Gestion d’une exploitation de vaches laitières

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Produits des croisements

 Race Djakoré
C’est une métisse issue du croisement entre le zébu Gobra et la race N’dama, dont les zones de prédilection sont la haute Casamance et le bassin arachidier. Elle est aussi trypanolérante tout comme l’est la N’dama et avec un potentiel laitier un peu plus amélioré que cette dernière (Ibrahim, 2009).
 Les autres produits de croisement que l’on peut avoir sont entre la race locale et les races exotiques. C’est ainsi qu’on a entre autres des métisses Holstein, Montbéliarde, Brune des alpes, Normande…
Il faut dire que le degré de métissage peut varier énormément. Suivant cet ordre d’idées on pourra noter que plus le degré de métissage est élevé, plus la productivité est plus importante. Les produits de croisement ont un potentiel laitier amélioré comparé à la race locale (Keita, 2005).

Les systèmes de production laitière au Sénégal

L’élevage est pratiqué sur l’ensemble du territoire. Cependant on note une différenciation de mode suivant la zone écologique. C’est ainsi que l’on peut distinguer le mode extensif et le mode intégré (agro-pastoral) (Mbaye, 1988). A côté de ces deux modes on note l’émergence d’un élevage moderne autour des grandes villes qualifié d’intensif, comme l’indique la figure ci-dessous

Système pastoral

Ce mode d’élevage est rencontré au niveau de la zone sylvo-pastorale au Nord où il est intégré à un système de production de type pastoral caractérisé par :
• Une conduite extensive des animaux qui ont pour source d’alimentation les parcours naturels dont la disponibilité en fourrage va déterminer certaines pratiques telles que la transhumance et l’abreuvement qui devient difficile en saison sèche, nécessitant ainsi une main- d’œuvre importante (Mbaye, 1988).
• Une autoconsommation du lait produit en priorité et le surplus est mis sur le marché pour générer des revenus.

Système agropastoral /semi-intensif

Ce mode d’élevage est rencontré autour du bassin arachidier au centre, au sud et autour du fleuve Sénégal. Il est caractérisé par :
• Un mode de production sédentaire et extensif avec comme objectif, assurer une production laitière à temps plein en vue de garantir une source de revenu pour l’exploitant
• Une association étroite entre les composantes animale et végétale se traduisant par une utilisation commune de terre, l’exploitation des produits à des fins agricoles et la valorisation des résidus de récolte par le bétail
• Un apport en intrants (complémentation, soins vétérinaires…) et l’amélioration du potentiel génétique des races locales (Duteurtre, 2006)

Système intensif/système moderne

Ce type d’élevage est plus rencontré au niveau de la zone des Niayes de Dakar à Thiès et minoritairement au tour des autres villes.
Il est caractérisé par l’utilisation des races exotiques de haut potentiel laitier en stabulation permanente et fait usage des techniques modernes de production de lait dans l’optique de répondre au besoin crucial du lait et produits laitiers des populations (Manishimwe, 2012).

Filière lait au Sénégal

Production laitière locale

Malgré un cheptel bovin important, la production laitière locale se caractérise par une production qui est en dessous des besoins de la population. C’est ainsi qu’elle est estimée à 226,5 millions de litres en 2015 (Stiftung, 2018) contre 111,18 millions en 2010.
Cela est lié à l’exploitation des animaux de faible potentiel génétique et au mode traditionnel d’élevage qui est pratiqué en grande partie par les populations (N’diaye, 2006).
C’est ainsi que dans l’optique d’augmenter la production laitière nationale, l’état Sénégalais avec l’appui des partenaires au développement ont initié des projets dans le cadre de l’amélioration de la productivité de la filière ; c’est le cas des projets Grande Offensive pour la Nourriture et l’Abondance (GOANA), Projet d’Appui à la Modernisation de la Filière Animale (PAPEL) (Manishimwé, 2012).
Malgré l’ensemble des efforts consentis, la production laitière reste insuffisante d’autant plus qu’elle est tributaire de multiples contraintes.

Contraintes de la production laitière au Sénégal

Les contraintes de la production laitière sont celles de l’élevage pris dans son ensemble. C’est ainsi qu’on pourrait dénombrer entre autres :
 Facteurs climatiques
Le climat constitue la contrainte majeure dans la mesure où il détermine la disponibilité des ressources alimentaires ainsi que le confort des animaux (Pagot, 1985)
Au Sénégal par exemple, la forte variabilité de la pluviométrie fait que la disponibilité des pâturages reste limitée aussi bien en quantité qu’en qualité. Par ailleurs la production laitière intensive est axée sur les races améliorées or la température moyenne au cours de l’année dépasse de loin les 25°C, ce qui n’est pas du tout favorable pour ces animaux (Pagot, 1985).
 Contraintes alimentaires
L’alimentation et l’abreuvement restent les soucis majeurs de la production laitière au Sénégal d’autant plus que l’élevage est pratiqué en grande partie sur le mode pastoral. Ce qui fait qu’on note des problèmes de disponibilité des pâturages et de l’eau sur une longue période au cours de l’année correspondant à la saison sèche avec comme conséquence la chute de production durant cette période dite de soudure (Diop, 1995). Dans le système agropastoral on note une difficulté liée à la hausse des prix d’aliment de bétail durant la période de soudure.
 Contraintes sanitaires
Dans le système pastoral, les pathologies sont constantes, cependant le troupeau continu de payer un lourd tribut aux diverses parasitoses et aux maladies telluriques.
Selon Diao et al, (2005), quant au système agropastoral pris dans son ensemble, il est sujet aux pathologies d’origines métabolique, infectieuse et contagieuse telles que la Fièvre aphteuse, la Dermatose Nodulaire Cutanée Bovine (DNCB)… ainsi que des pathologies localisées dont les plus fréquentes sont les piétins et les mammites.
 Contraintes génétiques
En Afrique tropicale de façon générale l’aptitude laitière des races locales reste faible et suffit à peine de couvrir les besoins du veau et de l’autoconsommation (Keita, 2005).
C’est face à cette situation que des projets tels que la GOANA et le PAPEL vont voir le jour dans l’optique d’améliorer la productivité en lait de la race locale à travers l’insémination artificielle (Manishimwe, 2012).

Enjeux économiques de la filière lait au Sénégal

 Importation du lait au Sénégal
La production laitière locale est estimée à plus de 206,6 millions de litres, représentant ainsi 59% de la demande nationale annuelle. Ce qui fait du Sénégal, le plus grand importateur du lait et les produits laitiers de la zone UEMOA avec une facture laitière qui s’élève à plus de 60 milliards CFA (Stiftung, 2018).
Cependant force est de constater que le lait en poudre importé a connu une baisse durant ces dernières années.

Gestion d’une exploitation de vaches laitières

Depuis longtemps, la vache a permis de nourrir les hommes au travers de son lait et les sous-produits issus de ce dernier, contribuant ainsi à l’autarcie caractéristique des fermes d’autrefois.
Au fil du temps, l’exploitant laitier, par sa production de plus en plus spécialisée, n’a cessé de produire de manière croissante pour un nombre toujours important pour ses concitoyens.
De la ferme typique avec ses multiples espèces animales, on a glissé progressivement vers une exploitation agricole, véritable entreprise nécessitant une attention toute particulière dans les opérations quotidiennes, afin d’être à la fois rentable et génératrice des produits répondant aux attentes des consommateurs (Cauty & Perreau, 2003). Ainsi une approche systémique s’avère indispensable pour pouvoir y arriver.
Cette approche peut être ainsi résumée sur 5 aspects axés sur le troupeau représentée par le schéma ci-dessous (figure 2) dont la reproduction, l’alimentation, la production, l’environnement et la santé.

Gestion de la reproduction dans un élevage laitier

Rappels sur la reproduction chez la vache

Selon Okouyi (2000) l’appareil génital chez la vache est constitué de deux portions :
– Une portion glandulaire constituée par les ovaires
– une portion aglandulaire ou tractus génital constituée par une portion gestative (oviductes et utérus) et une portion copulatrice. (figure 3)
La vie sexuelle chez la vache est constituée de quatre étapes chronologiques :
– Une étape pré-pubertaire qui va de la naissance à la puberté
– Une étape pubertaire qui se traduit par l’apparition des chaleurs
– Une étape adulte qui est caractérisée par la manifestation des cycles sexuels
– Une étape sénile caractérisée par la senescence (Faye, 1992).

Cycle sexuel chez la vache laitière

Dans les conditions normales, la fonction sexuelle de la vache s’exprime de manière cyclique, hormis les périodes de gestation et de post partum. Un cycle sexuel est caractérisé par l’évolution simultanée d’évènements biologiques précis intervenant à trois niveaux : cellulaire, hormonal et comportemental (Figure 4).
 Au niveau cellulaire, il y a deux phases conduisant à des formations ovariennes :
– Une phase folliculaire correspondant à la croissance des follicules qui, au stade de maturation sont dits follicules pré-ovulatoires. Cette phase se termine par l’ovulation ou rupture de follicule.
– Une phase lutéale au cours de laquelle les corps jaunes issus de la rupture folliculaire croissent et régressent. Les follicules, à partir d’un certain stade,
ainsi que les corps jaunes sont identifiables par palpation transrectale.
 Des évènements hormonaux consistent à des variations de secrétions hormonales sous contrôle neuroendocrinien intervenant au cours des deux phases ci-dessus mentionnées.
 Des évènements comportementaux, constitués par un ensemble de manifestations appelées chaleurs, se situent à la fin de la phase folliculaire.
La durée moyenne du cycle sexuel de la vache est de 21 jours.

Maitrise de la reproduction chez la vache

Détection des chaleurs

D’après Rukundo (2009) la finalité de la maîtrise de la reproduction est l’apparition des chaleurs chez la vache. Une bonne détection des chaleurs conditionne la rentabilité de l’élevage. La non maîtrise de la détection des chaleurs par l’éleveur constitue un facteur de risque important d’infertilité. Ainsi, des solutions existent pour une meilleure détection des chaleurs soit par des observations directes continues ou discontinues, soit par l’observation indirecte.
 Méthodes d’observation directe
Elle est réalisée par l’éleveur et consiste à observer le comportement soit des vaches, soit d’un animal détecteur qui est le plus souvent un taureau boute-en-train (male rendu inapte au coït par déviation chirurgicale du pénis, ou stérile par vasectomie). Cette observation peut se faire en continu sur toute la journée ou de manière discontinue en double observation (tôt le matin et le soir). L’observation continue permet de détecter 90 à 100% tandis que l’observation discontinue quant à elle permet de détecter jusqu’à 88% des chaleurs (Marichatou, 2004).
 Méthodes d’observation indirecte
Elle est caractérisée par l’utilisation des marqueurs ou des révélateurs tels que les podomètres afin de dépister les éventuelles vaches qui seraient en chaleur. D’après Marichatou (2004), contrairement à la première, cette technique n’est pas fréquemment rencontrée en Afrique.

Amélioration génétique chez la vache laitière

Le but de l’amélioration génétique est de produire un animal avec un génotype lui permettant de produire le plus efficacement possible et de maximiser le profit de l’éleveur tout en considérant les contraintes de l’environnement dans lequel l’animal réalise sa production (Boujenane, 2003).
Les moyens utilisés sont la sélection et le croisement. Le croisement est plus utilisé en Afrique. On y a recours le plus souvent à la saillie naturelle ou à l’insémination artificielle (IA). Ces deux méthodes peuvent se faire sur chaleur naturelle ou par synchronisation des chaleurs.

Evaluation des performances de reproduction dans un troupeau laitier

La gestion de la reproduction permet de limiter les effets des troubles sur les productions de l’élevage. Cette gestion passe par deux approches complémentaires qui sont d’ordre individuel (suivi) et global (bilan).

Suivi de la reproduction

Certains outils sont utilisés afin de bien suivre la reproduction et d’évaluer les performances. Plusieurs logiciels ont été développés à cet effet, cela a été l’objet de plusieurs études (Kiers, 2005). Nonobstant le fait que la plupart des éleveurs ne sont pas instruits, l’utilisation de ces logiciels reste minoritaire en Afrique.
Nous citons le Vetoexpert (Figure 5), le planning linéaire et les logiciels informatiques. Ces outils facilitent la gestion de l’élevage ainsi que la maîtrise de la reproduction.

Bilan de la reproduction

Le bilan de la reproduction est un élément qui complète le suivi de la reproduction. Le bilan  s’intéresse à tout le troupeau et permet de quantifier les performances de reproduction. Il a pour but de déterminer l’ampleur et la nature des problèmes d’élevage et de proposer si nécessaire les recommandations spécifiques. Il permet en plus de déterminer les vaches infertiles et/ou infécondes et les vaches à problèmes dans le troupeau pour les soumettre à un traitement spécial ou à la réforme (Michoagan, 2011).
Il consiste à évaluer les performances de reproduction classiquement fondées sur les paramètres de fécondité et de fertilité.

Les paramètres de la fécondité

La fécondité d’un troupeau traduit le fait que ses femelles se reproduisent dans un temps donné. Elle est mesurée en élevage laitier par les intervalles entre vêlages ou simplement par l’intervalle entre vêlage et saillie fécondante (Cauty & Perreau, 2003).
 Age au premier vêlage
Ce paramètre est évalué chez les génisses. L’âge de première mise bas dépend de l’âge de mise à la reproduction (AMR). Ce dernier dépend de différents facteurs, à savoir la race, le poids, état de santé, alimentation,…D’une manière générale, une génisse est mise à la reproduction quand elle atteint 2/3 de son poids adulte. Cette période correspond généralement à 18-24 mois d’âge (Byishimo, 2012).
 Intervalle vêlage/ insémination première (IV-IP)
Ce paramètre traduit l’âge de mise à la reproduction. Il dépend à la fois de l’anoestrus post- partum (40-60 jours), de la qualité de surveillance des chaleurs et de la politique de l’éleveur : inséminations précoces ou tardives. Des inséminations réalisées avant 50 jours sont précoces et peuvent conduire à des échecs importants. Par contre au-delà de 70 jours, elles sont tardives et nécessitent une justification (Cauty & Perreau, 2003).
 Intervalle vêlage/ insémination fécondante (IV-IF)
C’est le nombre de jours entre le vêlage et l’IA qui a conduit à une gestation. Sa valeur moyenne à l’échelle du troupeau est calculée à partir de chaque vêlage et l’insémination reconnue fécondante ((Byishimo, 2012) Selon Cauty et Perreau (2003), il ne doit pas avoir dans un troupeau plus 25% de vaches fécondées à plus de 110 jours.
 Intervalle entre les vêlages (IVV)
L’IVV représente l’intervalle entre deux vêlages successifs. Il est variable et dépend en grande partie de l’intervalle entre vêlage et une nouvelle fécondation. L’objectif de « Un veau par vache et par an » correspondant à un IVV de 365 jours est idéal, mais le seuil de 380 jours est acceptable et ne doit pas dépasser 400 jours. Les facteurs pouvant entrainer ce déséquilibre sont entre autres d’ordre alimentaire, sanitaire… (Michoagan, 2011).

Paramètres de fertilité

La fertilité est l’aptitude d’une vache à être fécondée. Elle est appréciée par les taux de réussite à l’insémination (Cauty & Perreau, 2003).
 Taux de réussite à la première insémination (TRA1)
C’est le pourcentage des femelles gravides suite à la première insémination après vêlage. C’est un critère très intéressant pour évaluer la fertilité. Mais il est peu utile sur le plan étiologique car il existe beaucoup de facteurs qui peuvent l’affecter.
 Pourcentage des vaches nécessitant trois inséminations ou plus (%3IA)
Ce paramètre évalue la proportion des vaches qui ont été inséminées au moins trois fois pour qu’elles soient gestantes. Dépendant fortement de la conduite du troupeau, il ne doit pas dépasser 15% (Byishimo, 2012).
Les vaches qui ne deviennent pas gestantes après trois inséminations seront considérées comme infertiles et donc proposées à la réforme.

Gestion de l’alimentation dans une exploitation laitière

Pour que la vache se reproduise et produise du lait normalement, les apports alimentaires doivent être en adéquation avec les besoins en divers constituants nutritifs qui sont essentiellement liés au stade physiologique de l’animal. Ainsi l’alimentation reste un facteur déterminent dans la réussite d’un élevage laitier.

Aliments utilisés en production laitière

Chez les ruminants, de façon générale, deux types d’aliments sont utilisés pour couvrir les besoins : les fourrages considérés comme étant la ration de base et les concentrés qui constituent le complément correcteur de la ration de base.
La non maitrise de la disponibilité des fourrages tout au long de l’année, fait que la plupart des exploitants laitiers s’orientent vers une autonomie alimentaire. C’est ainsi qu’ils vont se faire des réserves fourragères durant les périodes favorables à la végétation. On distingue classiquement 3 catégories de fourrages, sur la base de leur mode de conservation et de leur teneur en MS : les fourrages verts, les ensilages et les fourrages secs. Une 4e catégorie d’aliments peut être assimilée aux fourrages : il s’agit des racines et tubercules et de leurs dérivés (Cuvelier & Dufrasne, 2015).
En système semi-intensif, la conduite alimentaire est basée sur le parcours naturel, l’utilisation des résidus de récolte, les fourrages cultivés et la complémentation (N’diaye, 2006).
En élevage intensif, l’alimentation est principalement composée d’intrants qu’on retrouve localement et la ration est conçue en tenant compte des niveaux de production des lots de vaches, mais également de la disponibilité des intrants.

Besoins nutritifs chez la vache laitière

Les besoins alimentaires des vaches laitières sont ceux de tout être vivant chez lequel existe une activité continue dans toutes les cellules : de l’énergie, des matières azotées, des minéraux, des vitamines et de l’eau. Ces besoins correspondent au besoin d’entretien et de production qui varient en fonction du stade physiologique de l’animal (Meyer & Denis, 1999). Le tableau II résume les différents besoins par poids et selon l’état physiologique de l’animal.

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Table des matières

INTRODUCTION
PEMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre 1 : Elevage de bovins laitiers au Sénégal
1.1 Effectif du cheptel bovin au Sénégal
1.2 Les races bovines exploitées au Sénégal
1.2.1 Les races locales
1.2.2 Les races exotiques
1.2.3 Les produits des croisements
1.3 Les systèmes de production laitière au Sénégal
1.3.1 Système pastoral
1.3.2 Système agropastoral /semi-intensif
1.3.3 Système intensif/système moderne
1.4 Filière lait au Sénégal
1.4.1 Production laitière locale
1.4.2 Contraintes de la production laitière au Sénégal
1.4.3 Enjeux économiques de la filière lait au Sénégal
Chapitre 2 : Gestion d’une exploitation de vaches laitières
2.1 Gestion de la reproduction dans un élevage laitier
2.1.1 Rappels sur la reproduction chez la vache
2.1.1.1 Cycle sexuel chez la vache laitière
2.1.2 Maitrise de la reproduction chez la vache
2.1.2.1 Détection des chaleurs
2.1.3 Amélioration génétique chez la vache laitière
2.1.4 Evaluation des performances de reproduction dans un troupeau laitier
2.1.4.1 Suivi de la reproduction
2.1.4.2 Bilan de la reproduction
2.1.4.2.1 Les paramètres de la fécondité
2.1.4.2.2 Paramètres de fertilité
2.2 Gestion de l’alimentation dans une exploitation laitière
2.2.1 Aliments utilisés en production laitière
2.2.2 Besoins nutritifs chez la vache laitière
2.2.3 Conduite de l’alimentation des vaches laitières
2.2.3.1 Pendant le tarissement
2.2.4 Au début de la lactation
2.2.5 Alimentation des veaux
2.3 Gestion du logement dans un élevage laitier
2.3.1 Conception d’un bâtiment en élevage laitier
2.3.2 Effets des paramètres d’ambiance sur les performances de la vache laitière
2.3.3 Maitrise des paramètres d’ambiance
2.4 Gestion de la santé dans une exploitation laitière
2.4.1 Paramètres sanitaires
2.4.1.1 Taux de réforme pour infécondité
2.4.1.2 Pourcentage d’avortement
2.4.2 Paramètres de santé en zone périurbaine de Dakar
2.5 Gestion de la production laitière dans un élevage laitier
2.5.1 Quantité du lait produite
2.5.2 Qualité du lait
2.5.3 Durée de lactation
2.5.4 Durée du tarissement
2.6 Gestion économique d’une exploitation laitière
2.6.1 Couts de production
2.6.2 Rentabilité d’une exploitation laitière
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre 1: Matériel et méthodes
1.1. Site d’étude
1.1.1. Présentation de la ferme Baye N’diaye
1.1.2. Bâtiments de la ferme
1.1.3. Personnel de la ferme
1.2. Méthodologie de la recherche
1.2.1. Matériel
1.2.1.1. Matériel animal
1.2.1.2. Autre matériel
1.2.2. Méthodes
1.2.2.1. Collecte des données
1.2.2.2. Détermination des données
1.2.2.2.1. Données sur la reproduction
1.2.2.2.2. Données sur la production laitière
1.2.2.2.3. Données sur l’économie de la ferme
1.2.2.2.4. Autres données
Chapitre 2:Résultats et discussion
2.1. Résultats
2.1.1. Résultats techniques
2.1.1.1. Présentation du troupeau de la ferme
2.1.1.2. Evaluation des paramètres de reproduction
2.1.1.2.1. Paramètres de fécondité
2.1.1.2.2.Paramètres de fertilité
2.1.1.3. Evaluation de la santé des animaux
2.1.1.4. Gestion de l’alimentation
2.1.1.5. Estimation de la production laitière
2.1.1.6. Résultats sur le logement des animaux
2.1.2. Résultats économiques
2.1.2.1. Recettes de la ferme
2.1.2.2. Dépenses de la ferme
2.1.2.3. Amortissements des immobilisations
2.1.2.4. Compte d’exploitation
2.1.2.4.1.Analyse des indicateurs du compte d’exploitation
2.1.2.4.2.Analyse de la sensibilité
2.1.2.5. Impact économique et social de la ferme
2.2. Discussion
2.2.1. Résultats techniques
2.2.2. Résultats économiques
2.2.3. Recommandations
2.2.3.1. Les paramètres techniques
2.2.3.2. Economie de la ferme
2.2.3.3. Au propriétaire et aux employés de la ferme Baye N’diaye
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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