La politique monétaire et la croissance économique

Les canaux de transmissions de la politique monétaire

Plusieurs chercheurs, tels que Taylor 1995, considèrent les canaux traditionnels du taux d’intérêt comme extrêmement importants, intervenant par le biais du coût du capital et de nombreux autres spécialistes n’ont pas la même opinion. Selon une étude récente sur les dépenses d’investissement en capital fixe des entreprises Chirinko 1993, la réaction de l’investissement aux variables de prix, par rapport aux variables réelles, qui sont faible et peu significative. On a effectivement élaborer des modèles macro-économiques comportant d’importants effets de taux d’intérêt, mais les utilisateurs soulignent souvent qu’une légère modification dans l’écriture des équations réduit considérablement ces effets.
Chaque fois, quand bien même la limite d’importance des canaux traditionnels de taux d’intérêt, nous avons vu que les canaux de crédit constituent un extra mécanisme de transmission, dans lequel les variations de taux d’intérêt peuvent avoir un effet non négligeable sur la demande globale. De fait, les économistes défenseurs des canaux de crédit considèrent qu’ils amplifient et propagent les effets traditionnels de taux d’intérêt. Étant donné que les opérations de prêt ne sont pas des forces motrices indépendantes au sein de l’économie, mais se sont des réactions à la politique monétaire, l’existence des canaux de crédit n’implique pas une relation chronologique précise entre agrégats de crédit et variables réelles. Par conséquent, il est peu probable que les tests de séries chronologiques sur la capacité de prévision relative des agrégats de crédit, comme ceux de Ramey (1993) et Meltzer (1995), fournissent des éclaircissements sur la validité des canaux de crédit.
Il existe trois raisons de penser que les canaux de crédit constituent un élément important du mécanisme de transmission de la politique monétaire. En premier lieu, un grand nombre d’indices obtenus sur données individuelles tendent à prouver que les imperfections des marchés de crédit, du type de celles qui sont essentielles à l’action des canaux de crédit, affectent effectivement les décisions d’embauche et de dépenses des entreprises 2. En deuxième lieu, il semble, comme l’ont montré Gertler et Gilchrist (1994), que les petites entreprises, davantage susceptibles de subir des restrictions de crédit, soient plus affectées par un resserrement de la politique monétaire que les grandes entreprises, qui sont moins exposées à ce risque. La troisième raison, et probablement la plus solide, est que la thèse d’asymétrie d’information expliquant les imperfections des marchés du crédit, qui se situe au coeur de l’analyse du canal du crédit, est une construction théorique qui s’est avérée extrêmement utile pour expliquer nombre d’autres phénomènes importants. Elle explique notamment l’origine de l’existence de nombreuses institutions financières et la structure de notre système financier. En outre, l’analyse du canal du crédit présentée ci-dessus fournit une explication cohérente de l’enchaînement des événements lors d’une crise financière type et des raisons pour lesquelles les crises financières sont si néfastes pour l’économie. Le meilleur moyen de valider une théorie consiste à établir son utilité dans un large éventail d’applications. La théorie selon laquelle les canaux de crédit sont des éléments importants du mécanisme de transmission de la politique monétaire répond parfaitement à ce critère. Une caractéristique importante des canaux de crédit est l’accent qu’ils mettent sur la manière dont la politique monétaire affecte l’économie par le biais de prix d’actifs autres que les taux d’intérêt. En outre, l’analyse des canaux supplémentaires tels que le taux de change, le coefficient q de Tobin, la richesse et les prix des logements et des terrains explique également pourquoi les prix d’autres actifs jouent un rôle si important dans le mécanisme de transmission de la politique monétaire.
Les différents types des canaux de transmission de la politique monétaire sont :9

