Hyperplasie sébacée et adénome sébacé

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Vascularisation veineuse 34

Le retour veineux est assuré par 3 veines : la veine ophtalmique supérieure, la veine inférieure et la veine moyenne. Elles vont drainer le sang vers le sinus caverneux.
Il y a aussi un drainage péri-orbitaire assuré par la veine angulaire

Drainage lymphatique11

Le drainage lymphatique concerne les paupières, l’appareil lacrymal, la conjonctive.
Un ensemble de collecteurs va gagner les nœuds lymphatiques parotidiens et sous-mandibulaires, par deux voies :
– une voie externe qui draine la totalité de la paupière supérieure et la moitié latérale de la paupière inférieure, la conjonctive correspondante et la glande lacrymale ; cette voie externe se termine dans les nœuds parotidiens et, en particulier, dans le nœud pré-auriculaire ;
– une voie interne drainant la moitié médiale de la paupière inférieure et la région canthale médiale, se dirigeant vers les nœuds sous-mandibulaires.

Histologique

Globe oculaire

La sclérotique

La sclérotique est constituée d’un tissu conjonctif fibreux dense, au sein d’une substance fondamentale composée essentiellement de fibrille de collagène et de fibre élastique.
Les éléments cellulaires (fibrocytes et cellules pigmentaires) sont peu nombreux.

La cornée

La cornée est composée de 5 couches de la superficie à la profondeur :
– L’épithélium cornéen pavimenteux stratifié ;
– La membrane de Bowman, acellulaire ;
– Le stroma qui constitue 90% de l’épaisseur totale de la cornée, composé essentiellement de lame de collagène et de kératocyte ;
– La membrane de Descemet, résistante, amorphe et élastique ;
– L’endothélium composé d’une couche unicellulaire.

L’uvée

Elle est divisée en 3 zones successives qui sont :
– La choroïde qui présente 3 couches : le stroma choroïdien, la couche chorio-capillaire et la membrane de Bruch ;
– Le corps ciliaire, le muscle ciliaire est constitué de cellules musculaires lisses ;
– L’iris composé de cellules pigmentées et de cellules musculaires.

Le cristallin

Il présente :
– Une capsule : lame basale épaisse qui entoure le cristallin ;
– Un épithélium, situé uniquement à la face antérieure du cristallin ;
– Des fibres cristalliniennes, qui constituent l’essentiel des masses cristalliniennes.

La rétine

Elle présente 10 couches qui sont de l’extérieur vers l’intérieur :
– L’épithélium pigmentaire ;
– La couche des photorécepteurs (cônes et bâtonnet) ;
– La membrane limitante externe ;
– La couche nucléaire externe ;
– La couche pléxiforme externe ;
– La couche nucléaire interne ;
– La couche pléxiforme interne ;
– La couche des cellules ganglionnaires ;
– La couche des fibres optiques ;
– La membrane limitante interne.

Annexes de l’œil

Paupières3

Chaque paupière est constituée d’avant en arrière par :
– La peau palpébrale, épithélium malpighien kératinisé, contient les glandes sudoripares de Moll et les glandes sébacées de Ziess ;
– Tissus cellulaires sous-cutanés lâches
– Muscle orbiculaire
– Plan fibro élastique (tarse, tendon cantaux, septum orbitaire) ;
– Plan musculaire lisse ;
– Conjonctive tarsale : épithélium cylindrique stratifié qui se poursuit par un épithélium pavimenteux au niveau du limbe.

Système lacrymal 

Au niveau des voies lacrymales, l’histologie diffère en fonction de la portion considérée. Ainsi on retrouve :
– Au niveau des points lacrymaux et des canalicules, un épithélium squameux stratifie non kératinisé.
– Au niveau du canal d’union, apparait une véritable transition avec la muqueuse du sac. L’épithélium devient de type cylindrique, sans microvillosités ni cils.
– Au niveau du sac lacrymal, un épithélium cylindrique stratifié non kératinisé.
– Le conduit lacrymonasal qui est bordé par un épithélium pseudo-stratifié cylindrique.
La glande lacrymale est une glande exocrine tubulo-acineuse avec canal excréteur, histologiquement elle est formée d’acini regroupés en lobules formant eux-mêmes des lobes.
Autour des acini, on trouve un stroma conjonctif riche en fibres elastiques et en lymphocytes.

