Le développement de l’enfant adopté à l’étranger

La vie dans la famille biologique

   Les facteurs de risque peuvent être répartis en deux catégories :
 Ceux concernant la vie prénatale de l’enfant : mauvaise santé de l’enfant et de la mère, consommation d’alcool et /ou exposition aux drogues, stress maternel
 Ceux concernant sa vie postnatale: malnutrition de l’enfant, mauvaise hygiène, absence de soins médicaux, maltraitances physique, sexuelle et /ou mentale, bas niveau socio-économique de la famille, bas niveau socio-économique du pays… Ces facteurs de risque agissent aussi différemment selon les variables constitutionnelles de l’enfant : bagage génétique, tempérament, capacités de résilience…

Grande pauvreté des relations sociales institutionnelles imputable 

 au nombre d’enfants très élevé (généralement de 35 à 100 enfants mais jusqu’à 600 enfants par orphelinat)
 aux faibles ratios donneurs de soins/enfants
 à la formation rudimentaire des donneurs de soins
 à un temps d’interaction duelle très réduit entre l’enfant et le donneur de soins (estimé dans le cas des nourrissons de 15 à 20 minutes hebdomadaires consacrées au nourrissage et aux soins corporels de l’enfant) et un temps d’interaction enfant/enfant plus élevé que dans une famille biologique
 à des interactions peu centrées sur les initiatives de l’enfant mais dirigées par le donneur de soins
 à des roulements très (trop) fréquents des équipes de soins ne permettant pas à l’enfant de développer un attachement sécurisé à une figure élective (à titre d’exemple, pendant les 19 premiers mois de sa vie, un enfant peut être exposé à un nombre de donneurs de soins différents compris entre 60 et 100 personnes) p. 22
 à un manque d’implication affective et d’attention particulière de la part des donneurs de soins ou d’accordage entre la nature des soins prodigués et les émotions affichées par l’adulte (ex : donner le bain sans regarder dans les yeux, sans entrer en conversation, sans prêter attention aux tentatives de communication de l’enfant).

La vie en famille d’accueil

   Les enfants placés en famille d’accueil bénéficient, pendant la période de transition entre l’abandon et l’adoption, de conditions de vie bien meilleures que celles proposées à l’orphelinat. Il faut cependant garder à l’esprit que chaque pays et chaque famille ont un fonctionnement propre. Selon Chicoine (2003), la prise en charge des enfants par une famille d’accueil compétente pourrait influencer favorablement le développement cognitif des enfants. Il avance aussi que la présence d’une famille d’accueil avant l’adoption serait un facteur grandement facilitateur dans l’adaptation de l’enfant plus sécurisé même face à la nouvelle rupture à laquelle il devra être confronté. Après avoir dressé l’inventaire des différents facteurs de risque pouvant entraver le développement de l’enfant avant son adoption, intéressons- nous maintenant à son évolution post-adoption au sein des différents domaines développementaux. Nous savons en effet que le développement de l’enfant est global. Nous ne pouvons nous pencher sur la question du développement cognitif de l’enfant adopté à l’étranger sans explorer celle de son développement physique, cérébral, moteur et psycho-affectif.

