La récolte, vie verte et durée de vie commerciale

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Aperçu général de la filière

L’aperçu général de banane, ce n’est que son exposition en général et en détail. Dans cette sous section, nous parlons son aspect extérieur et intérieur. Nous allons mentionner aussi son écologie pour illustrer pourquoi choisissons-nous la régions de Mahanoro comme lieu d’exploitation.

Exposé de la filière

Le bananier est avant tout, une plante alimentaire, cultivé pour son fruit qui peut être consommé à l’état frais ou sous forme de banane séchée. La pulpe de banane, après déshydratation, peut être transformée en farine qui sert à l’alimentation des enfants. La banane sert également à fabriquer de la bière, du vinaigre, de l’alcool…
Tous les bananiers possèdent des longues fibres dans les gaines des feuilles. La plantation de « l’abaca  » (ou bananier textile : Musa textiles) permet d’obtenir des fibres connues sous le nom de « Chanvre de Manille  » utilisées pour les cordages des navires, les sacs, les tissus grossiers…. Les fibres les plus courtes servent à la fabrication de la pâte à papier.
Les bananiers cultivés actuellement (cultivar) proviennent de bananiers sauvages à graines trouvés en Extrême-Orient, Asie Sud Orientale, Archipel malais et Philippines. Les cultivars se sont répandus dans toutes les zones intertropicales humides et chaudes.
Le bananier est une herbe géante de la famille des Musacées dont la taille varie de 1,50 à 8m selon les espèces (voir : Figure 1 ANNEXE I). D’une souche secrète vivace, globuleuse (0,30 à 0,60m de diamètre) appelée aussi rhizome ou bulbe, germent de longues feuilles de dimensions croissantes.
Leurs gaines se mélangent, de par une phyllotaxie spirale, pour former le pseudo tronc (ou faux tronc). Les termes de tronc et d’arbre sont inadaptés pour les Musacées. Les gaines de feuilles strictement imbriquées les unes sur les autres s’épaississent en pétioles, se prolongeant en nervure centrale séparant le vaste limbe en deux parties sensiblement égales.
La tige se développe à l’intérieur du faux tronc. La croissance interne dure environ 3 mois, au cours desquelles les dernières feuilles différenciées sortent extérieurement (une feuille par semaine), puis le bourgeon floral sort c’est la floraison, (voir : Figure : 2 ANNEXEII).
L’inflorescence après sa sortie se recourbe vers le sol, pour les cultivars et certaines espèces. Les bractées (spathe violacée) tombent les unes après les autres, les fruits se redressent et se courbent. Ils s’allongent puis grossissent durant 3 mois environ. Une tige ne peut donner qu’une seule inflorescence. La vie d’une tige est de 10 – 14 mois. Grâce à la succession végétative, une bananeraie peut durer des dizaines d’années.

Écologie

Le bananier est une plante exigeante en eau, sensible aux basses températures et aux vents, les sols doivent être sains, aérés et riches en azote et potasse.
Besoin en eau : Les besoins du bananier sont de l’ordre de 125 mm par mois dans les zones à atmosphère humide et de 180 à 220 mm pour les régions à air sec et qui ont plus de vents desséchants.
Un excès d’eau est préjudiciable au bananier et inversement la sécheresse peut avoir des conséquences néfastes, les gaines n’atteignent pas leur longueur normale, les pétioles sont très rapprochés les uns des autres.
Les bananiers se défendent contre des déficits momentanés en repliant les demi-limbes des feuilles, mais résistent mal à une sécheresse prolongée de plus d’un mois. Le pseudo- tronc peut alors se casser.
Besoin en altitude : L’activité de la plante est réduite quand la température est inférieure à 16°C. Il conviendra de planter dans la zone d’altitude où la température n’atteint pas ce seuil ; 0 à 400m d’altitude peut être considérée comme limite.
Besoin en température : La température optimale à l’intérieur du pseudo-tronc vers sa base est de 28°C. Dans les zones où la température varie de 25 à 30°C, sa vitesse de croissance est optimale. En dessous de 25°C, cette vitesse diminue lentement (jusqu’à 20°C) puis de plus en plus vite. Elle s’annule à 11°C. En dessous de 12°C les fruits sont endommagés (tirets noirs en coupe longitudinale appelés frissure ou pigmentation). Les échanges gazeux sont ralentis et la maturation est difficile. Le phénomène se produit en champ, mais aussi au cours de transport. A des températures plus basses, les bananes sont déformées et se nécrosent.
À des températures de 4 à 6°C, les feuilles jaunissent. Celles du bananier  » Nain  » résistent un peu mieux que celles du  » Poyo « . La souche ne meure que par le gel.
Cette plante herbacée se plaît dans une zone comprise entre 30°C de latitude au Nord et au Sud de l’Équateur. Elle nécessite donc un climat chaud, d’une température moyenne optimale de 25°C et humide. Or, le bananier craint la sécheresse ; ainsi, 120 mm à 160 mm de pluie par mois, tout au long de l’année, seraient les conditions idéales.
Besoin en lumière : Un déficit important de lumière agit sur la longueur des organes qui est augmentée (feuilles,…). La luminosité joue très peu sur la croissance du bananier. Cependant, une insolation brutale avec déficit hydrique provoque des palissements des limbes puis des nécroses (brûlures), les jeunes bananes sont également sensibles.
Besoin en sol : La racine du bananier manque de puissance, elle est fragile. Il importe donc que les racines et le bulbe puissent se développer dans les meilleures conditions : sol meuble, bien aéré. Le manque de structure, le mauvais drainage, la compacité sont des défauts graves.
La racine ne supporte pas l’eau stagnante. Les sols ayant un horizon durci ou gravillonnaire et ceux dont le plan d’eau est trop superficiel sont à éviter. La nappe doit se trouver au moins à 80 cm. Le pH est de 5,5 à 6,5. Le bananier a des besoins importants en azote et en potassium. Les besoins en Phosphore, Calcium et Magnésium sont faibles. Le bananier peut supporter une légère salinité des eaux.
Brise-vent : Le vent est facteur climatique de grande importance, son moindre effet est de provoquer une transpiration anormale par réouverture des stomates. Le dommage le plus généralisé est la lacération des limbes. Les vents violents amènent toujours des accidents directs considérables, soit en brisant les feuilles aux pétioles, soit en cassant les faux troncs. Ainsi, il est indispensable d’entourer la parcelle de brise-vent et dans les parcelles plus vastes des brise-vent intercalaires doivent être mis en place.

