Harcèlement moral au travail

Harcèlement moral au travail

Le cadre conceptuel

La présente section s’attarde d’abord à définir le concept de représentation sociale incluant les principes à partir desquels s’effectue l’analyse d’une représentation sociale. La présente recherche s’appuie sur les principes découlant de la théorie des principes organisateurs. Ensuite, les concepts de harcèlement moral et de travailleurs seront aussi définis.

Concept de représentation sociale

C’est à la fin du 19e siècle qu’Émile Durkheim, considéré comme l’un des fondateurs de la sociologie moderne, s’est servi du concept de représentation pour l’une des premières fois dans un contexte d’analyse de faits sociaux (Durkheim, 2008; Valence, 2010). Selon Durkheim, une représentation correspond à une large classe de construits mentaux qui sont constitués sur la base d’idéologies ou de connaissances (Durkheim, 2008; Moscovici, 1972). Durkheim distingue les représentations individuelles des représentations collectives (Valence, 2010). D’une part, il indique qu’une représentation individuelle correspond à la perception propre d’un individu sur un aspect de la réalité. Donc, les informations exprimées par un individu au sujet de la réalité découlent pour lui d’une représentation (Durkheim, 2008; Keck et Plouviez, 2008; Moscovici, 1972). Par le fait même, la représentation agit tel un guide pour l’individu dans la manière de définir la réalité, de l’interpréter, de prendre position et de nommer les différents aspects qui la composent (Moscovici, 1972). Durkheim précise aussi qu’une représentation individuelle est instable dans le temps et susceptible de changer rapidement selon les événements vécus par l’individu (Valence, 2010). D’autre part, une représentation collective participe à l’élaboration d’une réalité qui est partagée par un groupe social ou une société dans son ensemble. Contrairement aux représentations individuelles, elles sont stables dans le temps et peu propices à se transformer. C’est plus tard, soit dans les années 1960 avec Moscovici, que le terme de « représentation sociale » a remplacé peu à peu le terme de « représentation collective» de Durkheim (Valence, 2010). Moscovici souligne qu’il n’existe pas de séparation entre le monde intérieur d’une personne et son environnement, l’environnement étant le prolongement de ses attitudes et de ses conduites. En ce sens, il suppose qu’une réalité objective n’existe pas, que la réalité est représentée par la personne, c’est-à-dire qu’elle se l’approprie selon ses valeurs, son histoire personnelle, son contexte social, etc. (Moscovici, 1972)
Définition, contenu et fonction d’une représentation sociale. Une représentation sociale renvoie à une forme de savoir dont le contenu permet à un individu ou à un groupe d’individus de faire des généralisations spécifiquement en lien des éléments de la réalité (Jodelet, 1997). Autrement dit, une représentation sociale réfère à un processus de pensée qui permet à l’individu d’interpréter son environnement et de comprendre la réalité à sa façon. Pour le chercheur, une représentation sociale lui permet de faire l’analyse d’un phénomène en considérant chacune de ses dimensions (Doise, 1986). En résumé, la représentation permet de dévoiler la réalité socialement construite. Une représentation sociale revêt à la fois une composante cognitive et une composante sociale (Moscovici, 1972). En effet, bien qu’elle découle inévitablement d’un processus cognitif, une représentation sociale demeure étroitement liée aux contextes sociaux. Plus spécifiquement en ce qui concerne le plan cognitif, deux principaux processus caractérisent habituellement les représentations sociales, soit l’objectivation et l’ancrage. D’une part, l’objectivation permet de rendre concret ce qui est plutôt abstrait en modulant un concept en une image sur le plan cognitif, soit un schème figuratif. Un schème figuratif permet alors à une personne d’associer à un concept des notions claires et concrètes de sorte qu’elle ait une meilleure idée de ce en quoi consiste le concept en question. D’autre part, l’ancrage est le processus par lequel un concept et ses composantes sont intégrés aux cadres de références d’une personne de sorte qu’elle puisse y associer une interprétation et par le fait même, lui accorder un sens. Un concept peut alors éventuellement lui-même constituer un système d’interprétation susceptible de s’étendre à d’autres systèmes conceptuels.
Le contenu d’une représentation sociale peut être abordé en tenant compte de trois dimensions (Moscovici, 1972), soit 1) un volet informatif, 2) le champ de la représentation et 3) les attitudes. D’abord, la dimension informative réfère au fait que l’individu qui s’exprime partage des informations au sujet de ce qui qu’il se représente, par exemple, en définissant l’objet de la représentation. Quant au champ de la représentation, il correspond à l’organisation de son contenu selon le sens que l’individu donne aux différentes composantes de celle-ci. Finalement, la dimension des attitudes réfère aux prises de position de l’individu induites par une représentation sociale au sujet d’un phénomène et aux conduites qui en découlent.Quatre principales fonctions peuvent être associées aux représentations sociales (Jodelet, 1997). D’abord, puisqu’elles consistent en une forme de connaissance, elles revêtent une fonction de savoir. En tant qu’acteurs sociaux, les individus développent un champ de connaissances qui agit à titre de référence commune aux membres d’un groupe d’appartenance et leur permet de comprendre leur réalité et d’être en mesure d’en expliquer les composantes. En fonction de leurs connaissances et de leur compréhension d’un objet, les individus d’un groupe d’appartenance adoptent alors des conduites spécifiques et prévisibles dont ils sont en mesure de justifier la pertinence. En ce sens, une représentation sociale revêt les fonctions d’orientation et de justification des conduites. Finalement, les représentations sociales ont comme fonction supplémentaire de permettre à l’individu d’avoir des attentes par rapport à la réalité et de se positionner socialement sur des constituants de celle-ci. Ces attentes, lorsque partagées par plusieurs personnes, permettent d’assurer la spécificité d’un groupe ainsi que sa cohésion.

Principes d’analyse d’une représentation sociale. Sur le plan théorique, deux orientations principales sont reconnues dans le domaine de l’analyse des représentations sociales, soit la théorie du noyau central et la théorie des principes organisateurs (Valence, 2010).

En ce qui concerne la théorie du noyau central, elle aborde la représentation sociale d’un point de vue structural (Abric, 1994). Elle conçoit cette dernière comme étant un tout organisé constitué de connaissances, de croyances, d’opinions et d’attitudes. Cette théorie implique l’idée qu’une représentation sociale est organisée selon deux structures, soit le noyau central et un système périphérique. Le noyau central correspond à un ensemble d’éléments qui, bien qu’ils soient limités par leur nombre, constituent le pilier central d’une représentation sociale. Ces éléments qui constituent le sens même de la représentation sont partagés par l’ensemble d’un groupe. En ce sens, la théorie du noyau central porte un accent important sur le caractère consensuel en ce qui concerne l’intégration des différentes composantes d’une représentation sociale. Le noyau central a deux principales fonctions. De prime abord, il correspond aux valeurs et aux ancrages sociohistoriques d’une personne ou d’un ensemble de personnes. Une première fonction qu’il revêt est alors d’agir à titre de chef d’orchestre pour la création des éléments de la représentation et pour leur attribuer un sens. Autrement dit, il dicte le sens global du champ d’une représentation sociale. Une seconde fonction du noyau central est de déterminer comment les éléments de la représentation sociale s’organisent entre eux. En somme, l’absence du noyau central d’une représentation sociale aurait comme résultat une déstructuration de cette dernière qui prendrait alors un sens totalement différent. Deux caractéristiques majeures du noyau central sont sa stabilité et le fait qu’il soit peu affecté par le passage du temps ou par les événements. Quant au système périphérique, il est composé des éléments d’une représentation sociale qui ne sont pas inclus dans le noyau central. Ces éléments sont propres à l’individu et découlent de ses expériences personnelles. Comparativement aux éléments du noyau central, ceux du système périphérique sont plus souples et plus sujets à évoluer dans le temps.Toutefois, la théorie des principes organisateurs a été utilisée dans le présent mémoire, car cette dernière vise à aller au-delà du caractère consensuel des éléments qui composent une représentation en tenant davantage en considération les variations interindividuelles (Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992). En effet, alors que la théorie du noyau central permet d’étudier les croyances des individus d’un point de vue consensuel, la théorie des principes organisateurs met plus spécifiquement l’accent sur la façon dont ces croyances varient selon les individus et les contextes (Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992). Selon cette théorie, les dynamiques représentationnelles sont liées aux rôles et à la place de chacun sur le plan social (Negura et Maranda, 2004). Dans le contexte où ces dynamiques se mettent en place en lien avec des problèmes revêtant une signification importante, les personnes concernées développent des opinions et prennent position selon leur appartenance au champ social où surviennent ces problèmes (Bonnet et Richard, 1989). En ce sens, la théorie des principes organisateurs stipule que les interactions entre les différents acteurs sociaux se mettent en place de façon équilibrée au moyen de la communication. Plus précisément, les représentations sociales sont alors considérées comme des constructions cognitives qui revêtent une forme de schèmes symboliques et qui sont produites sur le plan social (Flament et Rouquette, 2003). En somme, l’appartenance sociale est donc un élément important qui mène à des prises de position individuelles et les interactions sociales revêtent un caractère symbolique de sorte à contribuer à la définition de l’identité d’une personne ou d’un groupe de personnes.Dans le cadre de la théorie des principes organisateurs, les représentations sociales peuvent être définies comme étant « des principes générateurs de prises de position qui sont liées à des insertions spécifiques dans un ensemble de rapports sociaux » (Doise, 1986). Autrement dit, les représentations sociales ont comme rôle l’organisation des processus qui sont impliqués dans le fonctionnement global des représentations sociales (Bonnet et Richard, 1989). À titre d’exemple, Negura et Maranda (2004), qui ont mené une étude sur les représentations sociales des gestionnaires d’entreprises dans le contexte de l’intégration socioprofessionnelle des toxicomanes ont entre autres relevé les caractéristiques individuelles des gestionnaires, leur appartenance sociale, leur statut et le contexte comme des principes organisateurs susceptibles d’avoir un impact dans l’attribution d’un sens à leurs représentations sociales.Les principes organisateurs d’une représentions sociale assurent deux principales fonctions (Bonnet et Richard, 1989; Doise et al., 1992). Une première fonction est qu’ils sont générateurs de prise de position. Les échanges entre les individus se définissent au regard de représentations sociales qui correspondent à des schèmes symboliques de référence leur permettant d’interpréter leur réalité et subséquemment de prendre sur différents enjeux. Une seconde fonction est de permettre une organisation des caractéristiques individuelles chez une personne sur le plan social. Les représentations sociales permettent à l’individu de prendre conscience des éléments communs entre lui et ses pairs ainsi que de ce qui les différencie.

