Soutenance mémoire
La littérature orale
Définition du conte
Parmi les notions les plus anciennes de l’oralité, nous trouvons les mythes, les contes,la légende, l’anecdote, proverbe et devinettes. Depuis les millénaires, le conte est connue comme une forme, une expression merveilleux surnaturelle, transmit d’une personne à une autre et d’une génération à une autre de bouche à oreille par des conteurs inconnue, dans le but de s’approcher et de découvrir les expériences de l’homme dans la vie quotidienne. D’ailleurs, leurs sources on les retrouve dans tous les domaines et désignait pour tout âge, particulièrement pour les enfants. De même, il décrive l’être humain dans tous ces biens faits, ces défauts, ces traditions et ces cultures à travers les âges. Le conte est un genre littéraire, un récit assez court, écrit en vers (ex : les contes de Jean de la fontaine) ou en prose (ex : les contes de Perrault et de Grimm), qui relate des
histoires imaginaires. Députant généralement par des formules d’ouverture les plus célébrés, (il était une fois, il y a bien, longtemps, etc.)Le conte se définit selon le dictionnaire le petit robert comme : « un nom masculin, un récit de faits réels, histoire court, c’est un récit de faits et d’aventures imaginaires.» selon le dictionnaire critique littéraire le conte est un : Genre littéraire narratif assez mal définit qui peut prendre des formes très diverses, du conte de fée au conte philosophique. Son seul caractéristique est sa brièveté. Aussi est-il parfois difficile de la différencier de la nouvelle.
Les contes ont traversé des siècles par l’interposition de la mémoire des hommes. Passait par devers appellation, par des termes défirent, il prend le nom du récit véridique au XII siècle, récit fictif au XV siècle etc. Selon le dictionnaire critique littéraire le terme conte : Du moyen âge à nos jours, le terme a changé de sens. S’il désigne un récit véridique du XIIe siècle au XV siècle, il est aujourd’hui synonyme de récit fictif, après avoir revêtu un double sens aux XVIe et VII siècle, comme l’atteste le dictionnaire de l’académie(1994) : « récit de quelque aventure soit vraie, soit fabuleuse, soit sérieuse »
Aux origines du conte
Le terme « conte » était à l’origine une production orale, utilisé dans des sociétés primitives, par des gens analphabètes qui ne savent ni lire ni écrire. Dans des époques où il n’y avait beaucoup de techniques de transmissions des messages et des enseignements autres que les moyens oraux. A l’exception des transcriptions à l’exemple de celles des sphères rupestres, l’oralité était le seul canal de transmission. 18Dictionnaire de critique littéraire, Armand Colin, paris, 2011, p 44. 19 Ibid.
C’est en Europe que le conte connait ses principaux champs d’expression et son âge d’or. Plus tard, vers la fin du XVIIème siècle qu’il devient un genre littéraire écrit sous forme de textes assez court par Charles Perrault en France.
Vers le début du XIXème siècle, ce genre s’épanouit et se diversifie par les contes des frères Grimm en Allemagne, avec le succès de regrouper toutes les histoires populaire orale dans des petits livres de conte spécialisé pour enfant ex : les histoires pour parent et enfants des frère Grimm. En effet, elle a marqué une grande présence dans la réflexion des chercheurs.de même, elle a réussi de trouver sa place dans les sujets d’étude scientifique au début du XX siècle. Particulièrement dans deux domaines différents, domaine littéraire par les travaux de folkloriste russe Vladimir Propp dans l’analyse morphologique du conte, et dans le domaine des sciences sociales par les travaux de Bettelheim dans son livre psychanalyse des contes de fées. Selon Dujardin : L’histoire qui est contée ainsi impressionne profondément l’auditoire et n’en est guère oubliée ; une même histoire peut même être répétée à plusieurs reprises à la demande de l’assistance. Le répertoire de la conteuse a beau être assez étendu, les séances de récitation sont fréquentes et les contes finissent par être pratiquement « appris ».
