LA SCOLARISATION PAR LES LAZARISTES A MANOMBO-SUD DEPUIS 1900 JUSQU’EN 1972

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La croyance en Dieu chez les Vezo

Chez les Vezo, comme chez tous les malgaches d’ailleurs, la croyance en un unique Dieu nous a été affirmée. Mais, ne nous écartons spade la civilisation malgache qui donne beaucoup d’importance aux valeurs des pratiques ancestrales et des traditions.
En effet, la croyance en un Dieu créateurZanahary est ici affirmée. Pour s’adresser au « Zanahary », il faut passer par l’intermédiaire des ancêtresRaza. Le Hazomanga, le poteau rituel est l’endroit des sacrifices et des prières au Zanahary par l’intermédiaire des Raza. Le mpitan-kazomanga est l’officiant, le détenteur du « poteau rituel » ; personne d’autre que lui n’a pas le droit d’officier au Hazomanga du clan. Tous les grands évènements de chaque famille du clan doivent se passer au Hazomanga, moyennant un sacrifice de zébu ou de chèvre : funérailles, mariage coutumier, circoncision, … Le mouton est tabou pour les Vezo.
Le mpitan-kazomanga est à la fois l’officiant du culte des ancêtres et en même temps le lien qui unit les descendants d’une même lignée.ZENY Charles en 1983, a écrit : «le mpitan-kazomanga est le détenteur vivant des règlessocioculturelles qui régissent la grande famille. Il préside aux sacrifices offerts en honneur des ancêtres, règle les problèmes quotidiens et donne des bénédictions à ceux qui enont besoin. Ses paroles ont force de loi. Il enseigne aux jeunes, aussi bien qu’aux parents, la morale, sens civique et moral, les techniques et son expérience vécue. Tout l’héritageculturel du Fokonolona se trouve chez lui. ».
Cette fonction du mpitan-kazomanga était toujours restée immuable car, malgré le travail acharné du christianisme, le malgache fait toujours recours et en temps voulu, pour chercher appui à la force des puissances des ancêtres.
Le père Rémi RALIBERA dans ‘’Famille Malgache’’. Missi n° 10, 1970, p.315, avait à ce propos écrit : « Il est rare que les malgaches qui ont été christianisés aient complètement abandonné leur Hazomanga. Celui qui le ferait couperait son lien avec la famille, le clan et les dieux et n’aurait plus droit à être enterré dans le tombeau familial. C’est la pire des sanctions chez eux ».
Ce culte des ancêtres et le respect duHazomanga font partie de l’éducation de l’enfant Vezo. Ce culte des ancêtres n’exclue pas l’existence de ce Dieu créateur Zanahary, Etre suprême au-dessus des ancêtresRaza qui étaient des humains. Pratiquement, il reste à la population de manifeste r, à coeur ouvert, leur soumission auprès de cette image sacrée, un personnage ou un objet. Elle a le devoir de lui demander autorisation de quoi que ce soit dans la vie quotidienne. C’est habituellement le cas de la consultation du moment propice pour une quelconque activité (semence, construction de maison, cérémonie familiale, capture de poissons, … ), mais aussi et surtout la tenue d’une cérémonie telle que la circoncision et le mariage uiq doivent être réalisés suivant des règles traditionnelles et d‘organisations bien marquées à des moments précis dans l’année.
Par ailleurs, chez les sociétés de la côte sud-ouest malgache, ces dernières respectent la vie, le combat ne se présente que comme une sorte de sport, car la guerre ne prenait jamais un caractère sanglant. De ce fait, ni l’un, ni l’autre n’avait l’intention de nuire à son adversaire jusqu’au point de le tuer mais plutôt de s’accapare r de ses richesses, en hommes et terres ou en zébus. Comme nous le montre le Père ENGELVIN dans son ouvrage cité plus haut à la page 32 : « La guerre était un sport. On s’y exerçait sans grand risque. On se faisait la guerre parce qu’on se disputait les pacages plantureux et les boeufs étaient le butin convoité ».
Avant la présence des Européens dans cette région uoà Madagascar, l’arme utilisée n’était autre que la lance ou la sagaie. Introduit au milieu du XIX ème siècle, le fusil n’était pas bien apprécié par les combattants de la région. LePère ENGELVIN dans son ouvrage cité plus haut à la page 31 écrivait : « Avec de pareilles armes, on risquait de faire du bruit que de mal ». D’ailleurs, « lors de l’occupation française, on en saisit plus ieurs modèles postérieurs à 1818 ».

