Le plan d’action environnemental (PAE)

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Présentation de la commune rurale Tsinjoarivo Imanga

Pendant le royaume d’ANDRIANAMPOINIMERINA, il envois leurs mille(1000) militaires dans la zone Ouest de leur règne pour assembler leurs bœufs. Après quelques temps ANDRIANAMPOINIMERINA a visité dans cette région ; il a constaté qu’on peut voir de loin, depuis cette région ces milles militaires. « Nahatsinjo ny arivo lahy », c’est pour cette raison que le nom du village Tsinjoarivo se soit apparu. On met Imanga après le nom Tsinjoarivo car dans la région Bongolava, ony trouve plusieurs Tsinjoarivo et pour bien identifier la Commune Rural Tsinjoarivo Imanga, il est décidé de faire suivre ce nom Imanga pour ne pas le confondre avec d’autres régions nommées Tsinjoarivo. Imanga, c’est une rivière à l’Est de chef lieu qui a de sup erficie de 1ha. Dénommée Tsinjorano autrefois, son appellation estdevenue Tsinjoarivo du fait de la forte prépondérance de l’élevage bovin dans laégionr.
Tsinjoarivo est connue par le grand lac situé au sein la commune. C’est un endroit de détentes et de loisirs en même temps car on y ouvetr différentes espèces de poissons. La pêche y est autorisée mais payante, surtout pendant les fêtes de Pâque et de Pentecôte. C’est une source de revenus fiable pour la commune.

Emile Durkheim : « La division de travail »

Emile Durkheim présente de la division de travail, une vision Holiste du développement, aux accents évolutionnistes. En effet, selon l’auteur, la division de travail est un résultat de lutte pour la survie, mais elle en est dénouement adoucie. Grace à la division du travail, les rivaux ne sont pas obligésde s’éliminer mutuellement mais peuvent coexister les uns à cotés des autres ; ce qui explique une cohésion sociale qui mène au développement collectif. Il y aurait un seuil critique au- delà duquel les humains choisissent de coopérer, de communiquer entre eux,plutôt que de se combattre. Ici donc, la division de travail consiste à se multiplier les ta ches pour pouvoir atteindre un développement durable.

Max Weber : « Le processus de rationalisation »

La contribution de Max Weber à la compréhension du développement s’inscrit dans ses nombreuses analyses de ses processus qu’il considère être à l’œuvre dans toutes sociétés : « le processus de rationalisation ». Weber démontredans l’éthique protestante et l’esprit capitalisme que l’action guidée par une rationalitéen finalité prend une importance croissance au fil de l’évolution sociale. En effet, l’évolution de l’ordre social (le développement), est accompagnée par une transformation des manières de faire, de sentir, d’agir, de penser, de penser de membre de la société. A l’inverse, l’absence d’évolution des valeurs peut bloquer le processus de développement.
Bref, selon Durkheim, le développement dépend du roupeg ; le « Holisme » et selon Weber, ceci dépend de chaque individu de la société ; l’ « Individualisme ».

Le développement

Développement : désigne l’action d’une avancée ouel résultat de cette action.
Au-delà de dimension économique, sociale, et culturelle ; le développement est souvent interprété comme un processus de transformation qui accompagne la croissance dans une évolution à long terme. Ce processus est étroitement lié au concept de progrès, une notion centrale de la pensé de lumière et des ourantsc évolutionnistes. Un mécanisme qui vise l’amélioration des conditions de vie : sociaux, économiques, politiques selon les besoins réels des individus, des groupes et de la société.
Selon Boudon (R.) et Bourricaud (F.) ; le développement est un processus complexe impliquant l’amélioration sociale, économique, politique et culturelle des individus et de la société elle-même. Par amélioration, nous entendons ici l’aptitude de la société à répondre aux besoins de la population auxplans physiques, émotifs et créatifs, à un niveau acceptable du point de vue historique et à libérer les humains de l’éternelle routine liée à la production des besoins essentiels. Il comporte donc l’amélioration du niveau de vie mais non une consommation ostentatoire, et implique une forme de société qui permet la distribution égale des richesses sociales.

Conception des enquêtés sur le projet

Vu l’objectif principal du projet : amélioration de la sécurité alimentaire. La population est convaincue que ce projet peut apporter un développement durable dans la commune. Il faut donc à tout prix rassembler la for ce pour qu’on obtienne un résultat positif et meilleur pour tous.
Chacun a déduit que depuis l’intégration dans le projet, sa vie s’est améliorée. Le projet leur a permis de saisir une nouvelle chance afin de s’améliorer sur le plan social et économique. Presque tout le monde a affirmé que leprojet Vahatra serait un moyen pour lutter contre la famine, la malnutrition, et de manière générale, la pauvreté rurale en particulier dans la commune Tsinjoarivo-Imanga.
Plusieurs raisons ont incité les habitants à s’intégrer dans le projet ; en citant :
– Le projet apporte un moyen bénéfique pour les cultivateurs et les éleveurs ; grâce à la formation donnée par les techniciens. Les habitants prouvent de l’enthousiasme car ils trouvent que le projet apporte beaucoup d’avantages pour le développement de la commune.
– Une raison de plus l’envie des habitants de s’améliorer dans la vie, une envie de sortir de la pauvreté et découvrir une nouvelle mode de vie. Pour eux, le projet est un moyen, une aide pour survivre et s’adapter à tou s les problèmes et les difficultés qui peuvent subvenir.
– Du point de vue financier et matériel, ceci incite aussi les gens, car le projet insiste aussi sur ce point fondamental. Il consiste à aider les gens matériellement et en formation. La population s’intéresse donc au projet pour la formation, les semences et les matérielles pour la cultivassions et l’élévation.
– D’autres s’inscrivent dans le projet par des motifs religieux. Juste parce qu’ils sont des catholiques.
– Ainsi, peu d’entre eux s’intègre dans le projet sans raisons. Ils gaspillent le temps pour rien alors ils se décident de faire partie duprojet.
Ci-après les pourcentages montrant ces raisons

Sensibilisation sur la nutrition

Celle-ci consiste à aider les gens à la gestion nut ritionnelle. On incite la population à bien gérer la dépense alimentaire afin de bien gérer l’économie familiale. Elle informe donc les gens à ne pas gaspiller tous les produits mais bien gérer ce qu’on doit manger chaque jour.
Elle incite aussi les cibles sur la qualité alimentaire pour éviter différentes sortes de maladie.

Formation sur des activités artisanales et pépinières

La formation est centrée sur le reboisement. Dans cette région, la dégradation des forets se propage, en ce sens, le projet prend des mesures sur le problème de déforestation. On incite les gens à cultiver des arbres forestières et fruitières. De plus, on les sensibilise sur l’utilisation des « fatana mitsitsy ».
Tous cela évoque une sorte de solidarité et cohésion de chaque membre afin d’assurer la protection de l’environnement.
Bref, le projet serait un atout sur la contribution du développement de la commune car il joue un rôle important sur le plan social, économique et même environnemental.
C’est ici que notre analyse du problème s’est achevée, dans la partie suivante et dernière partie de ce travail de recherche, nous parlerons des approches prospectives notamment les solutions par des différentes institutions organisationnelles ainsi que les suggestions personnelles.

Le Plan d’Action Environnemental : PAE

La politique, en matière environnementale, se décline en terme opérationnel dans le cadre du PAE et comprend trois phases de 5ans
Les objectifs incluent :
– la protection et la gestion de la biodiversité, avec un accent sur les parcs, les réserves et les forets naturelles, conjointement avec un développement durable dans les régions périphériques .
– l’amélioration des conditions de vie des ruraux à travers la protection et la gestion des ressources naturelles, avec un accent sur les bassins versants, le reboisement, l’agro forestier, la gestion de pollutions et des ressources dans les régions urbaines .
– l’encouragement de l’éducation environnementale, la formation, et la communication .
– le développement des systèmes d’informations géographiques pour la gestion des ressources et sols .
– le développement des capacités de recherche environementale sur les régions terrestres, côtières et marines .
– l’établissement d’un système de gestion et de suivi.

