LES ENJEUX ET LES PERPECTIVES POUR UNE GESTION CONCERTEE DU BATI SUR LE LITTORAL

LITTORAL

   Définir le littoral relève de l’exercice de style : il existe autant de définitions que d’auteurs, depuis celles que donne l’Académie scientifique jusqu’à des définitions fournies par les géographes euxmêmes. Il est assez clair que tout dépend en fait de l’usage que l’on entend faire de ce même littoral. Il convient tout d’abord de souligner la confusion qui règne dans les définitions de termes aussi courants que rivage, côte ou littoral. En morphologie, le mot littoral se divise en deux parties : la première est la côte ; celle-ci est une bande de terre confinant à la mer qui ne subit qu’indirectement l’influence des actions marines. Le littoral comprend ensuite le rivage qui se trouve directement au contact de la mer. En fait, le terme est souvent utilisé d’une façon générale, il peut être remplacé par estran qui correspond strictement à cette zone de balancement des vagues. Pour le Robert sous la rubrique « géographie » le littoral est « ce qui appartient, qui est relatif à la zone de contact entre la terre et la mer » et, reprenant une définition d’Emmanuel De Martonne qui n’est pas sans intérêt épistémologique il est précisé que « le domaine des formes littorales n’est pas seulement la ligne idéale qui sépare, sur les atlas et les cartes à petite échelle, la terre ferme de la mer. Sur le terrain, il apparaît clairement que le domaine littoral comprend tout ce qui, soit au-dessous, soit au-dessus du niveau moyen des eaux, est soumis à l’action des forces responsables du tracé de la côte et de ses changements… La ligne de rivage est déterminée par le relief particulier de la zone littorale ». Ainsi, le mot littoral est, incontestablement, difficile à définir de manière précise telle qu’un dictionnaire entendrait le faire. Le concept est riche du fait de la situation d’interface, des limites et des discontinuités introduites, des mélanges possibles ; c’est le lieu des contacts et des échanges et c’est à ce titre l’un des lieux les plus concernés par les processus contemporains de la mondialisation. On peut aussi demander au Droit de définir le littoral. Selon les juristes le littoral est compris comme un espace géographique constitué du DPM auquel s’ajoute une bande littorale de 100 mètres de la mer. Selon le géographe Pierre Georges le littoral constitue le domaine géographique où se déplace la ligne de rivage qui est la ligne de contact instantanée entre l’atmosphère, la lithosphère et l’hydrosphère. Le terme est étendu à l’espace influencé par les forces marines agissant au contact du continent. Dans ce sens, il comprend aussi la côte : la bande de terre confinant à la mer et qui, vue de large, présente un certain relief développé horizontalement ; cette bande ne subit qu’indirectement l’influence des actions marines ainsi que la partie de la mer qui subit l’influence directe de la terre ferme. Notre zone d’étude localisée sur le littoral sénégalais sera perçue dans sa globalité comme un espace bien sur de contact avec la mer mais surtout l’espace aménagé, construit, occupé et d’activités qui est en forte mutation.

REVUE CRITIQUE DE LITTERATURE

   La discussion des théories nous semble indispensable dans la mesure où l’intérêt qui y est suscité réside dans le fait d’appréhender les positions des divers auteurs qui se sont penchés sur les études relatives au cadre bâti et les enjeux du littoral. L’une des démarches de la géographie est l’articulation du social et l’organisation spatiale c’est-à-dire la relation entre le vécu des populations et la structure de l’espace. D’ailleurs, Auran dans l’introduction de son ouvrage estime que la ville est définie comme étant l’expression diachronique de la civilisation du peuple qui l’habite. Elle s’adapte aux transformations du mode de vie et du dynamisme social, elle passe pour être le dépositaire de l’histoire du peuple. Le littoral, de la crainte à la convoitise : Le littoral est demeuré jusqu’au XIXe siècle une zone répulsive qui était considérée comme un peu étrangère, barbare etc. cette dangerosité provenait de plusieurs facteurs : tout d’abord les invasions, la piraterie mais aussi les cyclones et ouragans déjà évoqués ; ainsi les marais, les étangs, les zones amphibies sont souvent malsains. Le littoral a donc pu être considéré de manières différentes : un ennemi, une source de biens ou une déesse romantique. Avec le temps les hommes essaieront petit à petit à découvrir ce mystère et à découvrir ses potentialités premières pour s’installer au prés de la mer. C’est dans ce contexte que Jean Pierre Paulet apporte des éclaircissements dans ce même ouvrage pour montrer le nouveau regard porté sur le littoral.
Le temps des maçonneries : il est impossible d’étudier l’urbanisation des littoraux au XIXe et XXe siècles sans comprendre la spécificité, à chaque époque, une société a des « modèles d’appréciation » de l’environnement. Une véritable révolution va se produire au XVIIIe siècle avec une modification du regard porté sur les côtes. Ce changement est surtout lié à la révolution industrielle en Europe, aux nouveaux moyens de communications et à de nombreux facteurs économiques ou sociaux. Le contexte du temps des maçonneries dans les villes côtières africaines est différent de celui des villes côtières du nord. En Afrique à l’exemple du Sénégal, d’autres événements sont à l’origine de ce changement de comportement envers l’image portée sur le littoral.
Des pôles de conquête : depuis très longtemps, les stratégies maritimes entraînent les civilisations sur les mers. Les portugais longent les côtes de l’Afrique. Ces découvertes aboutissent donc à la formation d’empires coloniaux. C’est donc à partir des rivages que l’urbanisation se développe en prenant des formes différentes suivant le milieu et les coutumes des conquérants. Souvent, le peuplement des pays neufs s’est opéré en suivant un modèle d’occupation du sol : il existe un « point d’entrée » côtier et une diffusion vers l’arrière pays. Celle-ci s’opère de diverses manières suivant le milieu. Autrement dit, le peuplement qui demeure bloqué sur le littoral, s’étire en doigt de gant au long d’un fleuve ou peut se diffuser plus régulièrement. Rogert Brunet a ainsi résumé ces systèmes de chorémes : dans le modèle classique de conquête la pénétration s’opère « perpendiculairement de la ligne de départ : une ou plusieurs bases, avec sa pénétrante, l’une qui réussit mieux attire et retient les flux et fixe la capitale ». La thèse d’Amadou Diop intitulé « Le tourisme sur la Petite Côte sénégalaise et ses rapports avec les autres formes de développement socio-économique et spatiale » est un ouvrage de référence dans l’étude de l’occupation et de l’organisation spatiale de la Petite Côte sénégalaise. En effet, dans cet ouvrage, il redessine l’implantation humaine en zone littorale et les motivations. Selon A. Diop la Petite Côte n’était qu’un réseau d’une quinzaine de villages s’échelonnant du Nord au Sud constituant le second élément de l’organisation spatiale de la Petite Côte. L’occupation de cette zone littorale se serait effectuée entre le 10ème et le 17ème siècle par suite de mouvements migratoires venus de l’intérieur du pays. Au premier plan, les motivations économiques ont présidé au peuplement de ces espaces villageois à la recherche de nouvelles terres de cultures, diversification économique par la pêche et le commerce. Ces occupations initiales du littoral vont changer de rythme. En effet, les populations étant plus conscientes des opportunités de la proximité de la mer envahiront de plus en plus les côtes.
Une invasion des littoraux : l’engouement pour la mer et la vie sur les rivages ne cesse de se développer. Cette occupation des littoraux a pris des formes diverses au cours des siècles tout dépend du type d’exploitation et de l’image que l’on se fait du rivage. Il peut s’agir d’un littoral nourricier avec la pêche, d’une activité marchande, d’un foyer à conquérir dans les phases de colonisation ou du tourisme de masse dés le XXe siècle. Aujourd’hui, les zones côtières attirent de plus en plus même si, les systèmes régionaux prennent des aspects différents. En 2030 il est probable que presque 70 à 80 % de la population mondiale se localisera sur les zones côtières. La majorité des hommes vit aujourd’hui sur des bandes littorales avec des densités fortes et bien entendu variables : presque 600 habitants par km² en Asie de l’Est ou 200 en Afrique et 130 en Europe ou 65 en Amérique du nord. Globalement ces fortes densités sont à la fois importantes et grandissantes. Le phénomène de l’urbanisation a impressionné et suscité l’attention de pas mal de disciplines à savoir les urbanistes, les aménagistes, les géographes, les démographes, sociologues et ingénieurs urbain à se pencher d’avantage sur cette question. Cette pluridisciplinarité entraîne une diversité des études réalisée dans ce domaine. Ainsi, ce qui nous semble intéressant dans ce sujet c’est la question du cadre bâti. Cet ouvrage trouve son importance dans le fait que l’auteur retrace les multiples facteurs qui sont à l’origine de l’urbanisation du littoral nord et le processus des mutations morphologiques dans le temps. La portée de ce document se trouve également dans la mise en exergue des comportements des populations par leurs actions de modification du paysage. Il dessine la structure urbaine, les aspects environnementaux, urbanistiques, architecturaux et les tentatives de lutte contre la dégradation du littoral. De plus en plus, les recherches ne se limitent guère à l’étude de la morphologie ou à la structure du cadre bâti mais elles s’orientent d’avantage vers les questions de vulnérabilité surtout dans les pays du nord. Dans son ouvrage titré «Urbanisme et analyse statistique du bâti de la ville d’alger », Auran a rappelé que l’analyse de la vulnérabilité d’un tissu urbain à grande échelle nécessite la caractérisation du bâti existant de la zone d’étude. Les typologies identifiées doivent être représentatives et la première indication ou étape à entreprendre dans ce cas est de bien identifier les périodes de construction. En effet, quel que soit l’état d’urbanisation d’une région ou d’une ville, il résulte d’un long processus de développement très souvent marqué par des moments de gestation et d’inactivité dans le bâtiment. A chacun de ces moments correspondent des techniques évolutives et typologiques de constructions, c’est pourquoi à l’échelle d’une ville plusieurs types de constructions coexistent. Ainsi le patrimoine bâti d’une région se présente comme une stratification de procédés de construction correspondant aux grandes périodes de constructions. Toute étude de vulnérabilité doit pouvoir repérer la répartition spatiale des différentes typologies de constructions. Dans le cas d’une telle analyse à grande échelle, en raison de la complexité liée à l’hétérogénéité et à la distribution spatiale du parc immobilier dans une région ou dans une ville, l’identification des typologies constructives se base sur un repérage visuel des zones homogènes. Plusieurs techniques peuvent être employées, mais l’utilisation de l’une plutôt qu’une autre se justifie par le degré de précision souhaité par le résultat final. Face à la densification du bâti en zone littorale qui reste un espace très fragile et vulnérable, la surexploitation et les nombreux aménagements sur les espaces côtiers ont entraîné des conséquences néfastes sur l’environnement.
La ville détruit la mer : l’essor des villes dans le monde pose des problèmes graves qui ne concernent pas uniquement les littoraux. Cependant, non seulement la croissance urbaine se porte de plus en plus sur les littoraux mais les mers et océans sont des milieux fragiles. Ainsi 80% de la pollution est tellurique, autrement dit provient des rejets venants des littoraux. Par ailleurs, les littoraux sont des milieux physiques également fragiles. Les pressions anthropiques dégradent ces côtes qui sont en principe des milieux biologiques d’une grande richesse. D’autre part, l’érosion qui peut être causée par la montée des eaux est surtout provoquée par les aménagements portuaires ou divers équipements urbains. Face à cette menace environnementale, Paulet nous affirme tout d’abord comment faire face aux conséquences engendrées par la pression démographique côtière c’est-à-dire pollution, production de déchets, érosion des littoraux (…)? L’urbanisation ne pouvant pas s’arrêter, comment aménager l’habitat tout en protégeant ces habitants des risques des rivages ? C’est dans ce contexte que Astou Cissé a travaillé sur un mémoire intéressant « Les stratégies d’adaptation des populations face à l’érosion côtière : cas du littoral de Bargny » qui permet de prendre en considération de ces préoccupations de modification du littoral. Dans ce document, l’auteur a mis la relation entre l’urbanisation et le développement des activités sur le littoral. Cependant, le point central de cette étude est l’analyse de l’érosion côtière à travers les causes et conséquences spatiales et socio-économiques. Elle a également apporté des stratégies d’adaptation face à l’érosion côtière. Cela nous semble important dans la mesure où l’avancée de la mer est un fait qui est là et la sauvegarde du patrimoine littoral est primordiale.

Les constructions anarchiques et irrégulières

   Il est constaté sur le terrain et sur la base de données de l’urbanisme que la plupart des constructions font fi de cette autorisation et entament les travaux avec aucun avis de techniciens. Ainsi, on remarque un faible taux de régularisation des constructions. Les constructions irrégulières sont très visibles à l’intérieur des villages de pêcheurs sur le littoral Somone-Mbour. A Mbour, ces constructions sont plus fréquentes dans les quartiers de Tefess-Golf, Mbour sérère et Mbour Toucouleur. Il s’agit d’anciennes constructions où les services techniques de proximité n’existaient pas encore et les occupations étaient spontanées sans aménagement préalable. Ce même phénomène se poursuit le long de la côte. Ainsi, à Saly nous retrouverons ces mêmes villages de pêcheurs précisément à Saly Tapé et à Gambouroukh et « Digui deuk bi » pour Ngaparou. Les constructions anarchiques sont très présentes également à Somone localisées dans les espaces familiales comme Ndiayène, Thiadjéne et Lowéne. La plupart des constructeurs sont des Lébous qui ne se préoccupent guère du cadre de vie urbanistique mais plutôt de la proximité de la mer et la vie en groupement de famille. Toutefois, les constructions irrégulières existent en dehors de ces villages de pêcheurs. En effet, parfois de belles constructions sont achevées sans respecter les normes édictées. Selon un agent de l’urbanisme de Mbour beaucoup de personnes sont découragées par la procédure administrative pour l’instruction du dossier assez longue ; alors que les constructeurs sont animés par le désir de démarrer le chantier dès que le financement est disponible. Un autre facteur qui décourage les populations à régulariser leurs travaux c’est la somme financière à dégager et qui leur semble importante pour l’autorisation de construire. Ils pensent que cette somme pourrait destiner à l’achat de matériaux de construire. La majorité des constructions sont non autorisées par les services techniques ; à l’exception de l’année 2000 et 2001 où 75 % des constructions sont irrégulières parfois même plus comme en 2004 et 2007 avec respectivement 89 % et 88 % dans l’agglomération Somone-Mbour. Cependant, il est constaté une légère amélioration durant ces trois dernières années où les constructions irrégulières sont estimées à 76 % sur l’ensemble des travaux de Somone-Mbour. Comme pour la production du bâti, il existe une disparité spatiale concernant les constructions irrégulières dans l’espace Somone-Mbour. Les constructions irrégulières sont beaucoup plus représentatives à Mbour avec parfois 91 % de nouvelles constructions non réglementaires par an entre 2004 et 2007. La proportion de ces constructions n’a jamais atteint les moins 50 % tout comme à Saly. Pour ce dernier c’est le même constat qui y est observé avec un taux de constructions non réglementaires estimé élever avec 88 % en 2005 (Cf. Annexe, tableau 3). Même s’il se retrouve que la production du bâti est moins importante dans la région NgaparouSomone, il est constaté que c’est dans cette partie du littoral où la non-réglementation en matière de construction est beaucoup plus faible. D’ailleurs, entre 2000 et 2001 seulement 27 % des constructions sont irrégulières. Toutefois, il y a quelques années où le taux de construction élevé témoigne l’irrégularité à l’exemple de 2003 où 89 % des constructions sont irréguliers à Somone et 92 % en 2008 pour Ngaparou. Malgré cette disparité géographique en matière de constructions non réglementaires, on peut retenir que plus de la majorité de ces conditions de constructions reste faible sur tout le littoral Somone-Mbour. Selon un agent technique de l’urbanisme, les populations au moment de construire ne se référent ni aux services compétents ni aux architectes. Ils préfèrent plutôt se rabattre à de simples tâcherons pour qu’ils exécutent les travaux. Cette situation fait que les normes de constructions ne sont pas respectées et par conséquent les problèmes sont nombreux. En effet, la plupart des maisons construites par ces tacherons sont confrontés à des problèmes d’éclairage et de ventilation ; de même que le Coefficient d’Occupation du Sol n’est pas respecté. Le COS est le rapport entre la surface de plancher hors œuvre et la surface de la parcelle. Le COS détermine la proportion maximale de surface construite au sol par rapport à la surface du terrain considéré. Le constat fait sur le terrain est que généralement toute la surface du terrain est construite et par conséquent il n’y a pas d’espace qui est laissée pour respecter les normes du COS. Les constructions ne répondent pas à un cadre de vie propice car les préoccupations primaires des propriétaires restent la production du bâti et besoin de se loger.

Fonctions du bâti et contraintes de production

   Le littoral Somone-Mbour qui se veut être une zone touristique est frappé par son statut d’espace résidentielle. La fonction résidentielle des propriétés bâties dominent largement avec un taux de 84,2 % soit plus du tiers des constructions qui sont destinées à l’habitation. Les constructions qui ont un statut résidentiel connaissent une disparité géographique. Selon l’analyse systémique, elles sont plus récurrentes à Ngaparou avec 93,3 % des constructions qui sont destinées à l’habitation. Il s’en suit les communes de Mbour et Somone avec une égalité de proportion de 88,3 %. Mbour, grâce à son statut de capitale départementale, sert de ville dortoir pour la majeure partie des travailleurs de tout le département. Les acteurs du secteur touristique de Saly et les travailleurs des usines de la cimenterie du Sahel, de l’usine d’exploitation d’eau Kiréne et de l’aéroport de Diass logent pour la majorité à Mbour qui offre plus d’espace d’habitation et d’accessibilité que les autres communes. De même, les communes de Ngaparou et de Somone sont marquées par la dominance de la production du bâti à destination résidentielle. Ces anciens villages occupaient en majorité des constructions qui servent d’habitation avec quelques cabanons qui sont destinés au logement touristique journalière ou de week end. Avec 15,8 %, la production du bâti à destination touristique est également importante. En effet, le littoral Somone-Mbour est marqué par son identité de site touristique avec la plus importante station balnéaire de Saly. Les constructions à usage touristique sont composées principalement de villas et résidences hôtelières, des cabanons, des belles villas pour la location, des équipements de loisirs et de restauration. L’aménagement du site de la SAPCO a entraîné une densification des résidences hôtelières ; De même, avec les enjeux touristiques et les avantages du marché immobilier, beaucoup d’investisseurs s’orientent vers la production immobilière à destination de location touristique. A cet effet, plus de la moitié des résidences à destination touristique est localisée à Saly avec 58,3 %. L’espace Mbour-Saly regroupe la majorité des résidences touristiques localisées sur le terrain grâce à leur fort pouvoir d’attraction par rapport à Ngaparou et Somone où néanmoins quelques résidences hôtelières sont observées. D’ailleurs, les maisons à fonction touristique représentent 16,7 % à Somone après Saly.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PROBLEMATIQUE
METHODOLOGIE
CADRE CONCEPTUEL
REVUE CRITIQUE DE LITTÉRATURE
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
CHAPITRE PREMIER : L’ESPACE SOMONE-MBOUR, UN CADRE PHYSIQUE ATTRACTIF
CHAPITRE II : LE CADRE HUMAIN
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE LA PRODUCTION DU CADRE BATI
CHAPITRE PREMIER : ANALYSE DIACHRONIQUE ET LES CONDITIONS DE LA PRODUCTION DU BATI
CHAPITRE II : LA TYPOLOGIE ET LES FONCTIONS DU CADRE BATI
TROISIEME PARTIE : LES ENJEUX ET LES PERPECTIVES POUR UNE GESTION CONCERTEE DU BATI SUR LE LITTORAL
CHAPITRE PREMIER : ENJEUX, STRATEGIES ET PRATIQUES DES ACTEURS
CHAPITRE II : LES PERSPECTIVES POUR UNE MEILLEURE GESTION DE LA PRODUCTION DU BATI EN ZONE LITTORALE
CONCLUSION GENERALE

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