Le mariage chez les Vezo :

La notion du mariage existe partout sur la terre. Seulement, le rituel et l’expression de la liesse collective lors des festivités de célébration d’un mariage varient d’un groupe social à un autre, d’une société à une autre. Cette expression de la liesse collective lors des festivités de célébration d’un mariage peut évoluer avec l’évolution des mentalités jusqu’à l’adoption de termes tels que « mariage traditionnel » ou « mariage moderne ». La notion de « mariage moderne », apporté par la modernisation de l’administration et le christianisme, n’exclut pas le « mariage traditionnel » hérité des ascendants ncestraux.
Le rituel d’un « mariage traditionnel » suit des normes souvent immuables caractéristiques de la tradition d’un groupe social qui est souvent un clan pour le Sud Ouest malgache. Pour les Vezo du village de Manombo-sud, l’identité d’une jeune fille est partout la même car, en général, c’est sa mère ou sa grand-mère qui assure, dès son enfance, son éducation sur la base de la vie quotidienne et de la vie pratique surtout ce qui concerne les préoccupations habituelles de la future femme dont,et surtout, la conduite d’un ménage. La fillette Vezo est « préparée » pour le mariage. Jadis, le mariage était un « arrangement » des parents6, souvent sans que les futurs mariés n’en soient informés .Généralement, les futurs mariés acceptent le mariage car les paroles des parents sont sacrées. Contrairement à ce que l’on retrouve dans les sociétés traditionnelles d’agro éleveurs du Sud-Ouest malgache au sein desquelles la polygamie était pratiquée, les Vezo du littoral qui sont exclusivement des pêcheurs pratiquent quant à eux la monogamie. Cependant cette question de polygamie mérite d’être approfondie dans nos recherches futures.
Ce mot est d’origine Sakalava, l’ethnie riveraine d es Vezo et des Masikoro plus au nord, qui signifie « compensation en argent » : compensations des dépenses faites par les parents de la jeune fille pour l’élever, de la perte en main-d’œuvre qu’ils font en la cédant.
La question se pose sur l’adoption par les Vezo de cette tradition du fandeo apparemment d’origine Sakalava. Toutefois, le fandeo est resté dans la tradition des Vezo.
Lors de la demande en mariage, c’est la famille du garçon qui demande la fille moyennant une somme d’argent. Le cérémonial dufandeo est en fait un débat de prix qui peut perdurer quelques heures. Il ne s’agit pas d’une « vente » au propre sens du terme, parce que la jeune fille n’est pas une marchandise, mais plutôt une tradition, un passage obligé, à respecter, sans quoi le mariage n’est pas socialement et traditionnellement accepté. D’ailleurs, le sens d’origine du fandeo en tant que « compensation » n’a plus tellement de signification car l’argent est distribué par le père de la jeune fille à tous les chefs de lignées du clan, présents ou absents de la cérémonie.
Le Père Ambroise ENGELVIN, 1936, page 32, avait mentionné à ce propos : « Dès l’âge de nubile s’annonce, la fillette Vezo est ‘’p lacée’’ par ses parents, moyennant un honnête bénéfice, car ici, comme chez les peuplese dcouleur, c’est le mari qui achète sa femme ».
Le prix débattu est à la fois rang social, notoriété, respect du clan et fierté.
Le rituel du fandeo se terminera par des invocations religieuses, comme l’avait décrit le Père Ambroise ENGELVIN en 1936 dans ses écrits :« A l’occasion du ‘’fandeo’’ a lieu une cérémonie vaguement religieuse qui consiste enune demande faite par le chef de la famille à Zanahary ‘’Dieu’’ et aux ancêtres de protéger les nouveaux époux et de multiplier leur prospérité ».
Lors du fandeo, lorsque le rituel est fait dans la pure tradition, un zébu est également offert, pratique actuellement souvent abandonnée compte tenu de la cherté de la vie et remplacée par des boissons à consommer durant les festivités dufandeo.
Amener un zébu va contribuer encore plus au respectdu clan de la jeune fille et à la fierté. Généralement, ce zébu est sacrifié Hazomangaau. Le nouveau marié prend ensuite un peu de sang du zébu et marque le front et la poitrine de tous les hommes présents de la famille de sa nouvelle épouse en disant chaque fois «Hangery, hamany7 » : c’est le ala fady : suppression des interdits aux amants de causer ensemble devant les parents et les frères de l’épouse, permission des mariés de se montrer en public sans que personne n’en soit froissée.

