IMPORTANCE DES AULNAIES POUR L’AVIFAUNE

Les ripisylves d’altitudes

    Les saules, avec notamment Salix pedicellata, S.purpurea, S.alba, trouvent leur optimum de développement dans l’Atlas tellien. Le climat humide, voir per-humide, semble y conditionner le maintien des stations les plus méridionales en Afrique du Nord des éléments de l’alliance SALICETEA PURPUREAE. Salix pedicellata est une caractéristique préférentielle de l’association Salici-Populetum nigrae, mais se trouve également très présent dans l’Equiseto-fraxintum angustifoliae. D’autres groupements se localisent sur les hautes terrasses des oueds, le Lamino-alnitum glutinosae, dans sa sous-association, Fraxinitosum angutifuliae, et le Lauro-celtidetum australae, à caractère relictuel et très fragilisé par l’action anthropique. La Numidie algérienne fait partie d’un point chaud de biodiversité, récemment reconnu au sein de l’ensemble méditerranéen (Vela et Benhouhou 2007). Elle constitue en effet un carrefour biogéographique majeur, réunissant des éléments floristiques eurosiberiens, méditerranéens et subtropicaux (Arenes 1951, Braun-Blanquet 1953, Gehu et al. 1993, de Belair 2005). Cette richesse spécifique a depuis longtemps été remarquée dans les complexes humides des plaines littorales des régions d’El Tarf-Annaba-Skikda (Guerbes-Senhadja) (Cosson 1885, Maire 1926, Gauthier-lievre 1931, de Belair et Bencheikh-Lehocine 1987, Samraoui et de Belair 1997, de Belair 2005), qui abritent très probablement les communautés hydrophiles et hygrophiles les plus riches d’Afrique du Nord. Les ripisylves sont des formations végétales qui longent les cours d’eau et dont les communautés ont une distribution transversale. Elles prennent des formes et des aspects très variables et constituent des éléments remarquables des paysages naturels. En effet, il s’agit d’un écotone à effet de lisière avec, d’un côté des milieux aquatiques et de l’autre des milieux terrestres, ce qui favorise une grande hétérogénéité spatiale et temporelle des habitats (Décamps 2003). Les ripisylves constituant le compartiment forestier de l’hydro-système et ne comportent pas seulement des groupements arborés mais forment une mosaïque végétale complexe et très diversifiée, composés pour la plupart de ligneux (Piégay et al, 1995). Elles concernent un ensemble vaste en recouvrant notamment tous les types de formation arborées riveraines des rivières, quelques soit leur substrat, leur durée d’inondation ou leur extension spatiale. Elles se définissent comme un ensemble de groupements végétaux dominé par une strate arborée, localisée sur la marge des cours d’eau et inféodée à des milieux régis par l’eau superficielle et souterraine (Piégay et al, 1995). Le long des cours d’eau et des zones marécageuses limitrophes des lacs, on rencontre les ripisylves et les aulnaies qui constituent des habitats dont la principale caractéristique réside dans la superposition de l’élément aquatique et de l’élément forestier (Benyacoub et al, 1998). Ce dernier constitue un biotope favorable pour l’avifaune forestière. L’élément aquatique favorise la présence de nombreuses espèces d’oiseaux d’eau d’où une richesse avifaunistique importante (Pics, Bouscarle de Cetti, Rossignol, Pigeon ramier, Etourneau unicolore, et Rapaces). Les ripisylves quant à elles, jouent pour la faune mammalienne et l’avifaune un rôle de couloir de circulation (Chabbi, et Benyacoub, 2000) assurant ainsi la connexion des différentes formations forestières à travers les milieux ouverts, limitant de ce fait l’effet de morcellement des grands massifs forestiers originels. Ainsi, les ripisylves ont des fonctions écologiques et jouent un rôle structurant pour la biodiversité. Parmi les fonctions multiples de ces formations, nous citons la régulation de la dynamique des écoulements, la stabilité des berges, la qualité des eaux, le fonctionnement des écosystèmes lotiques, la dynamique de la biodiversité et par là constituent un bon indicateur d’intégrité écologique (Décamps et Décamps 2002). D’autre part, et bien qu’il s’agisse de formations azonales, elles sont influencées par les bioclimats et les étages de végétation méditerranéens (Quézel et Médail 2003). Parmi la grande diversité de ces zones humides du Nord-Est algérien, les aulnaies a Alnus glutinosa représentent un écosystème d’affinité septentrionale extrêmement original a l’échelle de l’Afrique du Nord (Junqua 1954, Bensettiti 1992, Gehu et al. 1994). Ces formations, bien que présentes dans le Nord du Maroc (Fennane et al. 1999, Valdes et al. 2002) et le Nord-Ouest de la Tunisie (Negre 1952, Pottier- Alapetite 1979-1981), ne sont nulle part aussi étendues en Afrique du Nord que dans les complexes humides d’Annaba-El Kala et de Guerbes-Senhadja. Leur abondance régionale est régie par des conditions géomorphologiques et climatiques particulières (Morgan 1982), et notamment par des substrats argilo-sableux favorables à la formation de sols hydromorphes (Benslama 1993) et un climat de type méditerranéen humide a subhumide à variantes tempérée et chaude.

