LA FORMATION DES ENSEIGNANTS DANS LA ZONE ADMINISTRATIVE ET PEDAGOGIQUE D’AMBOHIMANGA-ROVA (Z.A.P)

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LE MODE SIMULTANE ET ENSEIGNEMENT COLLECTIF :

L’enseignement, d’après ce mode, est donné à tous les élèves en même cours à la fois. Il en résulte de nombreux avantages. Le maître ne perd plus de temps en fastidieux répétition. Les élèves, au lieue d demeurer inactifs, participent à tous les exercices du cours et s’y intéressent. Ils s’instruisent simultanément. L’ordre, l’entrain, et l’émulation règnent dans la classe.
La loi de Guizot fut appliquée à partir de 1848. Cette loi permet de disposer plusieurs maîtres et d’avoir beaucoup d’enseignants. La structure se développe. Ainsi, l’enseignement collectif dispensé par un seul maître est possible devant un effectif très réduit.
C’est à ce moment là aussi qu’on a trouvé la possib ilité de constituer des classes un groupe homogène, de trouver les méthodes, les programmes te les mêmes techniques pédagogiques. Cela se généralise vite à partir de 1945, de manière décisive.

BUT DE L’EDUCATION : développement de la personne humaine

Définir les buts de l’éducation n’est certainementpas une idée nouvelle. En général, il consiste à veiller sur la nécessité d’éveiller l’intelligence,d’aiguiser l’esprit critique et le sens de l’obser vation, de sensibiliser aux problèmes sociaux.
En réalité, ces affirmations sont si générales siet vagues, et il se trouve qu’elles sont sans grande utilité. De ce fait, il est essentiel de formuler esl buts de l’éducation en termes suffisamment précis comportant une traduction opérationnelle. Il ne faut pas ainsi chercher les buts de l’éducation sur des recherches expérimentales et de la science, mais plutôt, de la politique. En principe, seuls les citoy ens sont habilités à assigner ses buts à un système éducatiffaisant partie intégrante de la Société, et ne pouvant fonctionner que grâce aux moyens que cette sociétédécide de lui consacrer.
De ce fait, des enquêtes ont été réalisées, surrésultatle de l’éducation, par des pays, les résultat des recherches empiriques faites par des chercheurs dans des pays tels que la France, les Etats Unis, la Grande-Bretagne et la Suède. Ces enquêtes ont étééaliséesr sous une forme qui permette une analyse statique des résultats de l’éducation.
En effet, les résultats des enquêtes ont apporté rtainesce informations utiles dans une période de reforme de l’enseignement, surtout aux pédagogues qui trouvent la nécessité de structurer le contenu ’uned discipline et de définir des stratégies d’apprentisages en vue de construire un matériel « d’enseignement programmé ». (Robert F. Mager, Ph. D en 1975). Les recherches concernent au premier chef les enseignants et ne peuvent se dérouler sans leur colaboration. Les techniques qui devaient être mise ne application exigent nécessairement la participation de chercheurs spécialisés. Parmi eux, nous pouvons citer B.S. Bloom de l’Université de Chicago. Il a enté, avec son groupe de chercheurs de sortir des istesl d’objectifs éducatifs recueillis dans différents textes ou programmes. Il a tenté de les distinguer etde les classer en groupes hiérarchisés (taxonomie). Cettetaxonomie de Bloom ne constitue pas certainement une solution définitive au problème consistant à expliciter les objectifs de l’éducation, et son auteur ne le prétend
Dans son enseignement, l’enseignant formule les objectifs en appliquant la taxonomie de Bloom pour conduire la leçon. Les objectifs de l’éducation doivent amener l’individu à préparer à la vie. Il s doivent les faire ouvrir les yeux sur le réel, voiret observer les choses et les gens qui les entourent. En fait, il faut apprendre à observer.
Pour ce faire, il est indispensable « de coordonner sa vie à la vie générale », c’est en même temps, une forme de courage, une forme de la culture personnelle, et réciproquement car il y a d’abord, dans toute formation de la personnalité, une perception des valeurs communes à tous les hommes.
Ainsi, cette ouverture sur la vie, si nécessaire à notre enseignement et à nous-mêmes, elle dépend surtout de notre participation personnelle aux activités humaines. Celle-ci peut se situer à différents niveaux, et d’abord à celui de l’information. Se te nir au courant des événements de tous genres, de l’actualité littéraire, scientifique et politique.