L’histoire des missionnaires Lazaristes de Madagascar

Parmi les mouvements missionnaires de la congrégation, nous allons nous intéresser à celui de l’Abyssinie en Erythrée qui était à l’origine de celui de Madagascar et à celui de Madagascar lui-même jusqu’à la venue des Lazaristes à Manombo-sud.

D’Abyssinie à Fort Dauphin

Une des premières missions des missionnaires Lazaristes en Afrique est la mission d’Abyssinie en Erythrée. Pourtant, vers la fin du XIXème siècle, vers les 1890, l’Italie entreprenait sa campagne de colonisation de l’Erythrée et la présence de ces missionnaires européens gênait énormément les Italiens. Malgrée qu« Les lazaristes avaient en Erythrée une mission florissante », les missionnaires lazaristes européens de l’Abyssinie subissaient alors la persécution des colons italiens de l’époque qui voulaient plutôt des missionnaires italiens.
Dans « Le Christianisme dans le sud de Madagascar », p.520, nous avons pu lire à ce propos : « Considérant que la présence permanente des PèresLazaristes du vicariat apostolique d’Abyssinie en Erythrée tend à amoindrir l’autorité et la prestige du gouvernement italien de la colonie et est compatible avec la tranquillité publique, décrète : La pression des Italiens qui prenaient progressivement le contrôle du pays faisait que la mission lazariste devait renoncer à cette missio n d’Abyssinie. L’Italie occupait totalement l’Erythrée en 1896.
Le responsable chargé de cette mission lazariste d’Erythrée, Monseigneur Jacques CROUZET, le Vicaire Apostolique d’Abyssinie, fut parti le 24 octobre 1894, où il a déclaré sa démission pour rentrer en France. Le 4 février 895,1 tous les missionnaires lazaristes européens d’Abyssinie se retirèrent aussi.
Rappelons que la date de 1896 marque un grand tournant, non seulement pour l’histoire de l’Erythrée mais aussi pour celle de Madagascar. En effet, à cette date exactement, les Français ont colonisé Madagascar et ont commencé à le « contrôler militairement puis administrativement». Si bien que la cible des missionnaires lazaristes européens d’Abyssinie fut Madagascar et la mission lazariste expulsée d’Abyssinie avait la facilité de s’installer à Madagascar.
Dans « L’Evangélisation du sud de Madagascar », on nous décrit ceci: « ‘’Quand les hommes nous ferment la porte, Dieu nous ouvre très largement les fenêtres’’. Les Italiens lui fermèrent sans ménagement les portes de l’Abyssinie conquise, par les fenêtres de la providence, il s’envola vers Madagascar » .
Les premiers contacts de la mission lazariste avec Madagascar ne dataient pas de cette expulsion d’Abyssinie. Des lazaristes y ont été déjà passés depuis fort longtemps, entre 1648 et 1674, en particulier dans le Sud malgache. Nous n’avions pas pu retrouver des détails de cette première campagne missionnaire lazariste. Nous savons seulement que la première mission des Lazaristes au XVIIème siècle à Madagascar a été vouée à l’échec, même dessi auteurs n’acceptent pas le mot ‘’échec’’, car pour eux, c’étaient des circonstances particulièrement financières, politiques ou d’insécurité qui faisaient l’objet de leur départ.
Le mercredi 7 avril 1896, Monseigneur CROUZET mettait pieds à terre sur la plage de Fort Dauphin et redémarrait la mission lazariste deMadagascar.

La scolarisation avant l’arrivée des Lazaristes

Avant l’arrivée des Lazaristes, à l’époque précoloniale, l’éducation en Afrique consistait en des transmissions des héritages culturels traditionnels. Madagascar n’y fait pas exception. A Manombo-sud, chez les Vezo, les enfants étaient ainsi éduqués dans le système éducatif traditionnel du groupe clanique basé sur ’oralité. La tradition de l’écrit était pratiquement inconnue.

Le système éducatif traditionnel

L’éducation de l’enfant est en premier lieu assuréepar ses grands parents et par ses parents. Chaque message éducatif est oral, la plupart du temps suivi par des démonstrations pratiques. Les grands parents profitent souvent du soir autour du foyer pour exhiber oralement leur savoir-faire à leurs petits enfants. Cette éducation à la vie est souvent illustrée de contes.
ZENY Charles, dans « L’éducation de base à Madagascar de 1960-1976 », à la page 36, nous fait part de ceci : « l’éducation morale et civique se fait surtout le soir au coin du foyer. Le foyer est l’école où les parents donnent consciemment ou inconsciemment à l’enfant, par la pratique et l’exemple, sa formation ; en même temps, c’est le milieu où il se prépare à vivre dans une société dont les obligations et leslois gravitent autour du culte des ancêtres, du respect des anciens, de l’observation des usages et coutumes, de l’amour (…) du fihavanana ».
L’entourage de l’enfant a des influences sur son éducation. Des échanges entre enfants se font à la tombée des nuits de pleine lune, comme l’a ainsi continué ZENY Charles « de leur part, les enfants issus de différentes familles profitent la pleine lune pour faire leurs répétitions en s’échangeant de leurs savoirs diresrecueillis de leurs grands parents. »
L’enfant, en grandissant, est alors de plus en plus censé savoir et respecter les traditions et cultes ancestraux afin de pouvoir s’intégrer, sans difficulté dans la vie sociale. Dans le même ouvrage cité plus haut, à la page 35,ZENY écrivait : « Ainsi l’enfant sera éduqué à comprendre le sens des valeurs des traditions et à les respecter, à comprendre et à respecter l’ordre établi par les anciens, à comprendre et à défendre l’authenticité, habitudes et croyances de son propre groupe communautaire, à connaître et à aimer son pays. »
Outre cette transmission orale du savoir vivre, des us et coutumes et des traditions, le système éducatif établi par les aïeux pour les enfants prévoit également une formation professionnelle qui va faire la différence entre laformation de garçon de celle de la fille. En effet, chez les Vezo, le garçon est éduqué pour sucéder au métier de son père : la pêche. Par contre, pour la fille, à partir d’un certain âge, l ’éducation est prise en charge par la mère et les grand-mères, orientée surtout sur des préoccupations féminines telles que la gestion ménagère, l’hygiène, les soins des enfants,  Dans le cadre de la famille élargie clanique, tout adulte du village a le devoir d’éducation des enfants en assurant le suivi de leurs faits et gestes de tous les jours. Cette éducation par le « fokonolo », « … communauté villageoise qui à l’origine était un clan (ou parfois un lignage) de type patrilinéaire et patriarcal unissant un même territoire (fokontany) les descendants d’un même ancêtre (razana) dont latombe constitue le pôle mystique où le groupe vient retrouver sa cohésion » comme l’avait défini ZENY Charles dans le même ouvrage cité plus haut à la page 32, est en fait une intervention en masse que l’enfant va certainement sentir et recueillir comme étant l’intime enseignement du respect des normes sociales et du « fihavanana », la vie en société.
Cette éducation par la masse « fokonolo » est à la fois anarchique et utile. En effet, ce système éducatif ne contraint pas l’enfant à rester dans des domaines limités de savoir et lui donne une panoplie de choix pour mener sa future vie d’adulte. ZENY Charles, toujours dans le même ouvrage cité plus haut à la page 34, écrivait en effet à ce propos : « l’éducation traditionnelle villageoise ou fokonolienne est une éducation large pour ne pas dire anarchique. Elle se fait par la masse, pratiquement, sans programme autre que celui de la vie, sans examen, sans sélection, sans diplôme autre que ceux de la compétence au travail et de la capacité d’intégration dans la société. L’enfant hérite généralement sa profession du père qui l’a initié, ou du groupe social qui l’influence, mais il est toujours libre de choisir la profession qui lui convient suivent son intérêt etson aptitude. »

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Table des matières

PREMIERE PARTIE : LA PRESENTATION DE MANOMBO-SUD
CHAPITRE. I. L’ESPACE ET L’ENVIRONNEMENT
I.1. La localisation géographique et administrative :
I.2. L’accessibilité
I 3. La géographie physique
CHAPITRE II: LA POPULATION ET L’HISTOIRE DU PEUPLEMENT
CHAPITRE III: LES ACTIVITES SOCIOCULTURELLES
III.1. La croyance en Dieu chez les Vezo
III.2. Le mariage chez les Vezo :
DEUXIEME PARTIE : LA SCOLARISATION PAR LES LAZARISTES A MANOMBO-SUD DEPUIS 1900 JUSQU’EN 1972
CHAPITRE I : LA MISSION LAZARISTE DEPUIS SA CREATION JUSQU’A SON ARRIVEE A MANOMBO-SUD.
I.1. Histoire de l’origine de la congrégation Lazariste :
I.2. L’histoire des missionnaires Lazaristes de Madagascar
I.2.1. D’Abyssinie à Fort Dauphin
I.2.2. Le choix de Manombo-sud
I.2.3. Le Père BRUNEL
CHAPITRE II: LA SCOLARISATION DANS LE « DISTRICT » DE MANOMBO-SUD
II.1. La scolarisation avant l’arrivée des Lazaristes
II.1.1. Le système éducatif traditionnel
II.1.2. L’enfant Vezo et la société traditionnelle
II.1.3. L’apprentissage du garçon Vezo
II.2. Les débuts de l’enseignement à Manombo-sud
II.2.1. La vie quotidienne du Père Brunel à Manombo-sud
II.2.2. La stratégie d’évangélisation et de scolarisation chez les Lazaristes
CHAPITRE. III: LES DEBUTS DE L’ECOLE DU PERE BRUNEL
TROISIEME PARTIE : L’HERITAGE DE LA SCOLARISATION PAR LES LAZARISTES A MANOMBOSUD
CHAPITRE I: L’OBJECTIF COLONIAL
CHAPITRE. II: L’HERITAGE RELIGIEUX DE CETTE SCOLARISATION DES LAZARISTES
II.1. Des baptisés
II.2. Une foi chrétienne bien implantée
CHAPITRE III: L’« ECOLE DU PERE BRUNEL», UNE INSTITUTION DE RENOM
III.1. La réputation de l’« Ecole Père Brunel »
III.2. Quelques menaces à prévoir
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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