LA PREVENTION COLLECTIVE PAR LE FLUOR ADMINISTRE PAR VOIE SYSTEMIQUE

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LES FACTEURS DE RISQUES DE LA CARIE

Les actions préventives mises en places vont être influencées pour chaque patient, par son aptitude à développer la maladie carieuse, d’où l’importance d’évaluer les facteurs de risques. Il y a plusieurs facteurs de risques et il est nécessaire de faire un diagnostic précis afin d’adapter les conseils d’hygiène buccale et alimentaire, la thérapie fluorée ou le scellement des sillons.
Pour déterminer l’enfant à risque, certains critères sont à prendre en considération : (7, 8)
* Avant 6 ans il faut considérer
– le milieu socio- économique qui peut être bas
– le milieu culturel
– le niveau d’éducation maternelle
Ce qui peut impliquer un très faible niveau d’hygiène bucco-dentaire de l’enfant sans assistance des parents, une alimentation anarchique, des soins préventifs et prophylactiques inexistants chez l’enfant, la présence d’individu atteint de carie dans la famille.
* Entre 6 et 12 ans
La présence de carie sur les dents temporaires et les traitements ODF déterminent à cet âge les facteurs de risques.
* Après 12 ans
Les traitements ODF sont des facteurs importants.
D’autres critères permettent de déterminer l’enfant à risque :
– la présence de multiples caries
– la fréquence d’apparition de ces caries
– la fréquence élevée de la consommation des produits sucrés
– les mauvaises habitudes alimentaires (grignotage, malnutrition établie)
– les thérapeutiques asialoprives, étant donnée l’importance de la salive
– l’anatomie occlusale (profondeur des anfractuosités)
Chaque action de prévention débutera par un examen complet et approfondi comprenant un interrogatoire, un examen clinique et des examens complémentaires permettant de déterminer :
Par l’interrogatoire
– la qualité d’hygiène bucco- dentaire (fréquence, matériel utilisé, temps passé et attention apportée au brossage).
– les habitudes alimentaires : un apport alimentaire glucidique maintient un environnement buccal cariogène. L’objectif sera de réduire le métabolisme acide des sucres.
– les différents apports de fluor
– les différentes pathologies systémiques pouvant avoir une incidence sur les glandes salivaires.
L’examen clinique endobuccal (9)
Pour mettre en évidence les facteurs favorisants comme les facteurs de rétention de plaque (morphologie dentaire, anomalie de structure, malposition, appareil orthodontique, dentisterie iatrogène). Dans le cas où il y a colonisation de ces sites de vulnérabilité, le but sera de les protéger par des résines, de corriger les malpositions, de supprimer tous les facteurs iatrogènes de rétention de la plaque par la prothèse.
Les examens complémentaires * Les examens radiographiques
Ils sont importants car permettent d’adapter le mode d’action prophylactique ou thérapeutique peu invasive.
– la radiographie panoramique : permet une évaluation générale du système dentaire. Elle ne permet pas le diagnostic fin des lésions carieuses.
– la radiographie rétro-coronaire : la précision, l’orientation des rayons incidents font de la radiographie rétro-coronaire le cliché de choix pour la confirmation d’un diagnostic, bien que pour des lésions de petites tailles situées au niveau des puits et sillons occlusaux, il soit limité.
– le cliché rétro-alvéolaire permet l’étude de la partie radiculaire et du parodonte.
La fiabilité de la radiographie est faible dans les situations où il existe des épaisseurs importantes de tissus minéralisés (10). Elle dépend aussi de la qualité de l’image (film noir avec fort contraste) et de l’observateur.
* Les tests salivaires
Ils apporteront des informations sur le flux salivaire et son pouvoir tampon. Les carences salivaires quantitatives et/ou qualitatives maintiennent un environnement buccal cariogène.
Le but sera de contrôler le pH (en cas d’un pH bas on peut prescrire un bain de bouche au bicarbonate de sodium), et d’essayer de stimuler le débit salivaire qui doit être de 1,7ml /mn par
– la mastication d’un chewing gum à base de xylitol
– la prescription de salive de substitution
– la prescription de comprimés de 5 mg de pilocarpine 3 fois par jour (11)
– des moyens mécaniques (garder des noyaux de cerises dans la bouche et jouer avec).
* Les tests bactériens (6) qui renseignent sur le contexte écologique buccal.
Le streptocoque mutans (SM) est la bactérie responsable de la carie. Tout taux supérieur à 105 CMU/ml de salive représente un facteur important de risque carieux. La présence de lactobacilles peut être considérée comme un indice de l’activité carieuse. Il existe plusieurs tests permettant de définir le niveau de la population. Le plus simple étant de mettre en culture pendant une brève période un échantillon de salive, puis à l’aide d’un appareil, de répandre un échantillon de salive des deux côtés du milieu de culture, et de le mettre en incubation 48h.
Des colonies de streptocoques mutans apparaîtront d’un coté et les lactobacilles de l’autre (fig. 3) Cette méthode sera notamment un révélateur de l’efficacité des méthodes préventives. Si les tests bactériens révèlent la présence de SM ou de lactobacilles, l’objectif sera une inhibition de la croissance de ces bactéries et/ou une modification de la structure amélaire par :
– des apports fluorés
– l’application de vernis antiseptiques
– l’utilisation de matériaux bioactifs
– la prescription de bains de bouche à la chlorhexidine
– la prescription de gommes à mâcher
* Les tests de production d’acide lactique par les bactéries cariogènes.
Il y en a plusieurs, entre autres celui initié par le Dr I. HAEBERLEIN et en cours de validation en 2003 (3).
Ce test permet d’identifier les surfaces à risque de déminéralisation carieuse en visualisant la production acide par les bactéries acidogènes. Pour mesurer l’activité de ces bactéries carioactives, il faut évaluer leur métabolisme glucidique excessif. Celui-ci est mis en évidence par l’augmentation de la production de lactases ; ceci est révélé par la lactate déshydrogénase et par le système de coloration incorporé à un matériau à empreinte (Clinpo Cariodiagnostic).
Protocole :
– le patient se brosse les dents
– le produit est activé par mélange de deux solutions
– il est incorporé à la poudre par spatulation
– on le met en bouche à l’aide du porte-empreinte
– au bout de 3 mn, au retrait de l’empreinte, on enregistre la production d’acide lactique.
Cela permet de savoir où concentrer le nettoyage prophylactique, quels sites traiter cliniquement en priorité. Elle permet de développer et d’améliorer les traitements prophylactiques

