LA GESTION DES PERSONNES EN MILIEU DE TRAVAIL AU MITAN DE LA VIE

LA GESTION DES PERSONNES EN MILIEU DE TRAVAIL AU MITAN DE LA VIE

Les stades de développement de la vie

Il nous apparaît important de situer notre sujet dans un cadre évolutif. En effet, nous croyons personnellement que le développement des individus a cours tout au long de la vie. D’ailleurs, nous ne sommes pas les seuls à penser ainsi puisque plusieurs ouvrages traitent des différentes étapes de la vie. En plus des livres spécialisés en psychologie ou en psychiatrie, d’autres professionnels comme les orienteurs et les enseignants se sont intéressés à ces étapes. Un classique en la matière est sans nul doute Passages: Les crises prévisibles de l ‘âge adulte de Gail Sheehy (1982). Renée Houde (1999) dans Les temps de la vie parle du développement psychosocial de l’adulte. Michèle Roberge (1998) quant à elle dans Tant d’hiver au coeur du changement fait un essai sur la nature des transitions. Ces différents auteurs (Sheehy, 1982; Houde, 1999; Roberge, 1998), bien qu’ils s’accordent pour dire que l’évolution personnelle des individus passe par différents stades, utilisent tous un vocabulaire différent pour les nommer. 23 Cependant, peu importe l’ auteur et la décennie dans laquelle le livre a été produit, tous s’accordent pour citer Carl Gustav Jung (Sheehy, 1982; Houde, 1999; Roberge,1998) comme le premier grand psychanalyste à s’intéresser aux différents stades de la vie.

Pour décrire le cours de la vie humaine, Jung s’inspire de la course du soleil à l’intérieur d’une journée. Selon lui, la vie humaine emprunte une courbe semblable à celle que suit le soleil du matin au soir. Surgissant des profondeurs de la nuit, le soleil se lève à l’aube, puis il se hisse lentement pour atteindre son point le plus haut, le zénith, avant de redescendre; il se couche enfin, s’illuminant luimême tout en illuminant ce qui l’entoure et finit par retourner dans les profondeurs de la nuit. (Houde, 1999, p.20) C’est donc à Carl Gustav Jung (Sheehy, 1982; Houde, 1999; Roberge, 1998) que l’on attribue la paternité de la perspective du cycle de la vie en développement adulte. Il aurait été le premier à développer une vision de la vie humaine qui repérait des changements comportementaux liés à des temps de la vie échelonnés sur toute la durée de son déroulement. Ces changements seraient prévisibles, valables pour toutes les personnes et résulteraient d’une dynamique intérieure. C’est encore grâce à ce même Carl Gustav Jung si ces auteurs sont cités en référence dans cet ouvrage puisque ses propos sur le développement de la vie adulte font l’assentiment de ces auteurs et de notre conception personnelle de ce cheminement. Même si individuellement chaque personne peut vivre sa période du mitan de la vie comme une crise existentielle, une transition, une période de changement ou un passage et qu ‘elle peut se définir adéquatement en ces termes, nous avons décidé d’utiliser dans le cadre de la présente recherche l’ expression mitan de la vie.

La raison en est que d’autres étapes de l’évolution personnelle des individus peuvent se traduire en ces mêmes termes (crise, transition, changement, passage) mais ne font pas nécessairement référence au mitan de la vie. Elles peuvent également être situationnelles comme un déménagement, un deuil, un échec, une séparation, etc. , et ne pas être vécues par tous comme l’est le mitan de la vie. Situer le mitan de la vie comme une étape de l’évolution personnelle des individus était également important dans notre démarche pour démontrer le caractère dynamique et évolutif de cette période dans la vie personnelle et professionnelle de chacun. 2.1.2 Le mitan de la vie L’introduction au mitan de la vie passe également par ce même Carl Gustav Jung (Artaud, 1979) mentionné précédemment. Ce dernier aurait vécu des bouleversements dans cette période de sa vie et aurait utilisé son expérience dans l’édification de son oeuvre. Il faut se rappeler que Carl Gustav Jung était un disciple de Freud, le créateur de la psychanalyse et que c’est vers cette période (le mitan de sa vie) qu’il s’est dissocié de lui pour partir son propre courant. Parmi les éléments de différenciation entre les deux hommes, il y avait la notion de pulsion sexuelle au centre de toutes les explications de dérangement psychique pour Freud et celle de conscient collectif dont Freud ne reconnaissait pas l’existence même si ses recherches portaient principalement sur des Juifs allemands. C’est d’ailleurs en raison de 25 ce fait que Carl Gustav Jung a développé cette notion en englobant également celle de l’inconscient personnel.

En psychanalyse, le Moi est synonyme de l’ego, ce qui constitue l’individualité, la personnalité et le Soi est une notion qui correspond à l’ensemble des sentiments et des pulsions de la personnalité. Expliquée de cette façon, cela reviendrait à dire que Carl Gustav Jung a laissé émerger des aspects de sa personnalité qui jusque là étaient demeurés enfouis en son for intérieur car pouvant être identifiés comme menaçants ou irrationnels puisque émotifs et pulsionnels. Carl Gustav Jung, cité par Renée Houde (Houde, 1999, p.24), a décrit l’ émergence des opposés inconscients au cours du cycle de la vie mais plus spécifiquement dans la deuxième moitié de la vie. Au terme de sa propre période du mitan de la vie, il aurait relativisé l’identité de son Moi et développé une relation positive avec des aspects du Soi qui ne relèvent pas du Moi. Houde (1999, p.27) suggère alors que « le Soi émerge comme étant le nouveau centre de la personnalité », alors que Jung traduit le Soi en tant que totalité qui inclut les aspects les plus bas de sa personnalité. Le Soi est un concept limite qui regroupe en un même ensemble le conscient et l’ inconscient: inconscient personnel et inconscient collectif. Il traduit l’expérience de la totalité, la capacité de représentation de la totalité, autant que le processus psychique qui va dans le sens d’une conscience englobant de plus en plus d’éléments inconscients. Le Soi intervient dans le processus d’individuation; il en est le moteur, l’organisateur et, dans une certaine mesure, le but. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Soi, 22 septembre 2006)

Nous nous dissocions de l’idée de Houde lorsqu’elle suggère que nous développons un nouveau centre de la personnalité. Notre propre interprétation est que nous intégrons 26 tous les éléments de notre personnalité, même ceux que nous préférerions ne pas détenir. Cependant, avec le temps, nous augmentons notre connaissance de nous-même et, de ce fait, mieux connaître nos forces et nos faiblesses permet de les accepter et de les concilier pour vivre d’autres expériences. Gérard Artaud, dans La crise d ‘identité de l’adulte, résume très bien le phénomène : La crise d’ identité de l’adulte, c’ est fondamentalement, cette prise de conscience de son inachèvement qui le conduit à réaliser que la part de lui-même laissée dans l’ombre commence à revendiquer ses droits et qu’une confrontation s’impose. C’est par cette prise de conscience que s’amorce le « processus d’individuation » qui consiste suivant l’expression de Jung « à se reconnaître soi-même comme ce que l’on est par nature, par opposition à ce qu’on voudrait être». (Artaud, 1979, p.39) Plus près de nous, et de façon contemporaine, Montbourquette (1999) a également écrit à ce sujet. Le défi à cet âge, (mitan de la vie) pour sa part, est l’exploration en profondeur du monde inconnu de son ombre, cet univers refoulé dans l’inconscient par peur d ‘être rejeté.

Ce qui était perçu comme un ennemi pourrait devenir un allié durant ce passage de la quarantaine puisqu’ il permet la connaissance de soi. Toujours d’ après Montbourquette (1999), il faut accueillir son ombre et l’accepter, si l’on veut apporter un changement, car on ne peut changer que ce qui est au préalable accepté. Bref, il faut intégrer le côté mal aimé de soi. Montbourquette (1999) mentionne encore qu ‘ il n’est pas rare que dans la réconciliation ou la réappropriation de cet aspect de notre personnalité se dégage un talent insoupçonné. Le sens artistique serait entre autres un élément laissé pour compte pendant de nombreuses années mais vers lequel on se tourne au mitan de la vie. Dans Passages de Gail Sheehy (1982, p.llO), il est écrit: Carl Jung fut le premier grand psychanalyste à considérer le milieu de la vie comme la meilleure période, la plus favorable au développement de la personnalité. Parce qu’enfin nous parvenons, à ce stade de recherche de notre unicité, à l’harmonie qui nous a toujours manqué. Le moins qu’ on puisse dire c’ est qu’il s’agit d’un processus dérangeant.

Et dans Tant d ‘hiver au coeur du changement, les propos de Carl Gustav Jung, cités par son auteure (Roberge,1998), sont interprétés de cette façon : Selon Jung, ce serait donc au zénith, au moment où il est possible de diviser la vie en deux temps précis, que l’adulte traverserait une période de rupture et de réorientation psychique qu’il nomme «transition du mitan ». Selon lui, ce changement d’angle et de lumière au zénith occasionne un renversement des valeurs. Ce qui semblait vrai en début de vie devient relatif au mitan. (Roberge, 1998, p.30) Carl Gustav Jung a introduit le terme individuation, mentionné dans une citation antérieure, pour nommer un processus qui dure toute la vie et qui permet à un être de devenir un individu unifié, autonome et intégré. D’après lui, bien que ce processus intervienne à l’intérieur de toutes les phases du cycle de la vie, il serait plus actif pendant la deuxième moitié de la vie. Il précise cependant que ce processus est largement inconscient (Jung cité par Houde, 1999, p.27). À notre aViS, l’individuation est un processus inconscient dans le sens qu’il se développe à travers l’ évolution personnelle de l’être humain sans que ce dernier ne fasse de choix concret pour cheminer dans ce processus. Toutefois, il devient conscient lorsque l’individu entame un cheminement personnel d’acceptation et d’amélioration de ses côtés mal aimés et fait des démarches concrètes et réelles dans le but d’ accroître son bien-être personnel et de positionner ses valeurs en fonction de lui-même et non des attentes des autres.

Les âges du mitan de la vie

Dépendamment des auteurs consultés, la période de questionnement particulier du mitan de la vie peut s’étendre sur plusieurs années. Gail Sheehy (1982) mentionne qu’entre 35 et 45 ans la plupart des individus font l’expérience d’un moment de vérité. Bühler, selon Houde (1999), lorsqu’il fait référence aux phases de la vie parle de la quatrième phase comme une période d’auto-évaluation souvent introduite par une crise et qu’il situe entre 40 et 65 ans. Toujours selon Houde (1999), Bühler mentionne que certaines possibilités de la personne peuvent atteindre un sommet et celle-ci développe de nouveaux intérêts qui affectent ses objectifs de vie. Il considère cette phase comme un période de bilan et de réajustement de tir, car la vie active n’ est pas terminée. En ce qui nous concerne, nous sommes en accord avec le contenu de Bühler sur le dévoilement des possibilités qu’atteint la personne dans cette période; toutefois, nous trouvons la portion d’âge mentionnée trop longue. En fait, nous considérons que passé 50 ans, après une période de questionnement et de bouleversement, une période d’ ajustement s’ensuit jusque vers la préparation à la retraite. La période du mitan correspond également à ce que la littérature nomme parfois « la crise de la quarantaine» (Gauthier, 1999).

Bien que ce concept fut à plusieurs reprises galvaudé, il n’en demeure pas moins que c’est une étape très importante de la vie et qu’elle entraîne parfois à des comportements et des décisions jugés incompréhensibles par les proches mais combien vitaux pour la personne intéressée. Que ce soit en terme spécialisé ou vulgarisé, on se rend compte que les thèmes abordés sont les mêmes. Ces interrogations débordent les seules réalités physique et psychologique pour rejoindre la dimension spirituelle de notre être. Elles révèlent une crise existentielle qui pose la question du sens de la vie et de son devenir. Cette crise Spirituelle se situe au niveau du désir profond, puisque la personne est invitée à aller au bout d’elle-même, à découvrir ce qu’elle est appelée à être et à devenir. (Gauthier, 1999, p.49) La présentation de cette référence et de son auteur a deux utilités. Premièrement parce qu’elle situe la période du mitan de la vie en terme d’âge (la quarantaine) et deuxièmement parce qu’elle introduit des indicateurs du mitan de la vie en terme de préoccupation personnelle. L’utilisation de la terminologie «crise» dans cet extrait l’est à des fins de conformité littéraire seulement en raison de la citation. La littérature dans le domaine du travail nous apporte une auteure avec laquelle nous sommes également en accord en terme d’âge pour évoquer le mitan de la vie. Danielle Riverin-Simard (1984, p.33) nomme la période de 38 à 52 ans « circonvolution orbitale autour de la planète travail ».

Elle dit cette période caractérisée par un « Essai de nouvelles lignes directrices» et la situe entre 38-42 ans. Elle aurait comme finalité de nous doter d’une philosophie de vie. La« Quête du fil conducteur de son histoire entre 43-47 ans» suit; il s’agit d’une période de questionnement intérieur qui porte sur les finalités de sa vie personnelle et professionnelle. Enfin, l’étape de la «Modification de trajectoire située entre 48-52 ans» contient un changement de milieu de travail ou de modifications plus subtiles et plus humanisantes. Les propos de Riverin-Simard (1984) nous rejoignent dans notre vision du mitan de la VIe quant à ses éléments de développement et également en raison de ses différentes tranches d’âge.

Les indicateurs du mitan de la vie Gauthier (1999, p.17) associe plusieurs signes avant coureur au mitan de la vie. Il mentionne ceux qui ne trompent pas, d’après lui, tels: la solitude, le doute, l’ennui, le manque de confiance, une période de dépression, une absence de plaisir à accomplir ce que l’on fait, une ambivalence ou une indifférence devant la vie, un besoin d’aventure et de changement, une difficulté à savoir ce que l’on veut, la conscience de la mort, le grand besoin d’intériorité ainsi qu’une quête spirituelle. Toujours selon Gauthier (1999, p.17), ces indices atteindraient tous les niveaux de l’être. Ils seraient à la fois physiques, psychiques, sociaux, professionnels et spirituels. Cela se produirait soit graduellement ou abruptement. L’individu doit alors s’ajuster à un nouvel impératif qu’il ne peut définir mais qui le pousse vers un horizon inconnu à l’intérieur de soi. Malgré les répercussions extérieures que cela entraîne, l’individu est confronté à lui-même. Personne ne peut vivre cette étape à la place d’un autre.

C’est « un moment pour trouver le sens profond de notre vie, la minute de vérité pour libérer le meilleur de nous-même qui surgit du fond de notre Être, et nous laisse pressentir que nous sommes infiniment plus que nous croyons Être vraiment. » (Gauthier, 1999, p.47) La littérature mentionne le besoin d’intériorité comme élément très important. Jacques Gauthier (1999, p.14) nous en parle comme un besoin qui serait d’après lui séparé en deux, avant et après quarante ans. En cela, il rejoint les propos de Jung (Houde 1999, p.27) lorsqu’il utilise le terme individuation et dont nous ferons référence à un paragraphe ultérieur. Dans Les saisons de la vie, Claude Michaud (1997) utilise, lui aussi, le terme individuation. Il le définit comme étant la capacité de la personne à renouer avec son mystère profond et à devenir véritablement soi-même. Alors qu’à J’adolescence l’enjeu était de se mesurer à son entourage, maintenant le défi est de se mesurer à soi-même. Dans ses traités, Carl Gustav Jung, cité dans Les temps de la vie (Houde, 1999, p.24), utilise également le même le terme individuation. Pour sa part, il parle d’un processus d’individuation lorsqu’il décrit le développement de l’adulte. Il divise le cycle de la vie adulte en deux moitiés. La première moitié de la vie du jeune adulte est surtout caractérisée 32 par sa recherche d’adaptation au monde extérieur. Dans la seconde, pour atteindre sa maturité, l’adulte cherche à s’ajuster à lui-même, à faire de la place à son être intérieur.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
AVANT-PROPOS
RÉSUMÉ
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 PROBLÉMATIQUE
LE MITAN DE LA VIE ET LA VIE PROFESSIONNELLE
1.1 Pertinence personnelle
1.2 Pertinence sociale
1.3 Pertinence scientifique
1.4 Problème de recherche
1.5 Question de recherche
1.6 Objectifs de recherche
CHAPITRE 2 LE CADRE THÉORIQUE
2.1 Les stades de développement de la vie et le mitan de la vie
2.1.1 Les stades de développement de la vie
2.1.2 Le mitan de la vie
2.2 Les âges du mitan de la vie
2.3 Les indicateurs du mitan de la vie
2.4 Le mitan de la vie et la vie professionnelle
2.5 La gestion des personnes en milieu de travail au mitan de la vie
2.6 L’articulation entre la vie personnelle et la vie professionnelle
CHAPITRE 3 LA MÉTHODOLOGIE
3.1 Posture phénoménologique
3.2 Recherche exploratoire
3.3 Méthode qualitative
3.3 .1 L’approche biographique
3.3.2 Les histoires de vie et les récits de vie
3.4 L’échantillon
3.5 Cueillette de données
3.5 .1 Le déroulement des entretiens
3.6 La transcription des données
3.7 Analyse et interprétation des résultats
3.8 La présentation des résultats
3.9 Les limites ou les biais de la recherche et de l’interprétation
CHAPITRE 4 PRÉSENTATION DES RÉSULTATS LES RÉCITS DES PARTICIPANTS
4.1 Le récit de Sonia
4.1.1 Ma situation d’origine
4.1.2 Ma situation actuelle
4.1.3 Mes éléments de réflexion depuis que j’ai l’âge de 35 ans
4.1.4 Mes éléments de différenciation avant et après 35 ans
4.1. 5 Les changements apportés dans ma vie professionnelle depuis que j’ai l’âge de 35 ans
4.1.6 Comment les changements ont été introduits dans ma vie professionnelle
4.1. 7 Mon cheminement de carrière vs mon milieu de travail
4.2 Le récit de Thérèse
4.2.1 La situation d’origine de Thérèse
4.2.2 La situation actuelle de Thérèse
4.2.3 Les éléments de réflexion de Thérèse depuis qu’elle a l’âge de 35 ans
4.2.4 Les éléments de différenciation de Thérèse avant et après 35 ans
4.2.5 Les changements apportés dans la vie professionnelle de Thérèse depuis qu’elle a l’âge de 35 ans
4.2.6 Comment les changements ont été introduits dans la vie professionnelle de Thérèse
4.2.7 Le cheminement de carrière de Thérèse vs son milieu de travail
4.3 Le récit de Michèle
4.3.1 La situation d’origine de Michèle
4.3.2 La situation actuelle de Michèle
4.3.3 Les éléments de réflexion de Michèle depuis qu’elle a l’âge de 35 ans
4.3.4 Les éléments de différenciation de Michèle avant et après 35 ans
4.3.5 Les changements apportés dans la vie professionnelle de Michèle depuis qu’elle a l’âge de 35 ans
4.3.6 Comment les changements ont été introduits dans la vie professionnelle de Michèle
4.3.7 Le cheminement de carrière de Michèle versus son milieu de travail
4.4 Le récit de David
4.4.1 La situation d’origine de David
4.4.2 La situation actuelle de David
4.4.3 Les éléments de réflexion de David depuis qu ‘il a l’âge de 35 ans
4.4.4 Les éléments de différenciation de David avant et après 35 ans
4.4.5 Les changements apportés dans la vie professionnelle de David depuis qu ‘ il à l’âge de 35 ans
4.4.6 Comment les changements ont été introduits dans la vie professionnelle de David
4.4.7 Le milieu de travail de David vs son cheminement de carrière
4.5 Le récit d’Étienne
4.5.1 La situation d’origine d’Etienne
4.5.2 La situation actuelle d’Étienne
4.5.3 Les éléments de réflexion d’Étienne depuis qu’il a l’âge de 35 ans
4.5.4 Les éléments de différenciation d’Étienne avant et après 35 ans
4.5.5 Les changements apportés dans la vie professionnelle d’Étienne depuis qu’il a l’âge de 35 ans
4.5.6 Comment les changements ont été introduits dans la vie professionnelle d’Étienne
4.5 .7 Le cheminement de carrière d’Étienne vs son milieu de travail
CHAPITRE 5 ANALYSE ET INTERPRÉTATION DES DONNÉES
5.1 Ma participation, mon apport (Ce que j’ai appris de moi-même)
5.2 L’ apport des participants (Ce qu’ils ont et m’ont appris de leur expérience du mitan de la vie)
5.2.1 Les éléments de réflexion des participants au mitan de leur vie
5.3 Interaction entre mitan de vie et vie professionnelle
5.4 Synthèse du vécu des participants dans leur vie professionnelle
5.5 L’accompagnement par le milieu de travail
5.6 Observation et conclusion
CHAPITRE 6 LA GESTION DES PERSONNES EN MILIEU DE TRAVAIL AU MITAN DE LA VIE
6.1 Le cheminement de carrière et le mitan de la vie: rappel de la littérature
6.1.1 La recherche
6.2 Connaissances sur le mitan et la vie professionnelle
6.3 Les répercussions du mitan de la vie en milieu de travail
6.4 Des éléments à considérer, des pistes de réflexion
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE 1
CANEVAS D’ENTRETIEN

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