Muscles oculomoteurs

Les muscles oculomoteurs sont des muscles striés qui diffèrent toutefois des muscles striés squelettiques sur de nombreux points : une organisation concentrique des fibres musculaires au sein du muscle, une taille différente de ces fibres qui présentent de nombreux sous-types, une innervation plus importante.
Les fibres musculaires oculomotrices sont intermédiaires entre les fibres du muscle cardiaque et celles des muscles squelettiques.

Etude clinique

Tumeur de la surface oculaire

Il s’agit de l’ensemble des tumeurs touchant la surface oculaire dont toutes les composantes peuvent être impliquées
Ainsi le point de départ peut être épithélial le plus souvent, ou plus rarement stromal, mélanocytaire, vasculaire ou lymphoïde.

Tumeur épithéliale

Tumeur épithéliale bénigne

Papillome

Le papillome est le plus souvent d’origine virale, la relation causale avec la présence d’un papilloma virus (HPV) a été démontrée dans 5 à 45% des cas. Il s’agit le plus souvent d’un HPV à faible risque cancérigène.

Caractéristiques cliniques

Il est localisé le plus souvent au niveau de la caroncule, plus rarement à la conjonctive bulbaire. En règle unique, visible sous forme d’une excroissance pédiculée à base sessile, rose pâle parfois pigmentée chez le mélanoderme, d’aspect framboisé dû à la présence de très nombreux capillaires au niveau du stroma sous épithélial.
La présence d’une inflammation ou d’une leucoplasie doit faire suspecter la possibilité d’une transformation maligne.

Histopathologie

Il présente à décrire des papilles fibro-vasculaires, recouverte d’un épithélium malpighien hyperplasique avec peu ou pas de kératinisation et de nombreuses cellules calciformes.

Kérato-acanthome

C’est une tumeur palpébrale bénigne rare

Caractéristiques cliniques

Il s’agit d’une tumeur unique, elle siège le plus souvent au bord libre palpébral, elle est caractérisée par une tuméfaction rapidement très en relief avec une invagination centrale contenant des débris de kératine pouvant faire suspecter une lésion carcinomateuse.

Histopathologie

Elle est caractérisée par une dépression centrale remplie de débris de kératine avec une paroi délimitée par un épithélium stratifié épaissi et kératinisé.

Kératose folliculaire inversée Il s’agit d’une tumeur bénigne rare

Caractéristiques cliniques

Elle siège plus souvent au niveau cutanée palpébrale que conjonctivale bulbaire, sous forme d’une lésion bien circonscrite avec un aspect similaire au papillome.

Histopathologie

Il présente à décrire : une acanthose, une parakératose, avec une couche concentrique de cellules pavimenteuses.

Tumeur épithéliale précancéreuse

Plaque de kératose

La plaque de kératose est une lésion dégénérative, d’incidence élevée en climat chaud.

Caractéristiques cliniques

Elle siège au niveau de la fente palpébrale près du limbe (zone conjonctivale exposée au vent et au soleil), pouvant apparaitre à la surface d’un pterygion. Elle est visible sous forme d’une lésion plane, blanchâtre, à surface rugueuse, pouvant présenter une dilatation des vaisseaux conjonctivaux à la périphérie de la lésion. Sa croissance est lentement progressive.

2.1.1.2.1.2. Histopathologie

Elle se presente sous forme d’une lésion acanthosique avec kératinisation de l’épithélium de surface et parakeratose. Les atypies sont minimes et inexistantes.

Kératose actinique

Il s’agit d’une plaque de kératose induite par l’exposition aux rayons ultraviolets.

Caractéristiques cliniques

Il est similaire à une plaque de kératose avec un aspect en sucre mouillé

Histopathologie

On retrouve un pléomorphisme cellulaire avec une dyskératose.
Les plaques de kératoses et les kératoses actiniques ont un risque très faible d’évoluer vers un carcinome épidermoïde invasif.

Néoplasie épidermoïde intra-épithéliale : dysplasie et carcinome in situ

Elle est caractérisée par une prolifération tumorale maligne respectant la membrane basale et donc sans envahissement du chorion sous-jacent.
Il s’agit d’une lésion rare du sujet de la cinquantaine dont l’exposition importante aux rayons ultraviolets est un facteur de risque majeur.

Caractéristiques cliniques

Elle siège le plus souvent au niveau de la conjonctive bulbaire dans l’aire d’ouverture de la fente palpébrale.
Il s’agit d’une lésion achrome, pouvant présenter une pigmentation hétérogène chez le mélanoderme, d’aspect plane ou légèrement surélevée avec un aspect papillomateux et/ou leucoplasique, l’envahissement cornéen lorsqu’il est présent a souvent un aspect gélatineux.

Histopathologie

L’anatomopathologie permet avec certitude de différencier les lésions purement intra-épithéliales d’un carcinome invasif.
On note un épithélium hyperplasique avec perte de la polarité cellulaire normale, un hyperchromatisme nucléaire, une kératinisation de surface avec prolifération cellulaire strictement épithéliale

Tumeur épithéliale maligne

Carcinome épidermoïde invasif

Caractéristiques cliniques

Elle siège le plus souvent près du limbe débordant sur la cornée. Il s’agit d’une lésion en relief multi lobulée sous forme d’une lésion gélatineuse ou d’aspect papillomateux avec des degrés variables de leucoplasie.
L’extension en surface se fait sous la forme d’une lésion épithéliale en nappe. L’invasion sclérale, intra-cornéenne, ainsi qu’intra oculaire est peu fréquente sauf en cas d’immunodépression où la lésion est alors plus agressive.
En l’absence de traitement, l’extension se fait localement vers l’orbite et la dissémination se fait à distance par voie lymphatique.

Histopathologie

On note un franchissement de la membrane basale avec la présence de cellules épithéliales plus ou moins différenciées. Il y’a un pléomorphisme cellulaire avec une atypie cytonucleaire, mitose et kératinisation de surface.

Carcinome basocellulaire

Il s’agit d’une tumeur maligne rare.

Caractéristiques cliniques

Elle siège le plus souvent au niveau des paupières, fréquente dans le syndrome de Golin-Golz ou syndrome de Naevus basocellulaire dont la transmission se fait sur le mode autosomique dominant avec risque accru de développer un carcinome baso-cellulaire palpébral.

Tumeur mélanocytaire

Nævus conjonctival

Caractéristiques cliniques

La localisation de prédilection de la tumeur est la conjonctive bulbaire dans l’aire de la fente palpébrale.
La tumeur se présente sous la forme d’une lésion plane ou sessile avec un très discret relief de pigmentation variable, fréquemment associé à la présence de kyste intra lésionnel, moins fréquemment associé à la présence de vaisseaux nourriciers dilatés.
Le risque de transformation maligne est extrêmement faible

Histopathologie

On note la présence de thèques naeviques jonctionnelles et/ou sous épithéliales.

Mélanose éthnique

Elle est relativement commune et présente uniquement chez le mélanoderme.

Caractéristiques cliniques

Elle se présente sous la forme d’un pigment de la conjonctive bulbaire au niveau du limbe sur 360°, elle est bilatérale et peu asymétrique.
L’atteinte de la conjonctive tarsale ou des culs de sacs conjonctivaux est peu spécifique.

Histopathologie

La lésion est caractérisée par une prolifération lentigineuse de mélanocytes bénin, le long de la membrane basale.

Mélanose primitive acquise

Caractéristiques cliniques

L’atteinte est unilatérale, située au niveau de la conjonctive bulbaire (sans atteinte sclérale) et pouvant s’étendre à la conjonctive tarsale ou à l’épithélium cornéen.
Elle se présente sous la forme d’une pigmentation brunâtre non grisâtre irrégulière, toujours plane et non kystique.

Histopathologie

On retrouve une prolifération anormale de mélanocytes au niveau de l’épithélium conjonctival ou cornéen, strictement intra-épithélial sans atteinte de la membrane basale.

Mélanome conjonctival

C’est une tumeur maligne potentiellement létale rarement primitive, il se développe le plus souvent sur mélanose conjonctivale primitive acquise avec atypie.

Caractéristiques cliniques

La tumeur peut siéger au niveau de n’importe quelle partie de la conjonctive, l’extension se fait en surface pouvant atteindre la cornée.
La tumeur est pigmentée parfois achrome en relief, plus ou moins nodulaire et vasculaire.
L’extension à distance se fait par voie lymphatique.

Histopathologie

On note une prolifération tumorale de mélanocytes atypiques avec un franchissement de la membrane basale et un envahissement du chorion sous-jacent.

Tumeur caronculaire

Près de 95% de ces tumeurs sont bénignes.
Les plus fréquentes sont le naevus et le papillome. Les autres lésions caronculaires bénignes classiques sont le granulome pyogénique, le kyste d’inclusion, l’hyperplasie sébacée, l’adénome sébacé et l’oncocytome.
Les tumeurs malignes sont rares, on retrouve le carcinome epidermoide, le mélanome et le carcinome sébacé.