Le développement physique, cérébral et moteur

   Le développement cognitif de l’enfant se réalise à travers ses interactions avec son environnement. L’enfant interagit au sein de cet environnement avec tout son corps et ses sens : plus ses capacités sensorielles s’affinent, plus ses habiletés motrices se développent, plus ses capacités d’exploration s’accroissent et plus ses connaissances sur l’environnement s’enrichissent. Le mouvement devient pour l’enfant un instrument pour interpréter, penser le monde qui l’entoure. Manipuler les objets permet à l’enfant de structurer son intelligence et sa pensée en établissant des correspondances, des comparaisons, des relations afin de découvrir des lois et élaborer des concepts. Les manipulations concrètes d’objets représentent la base indispensable à l’élaboration de la pensée logique. C’est pourquoi, nous affirmons que le développement cognitif de l’enfant est soutenu et sous-tendu par son développement moteur tout comme son développement moteur est sous tendu par son développement physique, l’ensemble étant sous-tendu par son développement cérébral. L’état de santé de l’enfant au moment de son adoption est variable mais il s’agit souvent d’un état de précarité physique qui renseigne sur les conditions déficientes de la vie préadoptive de l’enfant. En effet, en dépit de variations interindividuelles, la plupart des enfants adoptés séjournant à l’orphelinat ont à leur arrivée un retard de croissance (poids et taille) ainsi qu’un périmètre crânien plus petit que la moyenne (Chicoine et al., 2003). Le périmètre crânien fournit un indice de l’état nutritionnel de l’enfant mais également du niveau de stimulation auquel il a été exposé. L’impact négatif d’un petit poids de naissance et de la malnutrition sur le développement des fonctions cognitives est connu depuis longtemps. Chavez et Graves cités par Bouville (1996) montrent chez des enfants malnutris la présence de difficultés comportementales à partir du 6ème mois. Alors qu’à partir de cet âge, l’enfant bien portant commence à s’éloigner de sa mère, l’enfant malnutri reste à proximité d’elle, explore moins l’espace et est moins actif en général, prend moins d’initiatives et ne joue que 5% de son temps contrairement à l’enfant bien portant qui joue jusqu’à 20% de son temps. Dasen et Super cités par Bouville (1996) établissent un rapport entre la baisse du niveau d’activité, d’exploration, d’attention et de motivation des enfants malnutris et leurs retards cognitif et social. Même si ces observations portent sur des enfants élevés par leur mère biologique, l’analogie avec les enfants institutionnalisés malnutris paraît assez évidente. Le retard de croissance chez les jeunes enfants a une incidence sur leur développement cérébral. A la naissance, 85% du cerveau humain n’est pas fonctionnel. Le cerveau se développe en grande partie avant l’âge de 3 ans et a besoin de beaucoup de calories, de lipides, de protéines et de glucides. Il se nourrit avant de nourrir le reste du corps.La croissance cérébrale n’est pas liée au nombre de neurones déterminé génétiquement mais à la quantité des connexions synaptiques établies entre les cellules nerveuses. L’interconnexion neuronale est favorisée par les stimulations c’est-à-dire la fréquence et la nature des expériences auxquelles est exposé l’enfant. Ainsi un enfant qu’on ne touche pas, à qui on ne parle pas, qui ne voit qu’un plafond blanc ou qui ne goûte qu’une seule sorte de nourriture pendant des mois ne développe pas les mêmes connexions qu’un enfant stimulé. De la même manière, les médecins observent qu’environ 70 % des enfants ont des retards de motricité globale à leur arrivée dans leur famille adoptive (Chicoine 2003). Ce taux est une fois de plus très variable selon le vécu de l’enfant et le temps qu’il passe en institution. Plus l’enfant est âgé au moment de son adoption, plus ces retards sont fréquents et sévères. Là encore, il existe des différences manifestes selon que l’enfant a séjourné en famille d’accueil ou en orphelinat. Chicoine (2003) calcule le retard moteur selon la formule mathématique suivante : environ un mois de retard en motricité pour trois mois d’institutionnalisation et ce après l’âge de six mois. Ce retard est à majorer en cas de malnutrition.

