La conception et l’implémentation d’un système d’information de la gestion des fournitures consommables

Le modèle conceptuel de données (MCD)

  Le modèle conceptuel de données constitue une description globale des données manipulées dans l’organisme, tous les acteurs et tous les documents confondus. En effet, il est la représentation de l’ensemble des données mémorisables du domaine, sans tenir compte des aspects techniques et économiques du stockage et de l’accès, sans se référer aux conditions d’utilisation par tel ou tel traitement. Le modèle conceptuel de donnés décrit la sémantique, c’est-à-dire le sens attaché à ces données et à leur rapport, et non à l’utilisation qui peut être faite. Il est aussi la représentation statique du système d’information de l’entreprise. Statique mais pas figée car un modèle est par principe évolutif. Le modèle conceptuel de données (MCD) repose sur 4 concepts de base :
• la propriété (propriété-type)
• l’entité ou individu (entité-type)
• l’association (ou relation)
• (La cardinalité)
A- La propriété
C’est le plus petit élément d’information ; c’est la particule élémentaire du système d’information. Appelé également attribut, elle correspond à un rubrique. Lors de la construction du MCD, certaines règles doivent être respectées sur les propriétés :
• La non redondance,
• L’élimination des synonymies,
• L’élimination des polysémies.
1) La non redondance :
La non redondance repose sur le fait qu’une propriété ne peut figurer qu’une seule fois, au plus, dans le MCD.
2) L’élimination des synonymies
Le synonyme est défini par la présence de libellés de données différentes mais qui représentent une seule donnée. Par exemple, les libellés de données Code_article et Réf_ariticle renvoient tous les deux à la même donnée permettant d’identifier les articles. Il n’y a donc qu’une donnée avec deux libellés, qui sont en fait des synonymes. Un tel cas doit être évité pour la construction du MCD.
3) L’élimination des polysémies
La polysémie par contre est caractérisée par la présence d’un seul libellé mais qui représente plusieurs données.Par exemple, la propriété « Nom » peut designer en même temps le nom de, l’article et le nom de fournisseur. En MCD, cela doit être évité. Pour éliminer la polysémie dans ce cas, on doit prendre deux propriétés différentes qui sont : « date_entree» et « date_sortie».
B- L’entité
C’est l’objet, le concept, l’événement que l’on peut décrire. C’est un objet abstrait, un concept, qui regroupe des données qui ont un rapport très précis entre elles. Exemples : Article, fournisseurs.
C- L’association ou relation
Ce concept traduit un rapport entre différentes entités ; cette association peut être définie de manière très libre. Cependant pour définir l’association, il est nécessaire, au préalable, de définir les entités concernées. Une relation peut être porteuse de propriété ou non selon la modélisation ou la contrainte des règles de gestion. Elle peut être réflexive lorsqu’elle associe une entité à elle même. Il existe deux types de relations
• L’association hiérarchique ou Contrainte d’Intégrité Fonctionnelle (CIF),
• L’association non hiérarchique ou Contrainte d’Intégrité Multiple (CIM).
1) La CIF
L’association hiérarchique présente deux caractéristiques :
• Elle met en jeu soit deux entités, soit une seule entité si l’association est
réflexive ;
• Il existe une dépendance fonctionnelle directe entre les identifiants de ces deux
entités.
Remarque :
On dit que deux propriétés a et b sont dotées d’une Dépendance Fonctionnelle (DF) si la connaissance de la valeur de a détermine une et une seule valeur de b
2) La CIM
L’association non hiérarchique n’est pas limitée à deux entités, elle peut en concerner plusieurs. Les associations de ce type peuvent être porteuses de données, mais elles peuvent également ne pas l’être.
D -Les cardinalités
Les cardinalités représentent pour chaque couple objet-relation le nombre minimum et maximum (min, max) de fois qu’une occurrence de l’objet participe aux occurrences de la relation.Elles mesurent, lorsque l’on parcourt l’ensemble des occurrences de l’objet impliqué dans le couple, le minimum et le maximum de participation à la relation (borne inférieure et supérieure) et leurs principales notations sont (0,1), (0, n), (1, n),(1,1). Ces cardinalités signifient : (0,1) : une occurrence de l’objet peut exister sans pour autant participer à la relation (0) et ne participe jamais qu’une seule fois (1). (0, n) :c’est la cardinalité la plus ouverte, une occurrence de l’objet peut exister sans pour autant participer à la relation (0) et ne peut participer sans limitation (n). (1, 1) : Une occurrence de l’objet participe au moins une seule fois et au plus une fois à la relation. (1, n) : une occurrence de l’objet participe au moins une fois à la relation.
a)L’identifiant :
L’identifiant est une propriété particulière d’un objet tel qu’il n’existe pas deux occurrences de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur.
b) Formalisme du MCD