Concept de harcèlement moral au travail

Le harcèlement moral au travail fait référence à des comportements vexatoires et répétés envers une personne. Ces comportements peuvent être hostiles ou non désirés et ébranlent la dignité ou l’intégrité psychologique ou physique de la personne. Par le fait même, le milieu de travail de la personne qui en est victime devient néfaste pour elle (Gouvernement du Québec, 2017). Le harcèlement moral au travail peut être qualifié de vertical (entre employés et la hiérarchie) d’horizontal (entre collègues) ou combiné (Leymann et Leymann, 2002). Aussi, la clientèle auprès de laquelle travaille l’employé peut aussi être auteure de harcèlement moral. (Barreau du Haut-Canada, 2012; Rowe et Sherlock, 2005; Uzun, 2003)

Concept de travailleur

La Loi sur les normes du travail définit un travailleur à l’article 81.18 comme étant une personne qui bénéficie d’une rémunération par un employeur (Gouvernement du Québec, 2017). En contrepartie, un employeur est toute personne qui fait faire un travail par un salarié. Plus globalement, le concept de « travail » qui est l’objet du travailleur peut quant à lui être défini comme étant l’« activité de l’homme appliquée à la production, à la création, à l’entretien de quelque chose » (Le Petit Larousse Illustré, 2007).

Méthodologie

Cette section présente le cadre opératoire, le type de recherche, le devis méthodologique, la population à l’étude et l’échantillon. Les instruments de cueillette des données, le plan d’analyse des données, les considérations éthiques et finalement les forces et les limites de l’étude sont exposés.

Cadre opératoire et type de recherche

Dans cette étude descriptive de type qualitative, le concept de représentation du harcèlement moral au travail est opérationnalisé en référant à trois dimensions distinctes, soit 1) la connaissance qu’ont les individus du phénomène, 2) la signification qu’ils y attribuent et 3) les conduites qu’ils y associent. Tout d’abord, les définitions données au phénomène par les uns et les autres seront explorées. Ensuite, une attention particulière sera portée sur le discours des participants en ce qui concerne le sens qu’ils attribuent au phénomène. Plus spécifiquement, les éléments du discours des participants qui reflètent leurs opinions au sujet des causes et des conséquences du harcèlement moral au travail seront relevés, car associés au sens qu’ils accordent au phénomène. Enfin, une troisième dimension de la représentation sociale du harcèlement moral sera explorée en analysant le discours des participants à propos des conduites associées au harcèlement moral au travail. L’accent portera alors sur le repérage des idées des participants ayant trait aux attitudes et aux conduites en réaction au harcèlement moral au travail. Le Tableau 1 présente des exemples de catégories et des exemples hypothétiques d’unités de sens qui pourraient ressortir dans le cadre de l’analyse des données.Cette recherche s’inspire d’une perspective constructiviste. Ce paradigme épistémologique implique une prise de position quant à la relation entre la connaissance et la perception humaine de la réalité (Amiguet et Julier, 1996). Plus précisément, cette perspective s’appuie sur l’idée que la perception de la réalité est subjective (Berger et Luckmann, 2012). Autrement dit, la représentation que se fait une personne de la réalité est le produit de l’interaction de sa propre personnalité avec cette dernière. Elle ne correspond donc pas à une image exacte et objective de la réalité en tant que telle, mais plutôt à un construit social. Les principaux postulats du constructivisme sont : 1) il y a une multitude de réalités qui sont construites et holistiques, 2) le fait de connaître et la connaissance en elle-même sont inséparables et interdépendants, 3) une hypothèse doit être circonscrite dans le temps et spécifique à un contexte 4) tous les éléments du monde sont interdépendants et 5) la recherche sur un sujet est étroitement reliée aux valeurs des personnes concernées (Lincoln et Guba, 1985).Par conséquent, une méthodologie qualitative (Mayer, Saint-Jacques, Turcotte et Ouellet, 2000) a été privilégiée dans la présente recherche. Les méthodes qualitatives permettent de porter une attention particulière aux participants d’une étude en considération de leur environnement, ce qui s’avère très pertinent dans le cas présent. Les phénomènes sont alors interprétés au regard de la signification qu’ils leur attribuent (Denzin et Lincoln, 2011). Cette méthode permet entre autres de révéler la signification d’un phénomène par l’analyse du discours (Fortin et Gagnon, 2010). La présente recherche portant sur les représentations sociales d’un phénomène, cet aspect est d’autant plus pertinent. En outre, la recherche qualitative est une méthode qui permet de produire des données narratives et subjectives. Enfin, la présente recherche qui est essentiellement descriptive a permis d’aborder les éléments de définition du harcèlement moral au travail tels que rapportés par les personnes rencontrées ainsi que le sens qu’ils accordent au phénomène et les conduites perçues en lien avec celui-ci.

Devis méthodologique

Cette section décrit d’abord la population à l’étude et l’échantillon. Les instruments de cueillette de données ainsi que le plan d’analyse des données sont ensuite exposés.Population à l’étude. Depuis 2015, au Québec, l’ensemble des services de santé et de services sociaux relèvent d’un Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) ou d’un Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (Gouvernement du Québec, 2016b). Ces centres intégrés assurent une coordination de leurs propres services ainsi que des services de leurs partenaires. Auparavant, c’est aux Centres de santé et de services sociaux (CSSS) qu’incombait la responsabilité de mettre en place sur leur territoire un réseau local de services. Depuis la réforme de 2015, il revient au CISSS de coordonner les services qui sont offerts via ces réseaux locaux. Au regard de la Loi sur les services de santé et de services sociaux, un CISSS a la responsabilité de «mobiliser les établissements offrant des services spécialisés et surspécialisés, les divers groupes de professionnels, les organismes communautaires, les entreprises d’économie sociale, les ressources privées et les intervenants des autres secteurs d’activité ayant un impact sur les services de santé et les services sociaux et s’assurer de leur participation » (LégisQuébec, 2018)
Considérant la taille du CISSS de la Montérégie-Est, la population à l’étude dans cette recherche a été limitée, dans un souci de faisabilité, au personnel régulier à l’emploi du CISSS et plus précisément aux travailleurs oeuvrant dans les installations situées sur le territoire du RLS Pierre-De-Saurel. En ce qui le concerne, le CISSS de la Montérégie-Est constitue l’un des trois CISSS du territoire de la Montérégie (Benigeri, 2015) et découle de la fusion en 2015 des Centres de santé et de services sociaux (CSSS) Richelieu-Yamaska, Pierre-Boucher et Pierre-de-Saurel en plus du Centre jeunesse de la Montérégie. Se situant dans la partie Est de la Montérégie (Longueuil, Boucherville, Sorel-Tracy, Saint-Hyacinthe, Saint-Bruno-de-Montarville et les environs). Le CISSS comprend 56 installations du réseau public de la santé et des services sociaux réparties sur une superficie de 3485 km2 comptant près de 510 000 habitants. Au regard des données les plus récentes, le CISSS de la Montrétégie-Est dessert 39% de la population totale de la Montérégie (Benigeri, 2015)1 et donne accès à de l’hospitalisation, à des services médicaux d’urgence, à des services de consultation externe pour des soins et des examens spécialisés, à des services d’hébergement en centre hospitalier de soins de longue durée (CHSLD), en résidences intermédiaires (RI), et dans des résidences de type familial (RTF) (Benigeri, 2015). Le CISSS offre aussi des services à des clientèles spécifiques telles que les jeunes en difficulté, les personnes présentant un problème de santé mentale, les personnes présentant une déficience intellectuelle ou un trouble envahissant du développement, etc. En 2014, le CISSS de la Montérégie-Est comptait 11809 travailleurs répartis en six catégories d’emploi (Benigeri, 2015), soit 27.9% au niveau du personnel en soins infirmiers et cardiorespiratoires, 31.3% au niveau du personnel de type para technique, de métier ou au niveau des services auxiliaires, 11.8% au niveau du personnel de bureau, des techniciens et des professionnels de l’administration, 24.6% au niveau des techniciens et des professionnels de la santé et des services sociaux, 0.48% au niveau du personnel non visé par la loi (ex. : biochimistes et pharmaciens), 4.6% au niveau du personnel d’encadrement et 3.7% étant des médecins (Voir Annexe 1 : Répartition des employés du CISSS de la Montérégie -Est). L’illustration 1 permet de mieux visualiser le territoire et les services offerts.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport gratuit propose le téléchargement des modèles gratuits de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie ?avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
1. Problématique
1.1 L’objet d’étude : le harcèlement moral au travail
1.1.1 Définition du phénomène.
1.1.2 Prévalence du phénomène.
1.1.3 Les différentes formes de harcèlement moral au travail.
1.1.4 Les facteurs prédisposants.
1.1.5 Les conséquences.
1.2 Les représentations sociales du harcèlement moral au travail
1.2.1 Définitions du harcèlement moral au travail
1.2.2 Causes et conséquences attribuées au harcèlement moral au travail
1.2.3 Conduites associées au harcèlement moral au travail.
1.2.4 La question spécifique de recherche.
1.3 Pertinence de l’objet d’étude
2. Le cadre conceptuel
2.1 Concept de représentation sociale
2.1.1 Définition, contenu et fonction d’une représentation sociale.
2.1.2 Principes d’analyse d’une représentation sociale.
2.2 Concept de harcèlement moral au travail
2.3 Concept de travailleur
3.2 Devis méthodologique
3.2.1 Population à l’étude
3.2.2 Composition de l’échantillon.
3.3 Instruments de cueillette de données et plan d’analyse
3.4 Considérations éthiques
3.5 Forces et limites de l’étude
4. Résultats
4.1 Définition du harcèlement moral au travail
4.1.1 Harcèlement moral : comportements hostiles et répétitifs.
4.1.2 Harcèlement moral : quelques fois non intentionnel.
4.2 Signification du harcèlement moral au travail
4.2.1 Harcèlement moral : une question de subjectivité.
4.2.2 Conflit versus harcèlement moral : positions divisées.
4.2.3 Droit de gérance et harcèlement moral : limites floues, distinction difficile.
4.2.5 Les différences augmentent le risque de harcèlement moral au travail.
4.2.6 L’attitude des victimes mise en cause.
4.2.7 La tolérance entretien le problème.
4.2.8 Les gestionnaires souvent persécuteurs.
4.2.9 Conséquences sur la victime : impacts lourds et variés.
4.2.10 Conséquences sur la famille et les collègues.
4.2.11 Conséquences sur l’organisation.
4.3. Les conduites associées au phénomène
4.3.1 Les conduites du harceleur.
4.3.2 Les conduites des victimes.
4.3.3 Les conduites des collègues de travail.
4.3.4 Les conduites de l’employeur.
4.3.5 Les conduites souhaitées.
5. Discussion
CONCLUSION
RÉFÉRENCES

Rapport PFE, mémoire et thèse PDFTélécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *