ACTIVITES AGRICOLES DES BANDA ET CONTRAINTES D’ISOLEMENT

LA SAVANE DU NORD DE BAMBARI : PAYS DE L’HERBE, PAYS DE L’ARBRE

Problématique

Le problème central ici, qui est d’ailleurs commun à toute la région est celui de la difficile cohabitation sur cet espace de l’agriculture et de l’élevage. Celle-ci se matérialise par des querelles, les empoisonnements du bétail, des affrontements, les tirs au fusil et ou aux flèches. Pourtant LE MASSON (1992), affirme que ces types de conflits étaient insignifiants en 1990. D’après lui, seulement 10% des éleveurs l’évoquaient à cette époque. Au vu des statistiques actuelles a ce sujet, il semble qu’il y ait eu une évolution rapide dans le sens d’une envenimation des rapports entre éleveurs et agriculteurs. De 1994 à 2000, 151 plaintes ont été déposées par les agriculteurs auprès du service des constats de la délégation régionale de Bambari. Ces conflits sont d’autant plus graves, qu’à plusieurs reprises ils ont provoqué des morts d’hommes de part et d’autre. Face à cette situation, nous avons voulu savoir pourquoi et comment, dans ce milieu à faible densité de population, en est-on arrivé à une telle situation.

Les populations Banda et Mbororo interrogées en 1998 lors du diagnostic global du (PRASAC), se rejettent mutuellement la responsabilité. Les premiers accusent les seconds de s’accaparer de leurs meilleures terres en y faisant paître leurs troupeaux ou en s’y installant définitivement, provoquant ainsi de fréquents dégâts aux cultures. En effet, avant l’arrivée des éleveurs, cette région était exclusivement peuplée de Banda. Ce groupe ethnique y demeure encore largement majoritaire de nos jours, et se considère toujours comme « propriétaire » de toutes les terres de la région ; terres héritées de leurs ancêtres. Pour la plupart des Banda, l’espace serait fini, envahi par les Mbororo et leurs troupeaux. Ces derniers seraient responsables de la baisse des rendements, et de l’éloignement des parcelles du village.

Quant aux éleveurs, ils rétorquent en revendiquant leur appartenance à cette région du fait de leur naissance, mais aussi des textes législatifs en vigueur qui leur confèrent systématiquement la nationalité centrafricaine. De plus, ils disposent d’une commune délimitée par l’Etat, dont la gestion leur est exclusivement réservée. Ils se plaignent de la multiplication des ligneux dans les pâturages et accusent les agriculteurs d’égoïsme, d’encombrement des pâtures, de vol et de massacre bétail, et surtout, de favoriser la propagation de l’Herbe du Laos (Chromolaena odorata), leur grand ennemi. Face à ce dialogue de sourds, plusieurs questions se posent : Comment peut-on parler d’espace fini dans une région à si faible densité de population ? Comment des Mbororo, normalement originaires de l’Afrique de l’Ouest sont-ils parvenus à se fixer dans cette région, et même pour certains d’entre eux, à y devenir des agents administratifs ? Qu’en est-il de la Commune d’élevage sur laquelle s’appuient ces éleveurs pour légitimer leur identité centrafricaine et leur appartenance à ce territoire que leur contestent les Banda ?

