GÉNÉRALITÉS SUR LES GEOHELMINTHIASES 

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Manifestations cliniques : 

Sur le plan clinique, l’ascaridiose asymptomatique est la forme la plus fréquente qui correspond à une infestation modérée. Son diagnostic est posé lors de la découverte fortuite d’œufs dans les selles, ou lors du rejet spontané de vers adultes par l’anus. Les symptômes cliniques de l’ascaridiose maladie quand ils sont présents, correspondent à deux phases successives : la phase d’invasion qui exprime le stade de migration larvaire et la phase d’état contemporaine du stade adulte.
– Phase d’invasion : le passage pulmonaire des larves est susceptible d’entraîner une réaction infiltrative responsable d’un syndrome de Löeffler. Il apparaît 3 à 16 jours après l’ingestion d’œufs d’ascaris et se manifeste par un état subfébrile, une légère dyspnée, des accès de toux sèche et de rares expectorations muqueuses dans lesquelles on retrouve des polynucléaires éosinophiles et des cristaux de Charcot-Leyden.
– Phase d’état : Les symptômes sont directement liés à la présence des vers adultes dans l’intestin. Les troubles gastro-intestinaux constituent les manifestations les plus fréquentes et les plus évocatrices à savoir des douleurs abdominales pseudo-ulcéreuses, des nausées, des vomissements, une diarrhée ou un syndrome dyspeptique.

Diagnostic : 

Diagnostic biologique :

Il est principalement fait à la phase d’invasion. L’hémogramme montre une hyperleucocytose avec hyperéosinophilie.

Diagnostic parasitologique :

C’est à la phase d’état, 3 mois après la contamination, que le diagnostic de l’ascaridiose devient parasitologique et peut être facilité par la mise en évidence de vers adultes dans les selles ou les vomissements, ou d’œufs dans les selles. Les œufs apparaissent dans les selles 60 à 75 jours après l’exposition.
L’examen parasitologique des selles fraîches entre lame et lamelle suffit en cas d’infestation massive pour le diagnostic d’ascaridiose. Il permet de mettre en évidence les œufs d’Ascaris dans les selles (Figure 4).
La mise en évidence des œufs permet un diagnostic de certitude mais il faut savoir répéter les examens de selles à quelques jours d’intervalle pour couvrir les périodes d’élimination négatives. Donc un examen de selles négatif n’élimine pas le diagnostic d’ascaridiose. Dans les pays en développement, le diagnostic repose essentiellement sur l’examen parasitologique des selles.

Traitement : 

Buts :

Le but principal du traitement est l’éradication du parasite.

Moyens :

Le traitement fait appel à des antihelminthiques plus précisément les benzimidazolés à savoir le Thiabendazole, le Mébendazole (VERMOX®), le Flubendazole (FLUVERMAL®), l’Albendazole (ZENTEL®), le Pamoate de pyrantel (COMBANTRIN®), l’Emboate de pyrantel (HELMINTOX®). Des moyens préventifs sont également mis à la portée de tous pour éviter les risques d’épidémie.

Indications :

Le traitement médical est de règle ; il est très efficace, simple et fait appel de préférence aux benzimidazolés qui sont des antihelminthiques efficaces sur les ascaris qui agissent par blocage de l’absorption du glucose. Le médicament de référence dans les pays en développement est le Mébendazole (VERMOX®) à la dose de 200 mg/jour une prise par jour pendant 3 jours. Chez la femme enceinte, on prescrit le pamoate de pyrantel (COMBANTRIN®) ou l’emboate de pyrantel (HELMINTOX®) lesquels ont une action rapide par une paralysie des vers par un blocage neuromusculaire et ce, à raison de 11 mg/kg une prise par jour pendant 3 jours.

Prophylaxie :

La prévention comprend des mesures d’hygiène élémentaires, individuelles, collectives et environnementales de lutte contre le péril fécal : L’éducation sanitaire sur les risques liés au péril fécal dans les écoles ; L’installation de latrines et d’égouts ; Le traitement des eaux usées par des mesures d’assainissement ; Le lavage régulier des mains avant les repas, après la défécation et après avoir touché la terre ; Le lavage correct des aliments comme les crudités (salades, radis, fraises, etc.) sans oublier de filtrer et traiter l’eau de boisson en zone tropicale ; Le déparasitage de masse avec les antihelminthiques dans le cadre de la lutte contre les Maladies Tropicales Négligées.

