LA PROBLEMATIQUE DE L’OBJECTIVATION ET DE L’ALIENATION CHEZ MARX

Objectivation et aliénation chez Feuerbach

    Feuerbach va rompre avec Hegel sur la conception de l’aliénation pour lui donner un sens critique. C’est autour de l’image d’une objection de soi considérée comme une situation aliénante que s’inscrit sa critique. L’aliénation ne doit plus être conçue comme une objectivation de soi. Mieux encore il faut que cette perte de soi à travers l’aliénation soit par contre comprise comme ce qui ne permet pas au sujet de se réaliser. Elle doit cesser d’être l’œuvre de la négativité nécessaire à l’affirmation de soi pour devenir une situation réellement négative empêchant le sujet d’être soi. C’est à travers sa conception de l’aliénation que Feuerbach se démarque de cette négativité hégélienne. En effet, pour Feuerbach, l’aliénation ne consiste pas à se nier en vue de s’affirmer mais elle constitue la situation négative et qui n’est point favorable au sujet pour qu’il s’affirme. Il ne s’agit pas d’une perte voulue du sujet dans l’objet mais l’aliénation est subie puisque l’objet domine le sujet. Et si l’on en croit aux deux philosophes notamment Hegel et Feuerbach, la réappropriation de soi constitue le but commun. En effet, chez Hegel elle se fait dans l’étrangeté de l’objet afin que le « négatif » au sens hégélien du terme puisse agir. Toutefois, chez Feuerbach cette étrangeté est réfutée puisque l’objet porte l’essence même du sujet mais, il est considéré comme différent de lui. Cette appropriation de soi résulte alors de l’élimination d’une objectivité qui n’est rien d’autre que l’essence du sujet. Autant que ce travail d’appropriation est fait par « l’esprit » en tant que sujet au cours de l’histoire autant il permet de mettre en place une démarche théorique chez Feuerbach. En effet, cette démarche est l’œuvre de la critique. Alors que pour Hegel le sujet détermine une réalité historique, chez Feuerbach il rejette les représentations religieuses, théologiques et philosophiques. C’est ainsi qu’il considère que le philosophe spéculatif procède de la même manière que l’homme dans la religion lorsqu’il prend « l’esprit » comme un sujet de l’histoire. Dans la religion l’homme transfère son essence à un être qui le domine. Dès lors cette philosophie spéculative n’échappe pas à la critique de l’aliénation de Feuerbach. Dans son ouvrage intitulé L’Essence du Christianisme il fait remarquer que Dieu est une pure invention de l’homme. Feuerbach nous montre alors l’origine de la religion, l’essence du christianisme c’est-à-dire sa nature anthropologique. Toute la tradition philosophique a montré que c’est la religion qui fonde l’homme. En d’autres termes, l’humain émane de la divinité. Toutefois selon Feuerbach cette pratique est dans l’erreur. Il analyse le discours religieux pour montrer le côté illusoire. En effet pour rendre visible cette illusion sur laquelle se fonde la conscience religieuse, Feuerbach procède au préalable à l’examen de la conscience. Dieu est posé comme un objet mental qui laisse entendre une certaine subjectivité. Dès lors cet examen a permis alors de voir le sujet de la conscience pris comme l’objet même de la conscience. Néanmoins il importe de préciser que cette subjectivité se conçoit comme essence ou genre. Du coup, on pourrait dire que la conscience présente un objet unique qui est tantôt l’essence du sujet, tantôt il est Dieu. Il s’avère donc nécessaire d’étudier le mécanisme de la conscience religieuse pour comprendre un tel fait. Cela permet de mieux voir l’illusion de ladite conscience. En effet son fondement se trouve être la double vie menée par l’homme contrairement à l’animal dont la vie est simple. Il s’agit de la vie de conscience qui est intérieure et la vie dans l’existence qui serait extérieure : « L’homme a une vie intérieure et une vie extérieure. La vie intérieure de l’homme est celle qui le rapporte à son genre, à son