EVALUATION DU RISQUE CARIEUX (4, 12,13)

L’évaluation du risque carieux avant toute initiative de prise en charge, permet de cibler les besoins et d’attribuer une thérapeutique appropriée. La prévention au sens large du terme, c’est-à-dire celle ayant pour cible les facteurs en fonction du risque, est le moyen le plus efficace pour diminuer la prévalence de la carie.
Cette évaluation du risque carieux en fonction des différents facteurs sera concentrée dans deux tableaux (I et II). On peut classer les différents risques en 4 catégories : risque nul, faible, moyen et élevé.

Complications locales

Si les conditions locales de l’infection carieuse sont maintenues, les bactéries avec leurs toxines et leurs enzymes empruntent les canalicules dentinaires. Il y a dans un premier temps formation de dentine réactionnelle, et dans un second temps se mettent en place un ensemble de réactions cellulaires qui va aboutir à l’inflammation de la pulpe (pulpite), à sa dégénérescence complète (nécrose) qui peut se compliquer d’un abcès.

Complications loco- régionales

Le processus infectieux peut éventuellement se communiquer au reste de l’organisme et évoluer soit vers un mode chronique ou provoquer une pathologie aiguë.
– Pathologie chronique : En premier lieu, apparition d’un granulome péri-apical qui résulte de la prolifération du tissu conjonctif avec infiltrat inflammatoire et infectieux. Le granulome peut se transformer en kyste et entraîner une perte osseuse importante. Le kyste, s’il est très évolué, peut déformer le contour osseux des maxillaires et entraîner une adénopathie.
Le kyste ou le granulome peut s’extérioriser par une fistule, la diffusion de l’infection vers le sinus peut provoquer des sinusites.
– Pathologie aiguë : L’infection avec nécrose pulpaire peut évoluer brutalement et diffuser aux joues, palais, plancher, sinus entraînant soit une inflammation circonscrite, soit une inflammation diffuse de l’orbite, des tempes et muscles ptérygoïdiens et masséter provoquant la contractures des maxillaires, des clavicules ou thorax affectant le cœur et les poumons. L’infection peut aussi entraîner une inflammation avec formation de caillot allant vers le cerveau (thrombophlébite), ou provoquer une méningite.

Complications générales

La santé générale implique un état bucco-dentaire parfait car les répercussions à distance d’une situation inverse ne sont pas négligeables. Etant donnée la riche vascularisation de la dent l’infection à distance se transmet à l’organisme, cette bactériémie peut entraîner des affections diverses qui se manifestent par la fièvre, la fatigue, la septicémie.
-Affections aiguës et chroniques : on peut avoir notamment certaines affections rhumatismales comme l’arthrite, l’arthrose, des tendinites, des pathologies oculaires , broncho-pulmonaires, des affections dermatologiques, aggravation des problèmes rénaux, aggravation cardiovasculaire….. Même si ces affections se développent à long terme, elles ne sont pas négligeables. La prise en charge du point de vu préventif que ce soit chez l’enfant ou chez l’adulte doit être précoce.

Particularités chez l’enfant

La dent temporaire possède un émail de faible diamètre par rapport à la dent permanente, et sa minéralisation s’effectue dans un délai plus court. Ces deux caractéristiques rendent la dent temporaire très sensible à la carie.
Chez l’enfant, la carie est rapidement évolutive plus en profondeur qu’en surface et les caries proximales et occlusales des molaires sont plus fréquentes.
L’évolution vers la nécrose est rapide et peut entraîner un abcès qui peut affecter le germe de la dent permanente sous jacente, car les cellules participant à sa formation peuvent être altérées et la morphogenèse perturbée.
La prévention chez les jeunes enfants est particulièrement intéressante, car leur hygiène est insuffisante, les habitudes alimentaires néfastes, ce qui entraînent des lésions dans une structure qui réagit faiblement aux agressions bactériennes et qui se poursuit par une perte de substance préjudiciable pour la préservation de l’intégrité esthétique et fonctionnelle du jeune enfant qui se trouve en pleine croissance.

LES DIFFERENTS TYPES DE PREVENTION

Il y à plusieurs types de prévention, parmi lesquelles on peut citer : la prévention primaire, la prévention secondaire, la prévention tertiaire, la prévention collective, individuelle, ciblée …Elles correspondent chacune à un objectif précis.

LA PREVENTION PRIMAIRE

Elle comprend tous les actes destinés à diminuer l’incidence d’une maladie dans une population, à réduire le risque d’apparition de cas nouveaux. En santé bucco- dentaire elle aura pour but d’intercepter l’apparition de la maladie carieuse. (14)
Comme nous pouvons le rappeler, les facteurs de risque d’une lésion carieuse peuvent être divisés en deux catégories : les facteurs intrinsèques liés à l’anatomie et à la flore bacterienne ; les facteurs extrinsèques liés à l’hygiène et l’alimentation (8). Ils n’auront pas la même incidence en fonction de l’âge du patient.
A 6 ans, les principes fondamentaux sont souvent mal acquis ou mal respectés.
A cet âge, l’alimentation et l’hygiène pour certains enfants ne sont pas bien contrôlées tout au long de la journée. Cette situation pourrait avoir des conséquences fâcheuses, car c’est le début de la denture mixte, les rapports entre les dents temporaires et les dents définitives sont étroits et le passé pathologique des premières pourrait influencer l’avenir des autres.
A 12 ans, on peut remarquer des attitudes délétères chez le jeune adolescent qui a tendance à grignoter. A cet âge, la denture est de plus en plus développée et les sites anatomiques tels les points de contact et les sillons sont des sites privilégiés pour le développement des lésions carieuses, d’autant plus qu’ils font difficilement l’objet d’un auto nettoyage.
Il est donc important de sensibiliser à l’hygiène bucco-dentaire et alimentaire, les tout petits afin de préparer l’apparition des dents définitives (1), et de pouvoir diminuer le pic carieux observé chez les enfants deux ans après l’apparition de ces dents. Il est aussi important de maintenir des résultats satisfaisants chez l’adolescent et l’adulte.
La prévention primaire est surtout individuelle, elle décrit tous les conseils relatifs à l’hygiène et à la diététique.

