Intervention auprès des adolescents atteints d’un cancer et rationnel de l’expédition thérapeutique

Échelle de bien-être psychologique rapportée par la mère

Les analyses multivariées n’indiquent pas d’effet d’interaction entre le sexe et le temps pour l’échelle de bien-être psychologique rapportée par la mère. Cependant, elles indiquent une interaction significative entre la langue et le temps (F(1,10) = 3,59, p = 0,016). Le modèle n’indique pas d’effet du sexe ou du temps, malgré qu’on peut observer une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesure (temps 2, 3 et 4).
Les tests T a posteriori indiquent que les scores de mères francophones augmentent significativement entre le temps 1 et le temps 2 (t(101) = -2,43, p = 0,017), ainsi qu’entre le temps 1 et le temps 3 (t(101) = -2,09, p = 0,040) et entre le temps 1 et le temps 4 (t(101) = -3,49, p = 0,001). Pour leur part, les scores des mères anglophones n’augmentent pas significativement entre le temps 1 et le temps 2 (t(101) = -1,17, p = 0,245), ni entre le temps 1 et le temps 3 (t(101) = -0,71, p = 0,482), pas plus qu’entre le temps 1 et le temps 4 (t(101) = 0,86, p = 0,394). Les moyennes des mères francophones passent de 22,45 au temps 1 à 24,23 au temps 2, puis de 24,17 au temps 3 à 25,17 au temps 4, tandis que les celles de mères anglophones passent de 23,88 à 25,20, puis de 24,80 à 22,84. La figure 2 illustre les moyennes ajustées des résultats à l’échelle de bien-être psychologique des mères, selon le temps et la langue, aux quatre temps de mesure.

Échelle de bien-être psychologique rapportée par le père

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de bien-être psychologique rapportée par le père. Il n’indique pas non plus de différence significative selon la langue ou le sexe. Cependant, il indique un effet significatif selon le temps (F(3,97) = 5,91, p = 0,001).
Les tests T a posteriori indiquent que, chez le père, le score augmente de façon significative entre la mesure prise au temps 1 et celle prise au temps 2 (t(97) = -3,59, p = 0,001), mais la différence n’est pas significative entre le temps 1 et le temps 3 (t(97) = 0,00, p = 1,000) ni entre le temps 1 et le temps 4 (t(97) = -1,21, p = 0,229). Les moyennes passent de 22,42 au temps 1 à 24,53 au temps 2, à 22,42 au temps 3 et enfin à 23,21 au temps 4. La figure 3 illustre les moyennes ajustées des résultats des pères selon le temps, aux quatre temps de mesure.

Échelle d’humeur et émotion rapportée par l’adolescent

Les analyses multivariées n’indiquent pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’humeur et émotions rapportée par l’adolescent. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe et la langue. Ceci dit, le modèle mixte indique une différence significative selon le temps (F(3,10) = 5,12, p = 0,002).
Les tests T a posteriori indiquent que les résultats sont significativement plus élevés au temps 2 (t(103) = -3,77, p < 0,001). Cela est vrai également entre le temps 1 et le temps 3 (t(103) = -2,53, p = 0,013), ainsi qu’entre le temps 1 et le temps 4 (t(103) = -3,38, p = 0,001). La moyenne rapportée par l’adolescent est de 28,76 au temps 1, de 32,56 au temps 2, puis de 31,06 au temps 3 et de 32,12 au temps 4. La figure 4 illustre les moyennes ajustées des résultats des adolescents selon le temps, aux quatre temps de mesure.

Échelle d’humeur et émotion rapportée par la mère

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’humeur et émotions rapportée par la mère. Il n’indique pas non plus de différence significative selon la langue ou le sexe. Cependant, il indique un effet significatif selon le temps (F(3,10) = 2,81, p = 0,043).
Les tests T a posteriori indiquent que le score est significativement plus élevé au retour de l’expédition (temps 2) (t(101) = -2,88, p = 0,005). Les résultats sont également significativement plus élevés au temps 3 comparativement au temps 1 (t(101) = -2,54, p = 0,013), ainsi qu’au temps 4 comparativement au temps 1(t(101) = -2,51, p = 0,014). La moyenne est d’abord de 29,69 (temps 1), puis de 31,23 (temps 2), ensuite de 31,00 (temps 3) et enfin de 30,99 (temps 4). La figure 5 illustre les moyennes ajustées des résultats des mères selon le temps, aux quatre temps de mesure.