essence. L’homme pense, c’est-à-dire il converse, il parle avec lui-même. L’animal ne peut s’acquitter d’aucune fonction générique sans un autre individu extérieur à lui (…). L’homme est à lui-même simultanément Je et Tu. Il peut se mettre à la place de l’autre, précisément parce qu’il a pour objet non pas son individualité, mais son espèce générique, son essence. ». L’homme est un être sensible, individuel dans sa vie extérieure dont la finitude est transférée à la vie intérieure, à l’essence même de l’homme. Ce premier transfert des limites de l’individu réellement existant à l’essence humaine pourtant infinie se présente comme une illusion dans la mesure où le singulier se confond à l’universel. Donc dans cette illusion il y a une confusion entre ce qui relève de l’existence et ce qui est de l’essence. En ce moment précis, la vie intérieure et la vie extérieure se confondent. En effet, il est important de préciser que bien que leur séparation soit une aptitude proprement humaine, elle ne s’opère pas d’une manière immédiate mais elle s’acquiert. Bref, de la confusion consistant à transférer à l’essence les bornes de l’existence individuelle on passe au transfert des attributs du genre, de l’essence humaine à un Etre extérieur. Selon Feuerbach, la première qualité de l’essence humaine à être transférée à Dieu constitue l’infinité. Et c’est ainsi que la religion intervient : « L’essence de l’homme à la différence de l’animal est non seulement le fondement, mais aussi l’objet de la religion. Mais la religion est la conscience de l’infini : aussi est-elle et ne peut – elle être autre chose que la conscience que l’homme a de son essence, non pas finie, limitée, mais infinie. ». Les hommes tentent de sortir de la confusion résultant du transfert de la finitude de l’individu réellement existant à l’essence humaine. La religion est cet effort consistant à projeter l’infinité de la vie intérieure à un être extérieur qui est Dieu. Donc dans la religion l’homme a une conscience de soi. En effet il forme un savoir de soi par une objectivation de son genre mais l’objet est totalement différent de lui. Cette conscience de soi de l’homme est alors indirecte : « La conscience de Dieu est la conscience de soi de l’homme, la connaissance de Dieu est la connaissance de soi de l’homme. A partir de son Dieu tu connais l’homme, et inversement à partir de l’homme son Dieu (…) Mais si la religion, consciente de Dieu, est désignée comme étant la conscience de soi de l’homme, cela ne peut signifier que l’homme religieux a directement conscience du fait que sa conscience de Dieu est la conscience de soi de son essence (…). Pour écarter ce malentendu, il vaut mieux dire : la religion est la première conscience de soi, mais indirecte. ». La religion est une superstition c’est-à-dire une simple illusion. Selon lui, les hommes dont les rêves ont échoué cherchent à se consoler en projetant leurs aspirations dans un au-delà imaginaire. Pour Feuerbach, le sujet entretient un rapport nécessaire avec un objet qui n’est rien d’autre que sa propre essence objectivée. Autrement dit les attributs essentiels de l’homme sont transférés à un Etre. Pour pouvoir comprendre Dieu, il faut comprendre l’homme puisque Dieu en réalité n’est que l’homme dans sa perfection. Dieu n’est que la représentation que l’homme se fait de la perfection absolue. Mieux encore c’est une projection de la perfection humaine. En effet, l’homme sachant qu’il n’est pas parfait, se débrouille pour créer un autre homme nommé Dieu à qui il confère toutes les qualités. C’est ainsi que Feuerbach parle d’une certaine scission de l’homme : « La religion est la scission de l’homme d’avec lui-même : il pose en face de lui Dieu comme être opposé à lui : Dieu n’est pas ce qu’est l’homme, l’homme n’est pas ce qu’est Dieu (…) Dieu est l’absolument positif, la somme de toutes les réalités, l’homme est l’absolument négatif, la somme de toutes les nullités. ».