HYGIENE BUCCO- DENTAIRE

le brossage

Nous parlerons de tout ce qui est relatif au brossage : son importance, le matériel utilisé, sa technique, l’essentiel à retenir …
¾ Importance du brossage
Le brossage est le geste essentiel pour éliminer la plaque. L’enseignement de l’hygiène bucco-dentaire et son suivi représente le moyen préventif le plus facile à mettre en place.
Chez le jeune enfant comme chez l’adulte, son apprentissage ainsi que la prescription d’un dentifrice fluoré ou d’autres adjuvants, représente la première étape de la démarche préventive.
¾ Le matériel utilisé
La brosse à dents reste l’instrument privilégié pour parvenir à une santé bucco-dentaire satisfaisante. Il est important que sa forme, sa fabrication, les matériaux qui la composent, répondent à des normes précises pour une bonne efficacité.
Une brosse à dents doit pouvoir atteindre tous les recoins de la cavité buccale. La forme du manche et la taille de la tête doivent être adaptées à son utilisateur.
– Les brosses à dents électriques
Elles sont dotées d’un mouvement oscillatoire et vibratoire non reproductible manuellement, qui permet de brosser les dents une à une. Les mouvements rotatifs imprimés aux poils se font suivant un angle de 120°. Elles assurent un balayage de la gencive marginale et de la dent.
– Les brosses à dents conventionnelles
La plupart des brosses à dents présentent une surface de 2 à 3 cm2. Les poils doivent être répartis sur deux ou trois rangées comprenant 5 à 12 touffes chacune. Ces poils doivent être pleins et en matière synthétique pour conserver plus longtemps leur rigidité. Selon une étude de MASSATI et FRANCK (16), les poils d’animaux (soies) développeraient des micro-organismes et ne s’useraient pas de manière homogène, ce qui définit une contre indication de ces soies, qui de plus sont traumatisantes pour la gencive.
L’extrémité des poils peut être pointue ou plate. Leur diamètre détermine la classification en brosse souple (0,17 mm de diamètre),
chirurgicale (0,08 à 0,1 mm de diamètre), medium (0,3 mm de diamètre) et dure (0,35 mm). Les poils
souples pénètrent mieux dans les sillons gingivaux grâce à leur flexibilité.
Pour plus d’efficacité il faut qu’il y ait un bon contact des poils avec la surface des dents facilité par la pression de la main.
Il existe des brosses ayant un bout flexible pour favoriser le contact avec toutes les faces, même celles difficilement accessibles ou encore des brosses ayant une légère courbure qui épouse celle de l’arcade.
¾ Différents types de brossages
Plusieurs méthodes sont préconisées, mais quelle que soit la technique, pour une meilleure efficacité il faudrait diviser l’arcade en 3 secteurs et procéder au brossage de chaque face secteur après secteur.
– Méthode électrique
Les brosses électriques peuvent être utilisées de diverses façons :
• Avec l’extrémité des poils insérés dans le sillon gingival dentaire
• Avec les poils dirigés vers la couronne
• Avec des mouvements de balayage vertical dirigés de la gencive à la couronne.
Les brosses électriques ne provoquent pas de lésions de la gencive, mais néanmoins on pourra préférer le brossage électrique dans le cas où le patient est inapte à maintenir une hygiène buccale correcte par seul brossage mécanique.
– Méthode manuelle (16)
• Méthode de BASS
Le sillon gingivo-dentaire est sollicité par le brossage. Les poils de la brosse à dents qui font un angle de 45°avec l’axe longitudinal de la dent pénètrent dans les embrasures. Les mouvements imprimés à la brosse sont des mouvements de va-et-vient qui désorganisent la plaque. Le brossage est orienté de la gencive vers la dent.
• Méthode de STILLMAN
Les poils ont une orientation oblique en direction apicale, de façon à ce qu’ils soient placés en même temps sur la gencive et sur le 1/3 coronaire de la dent.
Le mouvement imprimé à la brosse est un mouvement de rotation qui désorganise la plaque.
• Méthode de CHARTERS
On imprime à la brosse avec une légère pression des mouvements de va-et-vient. Les poils forment toujours avec la dent un angle de 45°.
• Méthode de FONES
Elle est caractérisée par des mouvements circulaires et les poils ici sont perpendiculaires à la surface dentaire.
Bien qu’il y ait plusieurs méthodes préconisées, il est plus simple de les définir en fonction de l’âge du patient.
¾ brossage en fonction de l’âge du patient
– Chez l’enfant
• De 0 à 3 ans
Le brossage est nécessaire dès qu’une dent apparaît sur l’arcade. A 3 ans les 20 dents ont fait leur apparition et peuvent être sujettes à l’accumulation de débris alimentaires. L’éducation sanitaire doit commencer tôt et doit faire l’objet d’un contrôle rigoureux.
Le brossage doit être réalisé avec l’aide des parents en utilisant une brosse de petite taille, sans dentifrice car à cet age l’enfant ne sait pas encore cracher.
L’adulte doit se placer derrière l’enfant. Il utilise une main en forme de gouttière supportant et stabilisant la tête de l’enfant, tout en utilisant les doigts pour rétracter ses lèvres, et il utilise l’autre main pour brosser les dents de l’enfant.
• De 4 à 6 ans
Une méthode très simple est préconisée où les poils de la brosse sont à cheval sur les dents. Le mouvement imprimé à la brosse à dents est un mouvement de va-et-vient. Le brossage doit être fait au moins deux fois par jour avec un dentifrice fluoré.
• De 6 à 8 ans
On apprend à l’enfant à se brosser de la gencive vers la dent. Cette méthode a été appelée « méthode intermédiaire ».