Typologie des aulnaies de la Numidie orientale

      Trois systèmes hydrographiques dulçaquicoles sont distingués (Belouahem Abed et al., 2009) :
1. Un système d’oued
2. Un système de lac
3. Un système de nappes phréatiques dunaires
A chacun de ces systèmes correspond respectivement un type d’aulnaie:
1. Les ripisylves souvent mixtes ou en mélange (aulnaie/frênaie, aulnaie/zênaie, aulnaies/formations à peuplier, orme et saule) se développent sur les rives des cours d’eau dont la majorité est exondée en été ou fragmentée en chapelet de mares, c’est le cas de l’Oued El Kébir Est/El Tarf.
2. L’aulnaie peut être en contact avec certains lacs : (Tonga, Oubeira, Melah, lac bleu ou avec de petits étangs ou mares : eau libre/aulnaie). Cette mixité est une condition favorable à l’existence d’une faune variée souvent très rare (avifaune, odonatofaune et entomofaune).
3. Les aulnaies marécageuses sont toutes localisées sur substrat sablonneux ou en zone de contact sables/alluvions; toutes sans exception ont évolué vers des tourbières à épaisseur variable de 1 à 6m (Benslama et al., 2006). Ces aulnaies sont souvent parcourues par des oueds et/ou alimentées par la nappe dunaire et sont généralement asséchées l’été. Thomas (1975) les a qualifiées d’aulnaies de source.

DISCUSSION

          Le peuplement d’oiseaux nicheurs des 6 aulnaies a été estimé à 44 espèces, toutes les valeurs calculées et présentées tout au long de notre étude prouvent que les aulnaies sont un environnement particulièrement riche du point de vue avifaunistique. La richesse totale identifiée pour ces milieux n’est rien de plus que le reflet de la complexité de la végétation des milieux riverains, qui est fonction de leur stratification verticale et horizontale. Ce résultat est conforme à celui avancé par Benyacoub et al. (2000) dans leur diagnose écologique de l’avifaune d’El-Kala, pour ce qui concerne ce genre de milieu ; même si certaines espèces sont différentes. Les valeurs trouvées sont essentiellement similaires à celles des forêts caducifoliées d’altitude telle que la zeenaie de djebel Ghorra qui se caractérise par une richesse d’environ une trentaine d’espèces. Le nombre d’espèces communes entre les aulnaies étudiées est de 13 espèces soit un taux de 30%. Le taux ascensionné des espèces sédentaires, la présence d’espèces migratrices et la grande diversité taxonomique témoignent de l’abondance et la diversité des ressources alimentaires voire de l’importance de la capacité d’accueil des habitats. La forme et la physionomie de cet habitat forestier caducifolié agissent sur la diversité de l’avifaune donc c’est un milieu favorable à la cohabitation de différentes espèces. Nous avons recensé, des espèces des milieux fermés ou de buissons (Fauvettes, Bouscarle,…), des milieux ouverts (Pipit,Cisticole,…), semi ouvert (Bulbul,…) et des oiseaux d’eau (Héron, Aigrette,….). Ces derniers peuvent être incorporés dans un écosystème forestier sempervirent, parfois dégradé, ou dans un système agricole, comme c’est le cas avec Demnet Errihane. L’Eco-volume E.V.V. nous a permis d’identifier les caractéristiques structurelles de la végétation à chaque point d’écoute. La complexité de ces milieux offre des conditions propices (nourriture, climat, habitat,) qui permettent la stabilité d’un grand nombre d’espèces nicheuses et la disponibilité de niches vacantes permettant l’installation des espèces migratrices. La répartition du peuplement selon la niche trophique montre que les insectivores dominent le peuplement avec un taux de 61.36%, suivi des Granivores et frugivores rassemblés qui occupent un taux de 20.45% alors que les polyphages ne représentent que 11.36%. Les ichtyophages et les carnivores sont représentés par un taux faible de 2.27%. La nature hétérogène du milieu est également à l’origine de l’importante richesse que l’on y observe. La forme et la physionomie de cette végétation influencent directement la diversité de l’avifaune. Celle-ci est pour la plupart composée d’espèces forestières exploitant les troncs, les vieux arbres ou les hautes frondaisons (Grimpereau des jardins, Roitelet triple bandeau, Rouge-gorge familier, Pouillot, Grive musicienne, Pigeon ramier, Troglodyte) (Blondel et al. 1970). Par ailleurs, la présence de certaines espèces de Picidés reflète l’état des aulnaies et leur stade dynamique. Ce groupe d’oiseaux est souvent considéré comme un excellent indicateur biologique. En effet, les pics sont en général spécialisés en ressources forestières, ils sont souvent étroitement liés à certains stades de la dynamique forestière comme les gros arbres et le bois mort (Pavlik 1996, Smith, 1997, Mikusinski et al. 2001). La complexité de la structure de ces biotopes explique la richesse spécifique observée sur le terrain. Selon les résultats de l’Eco-volume végétal les aulnaies de Boumerchen et Souk Rguibet semblent être les plus complexes au niveau structurel de la végétation suivie des aulnaies d’El Mellah, Demnet Errihane, Boulaaroug et Righia. La variation de la richesse totale entre les aulnaies est due aux caractéristiques de l’environnement. Certaines espèces recensées sont inféodées à certaines aulnaies alors que d’autres sont communes à l’ensemble des aulnaies. La richesse totale est plus importante au niveau de la ripisylve de Demnet Errihane avec 36 espèces qui se trouve dans un milieu ouvert. C’est la ripisylve qui abrite le plus d’espèces rares : la Grive musicienne qui est censée être un hivernant stricte et dont la présence est particulièrement tardive, la Pipit rousseline, le Pouillot fitis, la Pie grièche, et la Tourterelle turque, observée pour la première fois en Algérie par Benyacoub (2000), qui est plutôt inféodée aux milieux urbains ou périurbains. Cet écart peut être attribué d’une part au fait que l’ouverture d’un milieu provoque un apport d’espèces liées aux milieux semi-ouverts ou buissonnants, sans pour autant marquer une perte en espèces de strates arborescentes. Frochot (1983,1987), distingue un effet de lisière direct quand un oiseau utilise deux milieux pour des activités différentes, par exemple l’un pour se nourrir (les clairières) et l’autre pour y nicher (La forêt). La richesse totale de Righia est de 29 espèces alors que celle d’El Mellah est de 27 espèces. Ces deux aulnaies sont situées sur le cordon dunaire où la température au printemps et en été est importante par rapport aux autres aulnaies. La richesse au niveau de Souk Rguibet est de 30 espèces dont une espèce rare (le Geai des chênes), celle de Boumerchen renferme 28 espèces avec une seule espèce rare (le Pic de levaillant). Ces deux aulnaies ne sont pas isolées, au contraire, elles sont proches des subéraies, ce qui pourrait expliquer leurs richesses considérables. Enfin, l’aulnaie de Boulaaroug possède la richesse la plus faible avec 21 espèces dont une rare, le Coucou gris. Rappelons que ce milieu est très dégradé dans sa partie situé en amont.

