes, une armature d’archétype qui manifeste sa lointaine parenté avec le mythe.Le mythe est un mot qui vient du latin mythus, et du grec muthos qui signifie récit. Daniel Chauvin définit le mythe comme réalité anthropologique et comme disposition mentale3. De là, on pourrait dire du mythe que c’est une pratique d’éducation anthropologique et il est considéré comme objet d’étude de la littérature comparée.

2- Conte
Le conte est un genre de la littérature orale, qui est récit qui s’ouvre sur l’imagination, il pose un regard sur la réalité à travers le merveilleux et le fantastique. Dans le conte l’auteur n’utilise généralement pas de nom, seulement des surnoms comme Cendrillon, le petit chaperon rouge, la reine des neiges. Il est souvent introduit par la formule d’ouverture « Il était une fois » et conclue par la formule de clôture « et ils vécurent désormais heureux avec leurs enfants pour ne plus se séparer ». Le conte se distingue du roman car il contient une morale.

3- Légende
La légende est un récit et une représentation traditionnelle à caractère merveilleux. A l’origine, la légende racontait la vie des Saints et qui étaient lues dans les couvents. Il s’agit plutôt de récits merveilleux d’un événement passé fondé sur une tradition plus ou moins originale. Ainsi, la légende prête plus attention aux détails que le conte.

2-Anzar, des invariants aux variantes

  La mythocritique est une théorie conçue par Gilbert Durant en 1970 qui consiste à étudier le texte sous l’emprise du mythe. Ainsi, cette méthode est spécifiée par la redondance, « C’est la redondance qui signale un mythe, la possibilité de ranger les éléments (mythème) dans les paquets (essaims, constellations, etc.) synchroniques (c’est-à-dire possédant des résonnances, des homologies, des ressemblances sémantiques) rythmant de manière obsessive, le fil diachronique du discours. Le mythe répète, se répète pour imprégner, c’est-à-dire persuader.Selon la théorie de Gilbert Durant, c’est la répétition qui indique dans un mythe, la capacité d’organiser et d’aligner les éléments et les plus petites unités mythiquement significative dans des constellations synchroniques et simultanés,ce que veut dire avoir des harmonies, des similitudes et des correspondances sémantique, harmonisant de façon envoutée, le lien diachronique, évolutif et historique du discours. Le mythe répète, se répète pour détremper, c’est-à-dire convaincre. Par ailleurs, pour Pierre Brunel, La mythocritique n’a pas pour objet des ensembles, mais des textes. Elle veut être un des modes de la critique littéraire. Son objectif sera donc d’analyser un texte à la lumière du mythe et plus rigoureusement encore à partir des éléments mythiques qu’il contient, à commencer par les affleurements mythologiques qui apparaissent à sa surface. Selon la citation précédente de Pierre Brunel, nous pouvons dire que la mythocritique a pour objet l’étude des textes et non des ensembles. Elle veut être un des guides de l’analyse littéraire. Son objet d’étude serait de décortiquer un texte sous l’influence du mythe et plus précisément à partir des mythèmes, à commencer l’émergence mythologique qui est mise en évidence.

3-Anzar au 21ème siècle, la symbolique d’une réécriture

  Chaque peuple a besoin de mythe, et le mythe n’est jamais réécrit ou convoqué pour rien, le mythe est convoqué à un moment donné pour répondre à L’identité mythique d’Anzar des questionnements d’une époque que ce soit pour des individus ou des groupes sociaux ; donc la réécriture du mythe Anzar, peut symboliser le retour aux sources identitaires d’un peuple berbère. L’intention derrière la réécriture ne peut être comprise qu’à la lumière des codes, références et lieux communs de l’époque. La sociocritique est l’une de ces approches du fait littéraire qui tentent de distinguer et de définir les relations entre le texte et le social ; elle consiste à l’étude de l’inscription du social dans les textes, dans le but de « déceler la dimension idéologique des œuvres et les représentations du monde social qu’elles véhiculent ». Ce qui veut dire, détecter la mesure doctrinale des productions littéraires et les réincarnations de l’univers social et communautaire qu’elles fournissent.D’abord, nous allons essayer d’appliquer ce qu’à été dit ci-dessus sur l’œuvre La fiancée du soleil, en commençant par les noms, les lieux, les événements historiques que l’auteur de œuvre a utilisé et qui sont bien réels et qui appartiennent à la culture berbère et à son vécue sociale. Nous pouvons citer quelques noms et pseudos, lieux et événements que l’auteur à utilisé dans son roman, Lundja, youva, Mokrane, Jedi, jida. It-Wartirane, hammam de Sidi Yahya, Tizi-Ouzou. Les événements d’avril 1980, l’assassinat de Matoub Lounes en juin 1998 et le tremblement de terre du onze novembre 2000. Et nous allons illustrer cela par des extraits de notre corpus.