L’ENSEIGNEMENT DOGMATIQUE.

La leçon à un caractère dogmatique, si elle met en vigueur la pensée autoritaire du maître. Ainsi, le maitre un individu tout –puissant mais soumis ce pendant aux programmes, régente à son gré la vie de la classe : c’est la conjonction des autorités à tous les niveaux, qui pèse sur les élèves. L’instituteur détermine seul le sujet de ses leçons, leur durée,le moment où elles auront lieu. C’est le triomphe de l’adulte, installé au milieu d’enfants qu’Il se refuse à voir. Durant la leçon, les élèves demeurent passifs : les notions leurs sont données, ils n’ont qu’à les enregistrer. Il faut cependant les y amen er par une méthode qui assurera la fixation des connaissances d’une manier sûre. Cette méthode ne peut être elle aussi qu’une méthode autoritaire, reposant essentiellement sur la répétition et sur un système coercitif approprié.
En effet, la pédagogie autoritaire s’appuie sur la mémoire et l’habitude. Toute création véritable lui est inconnue, il demeure un esprit dépendant, ncapablei de recherche et de découverte. Il est ains limité dans ses possibilités, frappé de stérilité.
Par conséquent, la leçon n’’apporterrait aux enfants que des connaissances formelles, difficilement utilisables.
Elle imposerait, de par sa nature même, une méthodeautoritaire allant à l’encontre des intérêts de l’enfant et de son développement complet.

LE MODEL TRADITIONNEL

Dans ce modèle, le maître est le détenteur du pouvoir. Il a un rapport d’attachement à ces disciples. Ce rapport, cette relation maître-élèveconstitue une étape dans le processus de construction de savoir, Scientifiquement, le modèle traditionnel adopte le principe, qu’on apprend par les autres, un détour nécessaire pour acquérir son propre savoirC’est. l’élève qui construit son savoir en intégrantlui-même ce qu’il a appris.
La nécessité de l’activité personnelle de l’élèvesteinsistée. Selon Paul WATZLOLOWICK. « Il affirme que la passivité des élèves n’est qu’apparente. L’interaction pédagogique n’est pas seulement verbale, elle est liée aux processus sous jacents que sont les attentes, les cognitions de l’enseignant, les perceptions de l’enseignant, celle-ci déclenchent les actions et interactions des élèves et en retource sont les perceptions, interprétation et attentes des élèves qui déterminent les actions des enseignants ».

EXEMPLE DES TECHNIQUES DANS DES METHODES DE TYPES PASSIFS

· Les exposés (ou cours magistral) : le formateur fait un exposé qu’il a préparé à l’avance, on demande à l’apprenant d’écouter, prendre des notes.
· Les démonstrations : un modèle est soigneusement préparé et montré aux apprenants qui suivent, répètent, reprennent et modèle ce qui estbâti.
· Les questions réponses : une suite de questions préparées à l’avance par le formateur est représentée et les réponses à ces questions font découvrir les notions voulues à l’apprenant.
· Les exercices didactiques : on fait acquérir des mécanismes, des comportements, des réponses systématiques soigneusement élaborées, utiles dansdes situations précises aux apprenants.
En fait, ces méthodes ne sont pas passives que dans un premier temps où l’on demande aux apprenants d’écouter et d’observer ce que fait le maître ou le formateur. Par la suite, elle demande beaucoup d’activités à l’apprenant pour assimiler et expliquer les savoirs acquis;
Selon Durkhein8, la fonction de l’éducation est la conformisation sociale. L’objet de l’éducation consiste à susciter chez l’enfant, les capacités techniques que la société à laquelle il est destiné,souhaite promouvoir en lui. L’essentiel alors, c’est de dote r l’individu de matériels, d’outils afin que la société puisse l’utiliser aux mieux.
En effet, pour la méthode traditionnelle : le maître expose, explique, parle seul, pour une leçon qui exige une expérience, il conduit l’expérience cientifique,s observe, interprète et formule lui-même la conclusion. Il ne laisse rien à dire aux élèves, laleçon n’est qu’un monologue.
Les élèves écoutent mieux immobiles et, parfois même, doivent prendre des notes. Leur attention si mobile, n’est pas capable de soutenir l’effort q u’exige une longue audition. Leur esprit somnole, un enseignement ainsi donné laisse l’intelligence inerte et sans intérêt, sans profit.
L’ordre peut régner dans la classe, mais non l’activité joyeuse et féconde. C’est la classe morte. Donc, cette méthode ne convient pas non d’une manière exclusive à des élèves dont l’attention est encore fragile.

EVOLUTION DES THEORIES PEDAGOGIQUES

La pédagogie évolue : elle va de l’empirisme tâtonnant à la systématisation scientifique. Elle doit être centrée sur l’enfant, elle doit répondre auxxigences de la société et se développe alors l’éducation avec contrainte. La finalité change petit à petit avec l’évolution de la pédagogie, on évite l’éducation sans buts. Ainsi, la pédagogie prend en compte à la fois la formation du caractère et de l’intelligence. Elle intègre tout ce qui concourt à l’équilibre affectif dans un monde technique de plus en plus frustrant. De ce fait, plusieurs méthodes pédagogiques font leurs apparitions.

CARACTERISTIQUE GENERALE DE METHODES ACTIVES :

Des caractéristiques essentielles doivent être prises comme références et critères à toute organisation d’une formation par méthode active comme :
– l’activité des apprenants : c’est l’application du principe selon lequel le sujet apprend mieux s’il est engagé personnellement tout entier dans une action.
– la motivation des apprenants : l’essentiel, c’est q ue les apprenants se sentent concernés impliques et pas seulement intéressés.
– la participation à un groupe : les méthodes actives constituent un apprentissage de la vie sociale et d’un savoir être qu’un acquis professionnel proprement dit. Exploitation de l’information par la réflexion en vue de la solution, ce qui met en route de l’information et de son organisation, en plus,
– l’élaboration de la solution qui aboutit à une décision retenant une idée considérée comme la plus satisfaisante et enfin,
– la mise en œuvre de la solution et réflexion sur le s résultats.

QUELQUES METHODES ACTIVES ET LEURS PROCEDURES :

Concernant l’application des méthodes actives en formation professionnelle des adultes pour leurs qualifications, notamment pour l’apprentissage de certains métiers, pour la formation des personnes d’encadrement, l’utilisation des méthodes spécifiques est vivement recommandée, citons en :
– ASSAI (Analyse et Synthèse Structurée pour l’Apprentissage Individuel).
– SORA (Situer, Observer, Réfléchir, Agir).
– AIDA (Accueillir-Informer-Débloquer-Aboutir).

LA PROCEDURE DE LA METHODE, ASSAI :

Prenons comme exemple la procédure de la méthode ASAI :
En premier lieu, présenter le ou les objectifs de la formation. Ensuite faire observer, l’ouvrier qualifié réalisant une tâche et faire prendre des notes. En plus, faire analyser et structurer les notes prises par les apprenants (inventaires des gestes professionnels dans l’ordre chronologique). Faire appliquer la technique apprise. En cas d’échec, reprendre les étapes d’observation et d’analyse de structure et, e nfin, évaluer la réalisation professionnelle de l’apprenant (renforcement passif, note, certificat…).

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Table des matières

Ière PARTIE : L’école, un système au service de l’éducation
Chapitre 1 : ECOLE, UN SYSTEME AU SERVISE DE L’EDUCATION
1.1. L’EDUCATION ET ECOLE NOUVELLE
1.1.1 EDUCATION : SA GENESE
1.1.2. DEFINITION DE L’EDUCATION :
1.1.3 LA PHILOSOPHIE DE L’EDUCATION :
1.1.3.1 L’IDEE CHRETIENNE OU MUSULMANE DE L’EDUCATION :
1.1.3.2 SOCIOLOGIE DE L’EDUCATION :
1.1.3.3 LE NATURALISME PEDAGOGIQUE :
1.1.4 . L’EDUCATION PRIMITIVE ET CONSERVATRICE :
1.2 L’ECOLE, FINALITES ET BUTS
1.2.1 ROLE DE L’ECOLE :
1.2.1.1 L’EDUCATION PROGRESSISTE OU DYNAMIQUE :
1.2.1.2 LA MISSION DE L’ECOLE :
1.3 . COMMENT TRANSMETTRE LES SAVOIRS ?
1.3.1. LE MODE INDIVIDUEL :
1.3.2 LE MODE MUTUEL :
1.3.4 . LE MODE MIXTE :
1.4. LES GRANDS OBJECTIFS DE L’EDUCATION
1.4.1. LES OBJECTIFS
1.4.1.1. DEFINITION DES OBJECTIFS
1.4.1.2 CARACTERISTIQUES DES OBJECTIFS VALABLES
1.4.1.3. BUT DE L’EDUCATION : développement de la personne humaine
1.4.1.4. INTEGRATION DE L’INDIVIDU DANS LA SOCIETE : EDUCATION POUR LA VIE ET PAR LA VIE
1.5. FINS ET MOYENS DE L’EDUCATION
1.6. SOCIALISATION ET EMANCIPATION.
1.7 FORMATION DE L’ESPRIT
Chapitre 2 : LES METHODES PEDAGOGIQUES : HISTORIQUE ET FONDEMENTS
2.1 LES METHODES TRADITIONNELLES
2.1.1 Definitions des méthodes
2.1.2.1 Méthode magistrale : leçon magistrale
2.1.2.2 L’ENSEIGNEMENT DOGMATIQUE.
2.1.3 LE MODEL TRADITIONNEL
2.1.4 EXEMPLE DES TECHNIQUES DANS DES METHODES DE TYPES PASSIFS
2.2. LES METHODES NOUVELLES (ACTIVES)
2.2.1. EVOLUTION DES THEORIES PEDAGOGIQUES
2.2.2 LES ORIGINES DES METHODES ACTIVES
2.2.3 L’EXIGENCE DE LA DEMOCRATIE
2.2.4 LA NAISSANCE DE LA SCIENCE MODERNE :
2.2.5. LA PRISE EN COMPTE DES HANDICAPES.
2.2.6 CARACTERISTIQUE GENERALE DE METHODES ACTIVES :
2.2.7. QUELQUES METHODES ACTIVES ET LEURS PROCEDURES :
2.2.8. LA PROCEDURE DE LA METHODE, ASSAI :
2.2.9. LA PROCEDURE DES METHODES :
2.3. LES METHODES ACTUELLES
2.3.1. LE CONSTRUVISME COMME DEMARCHE D’APPRENTISSAGE
2.3.2 . LE CONSTRUCTIVISME PIAGETIEN
DEUXIEME PARTIE L’ENSEIGNEMENT DANS NOS ECOLES : ETAT DES LIEUX ET PROBLEMENTIQUES
II PARTIE : L’ENSEIGNAMENT DANS NOS ECOLES : ETAT DES LIEUX ET PROBLEMATIQUES. 
Chapitre 3 : DES PRATIQUES PEDAGOGIQUES INCHANGEES
3.1 LA ZAP D’Ambohimanga-Rova
3.1.1 Enquête auprès des enseignants de la ZAP
3.1.2 Entretien avec le chef ZAP d’Ambohimanga-Rova
3.2. DES RETICENCES PASSIVES AUX INNOVATIONS
3.2.1. LA RETICENCE DES ENSEIGNANTS SUR L’APC
3.2.2. LES FORMES DE RETICENCE
3.2.3. LES CAUSES DE RETICENCE.
3.2.4. LES CAUSES PEDAGOGIQUES
3.2.5. AUTRES CAUSES DE RETICENCE
3.2.6. LA DIMENSION INSTITUTIONNELLE :
3.3. RETICENCE DES ENSEIGNANTS : Frein au développement.
3.3.1. EN TANT QU’INSTITUTEUR (ou Professeur des écoles)
3.3.2. COMMENT PEUT-ON ERADIQUER LA RETICENCE ET LA RESISTANCE DES ENSEIGNANTS AUX INNOVATIONS
Chapitre 4 : DES FORMATIONS NON CONVAICANTES
4.1. LES FORMATIONS INITIALES à MADAGASCAR
4.1.1. LA FORMATION INITIALE : LES LACUNES
4.1.2. Quel constat pouvons-nous déduire sur l’existence de plusieurs types d’écoles de formation initiale ?
4.1.3. Les formations continues : lacunes et dysfonctionnement
TROISIEME PARTIE : INNOVATION PEDAGOGIQUE ET FORMATION DES ENSEIGNANTS  
Chapitre 5 : LES INNOVATIONS PEDAGOGIQUES : LES METHODES ACTUELLES 
5-1) LE CONSTRUCTIVISME : LE CONCEPT
5-1-1) DEFINITION
5.2 LES METHODES ACTUELLES : la notion de compétence comme concept organisateur.
5.2.1 LE CONCEPT DE CONSTRUCTIVISME
5.2.2 LE CONSTRUCTIVISME : CADRE DE REFERENCE.
5.2.3. LE CONSTRUCTIVISME EST UNE HYPOTHESE :
5.2.4 LE CONSTRUCTIVISME EST UN CADRE DE REFERENCE :
5.3 L’APC (Approche Par Compétence)
5.3.1 Pourquoi l’APC à Madagascar ? Pourquoi appliquer l’APC à Madagascar ?
5.3.2 Qu’est ce que l’APC
5.3.3. QU’EST QU’UNE COMPETENCE ?
5.3.4 LA NECESSITE D’ADOPTER L’APC.
5.3.5. COMMENT APPLIQUER L’APC ?
5.3.6. LES OUTILS CONCEPTUELS :
5.3.7. LES OUTILS METHODOLOGIQUES : un curriculum défini selon l’approche par
3.5.8. LES CONCEPTS DE BASE DE L’APC :
5.3.9 LES PRINCIPES ADOPTES PAR L’APC.
5.3.10. LA MISE EN OEUVRE DE L’APC.
5-4) LES PRATIQUES PEDAGOGIQUES
5-4-1) Quelles pratiques pédagogiques devrons-nous adopter pour atteindre ces objectifs ?
5-4-1-1) Base de l’amélioration de la pratique pédagogique de l’enseignement.
5.4.1.2 PRINCIPES DE BASE D’UNE PEDAGOGIE EFFICACE
5-5) L’ENSEIGNANT DANS CE SYSTEME EDUCATIF NOUVEAU
5-5-1) PLACE DE L’ENSEIGNANT DANS CE SYSTEME EDUCATIF
5-5-2) LA MORALE PROFESSIONNELLE
5-5-3) LA RESPONSABILITE PEDAGOGIQUE
Chapitre 6 : LA FORMATION DES ENSEIGNANTS DANS LA ZONE ADMINISTRATIVE ET PEDAGOGIQUE D’AMBOHIMANGA-ROVA (Z.A.P)
6-1) CADRE ET PRINCIPES GENERAUX DE LA FORMATION :
6.1.1) POURQUOI FORMER ENSEIGNANTS DANS LA ZAP D’AMBOHIMANGA-ROVA
6.1.1.2. LA FORMATION SUR LES INNOVATIONS
6.2. LES ENSEIGNANTS, FACE AUX INNOVATIONS PEDAGOGIQUES
6.2.2. QUI VONT FORMER LES ENSEIGNANTS DE LA ZAP D’AMBOHIMANGA-Rova ?
6.3. LES OBJECTIFS DE FORMATION
6.3.1. LES OBJECTIFS DE CHANGEMENTS
6.3.2 . LES OBJECTIFS DE FORMATION
6.3.3 LES DIFFERENCES ENTRE : innovations pédagogiques et ou approches pédagogiques
6.4. LES CONTENUS DE LA FORMATION DES ENSEIGNANTS DE LA ZAP D’Ambohimanga- Rova
6.4.1. LES CONTENUS DE LA FORMATION DES ENSEIGNANTS EN APC
6.4.2. LES PRINCIPES ADOPTES PAR L’APC
6.4.3. LES THEORIES DE L’APPRENTISSAGE
6.5. DISPOSITIF DE FORMATION
6.5.1. MISE EN OEUVRE DU PROJET DE FORMATON EN APC. DES ENSEIGNANTS DE LA ZAP D’AMBOHIMANGA-ROVA
6.5.2. INGENIERE DE FORMATION
6.5.3. LA DEMARCHE A SUIVRE
6.5.4 . LA FORMATION EN APC
6.5.4.2. THEME :
6.5.4.3. DECLINAISON DES OBJECTIFS
6.5.4.4. CONTENU :
6.5.4.5 MODALITE : Groupe
6.5.5. LE CAHIER DE CHARGES
6.5.5.1 . LE BUT DE L’ACTION :
6.5.5.2. LA POPULATION CIBLE :
6.5.5.3. Objectifs généraux
6.5.4. Les modalités de mise en oeuvre
6.5.5.5 Les orientations pédagogiques
CONCLUSION GENERALE
Résumé
Lise des acronymes
Bibliographie :

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