L’oncocytome

Il s’agit d’une prolifération bénigne des glandes lacrymales accessoires et des glandes apocrines. C’est un adénome.

Caractéristique clinique

Il est visible sous forme d’un nodule vasculaire brun rouge

Histopathologie

Il présente à décrire une prolifération de cellules épithéliales similaire en apparence à celle d’un épithélium apocrine.

Hyperplasie sébacée et adénome sébacé

Caractéristique clinique

Il se présente sous forme d’une tuméfaction caronculaire jaune souple

Histopathologie

L’aspect de l’hyperplasie sébacée est celui d’une glande sébacée unique mais hyperplasique avec de nombreux lobule.
L’adénome sébacé est composé de multiples lobules sébacés irréguliers, incomplètement différenciés.

Carcinome sébacé

C’est une tumeur maligne développée au dépend des glandes sébacées.

Caractéristique clinique

Elle présente 2 formes :
– La forme nodulaire palpébrale ou caronculaire ;
– La forme évoluant en nappes.

Histopathologie

On note un aspect spumeux et micro vésiculaire du cytoplasme des cellules tumorales.

Tumeur vasculaire

Lymphangiome et lymphangiectasie

Ils représentent 20% des tumeurs vasculaires conjonctivales.
Le lymphangiome se présente sous la forme d’une masse conjonctivale, rouge molle, de taille variable, à contenu hémorragique.
La lymphangiectasie est caractérisée par la présence au niveau de la conjonctive de vaisseaux lymphatiques linéaires à contenu clair, sans formation de masse.

Angiome capillaire

Caractéristique clinique

Il se présente sous forme d’une lésion conjonctivale le plus souvent unique isolée, multilobulaire, rouge bleutée.

Histopathologie

On note la présence de veines congestives dilatées, séparées par du tissu conjonctif.

Sarcome de Kaposi

C’est une maladie cutanéo-muqueuse touchant principalement les sujets immunodéprimés.

Caractéristique clinique

La lésion est uni ou bilatérale, siégeant au niveau du versant cutané ou conjonctival, unique ou multiple, augmentant progressivement de taille pour devenir nodulaire.
La tumeur est responsable d’hémorragie à répétition.

Tumeur nerveuse, fibreuse lipomateuse, xanthogranulomateuse et myxomateuse

Neurofibrome

C’est une tumeur bénigne lentement progressive développée à partir des gaines des nerfs périphériques.

Caractéristique clinique

Il se présente sous forme d’une masse ferme, jaunâtre, conjonctivale saillante à base sessile, et à limite floue.
La forme plexiforme est souvent le prolongement d’une atteinte palpébrale ou orbitaire et se présente comme une masse mal définie irrégulière.

Histopathologie

Caractéristiques : il est composé de fibroblaste endoneuronaux, de cellules de Schwann, et d’axones disposés en corde et en ruban au sein d’un stroma myxoide.

Schwanome

C’est une tumeur bénigne développée à partir des gaines des nerfs périphériques.

Caractéristique clinique

La localisation conjonctivale est très rare. La tumeur est visible sous forme d’une masse discrètement jaunâtre ou rose.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
1. Rappel
1.1. Base anatomique
1.1.1. Le globe oculaire
1.1.1.1. Constitution
1.1.1.2. Description des différents éléments
1.1.2. Annexes de l’œil
1.1.2.1. L’orbite osseux
1.1.2.2. Les paupières
1.1.2.3. Le système lacrymal
1.1.2.4. Les muscles oculomoteurs
1.1.2.5. La vascularisation
1.1.2.5.1 Vascularisation artérielle
1.1.2.5.2. Vascularisation veineuse
1.1.2.5.3. Drainage lymphatique
1.2. Histologique
1.2.1. Globe oculaire
1.2.1.1. La sclérotique
1.1.1.2. La cornée
1.2.1.3. L’uvée
1.2.1.4. Le cristallin
1.2.1.5. La rétine
1.2.2. Annexes de l’œil
1.2.2.1. Paupières
1.2.3. Système lacrymal
2. Etude clinique
2.1. Tumeur de la surface oculaire
2.1.1. Tumeur épithéliale
2.1.1.1. Tumeur épithéliale bénigne
2.1.1.1.1. Papillome
2.1.1.1.1.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.1.1.2. Histopathologie
2.1.1.1.2. Kérato-acanthome
2.1.1.1.2.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.1.2.2. Histopathologie
2.1.1.1.3. Kératose folliculaire inversée
2.1.1.1.3.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.1.3.2. Histopathologie
2.1.1.2. Tumeur épithéliale précancéreuse
2.1.1.2.1. Plaque de kératose
2.1.1.2.1.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.2.1.2. Histopathologie
2.1.1.2.2. Kératose actinique
2.1.1.2.2.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.2.2.2. Histopathologie
2.1.1.2.3. Néoplasie épidermoïde intra-épithéliale : dysplasie et carcinome in situ
2.1.1.2.3.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.2.3.2. Histopathologie
2.1.1.3. Tumeur épithéliale maligne
2.1.1.3.1. Carcinome épidermoïde invasif
2.1.1.3.1.1. Caractéristiques cliniques
2.1.1.3.1.2. Histopathologie
2.1.1.3.2.1. Caractéristiques cliniques
2.1.2. Tumeur mélanocytaire
2.1.2.1. Nævus conjonctival
2.1.2.1.1. Caractéristiques cliniques
2.1.2.1.2. Histopathologie
2.1.2.2. Mélanose éthnique
2.1.2.2.1. Caractéristiques cliniques
2.1.2.2.2. Histopathologie
2.1.2.3. Mélanose primitive acquise
2.1.2.3.1. Caractéristiques cliniques
2.1.2.3.2. Histopathologie
2.1.2.4. Mélanome conjonctival
2.1.2.4.1. Caractéristiques cliniques
2.1.2.4.2. Histopathologie
2.1.3. Tumeur caronculaire
2.1.3.1. L’oncocytome
2.1.3.1.1. Caractéristique clinique
2.1.3.1.2. Histopathologie
2.1.3.2. Hyperplasie sébacée et adénome sébacé
2.1.3.2.1. Caractéristique clinique
2.1.3.2.2. Histopathologie
2.1.3.3. Carcinome sébacé
2.1.3.3.1. Caractéristique clinique
2.1.3.3.2. Histopathologie
2.1.4. Tumeur vasculaire
2.1.4.1. Lymphangiome et lymphangiectasie
2.1.4.2. Angiome capillaire
2.1.4.2.1. Caractéristique clinique
2.1.4.3. Sarcome de Kaposi
2.1.4.3.1. Caractéristique clinique
2.1.5. Tumeur nerveuse, fibreuse lipomateuse, xanthogranulomateuse et myxomateuse
2.1.5.1. Neurofibrome
2.1.5.1.1. Caractéristique clinique
2.1.5.1.2. Histopathologie
2.1.5.2. Schwanome
2.1.5.2.1. Caractéristique clinique
2.1.5.2.2. Histopathologie
2.1.5.3. Lipome conjonctival
2.1.5.3.1. Caractéristique clinique
2.1.5.3.2. Histopathologie
2.1.5.4. Autres tumeurs
2.2. Tumeur orbitaire
2.2.1. Considérations générales
2.2.1.1. Clinique
2.2.1.2. Imagerie
2.2.1.3. Anatomopathologie
2.2.2. Caractéristique en fonction du type de tumeur
2.2.2.1. Tumeur vasculaire
2.2.2.1.1. Hémangiome caverneux
2.2.2.1.1.1. Clinique
2.2.2.1.1.2. Imagerie
2.2.2.1.1.3. Histopathologie
2.2.2.1.2. Hemangiopericytome
2.2.2.2. Tumeur nerveuse
2.2.2.2.1. Gliomes du nerf optique
2.2.2.2.1.2. Imagerie
2.2.2.2.1.3. Histopathologie
2.2.2.2.2. Neurofibrome
2.2.2.2.3. Méningiome
2.2.2.2.3.1. Clinique
2.2.2.3. Tumeur mésenchymateuse
2.2.2.4. Maladie lymphoproliférative
2.2.2.4.1. Hyperplasie lymphoïde et lymphome
2.2.2.4.1.1. Clinique
2.2.2.4.1.2. Imagerie
2.2.2.4.2. Neurofibrome
2.2.2.4.3. Autres tumeurs lymphoproliferatives
2.2.2.5. Tumeur de la glande lacrymale
2.2.2.5.1. Tumeur épithéliale de la glande lacrymale
2.2.2.5.1.1. Adénome pléomorphe
2.2.2.5.1.1.1. Clinique
2.2.2.5.1.1.2. Imagerie
2.2.2.5.1.1.3. Histopathologie
2.2.2.5.1.2. Carcinome adénoïde kystique
2.2.2.5.2. Tumeur non épithéliale de la glande lacrymale
2.2.2.6. Tumeur orbitaire secondaire
2.2.2.7. Tumeurs métastatiques
2.3. Tumeur intraoculaire
2.3.1. Tumeur pigmentaire de l’uvée
2.3.1.1. Naevi de la choroïde
2.3.1.1.1. Clinique
2.3.1.2. Mélanocytome
2.3.1.2.1. Clinique
2.3.2. Tumeur pigmentaire de l’iris
2.3.2.1. Mélanocytose irienne
2.3.2.1.1. Clinique
2.3.2.2. Naevi de l’iris
2.3.2.2.1. Caractéristique clinique
2.3.2.3. Mélanome irien
2.3.2.3.1. Clinique
2.3.2.4. Autres
2.3.3. Tumeur vasculaire de l’uvée
2.3.3.1. Hémangiome de la choroïde
2.3.3.1.1. Hémangiome circonscrit
2.3.3.1.2. Hémangiome diffus
2.3.4. Tumeur de la choroïde
2.3.4.1. Ostéome de la choroïde
2.3.4.1.1. Caractéristique clinique
2.3.5. Tumeur myogénique
2.3.6. Tumeur neurogéne
2.3.7. Tumeur de la rétine
2.3.8. Tumeur neurogliale
2.3.9. Tumeur lymphoïde intraoculaire
2.4. Classification TNM clinique des tumeurs malignes5
DEUXIEME PARTIE
1. Cadre D’étude
2. Patient et méthodes
2.1. Type d’étude
2.2. Patients.
2.3. Méthodes
RESULTATS
1. Données Épidémiologiques
1.1. Incidence hospitalière
1.2. Genre
1.3. Age
1.4. Profession
1.5. Origine géographique
1.6. Ethnies
2. Profil clinique
2.1. Symptomatologie
2.2. Examen clinique
2.2.1. Acuité visuelle
2.2.2. Latéralité
2.2.3. Siège tumoral
2.2.4. Aspect sémiologique
2.2.4.1. Aspect sémiologique de l’ensemble des tumeurs
2.2.4.2. Aspect sémiologique des tumeurs bénignes
2.2.4.3. Aspect sémiologique des tumeurs malignes
2.2.5. Pigmentations de la tumeur
2.2.5.1. Pigmentation tumorale de l’ensemble des tumeurs
2.2.5.2. Pigmentation tumorale des tumeurs bénignes
2.2.5.3. Pigmentation tumorale des tumeurs malignes
2.2.6. Extension locale
3. Examen complémentaire
3.1. Imagerie
3.1.1. Scanner orbitaire
3.2. Aspect anatomo-pathologie
3.2.1. Nature de l’échantillon analysé
3.2.2. Résultat anatomopathologique
3.2.2.2. Répartition selon la nature histologique
3.2.2.2.1. Résultats globaux
3.2.2.2.2. Répartition des formes anatomopathologique des tumeurs bénignes .
3.2.2.2.3. Répartition des formes anatomopathologiques des tumeurs malignes
2. Analyse multivariée
2.1. Analyse multivariées des tumeurs bénignes.
2.1.1. Siège tumoral
2.1.2 Description sémiologique
2.1.3. Couleur tumorale
2.2. Tumeurs malignes
2.2.1. Siège tumoral
2.2.2. Description sémiologique
2.2.3. Couleur tumorale
DISCUSSION
1. Analyse univariée
1. Données épidémiologiques
1.1. Fréquence hospitalière
1.2. Sexe
1.3. Age
1.4. Profession
1.5. Origine géographique
1.6. Ethnies
2. Profil clinique
2.1. Symptomatologie
2.2. Examen clinique
2.2.1. Acuité visuelle
2.2.2. Latéralité
2.2.3. Siège tumoral
3.1. Imagerie
3.1.1. Scanner orbitaire
3.2. Anatomo pathologie
3.2.1. Nature de l’échantillon analysé
3.2.2. Résultats anatomo-pathologiques
3.2.2.1. Répartition selon le type histologique
3.2.2.2. Nature histologique de l’ensemble des tumeurs
3.2.2.3. Nature histologique des tumeurs bénignes
3.2.2.4. Nature histologique des tumeurs malignes
4. Analyse multivariée
4.1. Analyse multivariée des tumeurs bénignes
4.2. Analyse multivariée des tumeurs malignes
4.2.1. Siège tumoral
4.2.2. Aspect tumoral
4.2.3. Couleur tumoral
CONCLUSION ET RECOMANDATIONS
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE

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