TRICHOCEPHALOSE :

Définition : 

C’est une helminthiase intestinale due à Trichuris trichiura, parasitose le plus souvent asymptomatique mais pouvant entraîner des manifestations graves chez l’enfant en cas d’infestation massive.

Epidémiologie

Trichuris trichiura est une espèce appartenant au phylum des Nématodes, à la classe des Adenophora, et au genre Trichuris Le parasite se présente sous deux formes :
– Ver adulte
L’adulte est un ver blanc rosé ou rougeâtre à l’état frais et mesure 3 à 5cm. Il présente une partie céphalique qui occupe les 2/3 de la longueur totale. Cette partie est très effilée, amincie et ne contient que l’œsophage. Le parasite présente une partie postérieure beaucoup plus large contenant la deuxième partie du tube digestif et l’appareil reproducteur. Le mâle mesure 30 à 35 mm avec une partie postérieure enroulée en spirale. La femelle mesure 35 à 55 mm et la partie postérieure est légèrement arquée. (Figure 5)
– Œufs
Les œufs sont très caractéristiques. Ils sont ovalaires en forme de citron et mesurent 50-60 µm de long sur 25-30 µm de large. Ils sont bruns foncés, à coque épaisse percée aux deux pôles d’un orifice (bouchon muqueux). (Figure 6)
– L’homme est le seul réservoir de parasite pour Trichuris trichuira. Les vers adultes vivent dans le côlon et siègent là où s’observe une stagnation stercorale. Le trichocéphale est un ver hématophage et la spoliation sanguine journalière est de 5 μl de sang par parasite.
Les œufs éliminés dans les matières fécales doivent obligatoirement séjourner dans le milieu extérieur pour arriver à maturation et devenir infestants. L’homme se contamine en ingérant ces œufs.

Manifestations cliniques

Les trichocéphaloses sont le plus souvent asymptomatiques. Elles ne sont détectées que lors d’un examen de selles systématique ou lors de l’émission spontanée de vers adultes dans les selles. Les différents signes cliniques observés sont assez variés. Il s’agit :
– de troubles intestinaux à type de douleurs abdominales, diarrhées, nausées, vomissements, constipation, et anorexie ;
– de troubles neurologiques observés dans les formes sévères de la trichocéphalose. Ces troubles sont à types d’anxiété, d’irritabilité, d’insomnie…

Diagnostic au laboratoire

Il se fait par la mise en évidence de vers adultes ou des œufs dans les selles après examen direct à l’état frais et après concentration par les techniques de sédimentation (Exemple de la technique de Ritchie modifiée) ou les techniques de flottaison.

Traitement

Buts :

Il faut éliminer les parasites, éviter les complications et prévenir la maladie.

Moyens :

Les benzimidazolés sont le plus souvent indiqués. Les différentes molécules utilisées sont :
✓ Albendazole (ZENTEL®, ALBEN®)
✓ Mébendazole (VERMOX®)
✓ Flubendazole (FLUVERMAL®)
✓ Tiabendazole (MINTEZOL®

Indications :

– Le Mébendazole (VERMOX®) est prescrit aux mêmes doses que pour l’ascaridiose c’est-à-dire à la dose de 200 mg/jour une prise par jour pendant 3 jours.
– L’Albendazole (ZENTEL®) se donne en comprimé ou suspension à la dose de 400 mg en cure unique
– Le Flubendazole (FLUVERMAL®) en comprimé ou en suspension dosée à 100 mg matin et soir pendant 3 jours.

Prophylaxie

Elle consiste à protéger l’homme sain par une bonne hygiène individuelle et collective articulée autour des points suivants :
• Lavage des mains avant les repas et après les défécations ;
• Protection des aliments des mouches et des animaux domestiques ;
• Laver soigneusement fruits et légumes
• Ne consommer que de l’eau potable ou sinon filtrée ou bouillie préalablement;
• Éviter de marcher pieds nus sur la terre ou dans la boue en zone tropicale;
• Éviter les plages polluées et les eaux douces douteuses;
• Manger de la viande de porc ou de bœufs bien cuits (cela se heurte souvent aux préférences culinaires).
• Chimiothérapie préventive des sujets en zone d’endémie.

ANKYLOSTOMIASE

Définition :

L’ankylostomose ou ankylostomiase est une parasitose cosmopolite devenue tropicale. Deux nématodes sont responsables de l’ankylostomose humaine : Necator americanus et Ancylostoma duodenale.

Epidémiologie

Les deux espèces appartiennent à l’embranchement des Nematoda et à la classe des Secernentea.
Necator americanus affecte les régions tropicales : Afrique subsaharienne, océan Indien, Inde, Chine, Asie du sud-est, Amérique centrale et du sud. Ancylostoma duodenale intéresse les mêmes régions tropicales, mais aussi des régions tempérées : Afrique du Nord, Europe méridionale, nord de l’Inde et de la Chine (Figure 7).
Les ankylostomes sont des parasites exclusivement humains, sans hôte intermédiaire. La transmission est exclusivement cutanée pour Necator americanus, cutanée, mais aussi possible par voie buccale, transplacentaire ou lors de l’allaitement pour Ancylostoma duodenale. Durant leur cycle de vie, ils prennent trois formes :
– Adultes : les vers cylindriques, de couleur blanc nacré ou rosé (après un repas sanguin), sont parfois difficiles à distinguer macroscopiquement entre eux, les vers de Necator americanus (Figure 9) étant à peine plus minces et plus courts que ceux d’Ancylostoma duodenale (Figure 8). La longueur des vers mâles est d’environ 7 à 9 mm, celle des vers femelles entre 9 et 11 mm.
– Œufs : non embryonnés, ellipsoïdes, ont une longueur moyenne de 70 μm et une largeur de 40 μm. À largeur égale, ils sont donc sensiblement plus longs que ceux d’Ancylostoma duodenale qui mesurent, dans les mêmes conditions d’examen, 60 μm sur 40 μm (Figure 10 et 11).
Figure 10 : Œuf d’Ancylostoma duodenale Figure 11 : Œuf de Necator americanus
– Larves : à température ambiante, l’embryon se forme en 24 heures, puis perce la coque de l’œuf libérant une larve rhabditoïde L1, à double renflement œsophagien, subit une première mue, devenant une larve strongyloïde L2 avec un seul renflement œsophagien terminal. Ce n’est cependant qu’au stade suivant L3 que la larve grandit et devient infestante.
La répartition géographique des Ankylostomidés est gouvernée par les exigences thermiques des larves. Les larves d’Ancylostoma duodenale peuvent évoluer à partir de 22 à 26°C, celles de Necator americanus nécessitent une température plus élevée c’est-à-dire 27 à 30°C. Ainsi Ancylostoma duodenale prédomine au nord du tropique du cancer et Necator americanus au sud de ledit tropique (Figure 12).

Phase larvaire d’invasion :

Les larves entraînent une irritation des voies aériennes supérieures ou catarrhe des gourmes, des manifestations allergiques à type de dyspnée asthmatiforme, syndrome de Löeffler.

Phase d’état intestinale avec troubles digestifs et anémie :

Lesdits troubles digestifs sont en particulier des douleurs épigastriques, pesanteur ou ballonnement abdominal, sensation de faim douloureuse, douleurs pseudo-ulcéreuses avec pyrosis entraînant une géophagie (ingestion de terre), diarrhée faite de 5 à 10 selles par jour. L’anémie se présente avec asthénie, dyspnée d’effort, tachycardie, palpitations, souffle systolique, pâleur cutanéo-muqueuse, vertiges, modifications des ongles mous, aplatis (onychomalacie). Lorsque l’anémie est sévère, des œdèmes mous, prenant le godet, dus à une hypoprotidémie avec hypoalbuminémie, apparaissent.

Diagnostic : 

Diagnostic biologique :

Il représente l’ensemble des éléments d’orientation.
– A l’hémogramme, il y a une anémie microcytaire, hypochrome, hyposidérémique, arégénérative, le taux d’hémoglobine peut être inférieur à 3 g/dl. Discrète au début, son importance dépend de la charge parasitaire.
– Une hyperleucocytose due à une hyperéosinophilie maximum s’observe au 3ème mois (60 à 80 % de la formule leucocytaire), puis la courbe s’infléchit et revient lentement à la normale (1 à 2 ans).
– Il peut aussi y avoir une hypoprotidémie associée à une hypoalbuminémie avec chute du zinc sérique.

Diagnostic immunologique :

Il est indirect et se pose devant la mise en évidence des anticorps sériques des différentes classes (IgG, IgM, IgA, IgE) apparaissant au cours de l’infection, et pouvant être détectés par immunofluorescence indirecte, ELISA ou immunoblot.

Diagnostic parasitologique :

Il comprend les éléments de certitude avec l’examen direct, les techniques de concentration par :
– la mise en évidence d’œufs d’aspect caractéristique : ellipsoïdes, symétriques, à coque mince et transparente, de 60 µm sur 40 µm, contentant 4 blastomères (Ankylostoma duodenale) ou 8 blastomères (Necator americanus)
– la numération des œufs et la concentration parasitaire : elles permettent de juger de l’importance de l’infection (infection modérée : 2 000 œufs/g de selles, infection moyenne : de 2000 à 10 000 œufs/g de selles, infection sévère : supérieur à 10 000 œufs/g de selles) en précisant le nombre de vers adultes hébergés par le malade, d’évaluer la charge parasitaire et de la corréler avec l’intensité de l’anémie.
– la coproculture parasitaire : l’étude des larves permet le diagnostic d’espèce avec certitude. L’examen des selles doit être fait rapidement dans les 3 heures, sinon il y a poursuite de la segmentation des blastomères et on ne peut pas différencier les 2 ankylostomes entre eux ; dans les 24 heures, sinon il y a transformation en larves rhabditoïdes, puis strongyloïdes et on ne peut différencier ankylostomose et anguillulose.

Traitement : 

Buts :

Eliminer les parasites, éviter les complications et prévenir la maladie font partie du but principal en vue de l’éradication de l’ankylostomiase.

Moyens :

On utilise de préférence les benzimidazolés, comme dans l’ascaridiose : Mébendazole (VERMOX®), Albendazole (ZENTEL®), Pyrantel d’emboate (HELMINTOX®), Pamoate de pyrantel (COMBANTRIN®), Flubendazole (FLUVERMAL®)

Indications :

Le traitement antiparasitaire fait appel aux benzidimazolés mais avec une efficacité moindre:
– Le Mébendazole (VERMOX®) aux mêmes doses que pour l’ascaridiose c’est-à-dire à la dose de 200 mg/jour une prise par jour pendant 3 jours.
– L’Albendazole (ZENTEL®) se donne en comprime ou suspension a la dose de 400 mg en cure unique et le Flubenazole (FLUVERMAL®) en comprime ou en suspension dosée à la dose de 100 mg matin et soir pendant 3 jours.
– Le pyrantel, sous forme d’Emboate (HELMINTOX®) ou de Pamoate de pyrantel (COMBANTRIN®) est actif à la dose de 20 à 25 mg/kg en 1 ou 2 prises pendant 3 jours.
Quelques cas de résistance au traitement ont été rapportés avec le Mébendazole pour Necator americanus et avec le pyrantel pour Ankylostoma duodenale.
Les alternatives thérapeutiques pourraient faire appel à des combinaisons thérapeutiques telles que :
• Mébendazole 500 mg + Lévamisole (SOLASKIL®) 80 mg en une prise
• Albendazole 400 mg + Ivermectine 200 µg/kg en une prise.
Le traitement de l’anémie fait appel au sulfate ferreux per os :
• 200 mg/jour chez l’adulte,
• 10 mg/jour chez l’enfant de moins de 30 kg pendant 3 mois et à l’acide folique, 20 mg/j pendant 3 semaines. Si le taux d’hémoglobine est inférieur à 5 g/dl, des culots globulaires sont prescrits.

Prophylaxie

Maladie du péril fécal, la prophylaxie de l’ankylostomiase est identique à celle de l’ascaridiose, reposant sur l’amélioration de l’hygiène et l’éducation sanitaire par élimination des déjections humaines et des eaux usées. De plus, la prévention individuelle impose la marche avec port de chaussures.

STRONGYLOÏDOSE :

Définition : 

La strongyloïdose à Strongyloides stercoralis, appelée également chez l’homme, anguillulose, est une helminthose causée par un nématode de la famille des Stongyloïdidés dont seules les femelles adultes sont parasites dans la muqueuse de l’intestin grêle des Carnivores et de l’Homme.

Epidémiologie : 

La strongyloïdose est une maladie causée par un nématode (ver rond) qui est principalement présent dans les régions tropicales et subtropicales, mais également dans les régions au climat tempéré (Figure 14). La plupart des personnes infectées par le Strongyloides sont asymptomatiques et ne sont pas conscientes de leur infection. Néanmoins, les personnes qui sont immunodéprimées courent un risque de développer une forme sévère de strongyloïdose disséminée qui, si elle n’est pas traitée, peut entraîner une maladie potentiellement mortelle.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : GÉNÉRALITÉS SUR LES GEOHELMINTHIASES 
I. DEFINITION
II. ASCARIDIOSE
II.1. Définition
II.2. Epidémiologie
II.3. Manifestations cliniques
II.4. Diagnostic
II.4.1. Diagnostic biologique
II.4.2. Diagnostic parasitologique
II.5. Traitement
II.6. Prophylaxie
III. TRICHOCEPHALOSE
III.1. Définition
III.2. Epidémiologie
III.3. Manifestations cliniques
III.4. Diagnostic au laboratoire
III.5. Traitement
III.6. Prophylaxie
IV. ANKYLOSTOMIASE
IV.1. Définition
IV.2. Epidémiologie
IV.3. Manifestations cliniques
IV.3.1. Phase de pénétration cutanée
IV.3.2. Phase larvaire d’invasion
IV.3.3. Phase d’état intestinale avec troubles digestifs et anémie
IV.4. Diagnostic
IV.4.1. Diagnostic biologique
IV.4.2. Diagnostic immunologique
IV.4.3. Diagnostic parasitologique
IV.5. Traitement
IV.6. Prophylaxie
V. STRONGYLOÏDOSE
V.1. Définition
V.2. Epidémiologie
V.3. Manifestations cliniques
V.4. Diagnostic
V.4.1. Diagnostic biologique et immunologique
V.4.2. Diagnostic parasitologique
V.5. Traitement
V.6. Prophylaxie
VI. SIDA ET ENFANTS
VI.1. Définition
VI.2. Epidémiologie
VI.3. Manifestations cliniques
VI.4. Diagnostic
VI.4.1. Diagnostic biologique et immunologique
VI.5. Traitement
VI.6. Prophylaxie
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL EXPERIMENTAL
I.METHOLOGIE
I.1. Cadre d’étude
I.1.1. Le service de pédiatrie
I.1.2. Le laboratoire
I.3. Population d’étude
I.3.1. Les critères d’inclusion
I.3.2. Les critères de non inclusion
I.4. Collecte des données et paramètres étudiés
I.5. Examens de laboratoire
I.5.1. Collecte des prélèvements
I.5.2. Matériel
I.5.3. Méthodes
I.6. Saisie et analyse des données
I.7. Aspects éthiques et réglementaires
II. RESULTATS
II.1. Etude descriptive
II.1.1. Description du profil épidémiologique des patients de la cohorte
II.1.1.1. Répartition de la population d’étude selon l’âge
II.1.1.2. Répartition de la population d’étude selon le genre
II.1.1.3. Répartition de la population d’étude selon le stade clinique
II.1.1.4. Répartition de la population d’étude selon le taux de CD4
II.1.1.5. Répartition de la population d’étude selon la charge virale
II.1.1.6. Répartition de la population d’étude selon le régime à l’inclusion
II.1.1.7. Répartition de la population d’étude suivant le niveau de scolarité
II.1.2. Caractéristiques des données parasitologiques
II.1.2.1. Répartition de la population d’étude selon l’aspect des selles
II.1.2.2. Répartition de la population d’étude selon l’examen direct
II.1.2.3. Répartition de la population d’étude selon l’examen au Ritchie
II.1.2.4. Répartition de la population d’étude selon le type de vers intestinaux
II.2. Etude analytique
II.2.1. L’âge
II.2.3. Le niveau de scolarité
II.2.4. Le stade clinique OMS
II.2.5. La charge virale
II.2.6. Taux de CD4
II.2.7. Le régime à l’inclusion
III. DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES

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