La drépanocytose hétérozygote ou le trait drépanocytaire 

Sous embranchement des Angiospermes

Les Angiospermes sont caractérisés par la protection toute particulière qui est assurée aux ovules, soit par une feuille carpellaire (du grec Carp ; Carpo = fruit, les parois de l’ovaire fécondé et accru se transformant en parois du fruit tandis que les ovules se transforment en graines) qui se replient et se referment autour de ses propres ovules (ovaire unicarpellée), soit par l’ensemble des feuilles carpellaires qui se soude ntentre elles par leurs bords formant ainsi un vase clos protecteurs de la totalité des ovules (ovaire pluricarpellé).
De ce fait les Angiospermes (du grec ang ; angio= vase, récipient, vaisseau ; vase et sperma=semence ; ici ovule) regroupe nt les végétaux ayant leurs ovules renfermées complètement dans des enveloppes carpellaires.
Les critères de classification à ce niveau sont principalement tirés des phénomènes accompagnant la reproduction sexuée.
Dans ce sous-embranchement, deux classes sont distinguées selon le nombre de cotylédons ou feuilles embryonnaires incluses dans la graine.
La classe des monocotylédones dont les graines ont en général un seul cotylédon.
La classe des dicotylédones dont les graines ont en général deux cotylédons, classe à laquelle appartient Carica Papaya.

Classe des Dicotylédones

Les caractères distinctifs de cette classe sont non seulement la présence de deux cotylédons dans la graine, mais aussi d’autres caractères qui sont principalement: la racine principale est généralement pivotante et plus développée que les racines latérales la forme et la nervation des feuilles sont très variées la morphologie des inflorescences et des fleurs est très variée.
Cette classe des dicotylédones comporte trois sous classes que sont :
 la sous-classe des Apétales : Dicotylédones à fleurs sans pétales
 la sous-classe des Gamopétales : Dicotylédones à fleurs à pétales soudées
 la sous-classe des Dialypétales : Dicotylédones libres les uns par rapport aux autres.

Sous-classe des Dialypétales

Les dialypétales regroupent donc au sein des dicotylédones les plantes à pétales séparées et à feuilles souvent composées, soit paripennées ; imparipennées, bipennées ou polypennées. Sous-classe à laquelle appartient Carica papaya.
D’une part le papayer fait partie de la série des Calciflores dont les pétales, étamines et carpelles sont insérées au fond d’une coupe formée par la soudure basale des sépales et d’autre part de l’ordre des Passiflorales.

Ordre des Passiflores

Les Passiflores dans la classification de BENTHAM et HOOKER selon CRETE [13] comprennent les Loasacées, les Tubéracées, les Passifloracées, Cucurbitacées, les Bignoniacées, et les Datiscasées. On y ajoute de façon générale la petite famille des Caricacées et d’autres sans grande importance : (Fumariacées, Malesherbiacées).
Les passiflorales sont uniquement caractérisées par leur ovaire uniloculaire à placentation pariétales et par la présence de styles en nombre égal à celui des carpelles, les fleurs sont généralement actinomorphes, pérugines ou épigynes pentamères ; et tricarpellés, les variations sont assez nombreuses.

Famille des Papayacées (Caricacées)

Les Papayacées sont des arbres dont les tiges non ramifiées portent à leur sommet un bouquet de feuilles palmées non stipulées. Les fleurs unisexuées ou bisexuées sont habituellement pentacyclique et pentamère. L’ovaire est uniloculaire, la placentation est pariétale.
Le fruit est une baie et les graines sont albuminées. Les papayacées ont des lactifères articulés et leurs tissus renferment de la myrosine.

Le genre

Le genre est Carica. C’est un arbre atteignant une hauteur de 8 à10 m. IIen existe des formes dioïques (cas le plus fréquent), polygames ; andromonoiques et gynomonoiques. Le latex contient un ferment protéolytique, la papaïne, retiré surtout du fruit qui par ailleurs est comestible.

Etude spéciale de Carica papaya

Habitat et répartition géographique

Les Papayacées habitent en majeur partie dans les régions intertropicales, le genre Carica se répartit depuis la basse Californie jusqu’à l’Argentine et au Chili.
Ce genre Carica originaire de l’Amérique est maintenant cultivé dans toutes les régions tropicales. Au Sénégal, il n’existe pas d’espèces spontanées. Seul Carica a été introduit comme arbre fruitier et est proto-cultivé dans tout le pays.

Chimie de Carica papaya

Chimie du fruit : Le papayer est cultivé pour son fruit la papaye dont le poids peut varier de 0,5 à 8 kg et dont la moitié environ est comestible. En vue de calculer sa valeur diététique TOURY et collaborateur [16] ont donné les résultats d’analyse pratiquée sur des échantillons frais d’origine sénégalaise (Voir Tableau II).
Les éléments minéraux sont représentés essentiellement par le fer, le calcium, le phosphore et les vitamines par l’acide ascorbique, la niacine, la riboflavine, la thiamine. Pour les mêmes auteurs l’équivalent en vitamine A est de 610 mg (voir tableau II).
Parmi les glucides contenus dans la papaye, les plus importants sont le saccharose et fructose. Comme acide organique, on note des teneurs variables enacide malique tartrique et citrique.
Le fruit contient encore deux pigments caroténoïdes isolés en 1933 par YAMAMOTO [17]: la caricaxanthe ou cryptoxanthine et la violaxantine ou zeaxanthine di-époxyde, mais CHOPRA [18] signale en outre la présence de β carotène, néo-carotène [15].
Chimie du latex : Le fruit vert renferme surtout un latex blanc extrêmement actif capable de se concrétiser par évaporation. Les vitamines A, B, C, D et des traces de carpaϊne, alcaloïde surtout présent dans les feuilles et isolés par GREAHOFF selon KERHARO [14].
Cette papaïne est obtenue en incisant le fruit sur l’arbre même avec des instruments en os, verre ou bois (pour éviter les réactions enzymatique) et enprenant des précautions pour ne pas atteindre la cavité intérieure du péricarpe.
Le latex s’écoule alors en gouttelettes qui se concrétisent en larmes ; sèches et durcies au soleil durant 24 à 48 h ou à l’étuve au dessous de 38° durant 6 h, ces larmes donnent un produit blanc crème constituant la sortie de choix de papaïne commerciale.

Autres propriétés

SAHA et COL [21]ont signalé les propriétés ocytociques du latex.
D’après ROSS [22] l’addition du fruit à la ration alimentaire humaine produirait un abaissement léger de l’activité urinaire GARCIN [23] a observé que le jus du fruit vert liquéfié les tissus lésés par les anthrax, mais respecte les tissus sains non lésés.
Selon PERROT [23] les fleurs fraiches, non toxiques, donnent des infusions béchiques de plus en plus utiles dans les bronchites ou les aphonies consécutives aux refroidissements nocturnes brusques des zones tropicales en altitude.
En thérapeutique, la papaïne est un excellent adjuvant de la digestion des albuminoïdes recommandée dans la dyspepsie et autres troubles digestifs à la dose de 0,50 à 3 g en sachets, sirop, élixir. Elle est prescrite en même temps dans la chlorose et les gastro-entérites infantiles.
Mais en dehors de toutes ces applications thérapeutiques, le papayer peut être utilisé pour la préparation de bouillons de cultures peptonisés et industriellement pour la préparation d’aliments précuits et l’attendrissement de la viande, pour la clarification des bières, la fabrication du chewing-gum. Son utilisation est également possible dans l’industrie des textiles et du cuir.
On l’a aussi préconisé en fromagerie.
Considérant ainsi l’ensemble des applications thérapeutiques et l’absence des travaux scientifiques relatifs à l’activité anti-drépanocytaire du fruit vert du papayer, nous avons orienté notre étude en ce sens afin de confirmer ces utilisations traditionnelles qui lui sont reconnues. Cette étude intitulée partie expérimentale est précédée d’un chapitre portant sur des rappels sur la maladie drépanocytaire.

GENERALITE SUR LA DREPANOCYTOSE

DEFINITION DE LA DREPANOCYTOSE

La drépanocytose ou anémie falciforme est une maladie hémolytique chronique, touchant les globules rouges du sang. Elle induit la formation d’une protéine d’hémoglobine anormale, l’hémoglobine S, (Hb S) qui déforme les globules rouges. Elle entraîne des crises douloureuses et des troubles vasoocclusifs, signes de graves hémolyses.
C’est une maladie héréditaire récessive autosomique. Elle correspond à une forme homozygote mais peut aussi correspondre à une forme de double hétérozygote composite si l’individu possède l’allèle Hb S et une autre hémoglobinopathie, comme hémoglobine SC ou S bêta thalassémies.
La cause de la maladie est une substitution de l’adénine par la thymine (mutation) dans le codon 6 du gène de la β-globine (codon 6) entraînant la substitution d’un acide glutamique par une valine dans la chaîne protéique.
Cette altération de la protéine provoque une déformabilité du globule rouge en forme de faucille [75].

Distribution géographique

La dispersion de la maladie drépanocytaire a, depuis l’origine, posé des problèmes qui ne semblent pas entièrement résolus par les notions de migration.
Lehmann, le premier, a pu parler « le ceinture drépanocytaire »,« sickle belt ». La maladie présente évidement une fréquence maximale en Afrique subsaharienne, où on l’a trouve d’Ouest en Est. La tare atteint dans certains pays équatoriaux jusqu’à 30 à 40 % de la population, il y a diminution de fréquence vers le Nord et vers le Sud. La maladie est cependant retrouvée dans tout le continent africain. On la retrouve naturellement dans tous les pays d’émigration
africaine massive, c’est à dire sur le continent américain : aux états- Unis, aux Antilles, au Brésil. Elle touche aux Etats-Unis environ 7% de la communauté noire.
Elle existe, quoique avec une fréquence moindre, dans tout le bassin méditerranéen. Elle est relativement fréquente en Afrique du Nord maghrébine, touchant 1 à 2% de la population. Des foyers endémiques ont été signalés dans la péninsule ibérique en Sicile et dans L’Italie du Sud, en Grèce, en Turquie, dans les pays du proche orient. Mais dans d’autres foyers, apparemment plus éloignés, la fréquence drépanocytaire semble important : à Madagascar, dans la péninsule arabique, en Arabie Saoudite et au Yémen ; dans le sous-continent indien enfin, parmi les tribus les plus anciennement installées, au Sud de l’État de Mysore, au Rajasthan et dans d’autres zones circonscrites de moindre importance.
Cette large diffusion d’une maladie génétique extrêmement bien définie a naturellement donné lieu à un certain nombre de spéculations plus ou moins vérifiées. Elle pose néanmoins deux questions qui méritent d’être approfondies :
Ledéveloppement de la drépanocytose dans certain pays a- t-il été du à une pression sélective et quel en était l’agent ?
La mutation a-t-elle une origine unique et sa diffusion n’est elle que le résultat de migrations ?

PHYSIOPATHOLOGIE

Les conséquences des mutations dépendent en grande partie de leur siège.
La drépanocytose ou hémoglobinose S, touche essentiellement la race noire, avec plusieurs millions de porteurs de la mutation. La substitution sur le 6 e acide aminé de la chaine béta (valine à la place d’acide glutamique).
Cette anomalie favorise la formation de longues chaînes moléculaires sous faible pression d’oxygène. Les molécules d’hémoglobine au lieu de rester indépendantes échangent des liaisons et forment un gel dans lequel les molécules constituent de longues chaînes qui déforment le G.R. et lui donnent un aspect en faucille (hématie falciforme ou « drépanocyte »). Cette hématie de forme anormale tend à se bloquer dans les petits vaisseaux formant des thromboses ; le trouble circulatoire qui en résulte aggrave la désaturation locale en oxygène et par conséquent la falciformation. En outre, ces hématies rigides sont facilement phagocytées par les cellules réticulaires, d’où l’hyper hémolyse.
Seuls les homozygotes sont gravement atteints car les molécules d’hémoglobine A qui constituent environ 50% du total chez les hétérozygotes empêchent la formation de chaînes d’Hb S. Un taux élevé d’HbF a le même effet protecteur.
La mutation porte sur la cavité de l’hème ou sur les liaisons entre les chaînes (surtout au niveau des liaisons fortes alpha1- béta1, alpha 2 – béta 2) ou sur la forme générale de la molécule par mutation modifiant ses coupures internes. L’hémoglobine précipite sous forme de corps de Heinz. La formation de méthémoglobine est souvent associée. Ce sont des anomalies rares, responsables d’hémolyses chroniques, avec pigmenturie. L’anomalie s’exprime chez les hétérozygotes puisque les molécules instables dues au seul chromosome muté précipitent.
Il existe de nombreuses autres hémoglobines anormales avec substitution le plus souvent sur un acide aminé situé en périphérie dans la structure tertiaire de la globine. La différence de capacité de migration électrophorétique permet souvent d’identifier ces anomalies, mais elles sont généralement peu dangereuses mêmes chez l’homozygote et n’entraînent qu’une hémolyse modérée. Les plus fréquentes en Afrique sont les hémoglobines C et D.
Anomalies qualitatives entraînant d’autres conséquences qu’une hémolyse.
Ce sont : les hémoglobines M : la mutation porte sur le site de fixation de l’hème ou son voisinage ; il y a en effet dans ces cas une méthémoglobine, avec cyanose, mais peu d’hémolyse ; les hémoglobines à affinité anormale pour l’oxygène qui entraînent une polyglobulie. Elles sont essentiellement dues à des mutations au niveau des liaisons faibles alpha 1- béta 1 ou alpha 2-béta 2. Perturbant à ce niveau les mouvements de la molécule, elles gênent la fixation de l’oxygène. Elles peuvent également se situer dans la poche centrale où elles perturbent l’interaction avec le 2.3. DPG. Ces hémoglobines ne provoquent pas d’hémolyse mais le plus souvent de polyglobulie par augmentation de l’affinité de l’hémoglobine pourl’oxygène[42].

LA DREPANOCYTOSE HETEROGYGOTE OU LE TRAIT DREPANOCYTAIRE

La simple hétérozygotie S est exempte de toute complication affectant l’état générale ou l’état hématologique, dans les conditions physiologiques.
Cependant, certaines publications ont remis en cause l’innocuité des formes hétérozygotes [52]. La latence clinique du porteur du trait drépanocytaire n’est pas absolue donc toute hétérozygotie AS qui se manifeste par des signes cliniques ou biologiques d’un syndrome drépanocytaire majeur (SDM) doit nécessiter une étude approfondie de cette hémoglobine S, notamment à la recherche d’une double mutation ou d’une autre cause telle que le déficit en G6-PD.
Les hétérozygotes AS ont habituellement 37 à 47% d’hémoglobine S. Le taux baisse en cas de carence sévère en fer, folate, vitamine B12 et surtout en présence d’une thalassémie associée.
En fait, le plus grand risque pour les porteurs de trait drépanocytaire est d’ordre génétique, d’où l’importance du dépistage et de la création de centres de diagnostic prénatal pour les populations.

LA DREPANOCYTOSE ASSOCIEE A D’AUTRES ANOMALIES DE L’HEMOGLOBINE

Hétérozygotie SC

Cette association constitue par sa fréquence, le second syndrome drépanocytaire majeur. Les signes cliniques sont intermédiaires entre l’hémoglobine C homozygote et la drépanocytose homozygote. La pathologie est identique à celle des homozygotes avec une sévérité pronostique moindre.
La découverte est souvent tardive à l’occasion des complications thrombotiques, au premier plan. Ces sujets restent particulièrement sensibles aux infections. L’anémie hémolytique est assez souvent modérée ou apparemment absente. On note une microcytose, 30 à 50 % d’hématies cibles et parfois des cristaux intra-érythrocytaire.
En l’absence de prise en charge appropriée, la mortalité obstétricale est particulièrement notable.
Les complications oculaires et celles liées à l’hypersplénisme sont plus fréquentes.

L’hétérozygotie S/β thalassémie

Cette affection est subdivisée selon le type β ° ou β + de la thalassémie Hétérozygotie S/β°.
Elle tend à ressembler à une drépanocytose homozygote cliniquement « modérée-sévère ». Sa particularité principale est la persistance de la splénomégalie n’ayant aucune tendance à la régression. Les crises douloureuses ont une fréquence analogue à la drépanocytose SS mais les autres complications sont un peu moins fréquentes et moins graves.

Hétérozygotie S/β+ thalassémie

Elle se différencie de la drépanocytose hétérozygote par la longue persistance de la splénomégalie et par le taux d’hémoglobine S supérieure à celui de l’hémoglobine A. Les complications sont rares, l’anémie est modéréeou absente.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE I: GENERALITES SUR LA PLANTE
I.1- ETUDE BIOSYSTEMATIQUE DE CARICA PAPAYA
I.1-1- Systématique horizontale de Carica papaya
I.1-2- Etude spéciale de Carica papaya
I.1-3- Chimie de Carica papaya
I .2 -ETUDE ETHNOPHARMACOLOGIQUE DE Carica papaya
I.2.1- Intérêts de la plante en milieu traditionnel
I.2.2- Pharmacologie
I.3- RAPPELS SUR Maytenus senegalensis
CHAPITRE II : GENERALITE SUR LA DREPANOCYTOSE
II.1- DEFINITION DE LA DREPANOCYTOSE
II.2- HISTORIQUE
II.3- EPIDEMIOLOGIE
II.3.1- Transmission Génétique
II.3.2- Distribution géographique
II.4- PHYSIOPATHOLOGIE
III.CLINIQUE
III.1-LA DREPANOCYTOSE HOMOGYGOTE
III.1.1- Caractéristiques principales
III.1.2- Gravité
III.1.3- Complications
III.2. LA DREPANOCYTOSE HETEROGYGOTE OU LE TRAIT DREPANOCYTAIRE
III.3- LA DREPANOCYTOSE ASSOCIEE A D’AUTRES ANOMALIES DE L’HEMOGLOBINE
III.3.1-Hétérozygotie SC
III.3.2- L’hétérozygotie S/β thalassémie
III.3.2.1-Hétérozygotie S/β °
III.3.2.2- Hétérozygotie S/β+thalassémie
III.3.3- Les autres associations
III.3.3.1 L’hétérozygotie S/PHHF (Persistance héréditaire de l’hémoglobine Fœtale)
III.3.3.2- L’Hétérozygotie S/D punjub
III.3.3.3- L’hétérozygotie S/O Arab
III.3.3.4- Les hétérozygoties S/Lepore et S/Harlem
IV. DIAGNOSTIC
IV.1.Diagnostic différenciel
IV.2. Diagnostic biologique de la drépanocytose
IV.2.1. Prélèvements
IV.2.2. Bilan hématologique : hémogramme
IV.2.3. Mise en évidence des drépanocytes
IV.2.4. Test de solubilité ou test d’Itano
IV.2.5. Electrophorèse de l’HB
IV.2.6. Isoelectrofocalisation
IV.2.7.Chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC)
IV.3.Diagnostic anténatal
V. TRAITEMENT DE LA DREPANOCYTOSE
V.1. Médecine moderne face à la drépanocytose
V.1.1 Le traitement de fond
V.1.1.1- Les transfusions sanguines
V.1.1.2-La prescription d’acide folique
V.1.1.3- Les nouvelles tendances thérapeutiques
V.1.2 Le traitement des crises
V.1.2.1- Les médicaments
V.1.2.1.1 Les antalgiques
V.1.2.1.2- Les antifalcemiants
V.1.2.1.3-Les antiagrégants plaquettaires
V.1.3-Le traitement des complications
V.1.4- Les mesures thérapeutiques préventives de la drépanocytose
V.1.4.1- Eviction des facteurs déclenchant
V.1.4.2- Mesure simple de prévention
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PRESONNEL
I. MATERIELS ET METHODES
I.1 OBJECTIFS DE L’ETUDE
I.1.1 Objectif général
I.1.2 Objectif spécifique
I.1.3 cadre de l’étude
I.2 MATERIELS
I.2.1 Matériel végétal
I.2.1.1 Récolte des fruits
I.2.2 Matériel de laboratoire
I.2.3 Matériel chimique
I.2.4 Matériel biologique
I.2.5 Matériel pour les tests d’activité anti drépanocytaire
I.3-METHODES
I.3.1- Extraction et fractionnement
I.3.1.1- Extraction chimiques du pelé de Carica papaya
I.3.1.2- Le fractionnement
I.3.2- Screening phytochimique
I.3.2.1 Chromatographie sur couche mince (C C M)
I.3.2.1.1- Identification des tanins
I.3.2.1.2- Identification des alcaloïdes
I.3.2.1.3- Identification des hétérosides anthracéniques
I.3.2.1.4- Recherche des flavonoïdes
I.3.2.1.5- Recherche des saponosides
I.3.3 Test d’activité antidrépanocytaire des extraits obtenus
I.3.3.1 Principe
I.3.3.2- Préparation des solutions
I.3.3.2.1- Préparation de la solution tampon phosphate PH 7,4
I.3.3.2.2- Préparation de l’extrait à tester dans la solution tampon PH 7,4
I.3.4- Les tests
I.3.4.1- Test d’Emmel
I.3.4.2- Etude des paramètres rhéologiques
II. RESULTATS ET DISCUSSIONS
II.1 Résultats
II.1.1 Rendement de l’extraction du pelé vert de Carica papaya
II.1.2 Rendement du fractionnement des différents extraits obtenus
II.1.3 Screening phytochimique
II.1.3.1 Caractérisation générale de quelques constituants chimiques des différents extraits
II.1.3.2 Caractérisation générale des flavonoïdes
II.1.3.3 Caractérisation des Tanins
II.1.3.4 Caractérisation des hétérosides anthracénique
II.1.3.5 Caractérisation générale des alcaloïdes
II.1.3.6 Caractérisation des saponosides par la mesure de l’indice de mousse
II.1.4 .Test d’activité antidrépanocytaire des extraits obtenus
II.2. Discussions .
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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