L’école et les interactions sociales

L’ÉCOLE ET LES INTERACTIONS SOCIALES

 Le rôle de l’enseignant dans les interactions de l’élève

Dans le référentiel des compétences professionnelles des enseignants, la compétence six stipule que l’enseignant se doit de «planifier, organiser et superviser le mode de fonctionnement du groupe-classe en vue de favoriser l’apprentissage et la socialisation des élèves» (Gouvernement du Québec, 2001: 59). En lisant le sens de la compétence, on s’aperçoit que cela implique entre autres l’instauration, dans le groupe, de la compréhension et du respect des normes de la vie en société. L’enseignant est l’acteur qui doit établir et maintenir des relations interpersonnelles harmonieuses avec chacun de ses élèves. Une des composantes de la compétence consiste à adopter des stratégies pour prévenir l’émergence de comportements non appropriés et pour intervenir efficacement lorsqu’ils se manifestent. Les enseignants doivent donc faire preuve d’une capacité à reconnaître rapidement les comportements jugés inappropriés et de les interrompre le plus discrètement possible avant qu’ils ne produisent des dérives ou des interruptions des activités en cours. Ils doivent favoriser les consensus et la mise en place d’ententes entre les élèves afin de régler les conflits qui surviennent. En tant qu’adulte, l’enseignant a le devoir de se mêler des relations qui s’établissent au sein de son groupe-classe et de dépister les cas d’élèves qui vivent des scénarios relationnels handicapants.Comme nous venons de le souligner, le regard que doit poser l’enseignant sur la vie sociale de ses élèves est clairement défini par le référentiel mentionné précédemment. Les enseignants sont donc des acteurs principaux pouvant nous informer sur des événements critiques reliés au statut occupé par un élève au sein de son groupe de pairs (Rubin, LeMare et al., 1990: 234).

Le rôle des pairs et des activités pratiquées en groupe dans le développement de l’enfant

Que ce soit en classe ou à l’extérieur de l’école, les pairs, sans nécessairement tous être amis entre eux, jouent certains rôles. Tout d’abord, ils servent «d’agents de contrôle» les uns envers les autres. Sans que l’enseignant n’ait à intervenir, les pairs punissent ou ignorent généralement les comportements perçus comme dépassant les normes et renforcent ceux qu’ils croient appropriés (Rubin, LeMare et al., 1990: 218). Ensemble, les pairs apprennent à gérer des conflits, à exprimer leurs émotions, à pratiquer l’écoute active et à répondre de manière empathique (Naylor et Cowie, 2000). C’est aussi en compagnie des pairs que l’élève peut obtenir une validation de ses attitudes, de ses intérêts, de ses habiletés ou encore de sa valeur personnelle (Zarbatany, Hartmann et al., 1990). En d’autres mots, le groupe de pairs sert d’élément de comparaison entre le «moi» et le « eux ».Selon Parrila, Ma et al. (2002), la qualité des relations avec ses pairs est un baromètre important du fonctionnement général de la vie sociale. Ces auteurs ont effectué une revue de  littérature sur la question. Il en ressort que des expériences positives vécues à un jeune âge avec les pairs favorisent l’estime de soi et offrent des occasions de réussite. De plus, un trop grand  nombre d’interactions sociales négatives durant les premières années de fréquentation scolaire est apparemment un des facteurs pouvant prédire l’échec scolaire, la criminalité, ainsi que de la morbidité psychologique chez les jeunes adultes (Parrila, Ma et al., 2002).Le rôle des pairs dans les conflits sociocognitifs montre qtie le bénéfice des interactions sociales fécondes touche également l’académique. Effectivement, l’interaction avec les pairs, en plus de fournir plus de rétroaction à l’élève en difficulté, offre des occasions à l’élève de réviser les concepts qui viennent