Famille et performance scolaire

Famille et performance scolaire

 LE PHÉNOMÈNE D’ACCULTURATION

Définition du concept d’acculturation

L’acculturation réfère à un concept dynamique qtli nous permet de nous interroger sur des problèmes liés à la collectivité. Même si ce concept a évolué avec le temps, il demeure perçu comme étant inévitablement un phénomène collectif. Cependant, certains éléments doivent être considérés lorsque Von cherche à expliquer les attitudes ou les prédispositions à agir chez des individus soumis à des processus migratoires, c’est-à-dire les effets de modifications imposés de l’extérieur atix structures de leur société d’origine.
Si l’acculturation était au départ vue comme un phénomène collectif traitant des problèmes des communautés de façon globale, aujourd’hui, ce phénomène semble appartenir tant à l’individu qu’au collectif. Les difficultés individuelles auraient même des répercussions sur le grocipe, de manière non négligeable. “Alors que l’acculturation était proposée à l’origine comme un phénomène collectif, on admet aujourd’hui que c’est un phénomène individuel qu’on nomme acculturation psychologique. Sur ce plan, l’acculturation renvoie aux changements individuels qui accompagnent l’acculturation collective” (Berry et Kim 198$; p.207). Elle est considérée comme une transformation de deux cultures qui peut conduire, soit à une assimilation (une des deux cultures disparaît au profit de l’autre) ou à une intégration, c’est-à-dire à un mélange culturel. Dans les deux cas les communautés migrantes se rapprochent de la structure d’accueil. L’acculturation est ‘ l’ensemble des phénomènes résultant du contact direct et continu entre des groupes d’individus de cultures différentes avec des changements subséquents dans les types de culture originaux de l’un ou des deux groupes” (Camilleri, 1989; p. 29). Puis, d’ajouter l’auteure, “les modalités de l’acculturation sont évidemment très variables et se situent entre deux pôles une seule culture influence l’autre, auquel cas on est en présence d’une relation asymétrique qtli évolue vers la domination; ou bien se produisent des échanges plus ou moins réciproques avec modification ou non des conduites” (Camilleri, 1989; p.

L’acculturation comme processus

Le phénomène de l’acculturation joue un rôle très important dans la détermination du  fonctionnement des communautés migrantes. Grâce à ce phénomène on peut observer les différents modes d’intégration et les différentes stratégies utilisées par les communautés migrantes pour fonctionner dans la nouvelle culture. Selon Berry et Kim (1988), quatre catégories sont définies dans le phénomène d’acculturation , soit l’intégration, l’assimilation, la séparation et la marginalisation. Ils s’entendent pour dire que le comportement adopté par une communauté n’est pas seulement influencé par la culture dans laquelle elle vit mais également par d’autres cultures venant de t’extérietir. Les gens culturellement différents rencontrent souvent des difficultés dans leur pays d’accueil. Ils n’acceptent pas toujours toutes les différences qu’apporte autrui parce qu’ils désirent conserver certains acquis ou habitudes de vie.
“Les difficultés rencontrées pourraient êtres liées à des différences de valeurs, de normes et de modèles sociaux, source de malentendus et d’incompréhension réciproques entraînant des jugements de valeurs pouvant aller jusqu’à la tension interpersonnelle, au conflit, au rejet et à l’échec de l’action professionnelle “. Très souvent ces difficultés sont observées quand la communauté migrante a des valeurs culturelles que la nouvelle culture ne valorise pas. Alors que pour eux, ces valeurs sont précieuses et leur vie est en quelque sorte construise à partir de celles-ci. Selon Redfield, Linton et Herskovits (1936), la culture désigne les aspects de l’environnement qui résultent de l’activité humaine. Elle correspond aux traits psychologiques appris ainsi qu’aux conduites qui en découlent. La culture des individus transparaîtrait dans leurs perceptions, leurs croyances, leurs valeurs, leurs coutumes et leurs comportements mais aussi à travers les objets symboliques qui se retrouvent dans leur nouvel environnement. Elle est proposée comme un modèle, soit une forme qui se concrétise dans une logique particulière. “ Les significations culturelles distinguent les groupes entre eux et, d’autre part, â l’intérieur de chacun d’eux, elles amènent à se comporter de façon similaire devant les stimuli investis par la culture” (Camilleri, 1989; p.22-23). Selon le même auteur, elles sont donc un facteur d’uniformisation différentielle.
“La culture est l’ensemble plus ou moins fortement lié des significations acquises les plus persistantes et les plus partagées que les membres d’un groupe, de par leur affiliation à ce regroupement, sont amenés à distribuer de façon à prévaloir sur les stimuli provenant de leur environnement et d’eux-mêmes, induisant vis-à-vis de ces stimuli des attitudes, des représentations et des comportements commtins valorisés dont ils tendent à assurer la reproduction par des voies non génétiques “ (Carnilleri, 1989; p.27).
Quand les individus n’arrivent pas à investir le phénomène dc l’acculturation, ils produisent des
réactions et parfois se trouvent en état de choc.
“Le choc culturel serait donc défini comme une réaction de dépaysement, de frustration, de rejet, de révolte et d’anxiété. En un mot t Une situation émotionnelle et intellectuelle qui apparaît chez les
personnes qui, placées par occasion oct profession, hors de leur contexte socioculturel, se trouvent engagées dans l’approche de l’étranger” (Cohen-Émerique, 1985 In Hohi et Cohen-Érnerique, 1999; p.1O7). Une application toute particulière dci phénomène est observée au sein des familles migrantes haïtiennes. La communauté haïtienne qui demeure à Montréal vit l’acculturation non seulement de manière individuelle mais aussi de façon collective. Sur le plan individuel, la personne nouvellement arrivée peut chercher tout aussi bien à rester attachée à sa culture d’origine, tout comme elle peut vouloir se rapprocher davantage de sa nouvelle patrie. Selon l’orientation prise par l’individu, ce  dernier adhèrera à l’une ou l’autre des catégories de Berry.