Le sens positif du procès d’objectivation

   Marx considère l’objectivation comme un processus permettant à l’homme de s’unir à la nature. Selon lui, l’homme, par ce processus d’extériorisation, entre en contact avec la nature dans le travail. En effet, la nature subit la transformation de l’homme par le travail et devient une expression humaine. Par ailleurs, il est d’abord important de souligner que le discours de Marx s’inscrit dans le cadre d’une critique de l’idéalisme hégélien et de l’économie contemporaine qui ne peuvent expliquer la réalité. En effet, il se démarque d’abord de la philosophie idéaliste. Pour cela Marx s’appuie sur la conception anthropologique de Feuerbach pour critiquer d’abord la philosophie hégélienne. Ainsi, il conçoit l’être objectif comme un être sensible, naturel : « Etre objectif, naturel, sensible ; avoir un objet, une nature, un être sensible, en dehors de soimême ; être soi-même objet, nature, être sensible, pour un tiers, tout cela est la même chose. » Du coup, Marx, à partir de la vision de Feuerbach, récuse l’attitude de Hegel consistant à concevoir l’objectivité comme un moment aliénant dans le processus de déploiement de la conscience. Il est donc important de retenir que chez Marx aussi bien que chez Feuerbach, l’homme est considéré en tant qu’être objectif. Toutefois il s’avère nécessaire de préciser que l’expression « être objectif » n’a pas la même signification selon les deux philosophes. Pour Feuerbach, l’homme objectif considère son essence comme un objet différent de lui, pour Marx, être objectif, c’est prendre conscience de son objectivité. Donc l’objectivité est une caractéristique immédiate de l’être humain. L’humain est un être marqué par son objectivité car il éprouve des besoins naturels dont il ne pourrait satisfaire qu’en faisant recours à des objets extérieurs : « La faim est un besoin naturel ; pour se satisfaire, pour s’apaiser, elle a besoin de la nature, d’un objet extérieur. La faim est un besoin naturel de mon corps, le besoin qu’il éprouve d’un objet situé hors de lui, qui est nécessaire pour le compléter et manifester son être. Le soleil est l’objet de la plante, un objet qui lui est indispensable et qui  confirme sa vie ; de même, la plante est l’objet du soleil en tant qu’elle manifeste la force vivifiante du soleil, la force essentielle objective du soleil. ». En effet, Marx illustre à travers cette métaphore que l’homme est un être aussi sensible que la plante qui se satisfait de la lumière du jour. Cette sensibilité montre qu’il est un être souffrant. Il cherche toujours à aller vers la nature puisqu’il est un être de passion. Donc l’être objectif est un être qui entretient un rapport de complémentarité avec la nature. Selon Marx les hommes sont des êtres objectifs c’est-à-dire des êtres naturels. L’homme a donc besoin de la nature pour développer ses dispositions naturelles. En d’autres termes un rapport de dépendance vitale s’établit entre l’homme en tant qu’être objectif et les autres objets de la nature. La nature nous donne les moyens d’exister. Les objets sur lesquels s’applique le travail est le monde extérieur. Du coup l’être objectif ne peut véritablement mener son activité sans recourir à ce monde extérieur: « L’homme est immédiatement un être naturel (…). Autrement dit, les objets de ses impulsions existent en dehors de lui comme objets indépendants de de lui, mais ces objets sont objets de ses besoins ; ce sont des objets indispensables, essentiels, pour la manifestation et l’affirmation de ses forces essentielles (…). Un être qui n’est pas lui-même objet pour un autre est un être qui n’a aucun être pour objet ; autrement dit, c’est un être qui ne se trouve pas dans des rapports objectifs et dont l’être n’est pas quelque chose d’objectif. » Donc selon Marx l’objectivité de l’être traduit tout simplement un rapport de dépendance à l’égard de la nature. Il ne s’agit pas seulement d’être une partie de la nature, c’est d’abord et surtout d’entretenir un rapport de complémentarité avec cette nature qui doit permettre à nos forces naturelles de subsister. Le monde est alors quelque chose que l’homme devrait s’approprier au sens où il devrait se reconnaitre dans ce qu’il a créé : « D’une part, partout dans la société, la réalité objective devient pour l’homme la réalité des forces humaines essentielles. Tous les objets deviennent ainsi pour lui l’objectivation de luimême, des objets qui confirment et réalisent son individualité. Il s’agit de ses objets, c’est-àdire qu’il devient lui-même objet. » Etre objectif, c’est avoir comme l’affirme Marx « sa nature en dehors de soi ». En effet, il est important de rappeler davantage qu’à cette étape de notre analyse, Marx semble toujours opposer Feuerbach à Hegel dans cette conception de l’objectivité où l’homme se conçoit comme un être sensible, passif. En d’autres termes, il fonde sa critique de la philosophie spéculative sur cet apport de Feuerbach. Donc Karl Marx met d’abord en relief la dimension passive de l’être humain. En effet, il considère que l’objectivation s’appuie au préalable sur un être objectif, un sujet passif ayant subi des mutations au cours de l’évolution du processus historique. Alors que chez Hegel le sujet, avant qu’il ne soit conscient de soi, s’objective impérativement puis aliène son objectivation. Pour Marx, le sujet se confond à l’objet dans son immédiateté en étant une existence déterminée par la réalité historique. Contrairement à l’objectivation hégélienne, Marx conçoit l’objectivation comme ce qui permet de réaffirmer l’appartenance de l’homme à la réalité. En d’autres termes, c’est par l’objectivation que l’homme confirme son caractère d’être objectif et naturel: « Le procès d’objectivation est en effet pour Marx un procès éminemment positif en tant qu’il est celui par lequel les hommes confirment le sens de leur être propre, qui est d’être des êtres eux-mêmes objectifs, c’est-à-dire des êtres inscrits dans le tout de l’objectivité ( ou dans « la nature »), des êtres en relation de dépendance vitale avec l’objectivité, des êtres qui attestent à eux-mêmes leur nature d’êtres objectifs en produisant des objets et en modifiant par leur activité l’objectivité immédiate et donnée. Les hommes sont des êtres objectifs qui expriment leur objectivité essentielle en objectivant leur être propre par le déploiement de leur activité de production. »

L’idée d’une objectivation aliénante: le concept de travail aliéné

    L’usage que Marx fait du concept d’aliénation s’appuie sur l’analyse feuerbachienne de la religion conçue comme une conscience inversée. En effet, selon Feuerbach, il existe un processus d’inversion qui s’est opéré dans la religion. Et comprendre ce processus reviendrait à comprendre les inversions existant dans la réalité. Du coup Marx montre que de même que dans la religion l’homme enrichit Dieu en s’appauvrissant, l’ouvrier également perd sa vie qu’il met dans l’objet : « C’est la même chose avec la religion. Plus l’homme projette de choses en Dieu, moins il en garde en lui-même. L’ouvrier place sa vie dans l’objet. Mais alors celle-ci ne lui appartient plus, elle appartient à l’objet. Plus cette activité est grande, plus l’ouvrier est privé d’objets (…) » Marx va faire une entrée originale dans la problématique de l’aliénation, terme qui sert à analyser la condition de possibilité du processus d’objectivation manquée. Est aliéné non pas celui qui s’objective comme le pense Hegel et dont l’essence est la non objectivité, c’est-à-dire la conscience de soi. Pour Marx, l’aliénation n’apparait que quand l’être lui-même objectif est en rupture avec l’extériorité vitale voire nécessaire pour lui. L’aliénation n’est pas le fait d’être en face d’une objectivité étrangère à soi. Ce n’est pas non plus le fait d’établir un rapport avec l’objectivité et que cette objectivité soit distincte de nous. Ce qui est aliénant c’est plutôt de rompre avec un