Impact du traitement contre la cicadelle de la flavescence dorée sur les faunes globale et auxiliaire des vignobles

La Flavescence Dorée, une maladie redoutable et redoutée

La propagation de la flavescence dorée en France

La flavescence dorée est une maladie originaire d’Europe dont les plantes hôtes originelles sont des plantes sauvages telles que l’aulne et la clématite (MOLLIER et al., 2013 ; STEF, 2017). En 1949, les premiers cas de flavescence dorée sont diagnostiqués sur vigne suite à l’introduction du vecteur, S. titatus, provenant du Nord des Etats-Unis (FREDON PACA). A partir des années 1980, la maladie commence à se propager de manière épidémique. Initialement observée dans la Sud-Ouest de la France, la flavescence dorée atteint rapidement les vignobles du Languedoc Roussillon, de la Provence et de la Vallée du Rhône. Elle finit par toucher le Bordelais dans les année 1990 et la Bourgogne dans les années 2010. Aujourd’hui, des cas de flavescence dorée sont diagnostiqués dans la quasi-totalité des régions viticoles françaises (ANGELIDIS, 2015) . La propagation de la flavescence dorée est relativement difficile à anticiper, puisqu’elle dépend à la fois de la plante hôte, du phytoplasme responsable de la maladie, de son vecteur mais aussi de différents facteurs environnementaux. Par exemple, le climat peut jouer sur le cycle de vie de S. titanus ; des cépages comme le Chardonnay peuvent exprimer fortement les symptômes alors que d’autres comme la Syrah très peu (JERMINI et al., 2014 ; MALEMBIC-MAHER et al., 2013).

Les symptômes et l’identification de la flavescence dorée

Les premiers symptômes de la flavescence dorée peuvent être observés sur vigne à partir de mi Mai ou début Juin. Par la suite, les symptômes deviennent nombreux et vont permettre de diagnostiquer la maladie (IFV Sud-Ouest ; CASSAGNE, 2012) :
Une croissance ralentie , Un enroulement des feuilles vers la face inférieure et un jaunissement des nervures, Un jaunissement des feuilles pour les cépages blancs et un rougissement pour les noirs, Une raccourcissement des entre-nœuds et un non aoûtement des sarments, Un dessèchement des inflorescences et une destruction des grappes, Une mort prématurée de la souche.
Il est important de rester prudent lors du diagnostic de la flavescence dorée car ses symptômes sont assez proches de ceux de la maladie du bois noir (GROUPE DE TRAVAIL RÉGIONAL SUR LA FLAVESCENCE DORÉE, 2006). Afin d’éviter tout mauvais diagnostic, il existe des méthodes d’analyse en laboratoire qui se basent sur des analyses ADN. En effet, le phytoplasme responsable de la maladie de la flavescence dorée possède des séquences spécifiques sur l’ARN ribosomique 16S qui peuvent être mises en évidence par une méthode d’amplification génétique in vitro (MARGARIA et al., 2007).