Canal du taux d’intérêt

Les effets des changements de taux d’intérêt directeurs sont généralement étudiés dans le cadre d’une analyse des comportements de dépenses des agents ménages, entreprises et Etat.
Dans une perspective de court terme et en supposant qu’il y’a une baisse non anticipée des taux d’intérêt, trois effets peuvent être mis en évidence sur les dépenses des ménages :
– L’effet de substitution : les variations de taux d’intérêt mènent les agents à revoir l’arbitrage entre consommation immédiate et épargne. Une baisse de taux diminue la valeur de la consommation future et encourage à consommer aujourd’hui puisque l’épargne devient moins intéressante et le crédit moins cher.
– L’effet de revenu : une baisse de taux conduite a une hausse de la valeur actualisée des dépenses de consommation anticipées pour des périodes avenirs. Depuis, la consommation future est trop cher, toutes choses égales en outre. Les ménages choisis par conséquent épargner davantage et réduire leur consommation immédiate pour faire face à cette situation.
– L’effet de richesse : une baisse de taux d’intérêt entraîne une augmentation de la valeur actualisée des revenus futurs des ménages. Cette hausse s’applique au capital humain et au capital physique, au capital financier. Ainsi, pour ce dernier, les agents ont le choix de vendre une partie du portefeuille de titres pour obtenir davantage de biens et services. Ils consomment plus de biens et services.
En ce qui concerne les effets sur l’investissement, une baisse de taux mènent un coût d’usage du capital plus faible et donc une augmentation de la profitabilité de la production et une offre supérieure de biens ; une substitution du capital au travail. Ces deux effets impliquent une hausse de l’investissement.

Canal du crédit

Dans le cas du canal du taux (ou canal monétaire), le rôle des banques se limite à la création de monnaie. L’offre de monnaie est corrélé à la base monétaire. Les modifications de taux entraînent des substitutions au sein des portefeuilles d’actifs (monnaie et titres) détenus par les agents non financiers. Ainsi, les actions de politique monétaire modifient les conditions monétaires et se remarquent par l’intermédiaire du passif du bilan des banques. Pour l’actif du bilan des banques n’intervient pas dans l’analyse. D’ailleurs il n y’ a pas de différences entre les titres et les crédits pour le financement de l’activité économique.
En revanche, ce qui concerne le canal strict du crédit, les banques jouent un rôle important dans le processus de financement par l’intermédiaire de l’octroi de crédits. Désormais, le système bancaire n’est plus neutre dans l’action et la transmission de la politique monétaire.
En doivent considérés L’actif et le passif du bilan des banques de façon symétrique. En cas de raidissement de la politique monétaire, les banques vont réglé leurs conditions débitrices : accroissement du taux des nouveaux crédits et/ou une diminution des crédits offerts. De plus, les crédits bancaires ne sont pas parfaitement remplaçable aux émissions de titres pour financer les projets d’investissement. Cette substituabilité imparfaite conduite des imperfections constatées sur le marché du crédit. En effet, les emprunteurs disposent d’une très bonne information que les prêteurs sur les caractéristiques de leurs projets d’investissement et sur leurs situations financières (asymétrie d’information). Les prêts bancaires sont considérés comme spécifiques puisqu’ils constituent la source majeure de financement en cas d’asymétrie d’informations. Les agents économiques les plus en plus touchés sont les ménages et les petites et moyennes entreprises.
Le canal strict du crédit pose en avant l’offre de crédit des banques au lieu de la demande de monnaie des agents non financiers (canal monétaire). La transmission à la sphère réelle s’accompli par les variations de l’offre de crédit. L’action de la politique monétaire aura des effets sur les décisions d’investissement.
La littérature moderne a également développé le canal large du crédit (ou canal du bilan). Elle repose sur le fait que tous les financements externes sont des remèdes imparfaits au financement interne. Cette littérature développe l’hypothèse d’imperfections sur le marché des crédits et, plus généralement, sur les marchés des capitaux en raison des coûts de transaction et des coûts d’acquisition de l’information, des problèmes d’asymétrie de l’information.
L’existence de ces imperfections alourdi les structures financières des entreprises et sur leurs possibilités, sur leurs décisions de financement, sur leurs comportements de stockage. Généralement, le financement externe est plus couteux que le financement interne. Cet variation de coût décroît avec la richesse nette de l’emprunteur (ressources internes et celles admises en garantie). Un choc touchent la richesse nette de l’emprunteur augmente le coût du financement externe et pèse donc sur ses décisions (dépenses d’équipement, de personnel). La généralisation du choc global à l’ensemble des entreprises déclic un mécanisme de propagation des cycles.

Canaux des prix d’autres actifs

Une des principales objections des monétaristes au paradigme ISLM concernant l’analyse des effets de la politique monétaire sur l’économie est que ce modèle se concentre sur le prix d’un seul actif, le taux d’intérêt, et non sur les prix de plusieurs actifs. Les monétaristes imaginent un mécanisme de transmission dans lequel les prix relatifs d’autres actifs et la richesse réelle transmettent des effets monétaires dans l’économie. L’identification de ces autres canaux est une caractéristique des modèles macro-économiques conçus par des keynésiens, tels Franco Modigliani, qui considèrent les effets des prix de ces autres actifs comme essentiels pour le mécanisme de transmission de la politique monétaire.
Le modèle IS-LM (figure 4) a été fondé par Hicks et Hansen10 pour appréhender la vision Keynésienne du fonctionnement de l’économie dans un cadre plus large, si bien que les interprétations dont il fait l’objet se situent parfois à rebours des idées élaboré dans la Théorie Générale.
Sur l’échelle horizontale se trouve le niveau du revenu (Y) de l’économie et en ordonnée le taux d’intérêt (i). La courbe IS représente l’équilibre sur le marché des biens et correspond à l’ensemble des couples (Y, i) assurant l’équilibre entre épargne (S) et investissement (I).
La courbe LM représente l’équilibre sur le marché de la monnaie. Elle est formée de l’ensemble des couples (Y, i) où l’offre de monnaie (M), déterminée comme variable exogène par les autorités monétaires équilibre la demande de monnaie (L), qui signifie la préférence pour la liquidité.
Cette dernière est fonction montante du revenu des agents (Y) et démontante du taux d’intérêt (i). En effet, plus le taux est au niveau bas, plus les agents préfèrent garder de la monnaie pour « motif de spéculation ».
L’équilibre de l’économie est réalisé à l’intersection entre les deux courbes, ce qui détermine un taux d’intérêt et un niveau de revenu d’équilibre.

Dans le cas général 

– une politique budgétaire de relance se traduit par déplacement de la courbe IS vers la droite et une croissance relative du revenu global : le nouveau point d’équilibre se positionne à un niveau de revenu et de taux d’intérêt plus élevé ;
– une politique monétaire inflationniste conduit à déplacer la droite LM vers la droite car en augmentant la masse de monnaie disponible, le taux d’intérêt sera au niveau plus bas pour un même revenu. Ce changement crée un nouveau point d’équilibre à niveau de revenu plus élevé et à un taux d’intérêt plus bas.
Il existe deux actifs-clés, en plus des obligations, qui font l’objet de beaucoup d’attention dans la littérature consacrée aux mécanismes de transmission : les devises et les actions.

Canal du taux de change

Compte tenu de l’internationalisation croissante de l’économie américaine et du passage aux taux de change flexibles, on s’est davantage intéressé à la transmission de la politique monétaire à travers l’influence des taux de change sur les exportations nettes. De fait, ce mécanisme de transmission est devenu une caractéristique des principaux manuels de référence en macro-économie, tout comme ceux portant sur la monnaie et le système bancaire. Ce canal fait également intervenir les effets du taux d’intérêt car la baisse des taux d’intérêt réels nationaux réduit l’attrait des dépôts nationaux en dollars par rapport aux dépôts libellés en monnaies étrangères, ce qui entraîne une chute de la valeur des dépôts en dollars par rapport aux dépôts en devises, c’est-à-dire une dépréciation du dollar.
La dépréciation de la monnaie nationale abaisse le prix des biens nationaux par rapport aux biens étrangers, ce qui se traduit par une augmentation des exportations nettes (NX ) et donc de la production globale. Par conséquent, le schéma du mécanisme de transmission de la politique monétaire par le canal du taux de change est le suivant :

Canal du cours des actions

Il existe deux canaux importants impliquant les cours des actions pour le mécanisme de transmission de la politique monétaire : ils se réfèrent à la théorie de l’investissement de Tobin (coefficient q)11 et aux effets de richesse sur la consommation.

La théorie du coefficient q de Tobin

Cette théorie établit un mécanisme selon lequel la politique monétaire affecte l’économie par le biais de ses effets sur la valorisation des actions (cf. Tobin 1969). Tobin définit le coefficient q comme étant le rapport entre la valeur boursière des entreprises et le coût de renouvellement du capital. Si q est élevé, la valeur boursière des entreprises est élevée par rapport au coût de renouvellement du capital et les nouveaux investissements productifs sont peu onéreux par rapport à la valeur boursière des entreprises.
Celles-ci peuvent alors émettre des actions et en obtenir un prix élevé, compte tenu du coût des investissements productifs qu’elles réalisent. Par conséquent, les dépenses d’investissement augmenteront car les entreprises peuvent acquérir beaucoup de biens d’équipement en émettant peu d’actions nouvelles.
En revanche, lorsque q est faible, les entreprises ne chercheront pas à acquérir de nouveaux biens d’équipement, car leur valeur boursière est faible par rapport au coût du capital. Si les entreprises veulent se procurer du capital lorsque q est faible, elles peuvent acheter une autre entreprise à un prix avantageux et acquérir ainsi du capital existant. Dans ce cas, les dépenses d’investissement seront faibles.
L’existence d’un lien entre le coefficient q de Tobin et les dépenses d’investissement se situe au centre du débat. Néanmoins, comment la politique monétaire est-elle susceptible d’affecter les cours des actions ? Selon la conception monétariste, lorsque l’offre de monnaie augmente, les agents estiment qu’ils disposent de trop de liquidités par rapport au niveau souhaité et tentent, dès lors, de réduire leurs encaisses en accroissant leurs dépenses. Le marché boursier leur offre une possibilité de dépenser ce surplus, ce qui accroît la demande d’actions et fait ainsi monter les cours. Selon une conception plus keynésienne, qui aboutit à la même conclusion, la chute des taux d’intérêt découlant d’une politique monétaire expansionniste réduit l’attrait des obligations par rapport aux actions, ce qui suscite une hausse des cours de ces dernières. En combinant ces thèses avec le fait que la hausse des cours des actions (Pe ) entraîne une augmentation du coefficient q (q ) et donc des dépenses d’investissement (I ), on déduit le mécanisme suivant de transmission de la politique monétaire :

Le lien entre le marché monétaire et le marché financier

Communément le mot marché désigne pour les économistes, un lieu de confrontation de l’offre et de la demande. D’un point de vue juridique le marché peut d’abord être considéré comme un débouché économique pour différents types de biens. C’est dans ce sens que l’on fait appel à la notion de marché pertinent, c’est-à-dire, un marché de référence permettant d’apprécier notamment une éventuelle position dominante et qui comprend tous les produits ou services que le consommateur considère comme interchangeables ou substituables en raison de leurs caractéristiques, de leur prix et de l’usage auquel ils sont destinés.
Le marché peut être aussi considéré comme un lieu, un espace public où il est possible de vendre et d’acheter un certain nombre de biens. Traditionnellement un tel lieu correspond à un endroit concret dûment matérialisé, même s’il pouvait être ouvert à tous vents.

Le marché monétaire

Par marché monétaire, on désigne l’échange qui s’établit quotidiennement entre offreurs et demandeurs de titres de créances a court terme. La monnaie centrale, en tant qu’actif liquide par excellence, est au centre de ce marché et fait l’objet d’un échange quotidien intéressant particulièrement les intermédiaires financiers.
Le marché monétaire tunisien est ouvert aux établissements de crédit, aux entreprises (personnes morales de droit public ou de droit privé) et aux personnes physiques en qualité de souscripteurs.

Les intervenants sur le marché monétaire

-Les organismes qui sont structurellement excédentaires et qui ont des liquidités a placer (ex. les sociétés d’assurance).
-Les organismes qui sont structurellement déficitaires, dont les besoins en liquidités sont constants et s’expliquent par le fait que les crédits qu’ils distribuent sont supérieurs aux dépôts qu’ils collectent.
C’est le cas de l’ensemble des banques considérées globalement.
-En fin, les intervenants qui vont au marché tantôt pour emprunter, tantôt pour prêter. Leur intervention sur le marché est fonction de leur situation de trésorerie. C’est le cas de chaque institution financière considérée isolement, des entreprises et des organismes divers.
Les échanges de liquidités sur le marché monétaire s’effectuent :
Entre les banques dans le cadre du marché interbancaire où l’échange de liquidité s’effectue contre des achats fermes ou de prises en pensions d’effets publics ou privés. En 2003, la pension livrée a été introduite afin de dynamiser le marché interbancaire. Elle consiste en l’achat des valeurs mobilières et des effets de commerce avec transfert de la pleine propriété à un prix convenu à la date de l’achat qui comprend, obligatoirement et irrévocablement, respectivement l’engagement du vendeur de racheter les valeurs mobilières et les effets de commerce objet de l’opération et l’engagement de l’acheteur de les lui rétrocéder à une date et à un prix convenus à la date de l’achat Entre les entreprises ou avec des personnes physiques, par l’intermédiaire des banques, contre des billets de trésorerie.
Entre les établissements de crédit et les entreprises ou les personnes physiques contre des certificats de dépôt.