Pourquoi, malgré l’interdiction faite par l’administration aux Banda et aux Mbororo, dans le cadre de leurs activités respectives, de passer d’un secteur à l’autre, les éleveurs ont-ils tendance ces dix dernières années voire un peu plus, à migrer vers les zones agricoles, tout en sachant qu’elles leur sont interdites ? Et comment peut-on expliquer les réactions disproportionnées des agriculteurs, quand on sait qu’en dépit de rares cas graves, les dégâts causés par le bétail sont généralement de moindre ampleur ? Enfin, peut-on aujourd’hui, trouver des alternatives de gestion qui permettent une meilleure cohabitation de ces deux communautés dans cet espace agricole et pastoral à faible densité humaine ? Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre dans le cadre de cette thèse. Il faut également souligner que les problèmes nés de cette cohabitation conflictuelle sont d’autant plus délicats qu’ils ont des répercussions sociopolitiques et idéologiques, qui contribuent à les rendre inextricables. A titre d’exemple, en août et septembre 1998, une affaire de sabotage de champs par le bétail Mbororo, à 25 kilomètres au nord de Ngouyali, a été exploitée à des fins politiques, par des députés de l’opposition, qui ont rédigé une lettre au Président la République et à l’Assemblée Nationale, avec ampliation aux représentations diplomatiques. Dans cette lettre, ils dénonçaient la partialité des autorités administratives, et la pression du maire de la commune d’élevage de Ouro-Djafun sur ceux-ci, pour le règlement de cette affaire aux dépens des agriculteurs. A en croire certaines victimes, les agents qui ont eu à constater les dégâts auraient fait l’objet des menaces de la part des hautes autorités préfectorales, qui leur auraient reproché d’avoir dramatisé les faits. Dans ces conditions, que fait réellement l’Etat pour juguler les conflits ?

Objectif de l’étude

Ce travail a pour but de proposer une meilleure compréhension des sociétés agricoles (Banda) et pastorales (Mbororo) du Centre-Est de la République Centrafricaine et de leur mode de vie, par l’étude des rapports qui existent entre, elles et à leur espace, afin d’identifier les dysfonctionnements à l’origine des conflits. Nous chercherons ensuite à appréhender les hiatus existant entre la gestion globale des milieux, relevant d’organisations et de représentions coutumières, et les méthodes étatiques (modernes), ainsi que celles des structures de développement dont le caractère sectoriel et/ou ponctuel conduit à des dysfonctionnements des systèmes socio-spatiaux. La réalisation de ces objectifs nous permettra d’envisager les voies d’un développement local, qui s’articule à la fois sur la tradition et la modernité, ceci dans un territoire où production animale et végétale seront bien intégrées, avec des agriculteurs et éleveurs qui pourront s’entendre et se respecter mutuellement. Ceci étant, la présente étude sera agencée de la manière suivante :

– Dans la première partie il s’agira de présenter la situation humaine, économique, sociale et environnementale du Nord-Est de Bambari. Dans cette partie, seront inventoriés et analysés les différentes activités économiques, les sociétés locales, leurs pratiques et leurs rapports, puis les paysages et leur dynamique.

– La deuxième partie nous permettra d’analyser les différentes causes des dysfonctionnements et leurs conséquences.

– Enfin dans une troisième partie, nous essayerons de proposer des voies de solutions pour une meilleure cohabitation entre Banda et Mbororo, seule condition pour une gestion rationnelle des terroirs, et par conséquent une intégration de l’agriculture et de l’élevage, gage d’un développement local certain.

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Table des matières

INTRODUCTION
Cadre d’étude
Problématique
Objectif de l’étude
Approche théorique
Méthodologie
Echelles d’analyse
PREMIERE PARTIE : DEUX COMMUNAUTES D’USAGERS POUR UNE SAVANE
CHAPITRE I : UN PEUPLEMENT FAIBLE ET DISCONTINU
A . Situation actuelle de la population du nord est de Bambari Des populations rares et en archipel
Agriculteurs et éleveurs
a) Les agriculteurs : les Banda
1) Une organisation sociale fondée sur le primat de la famille
1) L’instance idéologique et politique pré-coloniale : une instance formée de castes
1) L’organisation sociale et politique actuelle
3) L’habitat en pays Banda d’aujourd’hui : entre modernité et rémanence des traditions ancestrales
b) Les pasteurs Mbororo
1) L’organisation sociale traditionnelle des Mbororo
a) Signification et fonction des lignages
b) Les chefs de lignage
2) L’organisation moderne de la société Mbororo
Les heritages de l’histoire
Mise en place de la population Banda
a) Les empreintes de l’esclavage
b) Les marques coloniales
1) Le portage et la cueillette du caoutchouc
2) L’ouverture des routes et ses conséquences
c) Les souvenirs de l’errance
Les Mbororo : peuple venu d’ailleurs et devenu Centrafricain
a) histoire de la migration des Mbororo en Afrique centrale
b) L’arrivée des Mbororo en République centrafricaine (1920-1924)
c) La conquête des plateaux du Centre-Est (1938-1940)
1) Les conditions sociales de l’installation des Mbororo
2) Le rôle de l’administration
Le partage administratif des territoires d’activités
Conclusion
CHAPITRE II : LA SAVANE DU NORD DE BAMBARI : PAYS DE L’HERBE, PAYS DE L’ARBRE
Une région de plateaux accidentés
Un climat favorable aux activités agropastorales
Les grands mécanismes du climat centrafricain
Le déroulement des saisons et leurs incidences sur les activités humaines
Donc, au rythme des saisons défilent les activités humaines (élevage et agriculture). Le climat s’associe également à la nature de la roche mère pour déterminer la nature des sols et de la végétation
Un milieu de savanes caracterise par sa fragilite
Types de sols et leur disponibilité
a) Nature et type de sols
b) Disponibilité et potentialités agronomiques
Une région de savanes herbeuses
La fragilité des milieux naturels
Conclusion
CHAPITRE III : ACTIVITES AGRICOLES DES BANDA ET CONTRAINTES D’ISOLEMENT
Une agriculture vivriere basée sur des techniques ancestrales
Généralité sur les cultures vivrières en Centrafrique
Les cultures vivrières à Ngouyali
a) Moyens de production
b) Techniques culturales et calendrier agricole
1) Un système agricole extensif
1) Un calendrier agricole organisé autour de la culture du coton
c) Une production en augmentation, mais difficile à chiffrer
B- Le coton : de la culture forcée à la culture boudée
1) Le coton : un héritage colonial
Des travaux coûteux en temps et très mal rémunérés
C- Les activités extra-agricoles : survivances ou stratégies modernes de survie
1) La chasse
2) La pêche
3) La cueillette
d) LA collecte des produits et L’acces au marché
La commercialisation du coton
La difficile commercialisation des produits vivriers
Isolement et marginalité : un sérieux handicap au développement
L’intervention de l’Etat : un échec
Conclusion
CHAPITRE IV : LES ACTIVITÉS D’ELEVAGE : MUTATIONS ET DIFFICULTES
Situation de l’élevage dans le Nord-Est de Bambari
L’élevage bovin
a) L’élevage transhumant Mbororo
1) Un cheptel aux effectifs mal connus
2) Calendrier saisonnier des activités pastorales
3) La transhumance
b) L’élevage sédentaire Banda
2) Le petit élevage
Des conditions de pratique de l’elevage difficiles
1) Des conditions sanitaires précaires
2) Une faible mise en commerce des produits de l’activité
3) La pression grandissante des autorités administratives et traditionnelles
4) Une insécurité grandissante : la menace des “Zaraguinas
Conclusion
Conclusion partielle
DEUXIEM PARTIE : ENJEUX ET STRATEGIES D’APPROPRIATION
CHAPITRE V : L’ESPACE COMME ENJEU : REPRÉSENTATIONS ET MODES D’APPROPRIATION PAR LES DEUX COMMUNAUTÉS D’USAGERS
le sentiment d’un espace qui se “restreint” : représentations et pratiques spatiales
la terre banda
Un territoire Banda : représentations et pratiques
Les limites de l’espace Banda
Modes d’appropriation de la terre chez les Banda
la terre chez les Mbororo : de l’espace illimité à l’espace approprié
Les Mbororo : gens des espaces infinis
La pratique pastorale comme mode d’appropriation de l’espace chez les Mbororo
D – L’affrontement entre les modes d’appropriation traditionnelle de l’espace et le droit moderne
La législation moderne
a) La législation foncière coloniale
b) La législation foncière nationale : « pâle » copie de celle de l’époque coloniale
L’anarchie comme conséquence des contradictions entre logiques d’appropriation de l’espace
Conclusion
CHAPITRE VI : LES CONFLITS ET LEURS CONSEQUENCES
Les conflits : réalité ou fantasme
Une réalité inquiétante
Les différentes formes de conflits
a) Les affrontements entre agriculteurs Banda et éleveurs Mbororo
1) Les dégâts aux cultures situées dans la zone agricole
2) Les dégâts aux cultures sur les champs en zone d’élevage
3) Les vols et l’abattage du bétail
b) Les querelles entre les agro-éleveurs Banda et les agriculteurs
1) Dommages causés par les boeufs de traits
2) Pratiques de sorcellerie ou de magie sur la parcelle d’autrui
3) Les litiges concernant l’occupation illégale d’une parcelle en jachère
c) Les querelles entre éleveurs Mbororo
d) Les conflits de compétence entre autorités traditionnelles Banda et Mbororo
Les conséquences des conflits
Un espace disputé : stratégies et enjeux fonciers
a) La course à la propriété et la remise en question des règles foncières traditionnelles chez les Banda
b) Népotisme et recul de la solidarité chez les Mbororo
Une explosive tension sociale latente
Des autorités politico-administratives et judiciaires en perte de crédibilité
a) Une justice à double vitesse
b) Autorités politiques et administratives : « La politique du ventre »
Un développement rural en panne
a) Les difficultés de l’association agriculture-élevage
b) Une population de plus en plus pauvre
Conclusion
CHAPITRE VII : LES CAUSES DES CONFLITS
Les stratégies territoriales chez les Banda
Une migration vers le nord antérieure à la création de la commune d’élevage et au zonage.
Un mode d’exploitation agricole inadapté et des techniques mal maîtrisées
a) Changements de mentalités et persistance des habitudes traditionnelles
b) La culture attelée : un bilan mitigé
1)Bref rappel historique
1)La culture attelée, une innovation dangereuse ?
C) La fragilité des sols de la région
L’élevage et les dégâts aux cultures : réalité ou prétexte ?
a) Bilan des dégâts aux cultures occasionnés par le bétail et des conflits en résultant
b) Des responsabilités partagées
1) L’élevage bovin paysan naissant : une pratique qui pose problème
2) La dévastation des champs par le bétail Mbororo, des situations réelles mais aux conséquences limitées
Mutations de l’environnement pastoral et stratégies de conquête territoriale
1 . Un environnement pastoral en pleine dégradation
a) L’évolution des ressources pastorales
1) L’évolution des pâturages de Ngouyali
2) L’évolution des pâturages sur l’ensemble de la zone d’étudeb) Les causes de la dégradation des pâturage
1) Migration, accroissement démographique et surpâturage
1) Des pratiques pastorales de plus en plus inadaptées
1) Les responsabilités de l’administration
La conquête des pâturages de la commune agricole : fuite en avant, nécessité, ou stratégie d’appropriation ?
a) La recherche de nouveaux pâturages : une nécessité
b) Le refus des Mbororo de faire face aux réalités actuelles
c) Une stratégie de conquête territoriale
1) Les arrangements avec les autorités locales et les leaders d’opinion
2) Les « raids » en zone agricole
d) Répartition des éleveurs Mbororo dans la zone agricole
Conclusion
Conclusion partielle
TROISIEME PARTIE : QUELLES SOLUTIONS POUR UNE MEILLEURE GESTION DE L’ESPACE ET UNE INTEGRATION DE L’AGRICULTURE ET DE L’ELEVAGE
CHAPITRE VIII : L’ETAT ET L’ORGANISATION DES ESPACES AGRAIRES
histoire de la politique de gestion de l’espace en République Centrafricaine
Gestion pré-coloniale : la nécessité de composer avec la nature
L’organisation coloniale de l’espace : une démarche motivée par des objectifs économiques et politiques
L’Etat centrafricain et la gestion de l’espace : une reproduction du modèle colonial au Nord Est de Bambari, une politique basée initialement sur la partition de l’espace entre agriculture et elevage : 1965-1970
a) Les causes de la partition de l’espace
1) L’augmentation du cheptel bovin
2) Les dégâts aux cultures
b) La partition de l’espace entre les activités agricoles et pastorales
1) Les étapes de la partition spatiale des activités
2) Les conséquences de la partition : un espace aux limites figées
c) Les actions d’aménagement accompagnant la partition dans la zone d’élevage
1) Les actions d’assainissement des pâturages et d’équipement vétérinaire
2) Les aménagements des infrastructures
a) Le désenclavement de la commune de Ouro-Djafun
b) Le développement des équipements sociaux
les ZAGROP, puis les UP : une reorientation de la politique de gestion de l’espace
Les zones d’actions agropastorales
a) Contenu et finalité du concept de ZAGROP
b) Unité spatiale et catégories d’éleveurs impliqués
c) Transhumance et gestion pastorale
d) Bilan du concept et de la mise en place des zones d’actions agropastorales
L’Unité agropastorale de Gbotolo
a) Objet de l’unité agropastorale
b) Création et évolution de l’Unité Pastorale
c) Organisation socio-spatiale des activités
Conclusion
CHAPITRE IX : LES OBSTACLES A LA COHABITATION AGRICULTURE / ELEVAGE AU NORDEST DE BAMBARI
L’égo de certains membres des deux communautés
La soif de prestige des autorités locales Mbororo et Banda.
Le rôle néfaste des devins et marabouts
L’influence des grands commerçants musulmans et des “leaders d’opinion” des deux communautés
Les difficultés de l’etat et le manque de volonté politique
Un Etat confronté à de graves problèmes socio-économiques et politiques
Les carences du système administratif et le manque de volonté politique
Le manque de dynamisme économique
Faible niveau d’instruction de la population, carence des infrastructures sanitaires et problème d’acquisition de nouvelles technologies de production
L’infrastructure routière peu développée limite l’accès aux marchés et à l’information
Bambari : une capitale régionale en perte de vitesse
Conclusion
CHAPITRE X : LES POSSIBILITES DE COHABITATION AGRICULTURE/ELEVAGE
A- De timides prémisses d’intégration socio-économique
Une interdépendance économique
2- La lutte contre l’insécurité et l’aspiration de tous à la paix
La transformation de la mentalité des jeunes
L’école moderne
L’influence des marchés et des villes
Conclusion
CHAPITRE XI : POUR UNE MEILLEURE INTÉGRATION AGRICULTURE/ELEVAGE DANS LA REGION
A- La nécessité d’une réforme foncière
Intérêt d’une réforme foncière
Typologies des réformes possibles
a) Fusion des deux communes en une commune agropastorale
b) La libéralisation des activités agricoles et pastorales dans toutes les zones
B- Décentralisation des institutions politico-Administratives et démocratisation des modalités de prises de Décisions
Le renforcement des autorités locales démocratisation des modalités de prise de décisions et nécessité de la mise en place d’une institution de cogestion
a) La démocratisation des modalités de prise de décisions
b) La mise en place d’une institution de cogestion
C- la nécessité de promouvoir la croissance économique
La nécessaire amélioration de la collecte des produits agricoles
L’aide aux agriculteurs et aux entreprises de collecte : un élément incontournable l’appui aux collectivités locales
Accroître les opportunités et l’accès aux services
Conclusion
Conclusion partielle
CONCLUSION GÉNÉRALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
TABLE DES DOCUMENTS
TABLE DES MATIERES

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