Les avantages et les limites de la pédagogie par projets

Qu’est-ce que la pédagogie par projets ?

La pédagogie par projets est une pratique de pédagogie active. Celle-ci a pour but final une réalisation plus ou moins complexe, mobilisant savoirs, savoir-faire et savoir-être.
Pour ce faire et pour mener à bien le projet choisi, les élèves expérimentent et doivent trouver la solution à un problème, ce qui génère des apprentissages. Cette pédagogie est généralement perçue comme donnant plus de sens à ce qui est enseigné notamment du fait qu’il y ait une réalisation concrète par les élèves, qui part de leur vécu ou qu’ils peuvent retrouver dans leur vie quotidienne.
La pédagogie active se définit comme une « activité motrice et intellectuelle de l’élève, qui est le principal catalyseur du développement et de la structuration de ses savoirs, de ses habiletés et de ses attitudes ».
Pour définir la pédagogie par projets, je m’appuierai sur les propos de Jean PROULX : c’est un « processus systématique d’acquisition et de transfert de connaissances au cours duquel l’apprenant anticipe, planifie et réalise, dans un temps déterminé, seul ou avec des pairs et sous la supervision d’un enseignant, une activité observable qui résulte, dans un contexte pédagogique, en un produit fini évaluable. »
Ainsi, la pédagogie par projets est un enseignement centré sur l’élève. Il me semble important de souligner que, dans une pédagogie par projets, les élèves décident de l’activité à réaliser, et le maître ne devient alors qu’ « un accompagnant » . Comme le souligne Philippe PERRENOUD, la démarche de projet n’est jamais anodine puisqu’elle permet de laisser plus de « pouvoir » aux élèves et de donner du sens aux apprentissages.
Cependant, très souvent, il n’y a que peu de temps entre le début du projet et la réalisation du produit fini. Ainsi, il n’est pas rare que ce soit l’enseignant qui propose lui-même le projet.
Pour compléter mes recherches quant à la pédagogie par projets, j’ai décidé de proposer un questionnaire (voir annexe I) à une cinquantaine d’enseignants (51 exactement). Sur ces derniers, 44 ont déjà mis en place un projet dans leur classe. 68,2% ont proposé eux-mêmes le projet aux élèves contre 22,7% ayant influencé les élèves pour qu’ils apportent le projet à réaliser.
Cette pédagogie est populaire chez de nombreux enseignants. Cependant, elle n’est que peu souvent mise en place puisque celle-ci demande un fort investissement de la part de l’enseignant, mais aussi du temps. En effet, l’implication de l’enseignant et le temps de préparation que cela demande sont des freins évoqués le plus souvent par les enseignants , certains viennent jusqu’à utiliser le terme d’ « abnégation ». Il faut tout de même relativiser ce résultat : pour quelques enseignants, ce temps de préparation est effectivement une contrainte mais qui peut être minimisée en constatant l’avancement plus rapide des élèves dans l’acquisition de connaissances et compétences. La réalisation d’un projet est longue si l’on veut laisser le temps aux élèves d’aboutir au résultat escompté en construisant eux-mêmes la production finale choisie. Il est possible d’évoquer également la source de stress que cela peut engendrer puisque lors d’un projet, on laisse une part de liberté plus importante aux élèves. Il est également possible d’imaginer que certains enseignants restent sur une lecture « stricte » du programme qui devient alors un obstacle à la mise en place de cette pédagogie.
Malgré cela, certains enseignants la remettent en question, notamment les résultats qu’elle est censée produire (augmentation de la motivation, apprentissage facilité par exemple). En effet, ils sont d’avis que cette pédagogie « ne donne pas les fruits escomptés sur le plan de l’apprentissage et ne suscite pas la motivation des élèves autant que l’on peut l’imaginer ».
On peut alors se demander quels sont les avantages et les limites de la pédagogie par projets.