Choix de cultivars

Madagascar est vulgarisé dans les différents zones de production du littoral Est de l’Île, les variétés de grandes productions dites « batavia » appartenant au groupe de variétés Cavendish et se trouvent entre deux variétés extrêmes :
La variété « Dwarf Cavendish » ou variété de bananiers nains appelés vulgairement «Sinensis » ou encore Hiva en malgache. Et la variété de bananiers géants dite « Lacatan » ou Ambo. Entre ces deux variétés extrêmes existent toute une gamme de variétés de bananiers intermédiaires du type « Giant Cavendish » très connu sous le nom de « Poyo » dans les pays francophones ou « Tsy Ambo tsy Hiva » à Madagascar.
Quatre de ces variétés Cavendish ont été surtout mises en valeur et continuent de l’être encore aujourd’hui sur tout le territoire national, en particulier dans les zones du littoral Est de l’Île. Et sans entrer dans la caractérisation morphologique systématique de ces variétés, citons :
– Le type « Petite Naine » ou Hiva.
– Le type « Sélection » dite « Américaine tsy Ambo tsy Hiva ».
– Le type « Poyo tsy Ambo tsy Hiva ».
– Le type « Lacatan », Ambo.
Plusieurs aspects distinctifs les différencient les unes aux autres. Et les productions de bananes d’exportation qui ont fait la réputation de Madagascar par suite de leurs dimensions, calibres, finesse, goût et arômes particulièrement agréables, en un mot leur qualité, résultent de ces deux dernières variétés, « Poyo tsy Ambo tsy Hiva » et « Lacatan Ambo ».

A nalyse de consommation locale

Il s’agissait de consommation de bananes non destinée à l’exportation. La réflexion a englobé tous les types de bananes et bananes plantains cultivés pour la consommation locale, et le terme « banane » est donc utilisé en référence à une large diversité de types différents, incluant la banane plantain. Mais la banane que notre entreprise voudra exploiter, ne s’agit pas de banane plantain. La population malgache est une grande consommatrice des fruits surtout parce que les bananes ont l’avantage d’être disponible durant toute l’année sur les étals des marchés urbains (sur le marché local, régional, national), sans que la qualité offerte varie d’une saison à l’autre. Elle les soit à manger mûre soit à manger cuire (banane à cuire ou banane plantain).
Subséquemment, le Sommet mondial de l’alimentation de 1996 a étudié les rapports entre le commerce et la sécurité alimentaire. On considère que la banane est une sécurité alimentaire. La plupart des paysans producteur de banane malgache (les agriculteurs) ont choisi pour la production de banane prêt à vendre sur le marché local (marché intérieur) en tant que culture de revenu ou destinées à leur propre consommation, ou au marché intérieur, au lieu de cultures vivrières de base destinée à l’exportation. De ce fait, presque tout les produits sont destinés au marché intérieur, c’est-à-dire les 200000 tonnes production des bananes.