tel rapport. Rien ne montre l’aliénation que le fait d’être isolé de l’objectivité. Selon Marx la conscience de soi ne peut être l’essence de l’homme que par le biais de cette procédure d’isolement de soi du tout objectif. Marx s’interroge ainsi sur l’origine de cette conception de soi c’est-à-dire de cette objectivation manquée. Une telle conception est le fait d’une rupture avec la dimension objective de l’être des hommes, d’une suppression du rapport de vitalité qu’ils entretiennent avec l’objectivité. L’homme est en même temps un être naturel et un être naturel humain. A l’instar des animaux et des plantes, il est un être naturel puisqu’il est un produit de la nature, de son évolution. C’est un être naturel humain dans la mesure où il dispose de la raison et d’une conscience. Dès lors il doit s’affirmer en vue de la satisfaction de ses besoins. Selon Marx, le travail est certes le moyen par lequel l’homme se réalise. Toutefois cela ne l’empêche pas d’être la source même de l’aliénation même si Hegel le conçoit comme un moyen d’objectivation. Donc il est nécessaire de souligner que cette catégorie de travail occupe une place très importante dans les œuvres marxiennes de jeunesse. En effet, Marx, pour saisir l’essence humaine véritable, va s’intéresser à l’existence réelle de l’homme et à ses conditions. C’est la raison pour laquelle Isabelle Garo affirme : « (…) Marx se donne plus nettement que jamais pour programme une étude de la réalité sociale comme totalité structurée, étude apte à définir à la fois les causes et les objectifs précis de la révolution à venir. La nature exacte de l’existence sociale des hommes doit être étudiée, et c’est très logiquement que Marx en vient à s’intéresser de plus près au travail et à ses conditions. » En d’autres termes, Marx se propose d’analyser l’aliénation telle qu’elle existe dans la réalité économique et sociale c’est-à-dire dans la production capitaliste. Ainsi dans les Manuscrits de 1844, il élabore une théorie de l’aliénation dans un contexte particulier dans lequel il découvre l’économie politique. L’aliénation apparait alors comme un concept qui va permettre à Marx de faire une critique acerbe à cette économie. La catégorie de travail aliéné lui permet ainsi de constater dans la société moderne une série de situations négatives vécues par les travailleurs de l’époque comme une aliénation. En effet, il s’agit de leur appauvrissement, souffrance, épuisement, perte. Marx considère ce phénomène d’aliénation sous un angle historique en rejetant l’institution de la propriété privée comme une donnée naturelle. Dès lors il s’avère nécessaire de montrer le rapport étroit qui existe entre l’aliénation et le système de l’argent : « Nous devons maintenant saisir le lien essentiel qui unit la propriété privée, la soif de richesse et la séparation du travail, du capital et de la propriété, celle de l’échange et de la concurrence, de la valeur et de la dévalorisation de l’homme, du monopole et de la concurrence, etc., bref le lien entre toute cette aliénation et le système de l’argent. ». L’aliénation est donc liée à une réalité économique spécifique à un moment précis de la production. Il s’agit du travail salarié caractérisant l’époque capitaliste. En effet, Karl Marx se propose de partir d’une situation empirique.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
I. CHAPITRE PREMIER : HISTORIQUE DES CONCEPTS D’OBJECTIVATION ET D’ALIENATION 
A. Objectivation et aliénation chez Hegel
B.Objectivation et aliénation chez Feuerbach
II.CHAPITRE DEUXIEME : OBJECTIVATION ET ALIENATION DANS LES MANUSCRITS DE 1844
A. Le sens positif du procès d’objectivation
B- L’idée d’une objectivation aliénante: le concept de travail aliéné
CHAPITRE TROISIEME : L’ALIENATION : UN FAIT D’EXPLOITATION DANS LE CAPITAL
A. L’aliénation dans le procès d’objectivation
B – L’aliénation dans le milieu des échanges
Conclusion
IV BIBLIOGRAPHE

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