Implantation d’une entreprise française en Chine

Définition des termes
I. Notion de culture et culture d’entreprise
II. Environnement socioculturel chinois
1. La notion de face
2. Le Guanxi : l’art du réseau
3. Le confucianisme et le taoïsme
4. Sun Zi : l’art de la guerre
5. Histoire de la Chine, diversité démographique, une langue/des dialectes, et écriture
6. Mondialisation en Chine : la culture chinoise est-elle menacée ?
II) Culture et Culture d’entreprise
A) Conséquences
B) …et limites managériales
III) L’implantation d’une entreprise française en Chine
• Exemple d’une réussite : des PME françaises en Chine
• Les voies du succès d’un PME/PMI en Chine
IV) Conclusion

Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie implantation d’une entreprise française

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La face, un défaut des Chinois ?

La notion de face représente un des traits les plus caractéristiques des Chinois. Les auteurs occidentaux, quand ils abordent les comportements en Chine, ne manquent pas de la mentionner et se font souvent un plaisir de raconter des anecdotes plus ou moins caricaturales.
Mais il peut être délicat pour un Chinois d’en parler et de la révéler aux étrangers, car pour certains, elle renvoie à un des défauts des Chinois. En effet, un dictionnaire chinois la définit comme « une vanité superficielle. » En Chine, on a pour principe « de ne pas étaler les scandales de famille en public » comme l’exprime un proverbe chinois dont l’équivalent français est : « il faut laver son linge sale en famille ». Nous voici entrés d’emblée dans un jeu de face.
Mais est-ce que la face est vraiment un défaut des Chinois ? Selon le sociologue  américain E. Goffman, c’est tout le contraire : véritable ciment de l’identité d’un individu chinois, c’est « la valeur sociale positive qu’une personne revendique effectivement au travers de la ligne d’action que les autres supposent qu’elle a adoptée au cours d’un contact particulier » (1974 : 9). Et c’est pour cela qu’émettre un jugement de valeur sur la face chinoise, pilier social en Chine, reviendrait à nous interroger sur notre propre culture. Toute culture est bonne en soi dans la mesure où elle fait fonctionner une société, assure un certain ordre social et organise les comportements des membres d’un groupe donné. C’est la face qui régulent les intéractions sociales.

Le Guanxi : l’art du réseau

L’objet de cette étude est de donner un coup de projecteur sur un élément particulier de la société chinoise auquel toute personne allant en Chine se trouve, un jour ou l’autre, confrontée.
Pour un occidental arrivant en Chine, les codes régissant les rapports sociaux ressemblent à une forêt touffue. Il est alors aisé de mettre sur le compte du fossé, jugé infranchissable, entre nos deux cultures les mésententes qui ne tardent pas à apparaitre. Tout le monde a déjà une image de ce que sont les guanxi. La réaction immédiate qui en découle est composée à la fois de dégoût pour la corruption, d’une fascination pour ce système efficace et d’une incompréhension des règles qui le régissent. On est tenté de déduire dès la première approche que les guanxi alimentent la corruption et sont donc une pratique répréhensible. A ce titre, elles n’auraient rien de très chinois et ne serait qu’un phénomène mondialement connu, dans les pays en voie de développement surtout avec quelques caractéristiques chinoises. La corruption, disons plutôt qu’ils la facilitent mais sans s’y limiter. Selon la tendance qui consiste à chercher des situations analogues dans un monde plus proche du nôtre, l’Italie présente des points de comparaison. Les relations de clientélisme telles qu’elles existent en Italie sont à l’origine d’un système parallèle qui est une véritable institution et qui contribue largement au développement de l’économie. Cette forme de tissu social est, tout comme en Chine, traditionnelle. Des phénomènes similaires sont donc visibles en Chine et en Italie ; pourtant la comparaison atteint rapidement ses limites et les guanxi s’avèrent ne pas être un simple mode de fonctionnement clientéliste. Elles sont un instrument modelant la société chinoise.

Mondialisation en Chine : la culture chinoise est-elle menacée ?

A l’heure où ces lignes sont écrites des dizaines et dizaines de buildings sont en construction à Shanghaï, des milliers de tonnes sont entreposées par containers entiers dans des docks a Guangzhou où Hong Kong, et c’est tout un pays qui se développe à une vitesse vertigineuse, donnant le tournis aux gardiens des traditions, des anciens couloirs de la Cité autrefois Interdite, où l’on planifie bientôt d’y mettre un Starbucks, en passant par les provinces les plus reculées où Mac Donalds commence à détroner la fameuse gastronomie Chinoise. Alors, la Chine va-t-elle succomber aux sirènes de l’Occident et passer de l’autre coté de la barrière, ou bien restera-t-elle toujours cet alternative à la mondialisation, qui s’entend dans cette partie, culturelle ?
En effet, la Chine a connu, depuis son ouverture politique en 1978, des bouleversements dans tous les domaines. L’Occident, qui auparavant n’était que diffusé par voie de propragande, s’affiche haut en couleurs dans les publicités dans la rue, le métro, en produits de consommation, films, informations, et autres domaines du grand public.Qu’il s’agisse de la restauration rapide(KFC, Pizza hut, Mac Donald,et…), des boissons (le Coca Cola et autres soda _froid_remplaçant le thé_chaud_ chez les jeunes, la consommation de produits laitiers), les feuilletons japonais, coréens et américains à la télévision, mais aussi les ventes d’ordinateurs, matériel informatique, de la croissance du nombre de visiteurs des cybercafés et de leurs ouvertures dans diverses villes ( et donc dans ces deux cas d’un accès domestique, personnel à internet, à la culture de l’extérieur), de la généralisation de l’anglais dans les établissements secondaires, de la libéralisation des moeurs enfin(couples dans la rue, chinois qui sortent/se marient avec des étrangers), arrive-t-on a des changements durables qui vont faire chuter les piliers de la culture chinoise, pour ne la rendre à la fin que folklorique ?

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