Modes d’acculturation et stratégies d’adaptation

Pour vivre dans la nouvelle structure, les communautés migrantes choisissent chacune un mode d’acculturation et développe leur propre stratégie d’adaptation. Mais, il est certain que tous n’utilisent pas les mêmes moyens. C’est en ce sens que Berry (1990) explique que l’ajustement n’est pas la seule stratégie d’adaptation et l’assimilation n’est pas le seul mode d’acculturation. L’intégration serait perçue comme une synthèse de deux codes culturels : celui de la société d’accueil et celui de la société d’origine. Pour abonder dans le même sens, Kanouté (2002) affirme que “contrairement à l’intégration qui est à la croisée des cultures d’origine et d’accueil, l’assimilation procède par une déculturation plutôt complète de la culture d’origine ou par son reniement, jumelée à une resocialisation active dans celle de la société d’accueil “. Selon Berry (1989), la marginalisation désigne l’attitude des immigrantes et des immigrants qui adoptent une distance d’avec leur culture d’origine, sans pour autant investir celle du pays d’accueil. Lorsque la séparation est choisie comme mode d’acculturation, il y a un repli total sur la culture d’origine et un rejet de celle de la société d’accueil. Mais d’autres facteurs influencent la préférence du choix
(volontaire ou involontaire) des gens qui sont en échange de culture.
Dans ce sens, pour Larose, Bourque, Terrisse et Kurtness (2001); Berry, Trimble et Olmedo, (1986),les individus qui sont en situation d’acculturation volontaire, tels les membres des communautés culturelles qtli s’établissent par choix, ont moins de difficulté tout au long du processus car leur attitude envers l’autre culture est plus positive que celle des gens pour qui le contact est imposé, comme c’est le cas pour les Réfugiés. Une personne marginale vit davantage de stress et d’anxiété et souffre souvent de problèmes sociaux (tels que l’abus de substances nocives pour les adolescents ou les adultes et l’échec scolaire pour les enfants de niveaux primaire et secondaire) que l’individu pleinement assimilé à la culture collective. À ce moment, des réactions similaires peuvent se reproduire chez tous les membres de cette communauté migrante. Les services d’accueil vivent particulièrement cette situation, compte tenu de la présence des communautés de cultures différentes qui s’y réfèrent. Dans une confrontation de cultures, les nouveaux arrivants sont appelés à modifier leurs perceptions ainsi que leurs attitudes.
En contexte d’immigration, la structure la plus vulnérable est la famille car avec l’occidentalisation  et la migration, la structure familiale passe souvent de la famille élargie ou de la tribu à la famille nucléaire; ce qui induit non seulement une réduction numérique mais aussi toute une modification
des réseaux de solidarité et de prise en charge à l’intérieur du noyau familial. Les familles migrantes arrivées au Québec se trouvent face à des pratiques familiales très différentes de leurs expériences antérieures. Elles sont de type traditionnel que nous pouvons comparer à celui des anciennes familles québécoises. Pour s’adapter à la nouvelle structure, les familles migrantes doivent trouver des stratégies non seulement individuelles mais aussi de groupe. Ainsi, chaque personne cherche à construire ou à reconstruire son identité. “Les stratégies familiales des immigrantes et des immigrants sont alors le moyen de conjuguer et d’opérationnaliser ces deux façons individuelles et familiales de vivre le changement” (Vatz Laaroussi, 1994; p. 78). Ceci étant dit, face à toutes sortes de variétés retrouvées dans les modes d’acculturation et les stratégies d’adaptation, des auteurs ont essayé de présenter certains types de stratégies.
Dans le cadre de l’intégration des communautés migrantes, Vatz Laaroussi (1994), fait ressortir différentes modalités de changements individuels et familiaux dans les types de stratégies utilisées, Il distingue trois types, soit les stratégies offensives, les stratégies de repli et les stratégies d’assimilation déculturantes. Chacune de ces stratégies peut s’appliquer suivant la perception de l’individu et le mécanisme de défense dans lequel il se sent mieux.
Cohen-Emérique (1989), précise qu’il y a changement des relations homme/femrne dans le couple. Ses membres sont influencés différemment par la nouvelle société : l’homme y prend souvent de son autorité (sur ta femme et ses enfants) alors que la femme est exposée à cine possible émancipation. Signalons aussi la modification dans les modes d’éducation des enfants. Les parents, maintenant seuls à asstirer cette responsabilité alors qu’ils avaient les conseils et l’aide directe de la famille élargie et de la communauté auparavant, s’en trouvent déstabilisés et fragilisés. Leurs modes d’éducation sont aussi confrontés à ceux de la société d’accueil et rencontrent des conflits de génération plus accentués que ceux rencontrés normalement à l’adolescence. En outre, l’autorité du père sera contestée autant par les fils que par les filles. Contestation dont l’issue est problématique, autant pour le père que pour les enfants. Rappelons également que certains jeunes, parce qu’ils étaient restés en Haïti, ont perdu un contact visuel avec les membres de leur famille pendant un certain nombre d’années. Ceci peut avoir pour impact d’engendrer des tiraillements entre les valeurs et les exigences de leurs parents et celles de la société d’accueil. Certains s’ajusteront, d’autres non. Ces derniers peuvent aussi démontrer des problèmes comportementaux. Selon Déjean (197$), ces jeunes adultes nouvellement immigrés doivent grandir dans des conditions particulièrement ingrates parce que se situant dans une période de transition et d’adaptation pour eux. Leur relation avec toute une série de réalités entièrement nouvelles, modifie leur comportement. Ainsi, ils ne pourront vivent sans heurts et sans déchirures dans leur famille. Le défi en est d’autant plus grand, tant pour ces adolescents que pour leurs parents.
Devant les difficultés qu’engendrent ces situations de transition chez leurs enfants, les parents immigrants doivent considérer plusieurs aspects avant de s’engager dans ce processus d’intégration. La notion d’intégration culturelle implique qtie celle des immigrants soit liée au respect des spécificités de chaque communauté mais également à l’ouverture de la culture majoritaire et aux efforts de cette dernière (Chancy, 1985; Conseil des Communautés culturelles et de l’Immigration, 1990). L’un des objectifs de l’immigration est l’adaptation ou l’insertion dans le pays d’accueil. Pour cela, il faut développer chez les différents membres de la famille les compétences individuelles qui favoriseront une meilleure adaptation. L’adaptation sociale et scolaire des jeunes enfants se distingue par les séparations qui s’effectuent entre les générations. “Tous les programmes mettent en oeuvre, d’une part, les activités pédagogiques centrées sur les aspects cognitifs et socio-affectifs auprès des jeunes enfants, d’autre part, des activités centrées sur les compétences parentales auprès des parents; ces derniers étant essentiellement représentés dans l’esprit des concepteurs de programmes par les mères” (Vatz Laaroussi. 1994; p.83). Les résultats de plusieurs recherches menées au Québec suggèrent qu’au niveau du système scolaire, les enfants de familles immigrantes qui rencontrent certains problèmes d’adaptation (retard, échec, abandon scolaire) pouvant être liés aux différences dans leurs valeurs culturelles ou à leur appartenance à un milieu socio-économiquement défavorisé (Conseil scolaire de l’Île de Montréat, 1991; Crespo, 1985; Givreux, 1985; Laferrière, Mc Andrew, 1985; Lapierre, 1983 in Terrisse, Trottier et Chevarie, 1994). Le mode de fonctionnement des Haïtiens dans la communauté québécoise, nous donne l’impression qu’ils privilégient leur identité haïtienne. Il semblerait également que dans la communauté haïtienne vivant à Montréal, la tendance soit à la séparation et à l’assimilation. Si c’est le cas, nous comprenons pourquoi elle fait face à toutes sortes de difficultés dans la société québécoise.