d’être présentés (Cohen, 1994). De plus, si les groupes sont bien organisés, Naylor et Cowie (2000) affirment que les retombées sont très avantageuses. Les enfants apprennent à se questionner, à s’évaluer, à se critiquer de façon constructive et aussi à mieux structurer leurs apprentissages (Naylor et Cowie, 2000). Le travail de groupe peut donc entraîner des effets positifs fort intéressants non seulement quant à la vie sociale de l’enfant, mais également en ce qui concerne l’appropriation de ses connaissances.Si les pairs jouent un rôle important dans le développement des enfants, les activités qu’ils pratiquent ensemble revêtent une toute aussi grande pertinence. Mis à part les récréations et les cours d’éducation physique offerts à l’école, les enfants peuvent participer à un large éventail d’activités parascolaires : danse, musique, théâtre, sports, etc. Le rôle des activités parascolaires a d’ailleurs été mis en lumière dans un rapport d’enquête publié par le Gouvernement du Québec (2005). En mai 2005, plus de 3 500 jeunes de la province ont été questionnés sur le sujet. D’après les résultats obtenus, près des deux tiers des répondants considèrent que les activités parascolaires ont des effets favorables sur leurs études. Selon ces élèves, elles contribuent également à faire de leur école un milieu stimulant où il est agréable de vivre (Gouvernement du Québec, 2005). D’autres activités, mais qui ont lieu dans des espaces extrascolaires (centres communautaires, clubs sportifs, associations culturelles, lieux de culte, camps de jour, etc.) sont également offertes aux jeunes. Peu importe où elles prennent place, ces activités permettent aux enfants de prendre conscience des règles de conduite en société, tout en apprenant à interagir avec d’autres personnes en tant que membre d’une équipe (Parrila, Ma et al., 2002: 8). De plus, «la participation à un groupe organisé d’activités structurées multiplie les occasions pour les enfants et le s adolescents de recevoir du soutien émotionnel sous forme d’appréciation, de valorisation de leurs capacités et de leurs efforts » (Hamel, 2001). « They provide a context for sociability, enhancement of relationships, and a sense of belonging; they promote concern for achievements and integrity of die self» (Zarbatany, Hartmann et al., 1990: 1077). Bref, les activités pratiquées avec les pairs fournissent généralement à l’enfant des occasions d’acquérir une panoplie de savoirs et de savoir-faire et ce, dans différents domaines (Winnykamen, 1999).Les motifs de participation à ces activités peuvent varier d’un élève à un auti-e intérêt personnel, influence familiale, amusement, bien-être physique, briser l’ennui, rencontres amicales, détente, etc. Le sport, par exemple, fournit à l’enfant une motivation intrinsèque (accomplissement de soi) et dans certains cas, une motivation extrinsèque (possibilité de remporter des prix, médailles ou trophées). Il offre également la chance à l’enfant de s’intégrer dans un groupe qui fonctionne avec des règles différentes de celles de la famille ou de l’école et dont les membres ont une motivation commune (Wiirnykamen, 1999). Comme le notent Zabatany, Hartmann et al. (1990), les enfants ont besoin de participer à une gamme variée d’activités afin de multiplier leurs types d’expériences. Un accès limité à certaines activités réduit les opportunités d’apprendre et de développer des compétences. Ainsi, dans des espaces tels que les camps de jour, où la programmation est diversifiée, les enfants peuvent effectuer plusieurs types d’apprentissages. Ils élargissent à la fois leur réseau social, ce qui peut les rendre plus enclins à forn-ier des liens d’amitié. Pour lire les phénomènes d’affinités ou encore de rejet qui sont présents dans un groupe, plusieurs chercheurs et professionnels font appel à la sociométrie.

La sociométrie pour lire les interactions sociales

La sociométrie est un corps de connaissances qui a principalement été développé par Jacob Lévy Moreno autour des années 1950. La courte biographie que voici permettra de retourner dans le passé et de revivre le contexte qui a fait naître la sociométrie. Suite à cela, nous énoncerons une définition de la sociométrie, les buts qu’elle vise et les différents statuts sociométriques qu’elle définit.

J. L. Moreno : fondateur de la sociométrie

Pour présenter les grandes lignes de la vie de cet homme, nous allons essentiellement nous servir de Parlebas (2002) comme auteur de référence. Jacob Lévy Moreno est né en 1889 à Bucarest, en Rournanie. Beaucoup de voyages ont coloré l’enfance de cet homme : d’abord une émigration à Vienne (Autriche) avec sa famille en 1895, puis à Berlin (Allemagne) vers 1904. D’autres destinations telles que la Turquie et l’Italie sont également venues marquer sa vie.
En 1913, il s’est joint à une équipe qui tentait d’apporter de l’aide aux prostituées. Quatre ans plus tard, gradué de l’Université de Vienne, il a obtenu son diplôme de médecine. Ses expériences d’aide envers les gens dans le besoin se sont multipliées avec le temps. Il a eu l’opportunité, à plusieurs reprises, d’intervenir dans des camps de réfugiés. Ayant constaté l’immense détresse affective de ces «déracinés » fuyant la guerre, Moreno a alors suggéré de repenser l’organisation du camp en fonction des courants d’affinité et d’intérêts qui traversaient la communauté. Ces démarches ont été les premiers pas vers la naissance de la sociométrie.
Au cours de l’année 1919, Moreno a ouvert un cabinet de médecin, même s’il s’intéressait davantage au théâtre improvisé et au psychodrame. Il était fasciné par la communication qui, selon lui, permettait de libérer les élans spontanés naissant de la rencontre avec l’autre.
En 1926, Moreno a émigré à New-York, aux États-Unis. Malgré son adaptation difficile, il a réussi à reprendre ses activités de recherche. Débutant dans une prison, son objectif était alors de regrouper les prisonniers selon leur personnalité. Grâce à des tests de spontanéité, Moreno a pu effectuer différents classements quant à la capacité de relation sociale des individus. Un peu plus tard, il est devenu directeur d’un institut de rééducation pour jeunes filles.
En 1934, il a publié le livre «Who shatl survive? » qui est devenu un classique de l’histoire de la psychologie et de la sociologie (Marineau, 1990). La thèse fondamentale du livre portait sur le fait que «l’avenir de l’humanité dépend de sa capacité à retrouver sa spontanéité» et que «l’humanité ne survivra que si elle passe par une révolution créatrice» (Marineau, 1990: 202). Vingt ans plus tard, soit en 1954, ce livre a été traduit en français sous le titre de «Fondements de la sociométrie ».
Deux ans après la parution de «Who shall survive? », Moreno a fondé la revue «Sociometric review », qtli a ensuite pris le nom de «Sociometry: a Journal of Inter-Personal Relations ».
En 1956, ce périodique est passé sous l’autorité de l’Association américaine de sociologie. Au cours de la même année, Moreno a été rédacteur en chef d’une revue qu’il a lancé: «International Journal of Sociometry ». Une fois de plus, toutes ses recherches mettaient principalement l’accent sur le psychodrame et sa perspective thérapeutique. C’est donc dans les années cinquante que les recherches de Moreno ont commencé à traverser le continent pour se rendre en Europe. Avec le temps, les chercheurs ont été de plus en plus nombreux à s’intéresser à la sociométrie, à ses teclrniques et à son utilisation en milieu scolaire. Voyons maintenant un e définition plus complète que nous pouvons retenir de la sociométrie.

Définition et buts de la sociométrie

Pour Moreno, la sociométrie est à la fois «l’étude mathématique des propriétés psychologiques d’une population» tout en étant «un instrument qui sert à évaluer le réseau de relations qui fondent les groupes sociaux, à la lumière des attractions et des rejets qui se manifestent à l’intérieur de ce groupe » (Schtitzenberger, 1972: 11).
Faire l’usage d’instruments sociornétriques a plusieurs buts dont celui de mieux comprendre ce qui se passe dans un groupe afin d’accroître le mieux-être et l’épanouissement personnel des individus. La sociométrie peut être utile dans divers champs : pédagogie, psychothérapie, formation des cadres aux ressources humaines, etc. (Schutzenberger, 1972). Dans le domaine de l’éducation, elle peut permettre à l’enseignant d’organiser son action pédagogique autour de données précises, fidèles et valides (Paquette, 1975). Les différentes techniques exploitées peuvent mener à connaître l’évolution des structures d’un groupe à des moments doirnés. Elles peuvent aussi orienter l’enseignant lors de la formation des équipes en classe et prévenir les conflits entre les membres d’un même groupe. Finalement, la sociométrie peut amener les intervenants et les enseignants à dépister certaines difficultés relatives à la socialisation chez les élèves, pour ensuite intervenir (Paquette, 1975).  L’enquête sociométrique, qui peut être effectuée à partir de plusieurs techniques (observation, questionnaire sociométrique), pourra permettre à l’intervenant ou au chercheur de détecter certains statuts sociométriques occupés par un élève au sein de son groupe. Dans la partie qui suit, nous vous invitons à les examiner un peu plus en profondeur.