Échelle d’humeur et émotion rapportée par le père

Les analyses multivariées n’indiquent pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’humeur et émotions rapportée par le père. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe. Cependant, le modèle mixte indique une différence significative selon le temps (F(3,91) = 4,70, p = 0,004) ainsi qu’une différence significative selon la langue d’entrevue (F(1,29) = 9,18, p = 0,005).
Les tests T a posteriori indiquent une différence significative entre le temps 1 et le temps 2 (t(91) = -3,57, p < 0,001), ainsi qu’une différence significative entre le temps 1 et le temps 4 (t(91) = -2,72, p = 0,008). Cependant, la différence n’est pas significative entre le temps 1 et le temps 3 (t(91) = -1,89, p = 0,062). La moyenne telle que rapportée par le père passe de 29,88 au temps 1 à 31,73 au temps 2, puis de 30,86 au temps 3 à 31,30 au temps 4. La figure 6 illustre les moyennes ajustées des résultats des pères selon le temps, aux quatre temps de mesure.

Échelle de perception de soi

Cette échelle explore la perception que l’adolescent a de son image corporelle et de sa valeur personnelle. Plus le score est élevé, plus le jeune est considéré comme confiant et satisfait de sa valeur et de son corps, heureux avec lui-même et confortable avec son apparence.

Échelle d’autonomie

Cette dimension évalue le niveau de liberté accordé à l’adolescent pour faire ses propres choix d’activités et pour occuper son temps libre. Plus le score est élevé, plus le jeune est considéré indépendant, autonome et libre de prendre ses propres décisions.
Échelle d’autonomie rapportée par l’adolescent
Les analyses multivariées n’indiquent pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’autonomie rapportée par l’adolescent. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe et la langue. Par contre, le modèle mixte indique un effet significatif du temps F(3,10) = 3,82, p = 0,012.
Les tests T a posteriori indiquent que le score augmente significativement après l’expédition (temps 2) (t(104) = -3,18, p = 0,002). Ils indiquent également une augmentation significative entre le temps 1 et le temps 3 (t(104) = -2,29, p = 0,024) ainsi qu’entre le temps 1 et le temps 4 (t(104) = -2,30, p = 0,024). Les moyennes à l’échelle de l’adolescent sont de 18,55 avant l’expédition (temps 1), de 20,72 après l’expédition (temps 2), de 20,20 après quatre mois (temps 3) et de 20,22 après un an (temps 4). La figure 9 illustre les moyennes ajustées des résultats des adolescents selon le temps, aux quatre temps de mesure.

Échelle d’autonomie rapportée par la mère

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’autonomie rapportée par la mère. Il n’y a pas non plus de différence significative le sexe, la langue d’entrevue et le temps, malgré qu’on puisse observer que les moyennes augmentent légèrement entre les temps 1 et 2 ainsi qu’entre les temps 1 et 3, avant de diminuer entre les temps 1 et 4.

Échelle d’autonomie rapportée par le père

Les analyses multivariées n’indiquent pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’autonomie rapportée par le père. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe et la langue. Par contre, le modèle mixte indique un effet significatif du temps (F(3,92) = 2,96, p = 0,036).
Les tests T a posteriori indiquent que les scores sont significativement plus élevés au retour d’expédition (temps 2) (t(92) = -2,46, p = 0,016). De plus, ils indiquent une augmentation significative entre le mesure prise avant l’expédition (temps 1) et celle prise 4 mois plus tard (temps 3) (t(92) = -2,10, p = 0,039). Cependant, le différence entre les scores au temps 1 et ceux au temps 4 n’est pas significative (t(92) = -0,37, p = 0,710). Les moyennes des pères est de 18,44 avant l’expédition (temps 1), de 20,29 au retour (temps 2), de 20,03 après quatre mois (temps 3) et de 18,73 après un an (temps 4). La figure 10 illustre les moyennes ajustées des résultats des pères selon le temps, aux quatre temps de mesure.

Échelle de relation avec les parents et la maisonnée

Cette échelle évalue l’atmosphère à la maison et la qualité de la relation avec les parents. Plus le score est élevé, plus le jeune est considéré soutenu et aimé, se sentant compris et en sécurité et percevant ses parents comme disponibles et justes.

Échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par l’adolescent

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par l’adolescent. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue ou le temps, malgré qu’on peut observer une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesure (temps 2, 3 et 4). Il se pourrait que cette augmentation ne soit pas significative en raison de la petite taille de l’échantillon.

Échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par la mère

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par la mère. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue et le temps, malgré qu’on peut observer une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesure (temps 2, 3 et 4).

Échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par le père

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de relation avec les parents et la maisonnée
rapportée par le père. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue ou le temps.

Échelle de ressources financières

Cette dimension évalue la perception des ressources financières de l’adolescent à savoir s’il considère avoir assez de ces dernières pour mener un style de vie similaire aux autres jeunes de son âge. Plus le score est élevé, plus le jeune est considéré comme satisfait de ses ressources financières.

Échelle de ressources financières rapportée par l’adolescent

Les analyses multivariées n’indiquent pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de ressources financières rapportée par l’adolescent. Il n’y a pas non plus de différence significative selon la langue et le temps, malgré qu’on puisse observer une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesure (temps 2, 3 et 4). Il se pourrait que cette augmentation ne soit pas significative en raison de la petite taille de l’échantillon. Cela dit, le modèle mixte indique un effet significatif du sexe (F(1,36) = 4,51, p = 0,041) qui signifie que les filles estiment leurs ressources financières plus élevées que les garçons, et ce, indépendamment du temps de mesure.
Échelle de ressources financières rapportée par la mère
Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de ressources financières rapportée par la mère. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue ou le temps.

Échelle de ressources financières rapportée par le père

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de ressources financières rapportée par le père. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue ou le temps.

Échelle de pairs et soutien social

Cette dimension évalue la nature des relations entretenues par l’adolescent avec les autres jeunes de son âge. Plus le score est élevé, plus le jeune est considéré comme se sentant accepté, soutenu et inclus dans son groupe d’amis.

Échelle de pairs et soutien social rapportée par l’adolescent

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de pairs et soutien social rapportée par l’adolescent. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue et le temps, malgré qu’on puisse observer une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesures (temps 2, 3 et 4). Il se pourrait que cette augmentation ne soit pas significative en raison de la petite taille de l’échantillon.

Échelle de pairs et soutien social rapportée par la mère

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de pairs et soutien social rapportée par la mère. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe et la langue d’entrevue. Par contre, il indique un effet significatif du temps (F(3,99) = 2,99, p = 0,035).
Les tests T a posteriori indiquent que l’effet n’est pas significatif entre la mesure pré-expédition (temps 1) et la mesure prise au retour (temps 2) (t(99) = -1,84, p = 0,069). Ainsi, l’effet augmente graduellement et n’est significatif qu’à partir de la mesure effectuée quatre mois après le retour d’expédition (temps 3) (t(99) = -2,60, p = 0,011). La différence entre le mesure prise avant l’expédition (temps 1) et celle prise un an après (temps 4) est également significative (t(99) = -2,48, p = 0,015). La moyenne telle que rapporté par la mère est de 17,26 avant l’expédition (temps 1), de 19,25 après (temps 2), puis de 20,14 après quatre mois (temps 3) et de 20,12 après un an (temps 4). La figure 11 illustre les moyennes ajustées des résultats des mères selon le temps aux quatre temps de mesure.

Échelle de pairs et soutien social rapportée par le père

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle de pairs et soutien social rapportée par le père. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue et le temps, malgré qu’on peut observer une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesure (temps 2, 3 et 4).

Échelle d’intimidation rapportée par la mère

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’intimidation rapportée par la mère. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe, la langue d’entrevue et le temps, bien qu’on puisse voir une légère augmentation des moyennes entre le temps 1 et les autres temps de mesure (temps 2, 3 et 4).

Échelle d’intimidation rapportée par le père

Le modèle mixte n’indique pas d’effet d’interaction entre la langue et le temps, ni entre le sexe et le temps pour l’échelle d’intimidation rapportée par le père. Il n’y a pas non plus de différence significative selon le sexe. Par contre, il indique un effet significatif du temps (F(3,92) = 4,05, p = 0,009) ainsi qu’un effet significatif de la langue d’entrevue (F(1,29) = 10,22, p = 0,003).
Les tests T a posteriori indiquent que la différence est significative entre le mesure pré-expédition (temps 1) et celle prise au retour (temps 2) (t(92) = -3,23, p = 0,002), entre la mesure pré-expédition (temps 1) et celle quatre mois plus tard (temps 3) (t(92) = -2,59, p = 0,011) et entre la mesure pré-expédition et celle prise au bout d’un an (temps 4) (t(92) = -2,30, p = 0,023). Les moyennes à l’échelle du père sont de 13,78 avant l’expédition (temps 1), de 14,59 après l’expédition (temps 2), de 14,44 après quatre mois (temps 3) et de 14,36 après un an (temps 4). La figure 12 illustre les moyennes ajustées des résultats des pères selon le temps aux quatre temps de mesure.

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Table des matières
Liste des tableaux 
Liste des figures
Remerciements
Contexte théorique
Statistiques canadiennes sur le cancer
Le cancer à l’adolescence
La période développementale de l’adolescence
Impacts du cancer à l’adolescence
La qualité de vie liée à la santé chez les adolescents atteints de cancer
Intervention auprès des adolescents atteints d’un cancer et rationnel de l’expédition thérapeutique
Modèle d’intervention de la Fondation Sur la pointe des pieds
Objectifs, question et hypothèses de recherche
Méthode
Devis de recherche
Déroulement
Participants
Instruments
Stratégie d’analyse
Résultats
Échelle de bien-être physique
Échelle de bien-être physique rapportée par l’adolescent
Échelle de bien-être physique rapportée par la mère
Échelle de bien-être physique rapportée par le père
Échelle de bien-être psychologique
Échelle de bien-être psychologique rapportée par l’adolescent
Échelle de bien-être psychologique rapportée par la mère
Échelle de bien-être psychologique rapportée par le père
Échelle d’humeur et émotions
Échelle d’humeur et émotion rapportée par l’adolescent
Échelle d’humeur et émotion rapportée par la mère
Échelle d’humeur et émotion rapportée par le père
Échelle de perception de soi
Échelle de perception de soi rapportée par l’adolescent
Échelle de perception de soi rapportée par la mère
Échelle de perception de soi rapportée par le père
Échelle d’autonomie
Échelle d’autonomie rapportée par l’adolescent
Échelle d’autonomie rapportée par la mère
Échelle d’autonomie rapportée par le père
Échelle de relation avec les parents et la maisonnée
Échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par la mère
Échelle de relation avec les parents et la maisonnée rapportée par le père
Échelle de ressources financières
Échelle de ressources financières rapportée par l’adolescent
Échelle de ressources financières rapportée par la mère
Échelle de ressources financières rapportée par le père
Échelle de pairs et soutien social
Échelle de pairs et soutien social rapportée par l’adolescent
Échelle de pairs et soutien social rapportée par la mère
Échelle de pairs et soutien social rapportée par le père
Échelle d’intimidation
Échelle d’intimidation rapportée par l’adolescent
Échelle d’intimidation rapportée par la mère
Échelle d’intimidation rapportée par le père
Corrélation entre les scores rapportés par l’adolescent, la mère et le père
Discussion 
Résultats obtenus conformément à l’hypothèse
Impacts sur la perception de soi
Résultats obtenus par rapport à la sous-question de recherche
Impacts sur le bien-être physique
Impacts sur le bien-être psychologique
Impacts sur l’humeur et les émotions
Impacts sur l’autonomie
Impacts sur les relations avec les parents et la maisonnée
Impacts sur les ressources financières
Impacts sur le support social
Impacts sur l’acceptation sociale
Liens entre le point de vue des adolescents et celui des parents
Forces et limites de l’étude
Retombées et pistes pour les projets futurs
Références
ANNEXE A – Certification éthique
ANNEXE B – Questionnaires quantitatifs
ANNEXE C – Questionnaires qualitatifs

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