Le modèle conceptuel de traitement (MCT)

 Les traitements constituent la partie dynamique du système d’information. Ils décrivent les actions à exécuter sur les données afin d’obtenir les résultats attendus par l’entreprise Le modèle conceptuel des traitements (MCT) permet de traiter la dynamique du système d’information, c’est-à-dire les opérations qui sont réalisées en fonction des événements. Ce modèle permet donc de représenter de façon schématique l’activité d’un système d’information sans faire référence à des choix organisationnels ni à des moyens d’exécution, c’est-à-dire qu’il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand, comment ni où. Les concepts de base du MCT sont :
A- L’événement
C’est l’arrivée d’un fait nouveau pour le système, en provenance de l’extérieur. ou de l’extérieur. L’évènement est porteur d’information. On distingue deux types d’événements :
-événements externes : ce sont les événements provenant ou destinés à un acteur externe.
-événement internes : ce sont les évènements qui restent dans le domaine, soit pour assurer la continuité des processus, soit vers le système de pilotage.
B-L’opération
C’est la réaction du système, sous forme de traitement face à l’arrivée d’un événement ou ensemble d’événements. Par exemple l’arrivée de livraison déclenchant l’opération de réception de livraison fournisseur.
C- Le résultat
Le résultat est généré par une opération. Il est la réponse du système à la contrainte de traitement de l’information nouvelle portée par l’événement ou l’ensemble d’événements ayant déclenché cette opération.
D- La synchronisation
La synchronisation c’est une condition booléenne sur plusieurs événements qui doit être remplie pour que l’exécution de l’opération soit déclenchée. Il s’agit donc de conditions au niveau des événements régies par une condition logique réalisée grâce
aux opérateurs: OU, ET, NON
E- La représentation de formalisme MCT.

Notion sur le niveau logique

  Le niveau logique concerne la conception du logiciel correspondant aux parties à automatiser du système, en tenant compte de la description élaborée aux niveaux  conceptuel et organisationnel.Le niveau conceptuel doit prendre en considération : La portabilité du logiciel : compléter et préciser la description du système futur à un niveau logique (portable par rapport aux spécificités de tel ou tel environnement matériel et logiciel) La validation complète de la part des utilisateurs du système projeté dans ses aspects externes. La localisation des données et des traitements dans le cas d’une application repartie. Le modèle logique de données est une étape intermédiaire avant de passer au modèle physique de données où se pose le problème de choix d’implémentation, c’est-à-dire d’un outil logiciel qui permet de mettre en œuvre la structure de données qui a été définie. Les possibilités offertes sont nombreuses et évolutives :
• Le tableur ou feuille de calcul électronique ;
• Le système de gestion de fichier (SGF), outil de troisième génération parce qu’il est complémentaire de langage de programmation classique comme Pascal, COBOL,
• Le système de gestion de base de données relationnel (SGBDR), outil de 4ème génération qui réalise l’indépendance donnée au programme. C’est sur ce dernier que notre choix se porte à cause de ses nombreuses avantages et la facilité de sa manipulation car il utilise le langage de 4ème génération SQL.