Les avantages et les limites de la pédagogie par projets

Selon Jean PROULX , plusieurs avantages mais également limites sont repérables en ce qui concerne la pédagogie par projets.
Tout d’abord, voici les avantages énoncés par cet auteur :
o Il rehausse la motivation scolaire
o Il développe des habiletés à la résolution des problèmes
Il développe l’autonomie et la responsabilité dans l’engagement
o Il prépare à la conduite ultérieure de projets sociaux
Mais malgré ces quatre avantages, des limites apparaissent :
o Il peut engendrer une confusion dans l’objet de l’apprentissage
o Il est parfois fortement limité par le contexte physique et normatif de l’école
o Il risque d’engendrer un rapport coûts-bénéfices déficitaire
o Il expose à des comportements de « fuite en avant ». Cela signifie qu’il y a un risque de voir les élèves fuirent le problème présenté pour la réalisation du projet sans le résoudre.
Les observations de Bruno HANSE amènent à dire que la pédagogie par projets permet une amélioration de l’estime de soi des élèves et qu’il faut valoriser les progrès réalisés. Sur 51 enseignants interrogés , 44 (soit 86,3%) pensent effectivement que celle-ci l’améliore.
Dans une pédagogie active, l’enseignant se place comme la personne qui facilite l’acquisition de savoirs et de savoir-faire. Les expériences réalisées par Bruno HANSE, bien que ce fût en Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique (ITEP), démontrent que la pédagogie par projets est très intéressante à réaliser avec des élèves en difficulté. C’est à la lecture de son article que ma problématique s’est affinée. J’ai ainsi décidé de centrer ma recherche sur l’impact de la pédagogie par projets, et plus particulièrement celui de la réalisation d’un journal de classe, sur les progrès et
améliorations chez les élèves en difficulté. Pour cela, je tenais à centrer également mes observations sur la motivation face au projet chez ces élèves. En effet, la motivation peut avoir une grande influence sur les résultats et comportements des élèves. Mais, quelle est la véritable place de la motivation à l’école ?

LA PLACE DE LA MOTIVATION

La motivation dans les différentes pédagogies existantes

La pédagogie par projets n’est bien entendu pas la seule pédagogie existante. Bien que l’enseignant et la pédagogie exercée ne soient pas les seuls responsables de la motivation de l’élève, il est possible de penser que cela peut tout de même avoir un impact.
Commençons d’abord par définir les diverses pédagogies :

La pédagogie traditionnelle

La pédagogie traditionnelle est issue du modèle transmissif. Elle se caractérise principalement par la transmission des savoirs par le maître, sous forme magistrale.
Ainsi, les élèves sont « récepteurs » et assez peu actifs. Dans cette pédagogie, l’école n’a pas de véritable contact avec l’extérieur.

La pédagogie active

– La pédagogie active, issue de l’éducation nouvelle, prône quant à elle un apprentissage libre : l’élève a le choix des activités qu’il veut réaliser. L’élève devient un véritable acteur. En effet, selon John DEWEY, on apprend en faisant (« learning by doing »). L’objectif de cette pédagogie est de rendre l’élève acteur de ses apprentissages en lui donnant la possibilité de les construire grâce à des situations de recherche.

La pédagogie différenciée

– La pédagogie différenciée tente de répondre à une certaine hétérogénéité présente dans toutes les classes. En effet, elle part du principe que chaque élève a des capacités et des modes d’apprentissage différents. La pédagogie différenciée consiste à adapter son enseignement en fonction de chacun.
Dans chacune d’elle, la motivation peut se révéler de manière totalement différente.
Dans une pédagogie traditionnelle, l’élève étant très passif, la motivation serait certainement moins élevée que lors d’une pédagogie active où il a le choix dans ce qu’il apprend à l’école. Qui n’est pas plus motivé par une activité qu’il a choisi lui-même de faire plutôt qu’une activité imposée ? C’est pourquoi, dans une pédagogie par projets, l’objet de réalisation final étant celui décidé par les élèves, leur motivation devrait être élevée. Cependant, il faut être clair dans ce que l’on entend par motivation.
C’est ce que nous allons définir.

La motivation dans la pédagogie par projets

Définition de la motivation

La motivation est une notion importante, à l’école comme dans la vie quotidienne. En effet, il est difficile de réaliser une tâche rapidement et correctement sans en ressentir le besoin, une motivation à le faire.
Lorsque l’on parle de « motivation », on ne pense pas toujours au fait qu’il existe plusieurs types de motivation et non une seule. Il existe :
– La motivation au sens large
– La motivation intrinsèque
– La motivation extrinsèque
Bien que plusieurs définitions soient acceptables, nous nous baserons sur celles de Fabien FENOUILLET et Richard DECY.
Ces derniers définissent la motivation comme une « force intra-individuelle qui peut avoir des déterminants internes et/ou externes et qui permet d’expliquer la direction, le déclenchement, la persistance et l’intensité du comportement ou de l’action ». Ainsi, dans cette définition, il est possible de remarquer qu’elle englobe les deux autres types de motivations existantes.
La motivation intrinsèque peut être perçue comme une perception et une implication individuelle face à la tâche. L’individu n’attend aucune récompense et le fait pour son propre plaisir trouvé à réaliser l’activité, sans même « chercher à éviter un quelconque sentiment de culpabilité ». Contrairement à elle, la motivation extrinsèque caractérise le comportement d’un individu qui réalise la tâche dans le but unique « d’obtenir une conséquence qui se trouve en dehors de l’activité même ».
A travers ces explications de termes, il est possible de retrouver certains comportements d’élèves.
Un jour, un élève est venu me demander, très fier, si j’avais remarqué qu’il se comportait très bien, ce que j’ai approuvé. Il m’a alors dit que s’il était « dans le vert » à la fin de la semaine (référence à un tableau de comportement), il irait au Mans. Cela est alors un comportement relevant d’une motivation extrinsèque puisque cet élève se comportait de manière exemplaire afin d’obtenir la récompense étant celle d’aller au Mans.
Cela m’a encore une fois confirmé le fait que la motivation a un fort impact sur le comportement des individus. Cet exemple propose un comportement, une conduite de classe mais, j’ai immédiatement pensé que cela pouvait avoir le même impact lors d’apprentissages. Cependant, il faut rester conscient que l’enseignant n’est pas le seul responsable de la non-motivation des élèves, ni de sa motivation. La non-motivation peut également provenir du milieu socio-culturel de l’enfant et du discours qu’il peut entendre sur l’école.

Lien entre motivation et apprentissages

Dans leur livre , Fabien FENOUILLET & Alain LIEURY indiquent que la motivation est un des facteurs de réussite scolaire. Ils présentent tout d’abord les différentes motivations existantes. Afin de vérifier leur hypothèse sur le fait que la motivation est un des facteurs de réussite scolaire, les auteurs nous présentent diverses études réalisées (TOLMAN, HULL) afin de démontrer que les résultats sont moins bons sans motivation. Ils préconisent également le fait de valoriser les élèves avec leurs points forts dans d’autres disciplines lorsqu’ils sont en situation d’échec. Leur hypothèse de recherche est que la motivation intrinsèque a tout intérêt à être valorisée afin que les élèves aient des comportements d’autant plus persévérants et des attitudes coopératives. Les auteurs concluent que la motivation scolaire est très difficile à comprendre mais que l’appréhension qu’a l’élève avant de réaliser la tâche est déterminante (par exemple : peur de ne pas réussir…).

Problématique et hypothèses

Par le biais de ces lectures et de ma prise en compte d’une certaine réalité qui est celle de ma classe, j’ai peu à peu affiné et précisé ma problématique et mes hypothèses.
Dans ce mémoire, j’essayerai de répondre à la problématique suivante : en quoi la réalisation d’un journal de classe, par le biais d’une pédagogie par projets, peut-elle contribuer à la réduction des difficultés en production d’écrit chez certains élèves ? Mes hypothèses sont les suivantes :
– L’étude du journal dans le but de réaliser un journal de classe créera un contexte motivant pour les élèves et les notions abordées seront retenues facilement par les élèves
– L’implication des élèves dans la réalisation du journal sera importante (l’idée est de faire naître ce projet de la volonté même des élèves)
– Une cohésion du groupe-classe dans un but commun sera perceptible.
– Une amélioration en production d’écrit, notamment sur l’aspect motivationnel et concernant la recherche d’idées, pourra être constatée chez les élèves repérés en difficulté face à l’écrit.
Afin de vérifier mes hypothèses, j’ai mis en place un projet de réalisation d’un journal dans ma classe de Cours Elémentaire 2ème année (CE2).

LA REALISATION D’UN JOURNAL EN COURS ELEMENTAIRE 2EME ANNEE (CE2)

Le choix du sujet

Les raisons de la mise en place d’un projet

L’idée de la réalisation d’un projet dans ma classe m’est venue dès ma première année en Master Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation (MEEF). En effet, lors des enseignements reçus, nous avons pu aborder les différentes pédagogies et notamment la pédagogie active. Les exemples donnés tels que ceux réalisés par Célestin FREINET m’ont immédiatement donné l’envie d’observer par moi-même les effets de cette pédagogie en classe. Bien entendu, il m’a fallu d’abord observer la réalité du métier et de ma classe avant que ma décision ne soit confirmée.

Pourquoi le journal ?

Ma classe est abonnée au journal Le petit quotidien. Il m’a été possible de voir que les élèves aimaient beaucoup lire ce journal dès qu’un moment d’autonomie se présentait. Les élèves y allaient directement, sans que cela ne soit demandé par l’enseignant. Il m’a ainsi paru tout à fait logique de proposer la réalisation d’un journal, qui m’a semblé un support très apprécié des élèves.

La séquence

Les constats avant la séquence

Dès le début de l’année scolaire, la titulaire de la classe et moi-même avons mis en place un projet d’écriture de contes à la façon des « contes des origines ». De par la réalisation de cette séquence, il m’a été possible de faire plusieurs constats du point de vue de la motivation et de l’écriture.
L’idée d’un projet de réalisation de contes n’a pas été clairement énoncée comme celle de la réalisation d’un recueil qu’il aurait été possible de fabriquer. Ainsi, la motivation des élèves face à un réel projet n’a pas pu être observée. Cependant, la motivation face à l’écriture a été ma première analyse.
Face à l’écrit, différents comportements d’élèves ont pu être observés. Certains étaient très enthousiastes à l’idée d’écrire et semblaient avoir le potentiel d’imagination essentiel dans le travail demandé. D’autres montraient une envie de réaliser le travail, soit dans un but personnel, soit dans le but de faire plaisir, mais avaient des difficultés dans l’écriture. Et, une minorité était totalement bloquée et découragée par ce qui était demandé. N’était-ce qu’un simple manque d’imagination ? Un blocage face à l’écrit ou un manque de motivation ?
L’idée d’aider cette minorité par le biais de la réalisation d’un projet m’a alors été confirmée. Le projet sera l’occasion d’augmenter leur motivation. L’imagination, étant assez absente dans la réalisation d’un journal et plus particulièrement dans l’écriture d’articles, sera un problème écarté.

Caractéristiques de la classe et contexte de réalisation

Actuellement professeure des écoles stagiaire en responsabilité à mi-temps à l’école Joseph Bourreau à Esvres-sur-Indre (37320), j’ai pu réaliser cette séquence dans ma propre classe. Lors de sa réalisation, ma classe était composée de 26 élèves. Cette séquence s’est déroulée sur deux périodes : la période 3 (5 semaines) et la période 4 (6 semaines), à raison de deux séances par semaine. Lors de la période 3, j’ai axé mes séances sur des aspects techniques du journal :
découverte du vocabulaire, de la structure du journal. Cela permettait, lors de la période 4, de débuter plus « facilement » le nôtre, en ayant connaissance du vocabulaire utilisé par les journalistes, l’organisation et de quelques-uns des contenus d’un journal.

La correction et l’évaluation des productions

Après chaque séance d’écriture, les productions ont été corrigées selon une grille (annexe V) établie par les enseignants de l’école et commune à tous. Les élèves avaient également à leur disposition une grille d’aide à la production , mais seuls certains élèves s’en sont servi de façon autonome. Pour certains, l’orthographe était parfois corrigée a posteriori pour quelques mots. Il s’agissait de leur supprimer un travail long et fastidieux tout en leur laissant quand même la possibilité de corriger leurs erreurs grâce à l’utilisation d’outils présents dans la classe.
En ce qui concerne l’évaluation de ces productions, notamment en vue de répondre à ma problématique, à savoir : « en quoi la réalisation d’un journal de classe, par le biais d’une pédagogie par projets, peut-elle contribuer à la réduction des difficultés en production d’écrit chez certains élèves ? », je n’avais pas le support nécessaire à la comparaison. En effet, quand on parle d’amélioration en production d’écrits, on pense généralement à la longueur de l’écrit, à la qualité de l’orthographe et de la syntaxe ;plus généralement à ce qui se rapporte à la grammaire et l’orthographe. Je n’avais pas les outils adaptés et appropriés me permettant cette analyse et il m’était très difficile d’en construire par moi-même. C’est ainsi que j’ai décidé, pour mesurer l’amélioration en production d’écrit, de me baser uniquement sur les critères suivants :
– Motivation de l’élève face à l’écrit
– Longueur de l’écrit/nombre de mots
– Formation de phrases complètes ou non
– La recherche d’idée

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Table des matières

INTRODUCTION
1 ère partie : LA PEDAGOGIE PAR PROJETS 
1) Le projet
1.1 Définition
1.2 Les différents projets dans l’enseignement
1.3 La place du projet dans les instructions officielles
2) La pédagogie par projets
2.1 Contexte socio-historique
2.2 Qu’est-ce que la pédagogie par projets ?
2.3 Les avantages et les limites de la pédagogie par projets
2 ème partie : LA PLACE DE LA MOTIVATION
1) La motivation dans les différentes pédagogies existantes
1.1 Pédagogie traditionnelle
1.2 Pédagogie active
1.3 Pédagogie différenciée
2) La motivation dans la pédagogie par projets
2.1 Définition de la motivation
2.2 Lien entre motivation et apprentissages
2.3 Problématique et hypothèses
3 ème partie : LA REALISATION D’UN JOURNAL EN COURS ELEMENTAIRE 2EME ANNEE (CE2)
1) Choix du sujet
1.1 Les raisons d’un projet d’écriture
1.2 Pourquoi le journal ?
2) La séquence
2.1 Les constats avant la séquence
2.2 Caractéristiques de la classe et contexte de réalisation
2.3 Les détails de la séquence
4 ème Partie – BILAN DE L’EXPERIENCE
1) Analyse critique de la mise en œuvre de la séquence
1.1 Les séances
1.2 La motivation
1.3 La correction et l’évaluation des productions
1.4 Les séances détachées
2) Éléments de réponses aux hypothèses
2.1 Hypothèse 1
2.2 Hypothèse 2
2.3 Hypothèse 3
2.4 Hypothèse 4
3) Améliorations
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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