Les conteurs changent les récits selon l’usage de public présent, selon l’envie, la personnalité du conteur, la saison, l’heure et le lieu où se trouve le conteur. Ce dernier peuvent être des hommes sages, vielles femmes, particulièrement des grands-mères, entourer par les enfants le soir pour faire écouter aux enfants, leur faire rêver d’un coter et de tester leur imagination d’un autre coté où tout simplement pour regrouper tout la famille. Les contes sont donc modifies, comme l’indique Camille Lacoste Dujardin : « La conteuse joue à elle tous les rôles protagonistes et récitant, modifiant sa voix, son expression selon le personnage. »
Structure du conte
Le conte a un plan détaillé qui se devise on trois parties ou trois « actes » : situation initiale, développement et situation finale, c’est la technique ou la méthode la plus traditionnelle, et la plus ancienne de toutes les autres méthodes. En général La première partie est une situation initiale qu’on peut nommer aussi introduction, celle -ci comprend une petite présentation globale des personnages principaux, de temps et de lieu. Par ailleurs dans cette partie en débarrassera des détailles et on concentrera seulement sur les éléments essentielles. Donner le lieu de l’action, le nom des personnages impliqués. C’est aussi la partie où en trouve les réponses à tout les questions suivantes ; quant ?, où ?, qui ?, et quoi ? Comme nous le savons tous, toute situation initial commence habituellement par des formules d’ouverture ; il était une fois, il ya bien longtemps ou encore par jadis, autrefois, au temps enceins etc.
C’est au début du conte où les deux personnages principaux « héros, héroïne » se familiarise avec leur mission pour la première fois. La seconde partie appeler le développement ou le déroulent des évènements de l’histoire, c’est une partie tout à fait déférente par rapport à la première, c’est la partie la plus longue et la plus vaste des deux autres parties. Cette dernière se caractérise par l’annonce de tout les détailles, des évènements, et d’actions. Toute forme écrite : une rédaction, un courrier, un poème, une dissertation, un roman a tous une structure propre à eux tout comme le conte, qui devrez passer par des parties nécessaire dans le processus d’écriture. Notamment, c’est dans cette partie de l’histoire où les personnages principaux « héros, héroïne »qu’il ou elle rencontre les divers obstacles, découvrir leur allier et leur ennemie, une mission plein de devoir et d’aventure à accomplir. En majorité il y a beaucoup des questions dans le développement que devrait les lecteurs répandre. Par exemple, que font t-ils les personnages, c’est-à-dire les personnages principales et les autres personnages secondaire, et comment réagissent-il dans les situations difficile ? La situation final, appeler aussi conclusion ou fin de récit, elle se caractérise généralement par le désir des personnages, d’équilibre et d’une vie calme, là où tous les personnages malheureux devinent heureux.
Personnages du conte
Le mot « personnage » vient du mot latin « persona ». Parue pour la première fois au XIIIe siècle. Dans le domaine littérature, le mot personnage signifie des noms des personnages ; des hommes, des femmes imaginaire, surnaturelle. Marqué par une présence beaucoup plus dans tout type de conte, des romans, et des pièces de théâtres. Le personnage peut aussi être un « être de papier mais aussi un « être de fiction » : Le personnage est un segment de l’univers spatio-temporel représenté, sans plus, il y a des personnages dés d’une forme linguistique référent (nom propres, certains syntagmes nominaux, pronoms personnels) apparait dans le texte à propos d’un être anthropomorphe.
Les personnages sont présents dans tout texte et dans tout œuvre littéraire, diversifié entre des êtres humains, d’animaux et végétaux. De même, on y trouve par des surnoms déférents : rois, paysans, pécheur, commerçant, etc. En effet, les enfants peuvent rencontrer plus fréquemment deux types de personnages; des méchants appeler aussi opposant par Greimas, et des gentilles personnages « adjuvant », telle que une fée dans l’histoire de Cendrillon dans la version de Perrault, des veilles femmes ou des animaux etc.
typologie du conte
Le conte populaire Depuis les origines l’homme a toujours besoin d’échanger des idées, des cultures, des coutumes et des traditions avec l’autre. C’est pour cette raison, il tient de regroupe tous les moyens qu’il possède, mimique, geste, parole etc. Les « Contes de fées » ou « contes merveilleux » ont été classé par les auteurs parmi les types les plus enseigne de tout les autres type de conte populaire, ceux qui ont une origine orale, appartenaient particulièrement à une catégorie de type de texte de la littérature narrative. Raconter à travers le monde par déférente catégorie de personne, des conteurs qui ont été le plus souvent des personnages sages, des simples personnes, des veilles femmes etc. Se sont des contes qui ont été prit un grand succès bien souvent par apport au talent de la personne et de conteur qui raconte les récits « l’histoire ».
Le conte populaire est définit par le dictionnaire critique littéraire comme suit : Le conte populaire à une origine orale, souvent marquée formellement par la présence du narrateur dans les récits, qui interpelle le lecteur comme jadis le conteur le faisait pour l’auditoire (et comme il le fait encore aujourd’hui, régions d’Afrique et du nord-orient).