Récupération des compétences cognitives globales

  En matière de développement cognitif chez les enfants adoptés, un des outils de mesure dont nous disposons dans les études est celui du quotient intellectuel. Les enfants adoptés ont globalement un vécu pré-adoption marqué par une exposition à des conditions d’adversité et de privations. Quelle est l’influence de ce vécu sur le développement de leurs compétences cognitives globales ? En adoption internationale, presque tous les bébés et les jeunes enfants présentent à leur arrivée un niveau de développement cognitif global inférieur aux normes développementales de leur âge. Après leur adoption, une bonne partie de ces enfants rejoignent les scores moyens de leur population de référence. Ce rattrapage est plus ou moins rapide selon les enfants. En 2005, l’équipe de Van IJzendroon réalise une vaste méta-analyse de 62 études portant sur un total de 17 767 enfants. Le but de cette analyse est de comparer le quotient intellectuel d’enfants adoptés à celui de pairs restés à l’orphelinat et à celui d’enfants biologiques. L’objectif principal est d’évaluer le gain cognitif lié à l’adoption. Les résultats indiquent que les quotients intellectuels des enfants adoptés sont supérieurs à ceux de leurs frères et sœurs ou pairs restés à l’orphelinat et comparables à ceux des enfants non adoptés issus de la population générale. Cette normalisation du quotient intellectuel indique que l’adoption est une intervention bénéfique pour le développement cognitif de l’enfant. L’équipe de recherches québécoise déjà citée (Migneault et al., 2007) évalue aussi le développement cognitif des enfants adoptés. Comme pour le développement moteur, entre la première et la dernière évaluation, les scores du développement cognitif augmentent chez 83% des enfants du groupe d’Asie de l’Est, chez 86% du groupe Chine mais seulement chez 67% pour cent du groupe Russie. Par ailleurs, aux trois temps de mesure, il existe une corrélation négative entre l’âge à l’arrivée et les scores de développement cognitif. Moins longtemps les enfants sont exposés à des conditions de vie pré-adoption difficiles, moins les effets nocifs de ces conditions affectent la qualité de leur évolution après l’adoption. Plus le changement d’environnement survient tôt, plus son impact est important. La plasticité du cerveau étant plus grande chez le jeune enfant (Thomas, 2003), plus celui-ci est alors susceptible de bénéficier de l’environnement stimulant que lui offre son milieu.

Le développement psycho-affectif

   Comme nous le décrivent Groark et McCall (2011), les relations sociales à l’orphelinat sont pauvres et les enfants rarement impliqués dans une relation dyadique avec une figure de substitution maternelle privilégiée. D’après la théorie de Bowlby (1978), le nouveau-né est totalement dépendant de l’adulte pour répondre aux besoins essentiels de sa survie: nourriture, soins corporels, sécurité, tendresse. Si l’adulte répond adéquatement et rapidement aux manifestations de malaise de l’enfant, l’enfant en retire un sentiment de satisfaction qui nourrit en retour un sentiment de sécurité et de confiance envers cet adulte. Cet attachement qui le lie à ses parents ou tout substitut parental est d’autant plus fort que l’enfant bénéficie très tôt dans sa vie d’interactions affectueuses, régulières, fiables et authentiques. Un enfant bien ancré dans une relation affective sécurisée développe le goût d’apprendre, d’interagir avec les autres et d’explorer l’environnement. A l’opposé, si l’enfant est privé de nourriture affective, son monde se désorganise. En l’absence de cette base sécurisante, l’enfant développe des comportements anxieux sur le plan relationnel. Ce sentiment d’insécurité le conduit à limiter l’exploration de son environnement, ses manipulations, ses expérimentations. Cela peut alors avoir des répercussions négatives sur la construction de ses habiletés cognitives. L’enfant qui n’expérimente pas cette sécurité ne peut intérioriser une image parentale rassurante et par conséquent, s’ouvrir sur l’extérieur. En résumé, pour que l’enfant soit actif dans son développement et puisse faire des expériences permettant la mise en place de ses structures logiques, il est important qu’il développe un attachement sécurisant. Cela lui permet d’aller à la découverte de son milieu et d’apprendre à partir des conflits cognitifs auxquels il est confronté. Plusieurs études s’attachent à décrire l’évolution post-adoption de la relation d’attachement d’enfants ayant vécu à l’orphelinat. La première d’entre elles, l’étude de Metera citée par Van IJzendoorn (2006) compare la relation d’attachement d’enfants adoptés à celle d’enfants non adoptés : grâce à une procédure expérimentale créée par Ainsworth appelée « situation étrange », des comparaisons sont faites entre des enfants institutionnalisés et des enfants biologiques à l’âge de 12 mois puis de 50 mois soit 24 mois après l’adoption des enfants institutionnalisés Ces enfants intègrent entre temps leur famille d’adoption et changent de figure d’attachement, passant de la nourrice à la mère adoptive. Les résultats sont les suivants :
 à 12 mois, le pourcentage d’enfants présentant un attachement insécurisé est plus élevé chez les enfants institutionnalisés que chez les enfants biologiques.
 2 ans après l’adoption, le pourcentage d’enfants avec un attachement insécurisé reste plus élevé chez les enfants adoptés que chez les enfants biologiques. Dans son étude, Van IJzendoorn (2006) analyse dix autres recherches et évalue à 47% le nombre d’enfants adoptés avec un attachement sécurisé contre 67% chez les enfants biologiques ; le nombre d’enfants adoptés avec un attachement insécurisé est donc de 53% contre 33% chez les enfants biologiques En outre, l’étude suggère que plus l’adoption est tardive (après 12 mois), plus le pourcentage d’attachement insécurisé est important. Les développements psycho-affectif et cognitif sont étroitement imbriqués. Les enfants institutionnalisés développent envers les adultes plus de relations d’attachement insécurisé que les enfants non adoptés; il est démontré par ailleurs que l’adoption ne renverse pas la tendance et que le nombre d’enfants adoptés avec un attachement insécurisé est toujours plus élevé même après l’adoption. En conclusion de cette première partie théorique, nous pouvons affirmer que les enfants récupèrent leur retard cognitif global à distance de leur adoption mais pourraient présenter, selon deux études en orthophonie, des fragilités dans le domaine du raisonnement logique. Cette fragilité pourrait être en lien avec un contexte pré-adoption déstabilisant et pauvre en stimulations cognitives ainsi qu’un développement psycho-affectif particulier.

Le développement de l’intelligence

   Selon le dictionnaire orthophonique (Brin et al, 2011), la classification est « l’une des principales structures nécessaires à la pensée humaine et à l’intelligence pour s’adapter au monde extérieur, au réel.»
Pour Piaget, l’intelligence de l’enfant se développe au cours de quatre stades consécutifs :
– Le stade sensori-moteur de 0 à 2 ans
– Le stade préopératoire de 2 à 7/8 ans
– Le stade des opérations concrètes de 7/8 ans jusqu’à 11/12 ans
– Le stade opératoire de la pensée formelle de11/12 ans jusqu’à16 ans
Le stade sensori-moteur :A ce stade, l’intelligence de l’enfant est pratique, sans langage ni pensée. L’enfant élabore ses premiers raisonnements grâce à ses perceptions sensorielles et aux actions qu’il mène sur les objets du monde réel. L’enfant sort progressivement de son état de confusion originelle grâce à l’élaboration des notions d’objet permanent, d’espace, de temps et de causalité.
Le stade préopératoire :La transition du stade sensori-moteur au stade préopératoire s’effectue avec l’apparition de l’intelligence représentative. Grâce à l’émergence de l’imitation différée, du jeu symbolique, du dessin, de l’image mentale et du langage, l’enfant peut évoquer les objets ou les situations non perçus dans son présent. A ce stade, l’intelligence de l’enfant n’est pas encore capable de généralisations mais est en rapport avec son expérience personnelle. On parle d’égocentrisme intellectuel. La pensée de l’enfant est plus mobile qu’au cours de la phase précédente mais elle n’est ni réversible, ni capable de décentration. L’enfant est centré sur son point de vue et ne peut en imaginer d’autres différents.
Le stade des opérations concrètes :Piaget considère que vers l’âge de 8 ans, la pensée de l’enfant prend un tournant décisif en acquérant les caractéristiques suivantes :
 Elle devient réversible et opératoire.
 Elle repose sur des invariants
La pensée de l’enfant devient opératoire à partir du moment où elle devient réversible. L’accès à la réversibilité marque un tournant intellectuel décisif, en conférant de la mobilité à la pensée. La réversibilité s’acquiert « dès lors qu’une action effective du sujet telle que classer ou une transformation perçue dans le monde physique peut être annulée en pensée par une action orientée en sens inverse ou compensée par une action réciproque. » (Piaget cité par Dolle, 1997). Les actions de l’enfant deviennent alors des opérations mentales : elles s’intériorisent, se coordonnent et se construisent en système. Par ailleurs, lors d’une transformation, tous les éléments ne se modifient pas et apparaît alors la notion d’invariance. A ce stade-là, la pensée de l’enfant ne prend plus appui sur les états statiques livrés par ses perceptions sensorielles (concept de figurativité) mais raisonne grâce à des procédés de rétroaction et d’anticipation (concept d’opérativité).
Le stade des opérations formelles :A ce stade, l’enfant ne raisonne plus sur les choses concrètes mais sur des hypothèses. Sa pensée est dite « hypothético-déductive. » Aucun enfant de notre étude n’a atteint ce stade, c’est pourquoi nous ne développerons pas ce point.

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Table des matières

Liste des graphiques
Liste des figures
Liste des schémas
Liste des photographies
INTRODUCTION
Partie 1 ANCRAGE THEORIQUE
1 Préambule
2 Le développement de l’enfant adopté à l’étranger
2.1 Un vécu pré-adoption sous le signe de l’adversité et des privations
2.1.1 La vie dans la famille biologique
2.1.2 Le temps de l’abandon
2.1.3 La vie en institution
2.1.4 La vie en famille d’accueil
2.2 Le développement de l’enfant après l’adoption
2.2.1 Le développement physique, cérébral et moteur
2.2.2 Le développement cognitif
2.2.3 Le développement psycho-affectif
3 La classification
3.1 Définition
3.2 Les deux types de catégories
3.3 Le développement de la classification selon Piaget
3.3.1 Le développement de l’intelligence
3.3.2 Les stades de développement de la classification
3.3.3 Les différents types de classes
3.4 Le modèle de la catégorisation naturelle de Nelson
3.5 Tableau récapitulatif des niveaux de développement de la catégorisation / classification
4 Hypothèses théoriques
Partie 2 MATERIEL ET DEMARCHE EXPLORATOIRE
1 Présentation de la population de l’expérimentation
1.1 Critères de sélection et recrutement
1.2 Conditions de passation des épreuves
1.3 Questionnaire adressé aux parents
2 Protocole d’expérimentation
2.1 Choix des épreuves
2.1.1 Epreuve piagétienne de dichotomie adaptée par COGI’ACT
2.1.2 Epreuve de classification des animaux
2.2 Mode de traitement des données
2.2.1 Données de l’épreuve de dichotomies adaptée par COGI’ACT
2.2.2 Données de l’épreuve de classification des animaux
2.3 Précautions méthodologiques
2.3.1 Limites dues à la population
2.3.2 Limites dues aux conditions et au matériel
Partie 3 RESULTATS ET ANALYSE
1 Résultats
1.1 Données issues du questionnaire
1.1.1 Pays d’origine des enfants adoptés
1.1.2 Durée des périodes pré-adoption et post-adoption
1.1.3 Lieux de vie entre l’abandon et l’adoption
1.2 Données issues de l’épreuve de dichotomie adaptée de COGI’ACT
1.2.1 Distribution des notes globales
1.2.2 Moyenne des notes par groupe d’âge
1.2.3 Production des dichotomies
1.2.4 Impact du temps d’exposition aux facteurs de risque
1.3 Données issues de l’épreuve de la classification des animaux
1.3.1 Les différents types d’associations produites
1.3.2 Graphique comparatif du niveau de catégorisation
1.3.3 Impact du temps d’exposition aux facteurs de risque
2 Discussion
2.1 Hypothèse n°1
2.2 Hypothèse n°2
2.3 Synthèse globale des hypothèses théoriques
CONCLUSION
GLOSSAIRE
REPERES BIBLIOGRAPHIQUES
TABLE DES ANNEXES

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