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Table des matières

INTRODUCTION
I L’IMMIGRATION COMME CONTEXTE DE RECHERCHE
1.1 L’IMMIGRATION AU CANADA ETAU QUÉBEC : OBJECTIFS ET JURIDICTION
1.2 L’IMMIGRATION AU CANADA
1.3 L’IMMIGRATION AU QUÉBEC
1.4 REFLET DE LA DIVERSITÉ ETHNOCULTURELLE DANS LES ÉCOLES DE M0NTRÉAL
1.5 CERTAINES CARACTÉRISTIQUES DE L’ENFANT IMMIGRANT
2 PROBLÉMATIQUE
2.1 L’ÉCOLE ET LES INTERACTIONS SOCIALES
2.1.1 LES INTERACTIONS SOCIALES DANS LES COMPÉTENCES DU PROGRAMME
2.1.2 LES INTERACTIONS SOCIALES DANS LA VIE D’UN ÉLÈVE
2.2 LA SPÉCIFICITÉ DES INTERACTIONS SOCIALES DE L’ÉLÈVE IMMIGRANT
2.3 RÉSUMÉ DU PROBLÈME ET QUESTIONS DE RECHERCHE
3 CADRE THÉORIQUE
3.1 UN PEU PLUS SUR LES INTERACTIONS SOCIALES HORIZONTALES
3.1.1 LE PHÉN0MÈNE DE GR0UPE
3.1.2 L’AMITIÉ
3.1.3 LES COMPORTEMENTS PROBLÉMATIQUES EN GROUPE
3.1.4 LE RÔLE DE L’ENSEIGNANT DANS LES INTERACTIONS DE L’ÉLÈVE
3.1.5 LE RÔLE DES PAIRS ET DES ACTIVITÉS PRATIQUÉES EN GROUPE DANS LE DÉVELOPPEMENT DE L’ENFANT
3.2 LA SOCIOMÉTRIE POUR LIRE LES INTERACTIONS SOCIALES
3.2.1 J. L. MORENO FONDATEUR DE LA SOCIOMÉTRIE
3.2.2 DÉFINITION ET BUTS DE LA SOCIOMÉTRIE
3.2.3 LES STATUTS SOCIOMÉTRIQUES
3.2.3.1 LE POPULAIRE
3.2.3.2 LE REJETÉ
3.2.3.3 LE NÉGLIGÉ
3.2.3.4 LE CONTROVERSÉ
3.2.4 LES DÉTERMINANTS DU STATUT SOCIOMÉTRIQUE
3.3 INTERACTIONS SOCIALES ET PLURIETHNICITÉ
3.3.1 INFLUENCE DE LA CULTURE SUR LES INTERACTIONS ENTRE LES ENFANTS
3.3.2 AMITIÉ ET ÉLÈVE IMMIGRANT
3.3.3 STATUTS SOCIOMÉTRIQUES ET PLURIETHNICITÉ
3.4 OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
4 MÉTHODOLOGIE
4.1 DÉROULEMENT DE LA RECHERCHE GLOBALE
4.1.1 DÉROULEMENT DE LA COLLECTE DES DONNÉES
4.1.2 IMPLICATION PERSONNELLE AU SEIN DE LA RECHERCHE
4.1.3 CARACTÉRISTIQUES DE L’ÉCHANTILLON
4.2 APPROCHE ETHI’JOGRAPHIQUE
4.3 TECHNIQUES EMPLOYÉES
4.3.1 QUESTIONNAIRE SOCIODÉMOGRAPHIQUE
4.3.2 QUESTIONNAIRE SOCIOMÉTRIQUE
4.3.3 OBSERVATL0N
4.3.4 ENTRETIEN SEMI-STRUCTURÉ
4.4 TRAITEMENT DES DONNÉES
5 ANALYSE DES DONNÉES
5.1 CONTEXTES SCOLAIRES D’INTERACTIONS SOCIALES PLURIETRNIQUES
5.1.1 PoRTRAIT DE LA CLASSE 3 (ÉCOLE B)
5.1.1.1 S0cI0GRAMME DES DÉSIGNATIONS POSIT[VES – CRITÈRE JEU
5.1.1.2 S0CIOGRAMME DES DÉSIGNATIONS NÉGATIVES – CRITÈRE JEU
5.1.2 PORTRAIT DE LA CLASSE 4 (ÉCOLE C)
5.1.2.1 S0CI0GRAMME DES DÉSIGNATIONS POSITIVES – CRITÈRE JEU
5.1.2.2 SOCIOGRAMME DES DÉSIGNATIONS NÉGATIVES – CRITÈRE JEU
5.1.2.3 S0CIOGRAMME DES DÉSIGNATIONS POSITIVES – CRITÈRE TRAVAIL
5.1.3 PoRTRAIT DE LA CLASSE 5 (ÉCoLE C)
5.1.3.1 S0CI0GRAMME DES DÉSIGNATIONS POSITIVES – CRITÈRE JEU
5.1.3.2 S0CIOGRAMME DES DÉSIGNATIONS POSITIVES – CRITÈRE TRAVAIL
5.1.3.3 S0CI0GRAMMES DES DÉSIGNATIONS NÉGATIVES – CRITÈRES JEU ET TRAVAIL
5.2 PORTRAIT D’UN CAMP DE JOUR EN MILIEU PLURIETHNIQUE
5.2.1.1 PR0FILDESM0NITEURs
5.2.1.2 DIFFÉRENTs POINTS DE VUE SUR LES MOTIVATIONS À FRÉQUENTER UN CAMP
5.2.1.3 APPRENTISSAGES EN LIEN AVEC LE CAMP
5.3 EC0LE ET LE CAMP DE J0UR
5.4 PROFILS RELATIONNELS D’ÉLÈVES IMMIGRANTS
5.4.1 PROFILDEMEHDI
5.4.2 PR0FILD’ELINA
5.4.3 PRoFIL D’OzSKAR
5.4.4 PROFILS DE SAADIA ETD’ALI
6 CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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