Il s’agit donc d’un genre littéraire tout comme les mythes et les légendes, sont des contes populaires qui ont pour fonction d’expliquer, l’univers et la vie humaine à tous les niveaux. Les contes populaires sont ceux qui font partie aussi du folklore, issue de la mémoire collective et de la création individuelle. Le conte populaire est considéré comme la plus ancienne forme d’expression orale, il est utilisé comme un moyen, un support, des expressions par lequel on transmet les valeurs et les instructions aux autres. Appelaient aussi contes classiques pour certains, et précisément pour ceux qui gardent les expressions populaire à travers les siècles. Les contes merveilleux Les contes merveilleux ont pris un grand succès dans le XVII, parmi les auteurs des contes les plus connue sont : les frères Grimm, Perrault, et Anderson .Caractérisait par une époque indéterminé par des formules d’ouverture : « Il y a bien longtemps, il était une fois…»Et font appel là des personnages nombreux et des objets magiques : Baguette magique dans Cendrillon (la version de Perrault), la lampe merveilleuse dans le conte d’Aladin, le miroir magique dans le conte de Blanche Neige, les pantoufles d’or dans la version de Grimm. Le conte merveilleux, il s’agit d’un genre à part, car il est toujours associée à l’univers de l’enfant. Par un univers merveilleux, des éléments surnaturels. Un genre littéraire qui représente parfois le réel réconfort pour l’enfant. Aussi se sont des histoires qui tourne autour des m’ombres d’une famille, par exemple Cendrillon, Zalgoum ou d’autres m’ombres dans d’autres contes. Débutant par un manque, mort de l’un des parents, le père ou la mère, suivi par un abandon d’enfant ou d’une séparation.
Le conte est destiné particulièrement pour les enfants. Il est défini par son caractère universel, englobant toutes les cultures et les époques humaines. Sans oublier que certains contes de fée sont nées à partir des mythes et des légendes. A l’écrit, ils sont illustrés parfois par des images. D’aidée les enfants à comprendre la situation de la vie et comment se débrouiller au moment difficile. Par exemple à travers Cendrillon, l’enfant apprendra que une personne « Cendrillon »devra passait d’une part par des obstacles, des difficultés et tous les misères de la souffrance, avant de réaliser tous ses désir d’une autre part. Aussi par le conte Zalgoum où l’enfant pourrait comprendre une seule chose, que la jeune fille « Zalgoum » ne suffit pas se marier avec son beau-frère, ce marie avec une personne de la famille proche comme frère et sœurs représente l’inceste .C’est pour cette raison Zalgoum, elle s’échappa de la maison.
Le conte philosophique
Le conte philosophique s’attache à la raison et les valeurs morales. Quand on dit conte philosophique, la première chose qui nous vient à l’esprit est le nom de Voltaire 1694-1778). Le texte philosophique est une forme d’histoire critique en rapport telle que la société, la religion, le régime politique etc. Ce genre est apparu au XVIIIe siècle avec un nouveau regard sur le conte, il apporte un changement dans la forme et dans le contenu. Une forme narrative critique, qui possède quelques illustrations. Ce dernier a eu un grand succès de la part du public, surtout au XVIIIe siècle. L’encyclopédie Larousse écrit à propos de ce genre, et particulièrement relativement
aux écrits de Voltaire : Les contes philosophiques de voltaire illustrent bien des débats du siècle des lumières et sont représentatifs des multiples combats menés par l’auteur, notamment pour le respect des droits, la tolérance, la liberté, etc. Et comme tous les masques sont possibles dans le conte (merveilleux, appel à un narrateur fictif, exagération, mensonge….), ce genre lui permet d’exprimer des idées contestataires (Voltaire dénonce la justice, le pouvoir, les abus….) en échappant à la censure.
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Table des matières
Introduction générale
1. Présentation du sujet
2. Motivation et Objectifs
3. Problématique
4. Hypothèses
5. Corpus et Méthode d’approche
Partie 1 : Considérations théoriques
Chapitre 1 : Sémiologie et objets signifiants
Introduction
1. Généralités à propos de la sémiologie
De Saussure à Peirce
De la sémiologie de la communication à la sémiologie de signification
2. Signe, langue et objets signifiants
Du signe à la langue
Des objets signifiants
Conclusion
Chapitre 2 : A propos du conte
Introduction
1. Définition du conte
2. Aux origines du conte
3. Structure du conte
4. Personnages du conte
5. Typologie du conte
6. Autres genres de la littérature orale
Conclusion
Partie 2 : Analyse sémiotique
Chapitre1 : Etude morphologique
Introduction
1. Présentation des contes
2. Les sources (auteurs)
Cendrillon (Les frères Grimm)
Selyouna (Mouloud Mammeri)
3. Analyse structurale des deux contes
4. Analyse des contes selon le schéma actanciel
Conclusion
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