Les caractéristiques d’un système de gestion de base de données

  Les bases de données et les systèmes de gestion de bases de données ont été créés pour répondre à un certain nombre de besoins et pour résoudre un certain nombre de problèmes. Nous donnons ici, les caractéristiques souhaitables des SGBD qui ne sont pas forcément prises en compte par les SGBD commerciaux qui sont les suivants : Indépendance physique : La façon dont les données sont définies doit être indépendante des structures de stockages utilisées.
Indépendance logique : Un même ensemble de données peut être vu différemment par des utilisateurs différents. Toutes ces visions personnelles de données doivent être intégrées dans une vision globale. Manipulations des données par des non informaticiens : Il faut pouvoir accéder aux données sans savoir programmer ce que signifient des langages « quasi naturels ». Efficacité des accès aux données : Ces langages doivent permettre d’obtenir des réponses aux interrogations en un temps « raisonnable ». Ils doivent donc être optimisés et, entre autres, il faut un mécanisme permettant de minimiser le nombre d’accès disques. Tout ceci, bien sûr, de façon complètement transparente pour l’utilisateur. Des visions différentes des données (entre autres) se résolvent plus facilement si les données sont administrées de façon centralisée. Non redondance des données : Afin d’éviter les problèmes lors des mises à jour, chaque donnée ne doit être présente qu’une seule fois dans la base.
Cohérence des données : Les données sont soumises à un certain nombre de contraintes d’intégrité qui définissent un état cohérent de la base. Elles doivent pouvoir être exprimées simplement et vérifiées automatiquement à chaque insertion, modification ou suppression des données.
Partageabilité des données : Il s’agit de permettre à plusieurs utilisateurs d’accéder aux mêmes données au même moment. Si ce problème est simple à résoudre quand il s’agit uniquement d’interrogations et quand on est dans un contexte mono utilisateur, cela n’est plus le cas quand il s’agit de modifications dans un contexte multi utilisateurs. Il s’agit alors de pouvoir :
• permettre à deux (ou plus) utilisateurs de modifier la même donnée « en même temps »;
• assurer un résultat d’interrogation cohérent pour un utilisateur consultant une table pendant qu’un autre la modifie.
Sécurité des données : Les données doivent pouvoir être protégées contre les accès non autorisés. Pour cela, il faut pouvoir associer à chaque utilisateur des droits d’accès aux données.
Résistance aux pannes : Que se passe-t-il si une panne survient au milieu d’une modification, si certains fichiers contenant les données deviennent illisibles? Les pannes, bien qu’étant assez rares, se produisent quand même de temps en temps. Il faut pouvoir, lorsque l’une d’elles arrive, récupérer une base dans un état « sain ». Ainsi, après une panne  intervenant au milieu d’une modification, deux solutions sont possibles : soit récupérer les données dans l’état dans lequel elles étaient avant la modification, soit terminé l’opération interrompue.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

LISTE DES ABBREVIATIONS, SIGLES ET ACRONYMES
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE :  PRESENTATION GENERALE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOAMASINA, ET DE L’ETUDE ET ANALYSE DE L’EXISTANT DE LA GESTION
DES FOURNITURES CONSOMMABLES
Chapitre I : LA PRESENTATION GENERALE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOAMASINA
Section I. LES GENERALITES
§-1- Localisation et délimitation
§-2- Historique du Centre Hospitalier
La reconstruction financée par la Communauté Economique Européenne (C.EE) a débuté en 1971-1975 pour se terminer en 1985. Cela s’est déroulé en 4 tranches
§-3- Compétences techniques et spécialités du Centre
§-4.- Les principales activités du centre
A) Rôle de soins
B) Rôle de formation
C- Rôle de prévention

D- Rôle de prise en charge des Sidéens
§-5. Les ressources du centre hospitalier universitaire de Toamasina
A- La participation financière des usagers(PFU)
B- Le budget de l’Etat
C- Le projet de développement de secteur de santé pérenne (PDSSP)
Section II : L’ORGANISATION ADMNISTRATIVE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOAMASINA
§-1 Le comité de pilotage
A- La Composition des membres du CP
B- L’organisation du CP

§-2. L’organe exécutif
A- La direction de l’établissement
B- L’assistant de direction
C- Le directeur adjoint administratif et financier
1) Un service financier
2) Un service de gestion de ressources humaines
3) Un service du matériel, logistique et maintenance, buanderie garage atelier
4) Un service Hospitalisations et Soins externes, Mini régie
5) Un service social
6) Un service statistique
7) Un service Economat et Intendance
8) Un service généraux et d’hygiène hospitalière
D- La direction technique
1) Département médical
a) Le service médecine général Homme Femme 12/34
b) Le service pneumo-phtisiologie
c) le service psychiatrie
2) Le département Chirurgical
a) Accueil Triage Urgences
b) Le service bloc opératoire
c) Le service réa polyvalent
d) Le servie chirurgie 12/34
e) Le Service Appareillage et de Rééducation (SAR)
3) Le département médico-technique
a) L’unité radiologie
b) L’échographie
c) Le laboratoire
d) L’unité pharmacie
e) Le Centre Régional de transfusion sanguine
4) Le département spécialité
a) La stomatologie
b) L’ORL ou Oto-Rhino-Laryngologies
c) L’ophtalmologie
5) Le Département Mère Enfant 

a) Le service maternité
b) Le service pédiatrie
§-2.L’organe consultatif
A- Le comité médical de l’Etablissement
B- Le comité paramédical de l’établissement
C- Le comité des personnels administratifs et des personnels d’appui de l’établissement
§-3.Le staff de direction
§-3.L’ Organigramme du centre hospitalier universitaire de Toamasina
Chapitre II : L’ETUDE DE L’EXISTANT DU CENTRE HOPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOAMASINA
Section I : PROBLEMATIQUE ET ETUDE DE L’EXISTANT
§-1 Problématique
§-2 Objet de l’étude
§-3 Analyse des flux
A) Aperçu du service matériel
1) Structure et organigramme du service du matériel
2) les différentes attributions du service matériel
a)Le chef matériel
b) Le responsable des consommables assure de..
c) Le magasinier en charge :
B) Procédure de la gestion des fournitures
1) la gestion de bon de sortie mensuel des consommables
2) la gestion de bon de sortie exceptionnelle
C- Les documents utilisés
1) Procès verbal de réception
2) Le bon de sortie mensuelle des consommables
3) Le bon de sortie exceptionnelle
4) La fiche de stock
C) Le diagramme de flux de données
1) Le domaine
2) Le flux
3) Les acteurs
4) Schéma de diagramme du flux 

Section II : LE SYSTEME D’INFORMATION ET SYSTEME INFORMATIQUE DU CHUT
§-1 Le système d’information
A Qu’est ce que le système ?
B Qu’est ce que le système d’information ?
C- Qu’est que le système d’information de gestion ?
D- Les fonctions du système d’information
§-2 Le système informatique
Chapitre 3 : LA METHODOLOGIE ET L’OUTIL DE CONCEPTION D’UN SYSTEME D’INFORMATION DE LA GESTION DES FOURNITURES CONSOMMABLES 
Section I : LA NOTION DE MODELISATION
§-1 La présentation de la Méthode MERISE/2
§-2 Caractéristiques de la méthode MERISE/2
A- La démarche ou cycle de vie
1) Le schéma directeur
2) L’étude préalable
3) L’étude détaillée
4) L’étude technique
B- Le raisonnement ou cycle d’abstraction
1) Le « niveau conceptuel » (le « Quoi ? »)
2) Le « niveau logique  »
3) Le « niveau physique » (pour les données)
C- La maîtrise ou cycle de décision
§-3 Avantages et inconvénients de la méthode MERISE/2
A- Les principaux avantages de MERISE/2
B- Les inconvénients de la méthode MERISE/2
§-4 WIN’DESIGN
A- Généralités
B- Architecture de Win’ design
DEUXIEME PARTIE :  LA CONCEPTION ET L’IMPLEMENTATION D’UN SYSTEME D’INFORMATION DE LA GESTION DES FOURNITURES CONSOMMABLES
CHAPITRE I : CONCEPTION DETAILLEE 
Section I : SOLUTIONS CONCEPTUELLES
§-1 Le modèle conceptuel de données (MCD)
A- La propriété
1) La non redondance
2) L’élimination des synonymies
3) L’élimination des polysémies
B- L’entité
C- L’association ou relation
1) La CIF
2) La CIM
D -Les cardinalités
a)L’identifiant
b) Formalisme du MCD
§-2 La mise en œuvre du MCD
A- Quelques règles dont on doit tenir comptent lors de mise en œuvre
B- Les règles de gestion
C-La présentation de MCD
§-3 Le modèle conceptuel de traitement (MCT)
A- L’événement
B-L’opération
C- Le résultat
D- La synchronisation
E- La représentation de formalisme MCT
1) Prise en compte de la livraison fournisseur
2) Prise en compte de traitement bon de sortie mensuel
3) Prise en compte bon exceptionnel
§-3 Le modèle organisationnel de traitement
A-Définition
B-Le formalisme
1) Le poste de travail
2) La tâche
a)Le degré d’automatisation de la tâche
b) Le délai de réponse de la tâche
c) Le mode de fonctionnement de la tâche
d) La fréquence de la tâche 

e) La durée de la tâche
3) Schéma du formalisme
C- Les règles d’organisations
D) PRESENTATION DU MOT
1) Présentation MOT prise en compte livraison fournisseur
2) Présentation MOT prise en compte bon de sortie mensuelle des consommables
3) Présentation MOT prise en compte de bon de sortie exceptionnelle.
4) Présentation du MOT mouvement de stock
§-4 Le modèle logique de données
A- Notion sur le niveau logique
B- Définition MLD
1) Les relations statiques
2) Les relations dynamiques
3) Passage du niveau conceptuel au niveau logique
a) Une entité se transforme en une relation (table)
b) Relation binaire aux cardinalités (*,1) – (*,n), *=0 ou *=1
c) Relation binaire aux cardinalités (*,n) – (*,n), *=0 ou *=1
d) Relation n-aire (quelles que soient les cardinalités)
e) Association Réflexive
f) Relation binaire aux cardinalités (0,1) – (1,1)
B) PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES
CHAPITRE 2 : L’IMPLEMENTAITON DU SYTEME ETUDIE
Section I : LE MODELE PHYSIQUE DE DONNEES
§-1 La notion SGBD et BD
A- La Base de données
B- Le système de gestion de base de données (SGBD)
§-2 Les caractéristiques d’un système de gestion de base de données
§-3 Architecture d’un système de gestion de base de données
§-4 Choix SGBDR utilisé et le langage de programmation
A- Choix de SGBDR
B- Choix de langage de programmation
C- La notion du langage SQL
D- Les listes de tables

§-5 Présentation de l’outil développement de notre logiciel
A-L’écran de saisie
1 )L’ecran de saisie nouveau article
2) L’ecran de saisie article sortie
3) Ecran de saisie article entrée
B-L’écran de consultation et recherche
C-L’écran d’impression
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Annexe I : PV de réception des marchandises
Annexe II : Fiche de stock des consommables
Annexe III : Bon de sortie des consommables mensuelle
Annexe IV : Bon de sortie exceptionnel
Annexe V : Bon de commande fournisseur.
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX 

Rapport PFE, mémoire et thèse PDFTélécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *