Géologie et caractéristiques physico-chimiques des dunes

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Géologie et caractéristiques physico-chimiques des dunes :

Les dépôts du matelas dunaire sont le produit principal de l’érosion intense des massifs argilo gréseux numidiens et gneissiques charriés vers la mer, dégradés en sable, puis ramenés à l’intérieur par les vents.
Les niveaux d’argiles, provenant du massif numidien, s’intercalent dans les niveaux sableux. La délapidification progressive des grés umidiens et des formations métamorphiques a donc donné des sables qui à l’étatpur renferment 80 à 90 % de silice. C’est ce qui dégage de la carte géologique et structurale établit par G. M. Vila (1980) qui montre un lambeau du socle de l’Edough au Nord de Bouteldja. Le sable est donc siliceux, fin et renferme une quantité plus ou moins forte d’argile. Il devient très argileux au pied de la chaîne numidienne. La présence de feroxyde donne au sable sa coloration rouge, brune ou jaune (source de Bouglès).
Les travaux réalisés dan la région (Khérici, 1985Ramdani,; 1996 ; Hani, 2003) permettent de distinger :
– des sable blancs ou jaune clair généralement perméables situés au centre du massif dunaire ;
– des sables plus perméables que les précédents ;
– des sables dont les grains sont enrobés d’une fine pellicule d’argile et de ce fait moins perméable que les bancs localisés surtout enbordures des reliefs gréseux ;
– des sables rouges, localisés à l’Ouest et au Sud Ouest, plus perméables que les précédents ;
– des vases sablo-limoneuses déposées au fond des marigots “nechaas” de couleur noire en relation avec la décomposition des végétaux.
Les analyses granulométriques effectuées dans le massif dunaire montrent une granulométrie fine à moyenne dont 75 à 85 % de grai ns ont un diamètre de 0.15 à 0.5 mm. Les essais de perméabilité effectués par Soletanche(in Ramdani, 1996 et Hani 2003) dans la région de Bouglès sur le sondage BG1 et BG25, montrent que les sables rouges à fraction argileuse sont caractérisés par une perméabilité de10-6 m/s.
Par contre les sables jaune foncé ont une perméabilté de l’ordre de 10-4 m/s et constituent donc un très bon réservoir aquifère.

Cadre structural :

La région d’étude est structuralement divisée en deux ensembles :
1- Les monts gréseux de Cheffia et leur prolongement jusqu’au Cap Rosa.
2- La terminaison orientale de la plaine d’Annaba occupée par le marécage de Mekada, pôle subside d’un vaste fossé d’effondrement comblé au cours du Mio-pliocène et du Quaternaire. D’après la carte géologique et structurale de J. M .Villa (1978) nous remarquons l’existence d’un ensemble des terrains accidentés (plis, faille,…) au niveau de la nappe numidienne, formant de petits chevauchements. Les argiles jouent un rôle plastique sur les plans faillés. Les résultas de ces accidents représentent deux ensembles, l’un inférieur et l’autre supérieur. Le premier est composé de synclinaux et d’anticlinaux et le second est formé par le synclinale du lac Oubeira. Le lac s’est installé dans une large cuvette synclinale, bordée au Nord de plis en genou du Dj Bouliff et au Sud par le chevauchement du Dj Aich Lahmar sur le Dj Hellilif.
Le remplissage argileux de cette cuvette, généralement réparti sur tous les massifs, a pu se maintenir en créant au-dessus des grès, une couverture imperméable permettant le ruissellement des eaux vers le lac (figure N° : 04) .
La bordure Sud Ouest du massif de Cap Rosa est liéeà une faille normale de direction nord-ouest et sud-est. Cette dernière est postérieure à la mise en place des nappes et recoupe en oblique toutes les structures de la nappe numidienne.
La présence d’un grand nombre de sources le long de cet accident est un argument indiquant que cette faille a subit un rejeu au Quaternaire selon Vila. J. M.

Paléogéographie :

C’est au cours du Quaternaire (pléistocène ancien et moyen), que le creusement des vallées de l’Est Algérien a vu le jour avec la miseen place du réseau hydrographique. A la fin du miocène le commencement du jeu de failles bordières.
A l’Est de Bouteldja et au Sud de la plaine de Tarf un puits a recoupé des marnes bleue pliocènes (Alain Marre 1987), ce qui met en évidenc l’existence de cette zone au moment de la transgression pliocène.
L’avancement de la mer méditerranéenne jusqu’à la vallée d l’oued Kébir a formé ce qu’on appelle un détroit.
Le retrait progressif de la mer durant le Quaternaire récent et la formation d’un cordon dunaire littoral ont favorisé la création de lagunes marines. Ces dernières se sont transformées peu à peu en zones marécageuses et lacs où se décantent les sédiments Argilo-limoneux durant la période sèche.
– Une régression marine engendre la formation des ables dunaires rubéfiés qui se déposent en bordure de mer sous l’action du vent du Nord Ouest.
Parallèlement au niveau du bassin a eu un démantèlement des dépôts numidiens sous forme d’éboulis.
A la fin de cette phase, une lapidification des sables par un ciment calcaire a donné naissance à des grés dunaires désignés par Hilly (1962) : des arénites calcaires ou calcarénites.
– Durant la phase transgression, les dunes rubéfiées formées au cours de la régression se façonnent en sables rouges. Au niveau aussi des oue ds, les terrasses continuent à se construire mais avec un matériel moins grossier.
– Un second cycle de régression suivi d’une transgression moins remarquable a permis la mise en place des dunes récentes et actuelles.
Au niveau des plaines littorales, existe un long transit de sable. Les cours d’eau transportent généralement les matériaux les plus fins qui constituent le sommet des terrasses.
Le couvert végétal qui s’est installé a fixé et favorisé l’engraissement des dunes par freinage de la vitesse du vent mettant aussi fin à leur mouv ement (dunes mortes).

Diagramme ombrthermique :

Le diagramme ombro thermique est établit, encombinant les températures et les précipitations moyennes mensuelles (avec : P=2T) pour déterminer les périodes sèches et humides.
D’après ces diagrammes mentionnés en figure N° : 09 et 10, on peut déterminer deux périodes bien distinctes :
– Une saison sèche et chaude qui s’étale du début dumois de Mai (18.69 °C aux Salines
et 18.58 °C à Ben M’hidi) jusqu’à la fin du mois de Septembre (22.60 °C aux Salines) et au début du mois d’Octobre (20.29 °C à Ben M’hid i).
– Une saison humide qui s’étend de début d’Octobre à Ben M’hidi et la fin de Septembre aux Salines jusqu’au mois de Mai.

Notion du bilan d’eau :

Le bilan de l’eau global a pour but principal d’établir une équation d’équilibre entre les apports et les pertes qui influent directement sur la variation des réserves. Ainsi pour déterminer le bilan de la zone d’étude, il est indispensable d’évaluer ses composantes (infiltration, ruissellement et évapotranspiration). Pour cela, on va se baser sur les données des stations des Salines et Ben M’hidi qui possèdent respectivement des séries d’observations homogènes et continues sur une période de 16 ans (1990 – 2006).

Définition de l’évapotranspiration :

L’évapotranspiration constitue un élément important du bilan hydrologique. Elle représente la quantité d’eau qui s’évapore et retourne vers l’atmosphère sous forme de vapeur. Elle résulte de la combinaison de deux phénomènes’unl physique (évaporation) et l’autre biologique qui est lie au couvert végétal (transpiration)
Le phénomène d’évapotranspiration réelle et potentielle peut être mesuré directement sur le terrain à partir d’un bac d’évaporation ou d’un évaporomètre, grâce également à des lysimètres ou calculé par des formules empiriques telles que celle de Turc ou de Thornthwaite.

Estimation de l’évapotranspiration réelle (ETR) :

L’ETR est la quantité d’eau généralement exprimée en mm évaporée ou transpirée par : le sol, les végétaux et les surfaces libres d’un bassin versant (mers, lacs, cours d’eau…) et se manifeste de fait en conditions naturelles dans un site donne compte tenu de la demande climatique de l’air et de la disponibilité en eau du sol. Pour le calcul de L’ETR on utilise trois formules :
. Formule de Turc.
. Formule de Coutagne.

Interprétation du bilan hydrique :

L’établissement du bilan hydrique a pour but de conaître les différents paramètres (ETP, ETR, RFU, DA, EXC) , qui nous aident à compre ndre le fonctionnement des systèmes hydrologique ( Laborde , 1982) .
D’après le bilan hydrique dans les deux stations calculées par la méthode de Thornthwaite nous constatons que la RFU (réserve facilement utilisable) commence à se reconstituer à partir du mois de Novembre pour atteindre son maximum (100 mm) de Décembre à Avril pour les deux stations. Pendent cette période il y a un surplus d’eau se manifestant par un écoulement. Elle diminue à partir du mois de Mai jusqu’à ce qu’ elle soit totalement épuisée au mois de Juin accompagnée par l’apparition du déficit agricole (DA) qui se poursuit jusqu’à Octobre.
L’ETP atteint son maximum au mois d’Août (160.03 mm aux salines et 161.06 mm à Ben M’hidi) et son minimum au mois de Janvier respectivement pour les deux stations(19.53 mm et 18.46 mm) , l’Excédent à partir du mois de Décembreet s’étale jusqu’au mois de Mars avec un maximum au mois de Janvier (84.75 mm aux salines et 80.46 mm à Ben M’hidi), l’épuisement du stock commence au mois d’Avril et se termine au mois de Juillet avec un déficit agricole maximum au mois d’Août imposant une irrigation .

L’alimentation de l’aquifère du massif dunaire de Bouteldja:

L’alimentation de cette nappe se fait essentiellement :
. à partir des pluies abondante de la saison pluvieus e.
. à partir des écoulements souterrains de la nappe de grés numidiens (infiltration et ruissellement) qui sont visibles par les sources au pied du massif gréseux dans sa limite Est.

Conditions aux limites de la nappe du massif dunaire :

Au Nord, les eaux souterraines du massif dunaire se déversent dans la mer le long du littoral.
Au Sud, la terrasse du Kébir Est, limitée par le Djebel Bourdim et la Mafragh, constitue un deuxième exutoire de la nappe dunaire, aussi compte tenu des changements latéraux de faciès liés au contact des dunes avecesl terrasses alluvionnaires, la nappe dunaire admet aussi une limite de fuite vers les marécages.
A l’Est, la nappe dunaire est en contact avec des grés numidiens peu argileux, la limite devient perméable, par contre les grés pratiquement argileux constituent en profondeur une limite imperméable.
Le substratum de nature argilo-greseux, sur lequel reposent les formations éoliennes s’enfonce du sud-est vers le nord et sud-ouest.

Caractéristiques hydrodynamiques de la nappe :

On peut déterminer les paramètres hydrodynamiques de la nappe soit par la réalisation d’essai de pompage soit par de tests au laboratoire .

L’étude de la transmissivité (T) et du oefficient d’emmagasinement (S) :

L’interprétation des données de pompage d’essai réalisé dans la nappe dunaire de Bouteldja a permis d’identifier la zone la plus transmissive qui se localise dans le bassin de l’oued El Bhaim et dans le secteur Bouglès, Bourdim. D’une manière générale les valeurs de transmissivité sont comprises entre 10 et 1.3 10 m /s.
L’analyse de ces données a permis aussi de déterminer le coefficient d’emmagasinement dont les valeurs sont de l’ordre de 11.5% en moyenne. Ce qui correspond au valeur d’une nappe libre.

Détermination et répartition des perméabilités :

Détermination des perméabilités :
La Transmissivité étant égale au produit dea lperméabilité par la puissance de l’aquifère. La perméabilité est donc définie commeétant le rapport entre la transmissivité et l’épaisseur saturée de la couche aquifère. C’est par cette relation à partir de la superposition de la carte des transmissivités et celle des épaisseurs mouillées qu’il a été possible de déterminer la variation des coefficients de perméabilités à travers la nappe dunaire (Ramdani. A ; 1996).
Répartition des coefficients de perméabilités :
L’étude de la carte des perméabilités élaborée à rtirpa d’un grand nombre de valeurs de coefficients de perméabilités (figure N°.20), fait ressortir que les perméabilités augmentent d’Ouest en Est, et révèle trois zones distinctes :
– Une zone dont les valeurs inférieures à 2.10-5 occupe la partie Ouest ;
– Une zone centrale qui s’étend de Mouaissia à Righia au Sud jusqu’à Hennaya à la mer au Nord avec des valeurs comprises entre 2 et 8.10-5m/s ;
– Une zone Sud Est, inscrite dans le triangle Righia, Bourdim et Bordj Ali Bey, caractérisée par des perméabilités comprises entre 1 et 3.10m/s.

Interprétation de la carte du substratum(carte isobathe) :

La morphologie interne du substratum est déterminéeà partir des coupes litho stratigraphiques et des forages parfaits. La carte isobathe montre une morphologie complexe avec deux principales cuvettes : l’une au Nord et l’autre au Sud du massif dunaire. Ce sont deux zones favorables à l’implanta tion des forages :
• La zone Nord : L’espacement des courbes est plus ou moins régulier, indiquant des pentes faibles du centre vers le Nord. La profondeur augmente de 80 m (BAB4) jusqu’à 220 m (P19). Cette structure est due à l’ex istence d’un affaissement du substratum, donc un réservoir plus épais.
• La zone Sud : Les courbes sont serrées, est donc abrupte, le substratum descend de 80 m à 150 m. Allant vers le Sud Ouest, l’espacemen t des courbes est important, indiquant une pente moins raide.

Piézomètrie de la nappe libre de Bouteldja :

Les points ayant fait l’objet de mesures par l’ANRH en Mai et en Octobre 2002, sont groupés dans un espace très réduit et se localise ienb loin de notre zone d’étude ce qui ne permet pas de faire des extrapolations fiables. Nous nous sommes donc basés sur les cartes piezométriques du mois d’Octobre 1994. (Ramdani 1996) et de 1982 (Khérici. N 1985).
Ces cartes montrent que l’écoulement souterrain est dérigé vers la mer au Nord et vers les terrasses de l’oued Kebir au Sud.
On observe un écoulement vers la zone sud-est, caractérisée par les apports venant des reliefs greso-argileux. Cette zone d’extension, limitée par rapport au Nord dont la circulation des eaux est beaucoup plus orientée, reste soumise à un écoulement important et rapide compte tenu de l’alimentation de la nappe qui se fait principalement par les précipitations.
On note que l’exploitation intensive a modifié la morphologie de la nappe. L’allure des courbes piézomètriques est caractérisée par plusieurs axes de drainages liés aux pompages excessifs.
Le gradient hydraulique est d’autant plus fort que les courbes sont plus serrées, c’est notamment le cas de la partie sud, sud-est correspondant aux sous bassins de Bouglès et Bhaim. Ce resserrement est dû essentiellement à une faible perméabilité.
Par contre, au centre, au nord, nord-ouest, les courbes isopièzes sont espacées traduisant un faible gradient et une bonne perméabilité.
Le manque de points de mesure dans la partie Ouest de la zone d’étude, ne nous permet pas de connaître l’allure de la piézomètrie .

Estimation des réserves :

L’estimation des réserves des nappes libres repose essentiellement sur l’étude des fluctuations du niveau piézomètrique dans les nappes.
Les réserves régulatrices représentent la quantitéd’eau libre emmagasinée par les terrains aquifères au cours d’une recharge importante par alimentation naturelle.
Les réserves régulatrices sont en rapport étroit avec les variations du niveau piézomètrique des nappes, ce sont celles qui alimentent et régularisent le débit d’écoulement des eaux souterraines aux exutoires naturelles.
Les réserves permanentes correspondent aux réserves profondes, déterminant le volume d’eau libre stockée dans la couche aquifèredélimitée à la base par le substratum, elles sont pas affectées par les fluctuations piézomètriques et dont le volume est considéré comme constant.
L’estimation des réserves permanentes repose sur le calcul du volume d’eau emmagasiné dans la tranche de la couche aquifère durant la période sèche, lorsque le niveau piézomètrique est au plus bas, d’après la carte d’égale épaisseur des sables saturée (Figure N° 22), nous avons pu établir le volume d’eau par la formule suivante : WVIe ⇒W seIe
Avec :
W : Volume d’eau emmagasiné (m ).
s : Surface de la zone (m2).
e : Epaisseur moyenne de la couche aquifère (m).
Ie : Porosité efficace des sables, qui est de l’ordre de 12% d’après G.Castany.

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Table des matières

Introduction
Chapitre I : Cadre physique et géologique.
I. 1. Extension de la zone d’étude.
I. 2. Aspect géomorphologique
I. 3. Géologie
I. 4. Stratigraphie
I. 4. 1. Les formations du secondaire
I. 4. 2. Les formations tertiaires
I. 4. 3. Quaternaire
I. 4. 3. 1. Quaternaire ancien
I. 4. 3. 2. Quaternaire moyen
I. 4. 3. 3. Quaternaire récent
I. 5. Géologie et caractéristiques physico-chimiques des dunes
I. 6. Cadre structural
I. 7. Paléogéographie
I. 8. Tectonique
I. 9. Conclusion
Chapitre II : Hydroclimatologie.
II. 1. Introduction
II. 2. Le climat
II. 3. Les facteurs climatiques
II. 3. 1. Les précipitations
II. 3. 1. 1. Précipitations moyennes mensuelles
II. 3. 1. 2. Les précipitations moyennes annuelles
II. 3. 2. Les températures
II. 3. 2. 1. Les températures moyennes mensuelles
II. 3. 2. 2. Les températures moyennes annuelles
II. 4. Diagramme ombrothermique.
II. 5. Notion du bilan d’eau
II. 5. 1. Définition de l’évapotranspiration
II. 5. 1. 1. Estimation de l’évapotranspiration réelle (ETR)
II. 5. 1. 2. Estimation de l’évapotranspiration potentielle (ETP)
II. 5. 2. Interprétation du bilan hydrique
II. 5. 3. Comparaison
II. 6. Estimation de la lame d’eau écoulée
II. 6. 1. Le ruissellement
II. 6. 2. Infiltration efficace
II. 7. Hydrologie
II. 7. 1. Introduction
II. 7. 2. Le bassin versant de l’oued Kebir Est
II. 7. 3. Hydrographie
II. 7. 4. Régime de l’Oued Kebir Est à la station hydrométrique de Ain Assel
II. 7. 5. Tarage de la station de Ain El Assel
II. 8. Conclusion
Chapitre III : Hydrogéologie.
III. 1. Introduction
III. 2. Inventaire des points d’eau
III. 2. 1. Les sources
III. 2. 2. Les puits
III. 2. 3. Les forages
III. 3. Géométrie et structure
III. 4. L’alimentation de l’aquifère du massif dunaire de Bouteldja
III. 5. Conditions aux limites de la nappe du massif dunaire
III. 6. Caractéristiques hydrodynamiques de la nappe
III. 6. 1. L’étude de la transmissivité (T) et du coefficient d’emmagasinement (S)
III. 6. 2. L’étude du coefficient de perméabilité (K) et de la porosité efficace (ne)
III. 6. 3. Répartition spatiale des transmissivités
III. 6. 4. Détermination et répartition des perméabilités
III. 6. 5. Interprétation de la carte du substratum (carte isobathe)
III. 6. 6. Interprétation de la carte d’égale épaisseur de la couche saturée (carte isopache).
III. 6. 7. Piézomètrie de la nappe libre de Bouteldja
III. 6. 8. Estimation des réserves
III. 7. Etat des ressources en eau dans la Wilaya d’El TARF
III. 7. 1. Ressources en eaux superficielles
III. 7. 2. Ressources en eaux souterraines
III. 8. Conclusion
Chapitre IV : Hydrochimie
IV. 1. Introduction
IV. 2. Méthode de prélèvement
IV. 3. Caractéristiques physico-chimiques du système aquifère du massif dunaire
IV. 3. 1. Paramètres physiques
IV. 3. 1. 1. Le pH
IV. 3. 1. 2. Température
IV. 3. 1. 3. Conductivité
IV. 3. 1. 4. Résidu sec
IV. 3. 2. Paramètres chimiques
IV. 3. 2. 1. Calcul des rapports caractéristiques
IV. 3. 2. 2. Origine des éléments dissous
IV. 4. Bilan ionique
IV. 5. Répartition graphique des analyses chimiques
IV. 5. 1. Le diagramme en losange ou diagramme de Piper
IV. 5. 2. Diagramme de Schoëller Berkaloff
IV. 6. Interprétation des résultats
IV. 6. 1. Répartition graphique sur le diagramme de Piper et de Schoëller Berkaloff des résultats d’analyse chimique, période hautes eaux Bouteldja 2000, 2001, 2002, 2004 et 2006
IV. 6. 2. Répartition graphique sur le diagramme de Piper et de Schoëller Berkaloff des résultats d’analyse chimique, période basses eaux Bouteldja 2000 et 2005
IV. 7. Faciès chimique et formule ionique des analyses chimiques
IV. 8. Eau de sables et grès purement siliceux
IV. 9. Eaux de surface
IV. 9. 1. Les eaux de l’oued El Kébir
IV. 10. Conclusion
Chapitre V: Etude de pollution des eaux du Lac Noir.
V. 1. Introduction
V. 2. Moyens et méthodes
V. 2. 2. Prélèvements
V. 2.3. Mesures in situ
V. 2.4. Analyse des éléments chimiques
V. 2.5. Les paramètres de potabilité ou de pollution organique
V. 3. Les paramètres physico-chimiques (mesure in situ)
V. 3. 1. Le potentiel d’hydrogène (pH)
V. 3. 2. Conductivité électrique
V. 3. 3. La salinité
V. 4. Les éléments de la pollution
V. 4. 1. Les éléments majeurs
V. 4. 1. 1. Calcium (Ca++)
V. 4. 1. 2. Magnésium (Mg++)
V. 4. 1. 3. Chlorure (Cl-) et Sodium (Na+)
V. 4. 1. 4. Potassium (K+)
V. 4. 1. 5. Sulfates (SO4- -)
V. 4. 1. 6. Bicarbonates (HCO3-)
V. 4. 2. Cycle de l’azote
V. 4. 2. 1. Ammonium (NH4+)
V. 4. 2. 2. Nitrites (NO2-)
V. 4. 2. 3. Nitrates (NO3-)
V. 4. 3. Les éléments mineurs naturels
V. 4. 3. 1. Phosphates (PO43-)
V. 4. 4. Les paramètres de pollution organique
V. 4. 4. 1. La demande biochimique en oxygène (DBO5)
V. 5. L’indice de la pollution organique (IPO)
V. 6. Les indicateurs de pollution organique
V. 7. Interprétation
V. 7. 1. Indice de la pollution organique
V. 7. 2. Les indicateurs d’eutrophisation
V. 8. Conclusion
Chapitre VI: Détermination des paramètres hydrodispersifs.
VI. 1. Introduction
VI. 2. L’infiltration
VI. 2. 1. Les facteurs influençant l’infiltration
VI. 2. 2. Modélisation du processus d’infiltration
VI. 2. 2. 1. Relations empiriques
VI. 2. 2. 2. Modèles à base physique
VI. 2. 3. Détermination pratique de la capacité d’infiltration du sol au voisinage du Lac Noir
VI. 2. 3. 1. Spécification et mise en place de l’infiltromètre
VI. 2. 3. 2. Méthode de calcul
VI. 2. 3. 3. Interprétation des résultats des essais d’infiltration
VI. 2. 3. 4. Détermination de la capacité d’infiltration au voisinage du forage U3 (2005)
VI. 2. 3. 5. Détermination de la capacité d’infiltration au voisinage du forage BA1 (2005)
VI. 2. 3. 6. Détermination de la capacité d’infiltration du essai I (2007)
VI. 2. 3. 7. Détermination de la capacité d’infiltration du essai II (2007)..
VI. 2 .3. 8. Détermination de la capacité d’infiltration du essai III (2007)
VI. 3. Les paramètres hydrodispersifs..
VI. 3. 1. Bases théoriques
VI. 3. 1. 1. Notion concernant le milieu poreux.
VI. 3. 1. 2. Physique des transferts
VI. 3. 1. 2. 1. La convection
VI. 3. 1. 2. 2. La loi de Darcy
VI. 3. 1. 2. 3. Porosité cinématique
VI. 3. 1. 2. 4. Vitesse effective
VI. 3. 1. 2. 5. Dispersion
VI. 3. 1. 2. 6. Dispersion longitudinale
VI. 3. 1. 2. 7. Dispersion transversale
VI. 3. 1. 3. Echanges
VI. 3. 1. 3. 1. Adsorption-Désorption
VI. 3. 1. 3. 2. Echanges eau libre-eau liée
VI. 3. 2. Manipulation
VI. 3. 3. Détermination graphique des paramètres hydrodispersifs
VI. 4. Conclusion
Chapitre VII: Modélisation de l’impact des eaux de réalimentation.
VII. 1. Introduction
VII. 2. Généralités
VII. 3. Rappel des étapes de l’élaboration du modèle hydrodynamique (Saadia. B, 2006)
VII. 3. 1. Chois du modèle
VII. 3. 2. Le schéma du modèle
VII. 3. 3. Les limites du modèle
VII. 3. 4. Les épaisseurs
VII.3. 5. Les paramètres hydrodynamiques
VII. 3. 5. 1. Le coefficient de perméabilité
VII. 3. 5. 2. Le coefficient de porosité efficace
VII. 3. 5. 3. Le facteur de drainance
VII. 3. 6. La piézométrie
VII. 3. 7. Les conditions aux limites
VII.3. 7. 1. Les flux naturels souterrains
VII. 3. 7. 2. La recharge de l’aquifère
VII. 3. 7. 3. Le débit des forages d’exploitation
VII. 3. 7. 4. L’infiltration dans les zones d’épondages
VII. 4. Modèle de transport de masse
VII. 4. 1. Considérations théoriques
VII. 4. 1. 1. La convection
VII. 4. 1. 2. La dispersion
VII. 4. 1. 2. 1. Définition
VII. 4. 1. 2. 2. Coefficient de dispersion
VII. 4. 1. 3. Les réactions chimiques
VII. 4. 1. 3. 1. Adsorption linéaire ou non linéaire d’équilibre commandé
VII. 4. 1. 3. 2. Adsorption du non équilibre
VII. 4. 1. 3. 3. Abaissement radioactive ou biodégradation
VII. 4. 2. Simulation de la propagation des sulfates
VII. 4. 3. Simulation de la propagation des hydrocarbures
VII. 5. Conclusion
Conclusion générale
Bibliographie

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