Les mesures de lutte contre la flavescence dorée

La flavescence dorée est une maladie particulièrement redoutée dont la lutte est collective, obligatoire et très réglementée, afin d’être la plus efficace possible. Les différentes réglementations peuvent porter sur la plantation du matériel végétal, sur la maîtrise du vecteur de la maladie ou sur la prospection et l’arrachage des souches de vigne contaminées (LEGIFRANCE, 2013 ; DICO DU VIN, 2016).
Le phytoplasme responsable de la flavescence dorée peut se transmettre via le matériel végétal. Le bouturage ou le greffage à partir de vignes atteintes de la maladie donne de nouvelles souches malades. Il est donc légitime de supposer que les départs de nouveaux foyers épidémiques puissent être liés à l’implantation de jeunes ceps contaminés. Afin de lutter contre ce mode de propagation, de plus en plus de pépiniéristes traitent à l’eau chaude les plants afin d’en éliminer les phytoplasmes responsables de la maladie (CAUDWELL, 1989).
Au vignoble, il n’est pas possible de s’attaquer directement au phytoplasme à l’origine de la flavescence dorée. Dès lors, c’est S. titanus qui est la cible des traitements. Différents insecticides existent, ils peuvent viser les larves et/ou les adultes, peuvent être d’origine naturelle ou non et le nombre de traitements varie entre zéro et trois selon le produit utilisé et la localisation de la parcelle (GDON des Bordeaux, 2016) .
L’assainissement du vignoble débute par de la prospection, c’est-à-dire l’estimation des populations de cicadelles et la recherche de souches exprimant les symptômes de la flavescence dorée (CHUCHE et al, 2015). Ces campagnes de prospections sont organisées de manière optimale par les FREDON et les GDON (RODOLPHE, 2014). Une fois une souche diagnostiquée comme atteinte de la maladie de la flavescence dorée, aucun traitement n’existe, l’arrachage de la souche reste la seule solution. Enfin, à partir d’une contamination de plus de 20% des souches, la parcelle doit être entièrement arrachée (FREDON LR).

Candidatus Phytoplasma vitis, l’agent responsable de la maladie

Un agent pathogène pour la vigne

La flavescence dorée est causée par un phytoplasme, Candidatus Phytoplasma vitis, qui est par définition une bactérie sans paroi cellulaire (FREDON LR). Il s’agit aussi d’un parasite intracellulaire obligatoire. Ainsi les phytoplasmes de la flavescence dorée ne survivent qu’au sein d’un organisme hôte, soit l’insecte vecteur, le plus souvent S. titanus, soit la plante hôte, ici la souche de vigne (MOLLIER et al., 2013).
La multiplication du phytoplasme au sein de la plante hôte est rapide. Elle a lieu dans le phloème de la vigne. Une forte concentration de phytoplasmes est, alors, présente dans la sève élaborée des souches contaminées, ce qui est à l’origine des symptômes de la maladie (CHRISTENSEN et al., 2005).

Un mode de transmission efficace

La cicadelle S. titanus acquiert le phytoplasme de la flavescence dorée lors de son alimentation par piqûre dans les vaisseaux conducteurs d’une souche de vigne déjà atteinte par la maladie (MOLLIER et al., 2013).
Le phytoplasme pénètre dans l’organisme de l’insecte et s’y multiplie. Il quitte le tube digestif de l’insecte, puis traverse les différentes membranes cellulaires jusqu’à atteindre les glandes salivaires.
Ceci prend environ un mois : c’est le temps de latence. A la fin de ce dernier, la cicadelle est dite infectieuse, elle est alors capable de transmettre le phytoplasme de la flavescence dorée (CHUCHE et al., 2014 ; SYNGENTA, 2014). Dès que l’insecte piqueur-suceur effectuera une piqûre dans le phloème d’une souche pour se nourrir, celle-ci sera immédiatement contaminée par le phytoplasme avec comme intermédiaire la salive de l’insecte (MOLLIER et al.,2013).
En revanche, le phytoplasme de la flavescence dorée n’est pas transmis à la descendance de la cicadelle contaminée, car ce dernier n’atteint pas les organes sexuels de l’insecte (BRESSAN et al., 2005). Ainsi, chaque année, la nouvelle génération de S. titanus est saine (CHUCHE et al., 2014).

Une interaction particulière avec la plante hôte

Après avoir pénétré dans le phloème de la plante, le phytoplasme migre vers le système racinaire de la vigne. Il s’y multiplie durant tout l’hiver. Au printemps, le phytoplasme remonte dans la plante entière à travers le phloème. Les premiers symptômes de la maladie apparaissent. Le phytoplasme persistera et se multipliera dans le phloème indéfiniment. Une souche contaminée le restera donc jusqu’à sa mort (MOLLIER et al.,2013).

Scaphoideus titanus, le vecteur du phytoplasme

La reconnaissance de S. titanus

S. titanus est un hémiptère du sous-ordre des Cicadomorpha, de la super-famille des Membracoidae et de la famille des Cicadellidae (INPN, 1992).
Selon la période d’observation, S. titanus peut se trouver sous des formes très différentes, allant de l’œuf à l’insecte adulte en passant par cinq stades larvaires .
Les œufs de S. titanus sont allongés et aplatis. Ils possèdent un diamètre d’environ 1mm et une couleur dite « bistre clair » (IFV Sud-Ouest) .
Les larves peuvent être observées dès le mois de Mai sur la face inférieure des feuilles de vigne où elles sont relativement peu mobiles. Selon leur stade, elles font entre 1.5 mm et 5.0 mm de long. L’ensemble des larves est caractérisé par deux points noirs à l’extrémité de l’abdomen. Leur couleur générale évolue avec le temps du blanc hyalin au jaune avec une pigmentation brune sur l’abdomen et sur le thorax (CHUCHE et al., 2014 ; FREDON CORSE).
La cicadelle, S. titanus, responsable de la flavescence dorée est facilement reconnaissable au stade adulte. En effet, les adultes sont visibles à l’œil nu, leur longueur est d’environ 5-7 mm et leur corps, de forme allongée voir fuselé, est tacheté de marbrures ocres et brunes (IFV Sud-Ouest).

Le cycle de vie de S. titanus

S. titanus est une espèce monovolitine, c’est-à-dire qu’elle n’effectue qu’une seule génération par an (CHUCHE et al., 2014). La ponte des œufs se fait au niveau du vieux bois de la vigne à la fin de l’été.
Les œufs restent alors en diapause sous l’écorce durant tout l’hiver puis éclosent vers la fin du printemps. Se succèdent alors cinq stades nymphaux d’environ 10 jours. S. titanus obtient finalement sa forme adulte entre mi-Juillet et début Août, il la gardera environ un mois avant de mourir (MOLLIER et al., 2013).
Différents facteurs environnementaux peuvent décaler ou modifier le cycle de vie de S. titanus, c’est notamment le cas de la température (PAPURA et al., 2013). Ainsi, certains changements de stade peuvent être à des dates assez variables selon les années (CHUCHE et al., 2014).

Les interactions entre S. titanus et la vigne

S. titanus est un insecte originaire d’Amérique du Nord qui a été introduit en Europe au début du 20ème siècle suite à l’importation massive de porte-greffes. Cet insecte est inféodé à la vigne et plus précisément au genre Vitis, c’est-à-dire qu’il n’est capable de réaliser son cycle biologique complet que sur ce genre de la famille des Vitaceae (CHUCHE et al., 2014).
S. titanus est un insecte piqueur-suceur et comme beaucoup d’entre eux, il est particulièrement attiré par la couleur jaune. Or le jaunissement des feuilles est un des symptômes de la flavescence dorée chez les cépages blancs. La cicadelle est alors préférentiellement attirée par les souches de vignes contaminées, ce qui crée une sorte de « cercle vicieux » qui pourrait jouer un rôle important dans la propagation de la flavescence dorée (MOLLIER et al., 2013).

Une problématique au cœur de l’agriculture biologique

Une lutte pour laquelle la marche de manœuvre semble réduite

La flavescence dorée est une maladie de quarantaine dans l’ensemble de l’Union Européenne, dès lors, la lutte contre le vecteur de la maladie est obligatoire dans les zones contaminées. Cette lutte est menée majoritairement grâce à l’utilisation d’insecticides de la famille des organophosphorés, des pyréthrinoïdes et des néonicotinoïdes (SYGENTA FRANCE, 2014). Or, en agriculture biologique un seul insecticide est homologué, le Pyrévert® à base de pyrèthre naturel qui a le même mode d’action que celui des Pyréthrinoïdes. Plusieurs techniques alternatives sont actuellement en cours d’expérimentation mais aucune n’est homologuée dans la lutte contre la cicadelle de la flavescence dorée (CONSTANT, 2010). De plus, aucun auxiliaire efficace contre S. titanus n’a pu être mis en évidence. La marge de manœuvre en agriculture biologique est donc très restreinte et se limite à l’utilisation du Pyrévert®, sans méthode de lutte alternative possible (CHAMBRE D’AGRICULTURE DES PYRENEES-ORIENTALES, 2014).

Une maladie favorisée par la présence d’un couvert végétal

La gestion des adventices en viticulture biologique peut se faire selon deux méthodes : le travail du sol ou l’entretien d’un couvert végétal. Or la présence d’un enherbement au sein du vignoble peut favoriser le développement de S. titanus (TRIVELLONE et al., 2013). En effet, en cas d’éclosion des œufs de manière décalée avec le débourrement de la vigne, les stades nymphaux de S. titatus ne peuvent pas bénéficier de la qualité nutritive des jeunes feuilles de vigne riches en azote, ils migrent alors vers le couvert végétal pouvant répondre à leurs besoins alimentaires. Ils retourneront sur vigne quand les conditions seront plus favorables (CHUCHE et al., 2009). Les adventices telles que Trifolium repens ou Ranunculus repens seraient particulièrement attractives pour les larves de S. titanus (ANDOW, 1984).

Qu’est-ce que le Pyrévert® ?

Le Pyrévert®, un produit à base de pyrèthre naturel

Le Pyrèthre naturel est un insecticide obtenu à partir de plantes de la famille des Astéracée, les Chrysanthèmes (Chrysanthenum spp. ou Pyrethrum spp. ou Tanacetum spp.). Après séchage des fleurs, il est possible d’extraire différentes molécules d’intérêt. Ces molécules sont au nombre de six esters : les pyréthrines I et II, les cinérines I et II et enfin les jasmolines I et II (REGNAULT-ROGER, 2016). Leur proportion n’est pas toujours identique dans le produit obtenu mais varie plutôt selon les plantes et la méthode d’extraction utilisée. En parallèle, même si chacune de ces molécules possède un pouvoir neurotoxique, leur potentiel insecticide est différent. Les pyréthrines restent les molécules majoritairement présentes dans le pyrèthre naturel ainsi que les plus toxiques (CONSTANT, 2009).

Le Pyrévert®, un mélange entre le pyrèthre naturel et des adjuvants

Le Pyrévert® contient 18.61 g/L de molécules actives mises en solution dans une huile végétale qui joue le rôle d’éluant (SAMABIOL, 2006). Un solvant ainsi qu’un émulsifiant d’origine naturelle entrent, eux-aussi, dans la composition de l’insecticide (AFSSA, 2009).
De nombreux produits à base de pyrèthre naturel contiennent du Butoxyde de pipéronyle, qui a un rôle de synergiste antioxydant. Cependant, le BPO est au cœur de nombreuses controverses puisqu’il serait toxique par inhalation, contact ou ingestion. Ce dernier est, même, suspecté d’être cancérigène pour l’Homme et extrêmement toxique pour la faune aquatique (GAINES, 1969). C’est pourquoi, Valagro insiste sur le fait que le Pyrévert® n’en contient pas (VALAGRO, 2014).
Finalement et de manière concrète le Pyrévert® se présente sous forme d’un produit liquide de couleur ambrée possédant une odeur caractéristique. Son pH est de 5.71 et sa densité de 0.9303g/L. Enfin, les tests effectués par la firme Samabiol ont prouvé une durée de conservation avant ouverture de six à douze mois pour une température de stockage d’environ 20°C (SAMABIOL, 2006) .

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Table des matières

INTRODUCTION
A – ETAT DE L’ART
I. La maîtrise des populations de Scaphoideus titanus : Un combat inévitable pour éradiquer la flavescence dorée
1 – La Flavescence Dorée, une maladie redoutable et redoutée
2 – Candidatus Phytoplasma vitis, l’agent responsable de la maladie
3 – Scaphoideus titanus, le vecteur du phytoplasme
4 – Une problématique au cœur de l’agriculture biologique
II. Le Pyrévert® : Le seul produit homologué en agriculture biologique pour lutter contre la cicadelle de la flavescence dorée 
1 – Qu’est-ce que le Pyrévert® ?
2 – Comment agit le Pyrévert® ?
3 – Quelles sont les conditions d’utilisation du Pyrévert® ?
III. L’impact du Pyrévert® sur la faune auxiliaire des vignobles : Une problématique réelle mais très peu étudiée
1 – La faune auxiliaire des vignobles biologiques languedociens
2 – Une faune possiblement en danger
3 – Une faune à laquelle les viticulteurs sont attentifs
B – MATÉRIELS ET MÉTHODES 
I. Choix des deux parcelles d’étude 
1 – Parcelle n°1, Domaine « Enclos de la croix »
2 – Parcelle n°2, Domaine « Sainte Marie des Pins »
II. Mise en place du dispositif expérimental
1 – Constitution des unités expérimentales
2 – Zones de prélèvements au sein des unités expérimentales
III. Détermination des dates de traitements et de prélèvements
1 – Dates théoriques du traitement au Pyrévert®
2 – Exigences climatiques des prélèvements
3 – Dates de traitements et de prélèvements retenues pour 2017
IV. Réalisation des prélèvements et conservation 
1 – Prélèvements des acariens et des cochenilles
2 – Prélèvements des insectes présents dans la végétation de la vigne
3 – Prélèvements des insectes présents dans les bandes enherbées
V. Identification des acariens et insectes
2 – Identification des acariens
3 – Identification des insectes
VI. Exploitation des résultats
1 – Etude de la faune globale ou de la faune auxiliaire
2 – Analyses statistiques des données sur logiciel R
VII. Efficacité du Pyrévert®, qualité de pulvérisation et pertes au sol
1 – Vérification de l’efficacité du Pyrévert® sur S. titanus
2 – Détermination de la qualité de pulvérisation
3 – Estimation des pertes de Pyrévert® au sol
C – RÉSULTATS 
I. Caractéristiques des traitements effectués 
1 – Efficacité du Pyrévert® sur les cicadelles de la flavescence dorée
2 – Qualité de pulvérisation du Pyrévert®
3 – Pertes au sol du Pyrévert®
II. Impact du Pyrévert® sur la faune globale d’après les prélèvements réalisés au domaine «Enclos de la Croix » 
1 – Effet du Pyrévert® sur les populations d’acariens
2 – Effet du Pyrévert® sur les populations d’insectes présents dans la végétation de la vigne ou dans le couvert végétal de la parcelle
III. Impact du Pyrévert® sur la faune auxiliaire d’après les prélèvements réalisés au domaine «Sainte Marie des Pins»
1 – Une faune auxiliaire importante et diversifiée
2 – Effet du Pyrévert® sur les populations d’acariens prédateurs
3 – Effet du Pyrévert® sur les populations d’insectes auxiliaires présents dans la végétation de la vigne ou dans le couvert végétal de la parcelle
D – DISCUSSION ET PERSPECTIVES
I. Des résultats probants mais soulevant de nouvelles problématiques 
1 – Comparaison entre les faunes globales initiales des deux parcelles d’étude
2 – Adéquation entre les résultats obtenus et ceux des études déjà réalisées sur les acariens
3 – Manque d’efficacité du Pyrévert sur S. titanus pouvant remettre en cause d’autres
résultats de l‘expérimentation
4 – Problème de qualité de pulvérisation du Pyrévert® influençant l’efficacité du produit sur S. titanus
II. Des points faibles et des imprécisions dans l’expérimentation
1 – Travail sur terrain
2 – Travail en laboratoire
III. Des perspectives de poursuite pour les années à venir 
1 – Impact de différentes doses de Pyrévert® au sol
2 – Etude de l’impact du Pyrévert® sur la faune en fin de campagne
3 – Recherche d’autres vecteurs de la flavescence dorée comme O. ishidae
CONCLUSION 

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