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Table des matières

Introduction général
Partie 1 : fondement théorique de la politique monétaire et la croissance économique
Introduction de la partie
Chapitre 1 : La politique monétaire
Introduction
Section 1 : Définition et mise en oeuvre de la politique monétaire
1-1: de la monnaie voile aux politiques volontaires issues de la théorie keynésienne
1-2: le retour au monétarisme, monétaristes et nouveaux classiques
1-3: les objectifs de la politique monétaire
Section 2 : Les instruments de pilotage de la création monétaire
2-1: Les instruments de contrôle direct
2-2: Les instruments de contrôle indirect
Section 3 : Les canaux de transmission de la politique monétaire
3-1: Canal du taux d’intérêt
3-2: Le canal du crédit
3-3: Canaux des prix d’autres actifs
Section 4 :Le lien entre le marché monétaire et le marché financier
4-1: Le marché monétaire
4-2: Le marché financier
4-3 : Articulation entre les marchés financiers et monétaire
Conclusion
Chapitre 2 : la croissance économique
Section 1: Définition, indicateur de la croissance, fonction de production usuelle
1-1: Concept de la croissance économique
1-2: Articulation entre la croissance économique et la production
1-3: Les indicateurs de la croissance économique
1-4: Les indicateurs de la croissance économique
Section 2 : La théorie de la croissance économique selon les classiques et les néoclassiques
2-1: Classiques
2-2: Néoclassiques
2- 3: Comparaison entre les théories
Section 3 : Le model de la croissance endogène
3-1: De la croissance exogène a la croissance endogène
3- 2: Les théories endogènes de la croissance
3-3: Apports et limites des modèles de croissance endogène
Conclusion
Conclusion de la partie
Partie 2 : Efficacité et performance économique de la politique monétaire
Introduction de la partie
Chapitre 1 : Politique monétaire et stabilité, croissance, performance économique
Introduction
Section 1: La relation selon la revue de la littérature entre croissance et politique
monétaire
1-1: Croissance économique et stabilité macroéconomique et performance économique
1- 2 : L’effet de l’instabilité de l’environnement de la politique monétaire sur la croissance économique
1-3: Effet d’instabilité de la politique monétaire sur la performance économique
Section : 2 La crédibilité, facteur d’efficacité de la politique monétaire
2-1:L’acquisition de la crédibilité
2- 2: L’indépendance de la banque centrale
2-3: Mesures de la crédibilité
Section 3 : Les cycles économiques
3-1 : Définition du cycle économique
3-2 : Les théories économiques du cycle
Section 4 : Le lien entre croissance économique et croissance Boursier
4-1 : La théorie du lien entre croissance économique et Bourcier
4- 2 : Mesures du développement et la croissance du marché financier
Chapitre 2 : Politique monétaire, croissance économique : investigation empirique sur les pays du Maghreb (Algérie Tunisie Maroc)
Introduction
Section 1: la politique économique des trois pays
1-1: Politique économique algérienne
1-2 :politique économique marocaine
1-3: politique économique tunisienne
Section 2 : Présentation du model empirique
2-1 : Revue de la littérature empirique
2-2 : Méthodologie de l’étude
Section 3 : Résultats des estimations et tests
3-1 : Présentation des résultats de l’estimation par les MCO
3-2 : Présentation des résultats de l’estimation avec effet fixe
3-3 Présentation des résultats de l’estimation avec effet aléatoire
Conclusion
Conclusion de la partie
Conclusion générale

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