P ays importateurs des bananes

La consommation de bananes a un succès puisque la banane est l’un des fruits de consommation courante dont la demande en frais est accrue en Europe au cours des années 1980. Ainsi, la consommation moyenne des douze États membres de l’Union Européenne est passée de moins de 7 kg par an par habitant à près de 9,5 kg par an par habitant. La banane est dorénavant l’un des fruits les plus vendus sur les marchés occidentaux. Premier fruit dégusté en Allemagne, elle est également les fruits le plus vendus en libre service en France, avec une moyenne de 20% du chiffre d’affaires du rayon concerné. La combinaison de plusieurs facteurs, de même sur le plan économiques que sociologiques explique cette réussite.
Le marché se concentre aux États-Unis et dans les pays de l’Union européenne dont notamment l’Allemagne, la France et le Japon. Ces deux dernières années, c’est à dire de 2002 au 2003, l’on a vu que Madagascar se tourne beaucoup vers des pays à la tradition économique anglo-saxonne et l’Allemagne en fait partie. Des opérateurs allemands étaient même en terre malgache pour des prospections économiques. Dans ce cas, il y a une opportunité à saisir sur le marché allemand. Le Japon et le Canada aussi importent des volumes non négligeables de bananes. Ce marché en pleine croissance est dominé par des pays de l’Amérique latine. Mais il n’y a pas que pour les produits bio frais. La banane transformée a aussi son marché. Mais comme pour tout produit biologique, il faut une certification qui coûte cher. Cela n’empêche pourtant pas des opérateurs d’exporter des produits biologiques.
Alors, les cibles de l’entreprise sont : les européens surtout l’Allemagne parce qu’il détient la deuxième place de l’importation de bananes avec 1. 182.530 tonnes en 2003.

A nalyse quantitative des besoins des pays importateurs

On prend comme exemple la situation de l’importation de bananes en France. Elle est le troisième (3ème) fruit consommé en France derrière les pommes et les oranges. Malgré, une progression régulière des achats de bananes depuis 1980, la consommation moyenne par habitant demeure stable à 7,4 kg par an (environ 400000 tonnes au total) Mars, Avril, et Mai sont les mois de plus forte consommation, les achats des ménages baissant très sensiblement de Juin à Septembre. Les prix moyens à la consommation affichent une baisse régulière de 1991 à 1993 (de 11,20 FF à 7,90 FF c’est-à-dire 1,68 Euro à 1,86 Euro), année de la mise en place de l’OCM (Organisation Commune de Marché) qui ouvre le marché français à la concurrence des bananes dollar.
Comme pour de fruits et légumes, la part de marché des hypermarchés a effectué une bonne spectaculaire de 22,20% en 1988 à 33,80 en 1993. La position des supermarchés, plus stables progresse de 34,6% à 37,7%. Avec plus de 70% de part de marchés, la distribution moderne occupe donc une position particulièrement forte sur la banane.
Tous les autres circuits affichent une régression sensible (superettes, petits libres services traditionnels, primeurs…) quant aux marchés, ils perdent le tiers de leur activité banane et ne livrent plus que 13% des achats des ménages.
Quant en Allemagne, la banane revêt même une certaine valeur symbolique, puisqu’elle fut le premier fruit exotique à être introduit sur le marché après la période autarcique de la 2ème guerre mondiale. Ces qualités ont permis d’accroître la demande dans la plupart des pays développés. Toutefois depuis le début des années 1990, certains marchés à haut niveau de consommation (Allemagne) semblent saturer. Les plus dynamiques sont situés où les niveaux de revenus augmentent rapidement (Portugal).

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Table des matières

MINTRODUCTION
PARTIE I I DENTIFICATION DU PROJET
C HAPITRE I- PRÉSENTATION DU PROJET
S ection 1- Présentation du produit
1 .1- Historique
1 .2- Composantes nutritionnelles
S ection 2- Caractéristiques du projet
2 .1- Aperçu général de la filière
2 .1.1- Exposé de la filière
2 .1.2- Écologie
2 .2- Choix de type de banane
2 .2.1- Variétés
2 .2.2- Choix de cultivars
2 .3- Environnement du projet
2 .3.1- Le milieu naturel
C HAPITRE II- L’ÉTUDE DU MARCHE
S ection 1- Descriptions du marche
1 .1- Marché local ou intérieur
1 .2- Marché extérieur ou exportation
S ection 2- Analyse de l’offre
2 .1- Analyse de consommation locale
2 .2- Exportation de bananes
S ection 3- Analyses de la demande
3 .1- Pays importateurs des bananes
3 .2- Analyse quantitative des besoins des pays importateurs
3 .3- Critère choix des consommateurs
S ection 4- La concurrence
4 .1- La concurrence sur le plan local
4 .2- La concurrence sur le plan international
4 .3- Stratégie marketing adaptée pour la lutte contre la concurrence
C HAPITRE III- THÉORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITÈRES D’ÉVALUATIONS
S ection 1- Les outils d’évaluation
1 .1- La valeur actuelle nette (V.A.N)
1 .2- Le taux de rentabilité interne (T.R.I )
1 .3- Le délai de récupération des capitaux investis (D.R.C.I)
1 .4- L’indice de profitabilité (I.P)
S ection 2- Les critères d’évaluation du projet
2 .1- La pertinence
2 .2- L’efficacité
2 .3- L’efficience
2 .4- Durée de vie de projet
PARTIE II L A CONDUITE DE LA PRODUCTION DE BANANES
C HAPITRE I- LA TECHNIQUE DE PRODUCTION
S ection 1- Identification des matériels
1 .1- Matériels et équipements techniques
1 .1.1- Matériaux de construction
1 .1.2- Matériels d’emballage et de conditionnement,
1 .1.3- Matériels et intrants agricoles et autres
1 .1.4- Matériels de transport
1 .2- Matériels et équipements de bureau
1 .2.1- Matériels et mobilier de bureau et matériels informatiques
1 .2.2- Installations téléphoniques
S ection 2- Techniques de production envisagée
2 .1- Techniques de plantations à la récolte
2 .1.1- Techniques plantations de bananier
2 .1.2- Techniques d’entretiens
2 .1.3- La récolte, vie verte et durée de vie commerciale
2 .2- Acheminement des rejets et transport des régimes
2 .2.1- Acheminement des rejets vers le lieu de plantation
2 .2.2- Transport des régimes vers le centre de conditionnement
C HAPITRE II- LA CAPACITÉ DE PRODUCTION ENVISAGEE
S ection 1- Évolutions de production et du chiffre d’affaires
1 .1- Évolution de production
1 .2- Évolution de chiffre d’affaires
S ection 2- Aspects quantitatifs et qualitatifs
2 .1- Pour les produits à exporter
2 .1.1- Quantités des productions vendues
2 .1.2- Caractéristiques qualitatives des fruits
2 .2- Commercialisation locale
2 .2.1- Quantités des productions vendues
2 .2.2- Qualités des productions envisagées
S ection 3- Les différents facteurs de production après la récolte
3 .1- Processus de production après la récolte
3 .1.1- Au centre d’emballage et de conditionnement
3 .1.2- Travaux d’entretiens et récoltes
3 .2- Transports des produits
3 .2.1- Pour la commercialisation locale
3 .2.2- Pour l’exportation
C HAPITRE III- L’ÉTUDE ORGANISATIONNELLE
S ection 1- Organigramme
1 .1- Définition
1 .2- La représentation de la structure de l’entreprise
1 .3- qaLa gestion du personnel
S ection 2- Organisation du travail
2 .1- Description des tâches au niveau de la direction (les trois premiers échelons)
2 .2- Description des tâches au niveau de quatrième échelon
2 .3- Description des tâches au niveau de cinquième échelon
S ection 3- Chronogramme
3 .1- Au niveau de fonction de production (technique)
3 .2- Au niveau de fonction commerciale
PARTIE III L’ÉTUDE FINANCIÈRE D U PROJET
C HAPITRE I- MONTANTS D’INVESTISSEMENT
S ection 1- Coût d’investissement
1 .1- Détails de coûts
1 .2- Récapitulations
S ection 2- Tableau d’amortissement
2 .1- Définition
2 .2- Élaboration
S ection 3- Plan de financement
3 .1- Définition
3 .2- Élaboration
S ection 4- Tableau de remboursement des dettes
S ection 5- Les comptes de gestion
5 .1- Comptes des charges
5 .2- Comptes des produits
C HAPITRE II- ÉTUDE DE FAISABILITÉ
S ection 1- Les comptes de résultat prévisionnel
S ection 2- Le plan de trésorerie
S ection 3- Le tableau des grandeurs caractéristiques de gestion
S ection 4- Le bilan prévisionnel
C HAPITRE III- ÉVALUATION DU PROJET
S ection 1- Évaluation économique
1 .1- Création de la valeur ajoutée
1 .2- Privilège sur le plan économiques
S ection 2- Évaluation financière
2 .1- Selon les outils d’évaluation
2 .1.1- La valeur actuelle nette (VAN)
2 .1.2- Le taux de rentabilité interne (TRI)
2 .1.3- Le délai de récupération du capital investi (DRCI)
2 .1.4- L’indice de profitabilité (IP)
2 .2- Selon les critères d’évaluation
2 .2.1- La pertinence
2 .2.2- L’efficacité
2 .2.3- La durée de vie
2 .2.4- L’impact du projet
S ection 3- Évaluation sociale
3 .1- Création d’emploi
3 .2- Développement social de la région
CONCLUSION GÉNÉRALE

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