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Table des matières

NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
I. INTERET ET OBJECTIFS
1.1. PROCESSUS DE DEVELOPPEMENT DE LA CARIE
1.2. LES FACTEURS DE RISQUE DE LA CARIE
1.3. EVALUATION DU RISQUE CARIEUX
1.4. COMPLICATIONS LOCALES, LOCO-REGIONALES ET GENERALES
1.4.1. Complications locales
1.4.2. Complications loco-regionales
1.4.3. Complications générales
1.4.4. Particularités chez l’enfant
II. LES DIFFERENTS TYPES DE PREVENTION
2.1. LA PREVENTION PRIMAIRE
2.1.1. Hygiène bucco-dentaire
2.1.1.1. Le brossage
2.1.1.2. Le dentifrice fluoré
2.1.1.3. Choisir le bon dentifrice
2.1.2. Conseils diététiques
2.1.2.1. Une alimentation équilibrée
2.1.2.2. Une alimentation bien répartie
2.2. LA PREVENTION SECONDAIRE
2.2.1.1. Outils de diagnostic
2.2.1.2. Outils de diagnostic en fonction du site
2.2.2. Reminéralisation des lésions carieuses
2.2.2.1. Fluor par action topique
2.2.2.2. Autres procédés de reminéralisation
2.2.3. Scellements des sillons
2.2.3.1. But et indications
2.2.3.2. Produits de scellements
2.2.3.3. Protocole d’application
2.3. LA PREVENTION COLLECTIVE PAR LE FLUOR ADMINISTRE PAR VOIE SYSTEMIQUE
2 .4. LA PREVENTION TERTIAIRE
2.5. UN EXEMPLE DE PREVENTION CIBLEE: Motivation dans les collèges
2.6. LA VACCINATION
I. PRESENTATION GENERALE DU CAMEROUN
1.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
1.2. CLIMAT
1.3. DEMOGRAPHIE
1.4. POPULATION ACTIVE
1.5. CONDITIONS SOCIO-ECONOMIQUES
1.6. EDUCATION
1.7. VILLES PRINCIPALES
1.8. AGRICULTURE ET ELEVAGE
1.9. PRINCIPAUX TYPES D’ALIMENTS CONSOMMES AU CAMEROUN : EXEMPLE DE LA PROVINCE DU CENTRE ET DU NORD OUEST
1.9.1. Région d’Evodoula dans la province du centre
1.9.2. Au Nord Ouest du Cameroun
1.9.3. Zone urbaine de Mbandjock dans la province du centre
1.9.4. Les internats et cantines scolaires
II. SYSTEME DE SANTE AU CAMEROUN
2.1. SYSTEME DE SANTE EN GENERAL
2.1.1. Coopération sanitaire internationale
2.1.1.1. Place de la santé dans la politique du Cameroun
2.1.1.2. Contribution des partenaires extérieurs
2.1.2. Maladies prévalentes au Cameroun
2.1.3. Infrastructures sanitaires au Cameroun
2.2.1. Offre de soins bucco-dentaires
2.2.2. Organisation du système
2.2.2.1.. Organisation du Centre Médico-Scolaire
2.2.2.2. Mode d’action du Centre Médico-Scolaire
2.2.3. Répartition du nombre de chirurgiens dentistes
2.2.4.. La prévention bucco-dentaire au Cameroun d’une manière générale
2.2.4.1. Nombre d’enfants consultés en moyenne par an
2.2.4.2. La prévention individuelle
2.2.4.3. La prévention topique
2.2.4.4. La prévention systémique
2.3. RECENSEMENT NON EXHAUSTIF D’UNE ACTION DE PREVENTION : Exemple de Mfou
2.3.1. Etat bucco-dentaire de la population ciblée
2.3.1.1. Description de la population
2.3.1.2. Prévalence de la carie dans la population pendant cette période
2.3.1.3. Habitude d’hygiène bucco-dentaire de la population
2.3.2. Programme de prévention élaboré
2.3.2.1. Objectifs
2.4. EVALUATION DE L’ETAT DE SANTE BUCCO-DENTAIRE A PARTIR DE DEUX EXEMPLES PRECIS
2.4.1. Analyse des fiches statistiques de l’HGOPY
2.4.1.1. Matériel
2.4.1.2. Analyse
2.4.2. Estimation de la prévalence des caries chez les patients du Centre Médico-Scolaire de Yaoundé
2.4.2.1. Matériel
2.4.2.2. Estimation de l’indice CAO
2.4.2.3. Nombre moyen de carie par enfant tout et par trimestre
2.4.2.4. Pourcentage d’atteinte carieuse suivant les classes d’âge
III. DISCUSSION
IV. PROPOSITIONS ET PERSPECTIVES CONCERNANT
LA PREVENTION
CONCLUSION
ANNEXES

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