CONCLUSION ET PERSPECTIVES

    L’étude de l’avifaune des aulnaies dans le parc national d’El-Kala nous a permis d’évaluer l’importance de ces biotopes pour un compartiment important de la faune de cette région. Les ripisylves jouent un rôle de connectivité à une échelle régionale. Les oiseaux sont en effet très utiles pour la compréhension globale de l’environnement, car ils intègrent une grande quantité de données écologiques, et leur capacité à réagir presque immédiatement aux changements d’habitat en fait un bon indicateur. Il est probable que nombre d’espèces n’ait pu être contacté du fait d’une pression d’échantillonnage insuffisante. En fait celle-ci a été adaptée à la superficie relativement faible des sites échantillonnés. Les aulnaies d’El Kala jouent un rôle très important pour les oiseaux nicheurs, il est nécessaire de les conserver car ces milieux représentent moins de 1% de la superficie du PNEK (Benyacoub et al. 2000) hébergent une avifaune d’un grand intérêt écologique. On y observe également de nombreuses espèces de grande taille telles que les Columbidés, les oiseaux d’eau et les Rapaces. La théorie de l’équilibre dynamique de Mac Arthur et Wilson (1967) et l’excellent pouvoir prédictif de la variable surface pour la détermination des richesses spécifiques constituent un outil scientifique de la solution de certains problèmes de gestion de l’environnement. La fragmentation d’un habitat peut être définie comme un processus durant lequel un vaste habitat continu est transformé, au cours du temps, en plusieurs petits fragments d’habitats, isolés les uns des autres par une matrice différente de l’originale (Wilcove et al. 1986). Les conséquences écologiques de la fragmentation des habitats sur la biodiversité ont fait l’objet de très nombreuses études au cours de ces deux dernières décennies et notamment à partir du modèle biologique des oiseaux (Haila 2002, McGarigal et Cushman 2002). Dans un environnement morcelé, chaque foret chaque bois chaque bosquet peut être comparé à une ile. L’équilibre des milieux dépend de la superficie de l’île et de son isolement; le nombre d’espèces vivant dans une forêt sera d’autant plus important que la superficie est vaste et que l’isolement est faible. Comme le souligne (Fahrig, 2003), les résultats des nombreuses études concernant l’impact de la fragmentation sur la biodiversité sont difficiles à interpréter car la plupart de celles-ci ne tiennent pas compte de la nature de la matrice. De plus, elles ne font pas de différence entre les effets liés à la perte d’habitat et les effets liés à la fragmentation en tant que telle, c’est à dire liés à la configuration spatiale des habitats. Evaluer la part respective des effets liés à la diminution de surface des d’habitats et de ceux liés à leur configuration spatiale (isolement des taches et longueur des lisières notamment) à l’échelle du paysage pour expliquer l’abondance et la distribution des oiseaux est un champ d’investigation encore trop peu exploré en dépit de l’intérêt que représente de telles études en matière de conservation. Elles nécessitent de tenir compte de l’hétérogénéité de la matrice et de la perception qu’en ont les différentes espèces d’oiseaux, car celles-ci influence grandement leurs capacités de déplacements (With et al. 1997, Bender et Fahrig 2005). En effet, Benyacoub et al. (1998) ont proposé que « Le maintien des ripisylves passe obligatoirement par l’adoption d’une réglementation de l’exploitation de l’eau dans les oueds, à travers l’application de normes d’irrigation ; l’interdiction de la coupe de bois notamment d’Aulne, de Frêne, de Saule, d’Orme ou encore de Laurier sauce.

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Table des matières

INTRODUCTION
SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I. Importance des aulnaies du nord-est
II. Typologie des aulnaies de la Numidie orientale 
II.1. Formation Hygrophile à Aulne Glutineux
II.1.1. La Strate Arborescente
II.1.2. La Strate Arbustive
II.1.3. La Strate Herbacée
II.1.4. Les Pelouses Hygrophiles et Prairies Marécageuses
III. Etat et causes de Dégradation des Aulnaies de la Numidie Algérienne 
MATERIELS ET METHODES
I. Description de la zone d’étude 
I.1. Localisation des zones humides de la région d’El Tarf
I.2. Milieu physique
I.2.1.Géologie
I. 2.1.1. Le secondaire
I. 2.1.2 Le tertiaire
I. 2.1.3 Le quaternaire
I. 2.2. Le relief
I. 2.2.1. Cordon dunaire littoral
I. 2.2.2 Les plaines sublittorales
I. 2.2.3 Les montagnes telliennes
I.2.3. Hydrographie
I.2.4.Climatologie
I. 2.4.1.Températures
I.2.4.2 Pluviométrie
I.2.4.3 Humidité
I. 2.4.4 Les vents
I.2.4.5. Caractères bioclimatiques
I.2.4.5.1. Etage sub-humide
I.2.4.5.2. L’étage humide
I. 2.4.6 Synthèse climatique
II. Les richesses naturelles de la région d’el tarf 
II.1. La Faune
II.2. La Flore
III.. Sites d’étude
III.1. Rive Est Mellah
III.2. Souk Rguibet
III.3. Oued Boulaaroug
III.4. Demnet Errihane
III.5. Boumerchen
III.6. Righia
IV. Distribution géographique et aire naturelle de l’aulne 
V. Les oiseaux, choix de notre modèle biologique
VI. Méthodologie 
VI.1. La méthode des indices ponctuels d’abondance (I .P.A)
VI.2. Avantages et inconvénients
VI.3. Calendrier d’échantillonnage
VI.4. Fiche d’échantillonnage
VI.5. Codification des contacts
VII. Analyse des données 
VII.1. Paramètres mésologiques
VII.2. Composition et structure des peuplements
1. La richesse totale « S »
2. La richesse moyenne « s »
3. Indice d’homogénéité
4. La densité « D »
5. Les fréquences d’occurences
6. La diversité « H’ » et l’équitabilité « E »
7. Amplitude d’habitat
8. Le barycentre écologique (G)
VII. Traitement statistique des données 
RESULTATS ET INTERPRETATION
I. Caractérisation mésologique des Aulnaies 
II. Caractéristiques du peuplement à l’échelle de la région 
III. Caractéristiques du peuplement selon le biotope 
III.1. Densités spécifiques par habitat
III.2. Analyse de la structure des peuplements
III.2.1. Richesse spécifique
III.2.2. Richesse moyenne
III.2.3. Homogénéité des peuplements
III.2.4. Densités spécifiques
III.2.5. Fréquences d’occurrences
III.2.6. Diversité et équitabilité des peuplements
III.2.7. L’Amplitude d’habitat (AH) et barycentre écologique (g)
IV. Analyse multivariée (ACP) des peuplements 
IV.1. Aulnaie Rive Est Mellah
IV.2. Aulnaie Oued Boulaaroug
IV.3. Aulnaie Souk Rguibet
IV.4.Aulnaie de Demnet Errihane
IV.5. Aulnaie de Boumerchen
IV.6. Aulnaie de Righia
V. Effet du morcellement sur la structure des peuplements 
V.1.Aulnaie Rive Est Mellah
V.2.Aulnaie Oued Boulaaroug
V.3. Aulnaie Souk Rguibet
V.4. Aulnaie Demnet Errihane
V.5. Aulnaie Boumerchen
V.6. Aulnaie de Righia
DISCUSSION
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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