Le Projet de Soutien au Développement Rural :PSDR

Le PSDR constitue le projet d’appui à la mise en œu vre du PADR élaboré par le Gouvernement et financé par la Banque Mondiale. Il s’inscrit dans le cadre de la stratégie fixée pour le développement, visant particulièremenà lutter contre la pauvreté en milieu rural, tout en prenant compte la mise en œuvre de l a politique engagée en matière de décentralisation.
Il a comme objectifs :
– Accroitre la productivité et les revenus des petits agriculteurs de manière durable dans l’ensemble des 22 régions agro écologiques parles GTDR.
– Appuyer le développement des organisations de producteurs et groupes communautaires.
– Réduire la pauvreté en milieu rural tout en préservant les ressources naturelles de base.

Fonds d’Intervention pour le Développement : FID, proprement cas d’Antsirabe

Le projet de développement communautaire fait partie de plusieurs programmes ayant pour objet l’amélioration de la productivitéet de la compétitivité de l’économie rurale. Il prévoit de financer les projets prioritaires de toutes communes hors chef-lieu de province d’Antsirabe ville.
La mission du FID a évolué depuis la signature de ’accordl de crédit en 2001. Celui-ci prévoyait essentiellement des activités deconstruction d’infrastructures pour les communes et les communautés, des activités de renforcement liées à ces constructions.
Avec le crédit supplémentaire de 2004, le FID a retrouvé le rôle qu’il avait déjà eu au cours du FID III à savoir la reconstitution et l a réhabilitation à grande échelle des infrastructures détruites par les cyclones.
La revue à mi-parcours du mois du Mars a mis concer nant le développement rural également l’accent sur :
– Le soutien à la décentralisation effective et au développement local par le renforcement de capacité, l’appui et l’encadrement des communes.
– La composante Réponse aux chocs qui va concentrer sur la prévention des futurs risques, privilégier la protection et le renforcement des biens productifs et des investissements collectifs.
– Le contrôle des normes et qualité va présenter un point capital dans l’organisation et la méthode du travail du FID.
– Suivi, évaluation système d’information.

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Table des matières

PARTIE I : APPROCHE CONCEPTUELLE, CONTEXTUELLE, ET METHODOLOGIQUE
CHAPITRE 1 : ETAT DE LIEU
1-1- Présentation du Projet VAHATRA
1-3 Présentation de la commune rurale Tsinjoarivo Imanga
1-3-4 Infrastructures de la commune
1-3-5 Activités de la population
CHAPITRE 2 : CADRAGE THEORIQUE
2-1 Notion de base selon les auteurs classiques
2-1-1 Emile Durkheim : « La division de travail »
2-1-2 Max Weber : « Le processus de rationalisation »
2-2 Essai de définition
2-2-1 Le développement
2-2-2 Le projet
2-2-3 Paysans
2-2-4 Le Développement rural
2-2-5 Le développement agricole
CHAPITRE 3 :L’APPAREILLAGE METHODOLOGIQUE
3-1 Méthodologie de la recherche
3-1-1 Concepts et instruments d’analyse
3-1-2 Techniques
PARTIE II : RESULTATS D’ENQUETES ET VERIFICATION DES HYPOTHESES 
Chapitre 4 : LA PERCEPTION DES ENQUETES SUR LE PROJET
4-1 Caractéristiques des enquêtés
4-2 Conception des enquêtés sur le projet
Chapitre 5 : LA CONTRIBUTION DU PROJET VAHATRA AU DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE TSINJOARIVO-IMANGA
5-1 Dans le domaine économique
5-1-1 Evolution et développement à l’intérieur du projet
5-1-2 Stockage
5-2 Contribution sociale du projet
5-2-1 Sensibilisation sur la nutrition
5-2-2 Formation sur des activités artisanales et pépinières
PARTIE III : APPROCHE PROSPECTIVE
Chapitre 6 : Solution externe
7-1INTERNATIONAL
7-2 NATIONAL
7-2-1 Le Plan d’Action Environnemental : PAE
7-2-2 Le Projet de Soutien au Développement Rural : PSDR
7-2-3 Fonds d’Intervention pour le Développement : FID, proprement cas d’Antsirabe
7-2-4 Surveillance et Education des Ecoles et des Communautés en matière d’Alimentation et de Nutrition Elargie : SEECALINE
Chapitre 8 : Suggestions personnelles
8-1- Renforcer la sécurité alimentaire et l’éducation
8-2- Dynamiser la participation des femmes
8-3- Dynamiser la participation des jeunes paysans
8-4- Promouvoir les Activités Génératrices de Revenus
8-5- Assurer la sécurité publique
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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