4-L’histoire dans la fiction

   L’auteur de ce roman tente d’éclairer la réalité à travers une fiction dans une œuvre littéraire, qui dit roman, dit fiction, alors, il n’évoque pas littéralement le réel, tel qu’il est mais il le fait en le recréant dans un monde fictif dans le but d’analyser les problèmes sociaux, ainsi la description prend un sens communicatif où la réalité est précisément décrite. Ensuite, le vocabulaire choisis est de haute importance pour expliquer et clarifier précisément les choses, où les noms et la parole à travers les personnages reflète la société à laquelle l’écrivain appartient.Enfin, l’auteur ne peut rester dans l’objectivité puisqu’il est dans la création mais si l’effet de la vraisemblance est recherché par une sorte de réalisme qui peindre un portrait parfait qui reflète qui la vie et la société réelle à travers une fiction et créer la relation entre l’histoire et les croyances, ainsi que la culture d’un peuple à travers la fiction. Après avoir expliqué et d’après ce que nous avons dit précédemment sur le réel à travers le fictif, nous allons tenter d’appliquer ces propos sur le roman La fiancée du soleil pour être en mesure de prouver que cette œuvre s’inscrit dans le courant réaliste. Dans La fiancée du soleil, l’auteur de cet œuvre raconte et décrit la vie et le mode de vie de la famille Kabyle en général, et la vie de la femme célibataire au sein d’une famille Kabyle. Cela tout en respectant des traditions et des mœurs qui sont comme des lois qu’il ne faudrait surtout pas enfreindre.

5-La modernisation thématique du mythe Anzar

  La thématique est une approche d’analyse ayant comme objet d’étude le thème, qui revient comme des leitmotivs. Elle s’intéresse au vécu et au préconscient de l’auteur. Le thème est relié au vécu de l’auteur où ce dernier a vécu un moment marquant dans sa vie et lui restera gravé dans sa tète, inconsciemment, il est obsédé par cet événement de sa vie, ce qui fait que sans ce rendre compte, il fait référence un des éléments que Gaston Bachelard a repris des philosophes de l’antiquité et qui sont l’eau, l’air, le feu et la terre. Et comme exemple on prend Gaston Bachelard lui-même, quand il parle du gaufre où il dit«Et déjà la gaufre était dans mon tablier, plus chaud aux doigts qu’aux lèvres. Alors oui, je mangeais du feu, je mangeais son or, son odeur jusqu’à son pétillement tandis que la gaufre croquait sous mes dents. »Selon Romano Luperini, « le thème est situé à la fois à l’intérieur de l’œuvre et au cœur de l’expérience et de la culture du lecteur : il fait partie d’un imaginaire largement répandu, aussi bien horizontalement, d’un pays à l’autre, que verticalement, d’un siècle à l’autre.» Ce qui signifie qu’il est en parfaite entente avec le principe de Gaston Bachelard. Ce dernier a divisé son étude du feu en trois parties : le feu originel, qui est l’origine du feu qui a marqué la vie de l’auteur comme par exemple, la gaufre chaude de Bachelard, la madeleine de Marcel Proust et le feu de l’amour et du désir de Novalis, qu’il a perdu avant même de l’avoir, dû à la mort de sa fiancée Sophie Von Kuhn. Ensuite le feu de la joie, qui est le plaisir vécu. Enfin le feu spirituel, citant comme exemple l’expression de Bachelard « manger du feu », ce qui dépasse le monde réel et la réflexion logique.

La quête identitaire

L’identité
L’identité est une notion conceptualisée dans plusieurs domaines et disciplines tel que la sociologie, la philosophie, l’anthropologie et les mathématiques. C’est d’abord ce qui représente et ce qui fait d’une personne, une personnalité reconnu par lui-même et par autrui, avec ses traits physiques, moraux ainsi que ses caractères culturels, cultuels, sociaux et communautaire à laquelle il appartient.La conception archétypale de l’identité apparaît dans l’un des paradigmes classiques de la science sociale : le culturalisme. Les sociologues culturalistes insistent sur le rôle décisif joué par des facteurs d’ordre culturel dans la formation des identités personnelles. Selon eux, l’identité d’un individu se réduit, pour l’essentiel, à l’identité de la société dans laquelle il vit. De ce point de vue, on peut dire qu’il n’existe pas à proprement parler d’identité personnelle. Il n’est que des identités sociales ou culturelles.Selon cette citation, l’origine de la notion d’identité comme axe d’étude anthropologique apparait dans l’un des courants usuel de la sociologie, le culturalisme, qui est un principe qui souligne l’influence prédominante de culture sur les personnalités des individus. Les sociologues culturalistes se focalisent sur le rôle capital engagé par des facteurs d’ordre culturel dans la création des identités personnelles. D’après les socio-culturalistes, l’identité de la personne se limite fondamentalement à l’identité de la communauté à laquelle il appartient.De cet avis, on pourrait conclure qu’il n’existe pas précisément d’identité personnelle, mais plutôt des identités sociales et culturelles.

Quête identitaire et conflits interpersonnel
« Des analystes de la relation interpersonnelle comme René Girard, Ronald Laing, Gregory Bateson ou Erving Goffman ont vu dans la quête de reconnaissance identitaire une des dynamiques fondamentales des relations interpersonnelles. Constatation fort bien résumée par les chercheurs de l’école de Palo Alto : Aussi étonnant qu’il paraisse, si elle n’avait ce pouvoir de confirmer un être dans son identité, la communication humaine n’aurait guère débordé les frontières très limitées des échanges indispensables à la protection et à la survie de l’être humain […]. Il semble bien que, indépendamment du pur et simple échange d’informations, l’homme a besoin de communiquer avec autrui pour parvenir à la conscience de lui-même (Watzlawick et coll., 1967, p. 84). « Cette quête de reconnaissance peut s’effectuer dans la réciprocité, l’échange et le respect mutuel, mais elle peut aussi s’inscrire dans la lutte, le conflit et la violence. C’est sur ce dernier aspect que je voudrais insister ici. »36 D’après Dominique Picard, selon l’école de Palo Alto, une école instituée pour travailler autour de la théorie de la communication et de la relation interpersonnelle. Fondée par Gregory Bateson qui est un anthropologue et ethnologue, Bertrant Russel, Norbert Wierner, John Von Neuman et bien d’autres théoriciens. Les chercheurs analystes de la relation interpersonnelle, tel que René Girard, Ronald Laing, Gregory Bateson ou Erving Goffman ont définit la quête de reconnaissance identitaire comme une balistique ou une mécanique essentielle et indispensable des rapports collectifs et les relations entre les individus.

L’émergence d’Anzar, sa flexibilité et son irradiation

Pierre Brunel propose trois lois de l’analyse mythocritique d’un texte, l’émergence, la flexibilité et l’irradiation.J’ai cru pendant quelques temps qu’on pouvait formuler des lois. Mais la littérature offre une autre résistance que la matière. Aujourd’hui je considère plutôt l’émergence, la flexibilité et l’irradiation des mythes dans le texte comme des phénomènes toujours nouveau, des accidents particulier qu’il est vain de vouloir capturer dans le filet de règles générales. La classification que je propose n’a elle-même pour but que d’apporter un peu de clarté et de fonder un mode d’analyse littéraire, la mythocritique.Selon Pierre Brunel, la formation des lois est évidente. Mais la littérature décide autrement, car elle impose le respect des principes dans le domaine. Alors P.Brunel trouve que la présence des mythes dans les textes littéraires est liée à l’émergence, la flexibilité et l’irradiation qui font d’eux des éléments nouveaux,des adversités particulière qu’il est anodin de convoiter la saisie dans le cadre des lois générales. La catégorisation qu’il suggère a comme objectif la clarification et le forgeage d’une méthode d’analyse littéraire qui la mythocritique.L’histoire commence avec la rencontre du personnage principal Lundja, qui incarne la beauté et la vénusté dans la culture berbère, avec l’eau, ça a commencé lors de la tombée de Lundja dans le puits d’eau, ce qui fait qu’il y avait interruption de la relation avec l’eau, qui incarne le Dieu de la pluie, parce que cet événement a faillit lui coûter la vie.D’autre part ça a donné naissance a une autre relation qui est était imprévisible, celle avec le soleil, qui lui a redonné espoir de vie après le cauchemar vécu la veille, elle se réveille avec le réconfort que lui offre le soleil des le début de la relation qui les réunissent avant quelle prennent de l’ampleur et se développe. « La caresse du soleil inonde le couloir de la villa. Je me réveille, sans réaliser encore. Etourdie, je veux me lever, c’est l’heure d’aller à l’école… » Au moment où Lundja ressenti une douleur, elle a remémoré les événements de la veille, elle a aussi prit conscience qu’elle est revenu de l’audelà et qu’elle a faillit y resté, elle avait prit la décision indiscutable et décisive, celle de la rupture avec l’Eau. Mais quelque part c’était réellement le début d’une histoire d’Amour avec le Soleil.

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Table des matières

Remerciements
Dédicaces
Introduction générale
1. L’identité mythique d’Anzar 
1.1. Mythe, conte et légende
1.1.1. Mythe
1.1.2. Conte
1.1.3. Légende
1.2. Anzar, des invariants aux variantes 
1.3. Anzar au 21
ème siècle, la symbolique d’une réécriture
1.4. L’histoire dans la fiction
1.5. La modernisation thématique du mythe Anzar 
2. Anzar, du mythe ethno-religieux au mythe littérarisé
2.1. La quête identitaire
2.1.1. L’identité
2.1.2. Quête identitaire et conflits interpersonnel
2.2. La tradition orale
2.3. L’émergence d’
Anzar, sa flexibilité et son irradiation 
2.3.1. L’émergence
2.3.2. La flexibilité
2.3.3. L’irradiation
2.4. La typologie du mythe
2.4.1. Les mythes d’initiation
2.4.2. Le mythe d’initiation dans
la fiancée du soleil 
2.4.3. Le mythe ethno-religieux
Conclusion générale
Références bibliographiques
Annexes

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