Guide du mémoire de fin d’études avec la catégorie  Vécu socio-culturel des parents haïtiens

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Table des matières

REMERCIEMENTS
SOMMAIRE
INTRODUCTION
1. CHAPITRE PREMIER: PROBLÉMATIQUE
 1.1 Le phénomène d’immigration
1. 1.1 Les réalités politiques et socio-économiques d’Haïti
1.1.2 Les différentes périodes de la migration haïtienne vers le Québec
1 .2 Vécu socio-culturel des parents haïtiens
1.3 Famille et performance scolaire
1.3.1 Une définition de la famille
1.3.2 Le rapport entre la famille et le rendement scolaire
1.4 Familles haïtiennes et institutions scolaires québécoises
1.5 Difficultés des parents haïtiens et adaptation au système scolaire québécois
1 .6 Systématisation des différences entre les systèmes scolaires haïtien et québécois
1.7 Formulation de la question de recherche
2. CHAPITRE DEUX : CADRE CONCEPTUEL
2.1 Le phénomène d’acculturation
2.1.1 Définition du concept d’acculturation
2.1.2 L’acculturation comme processus
2.1.3 Mode d’acculturation et stratégies d’adaptation
2.1.4 Difficultés d’intégration rencontrées par les migrants haïtiens vivant au Québec
2.1.4.a Difficultés d’ordre socio-économique
2.1 .4.b Difficultés d’ordre culturel
2.1.5 Les effets positifs de développer un fort sentiment de compétence chez les parents
2.2 Sentiment de compétence parentale au regard de l’apprentissage scolaire et famille migrante haïtienne
2.2.1 .a Définir le sentiment de compétence parentale
2.2.1 .b Développement du sentiment de compétence des parents
2.2.2.a Sentiment de compétence et estime de soi
2.2.2.b Influence dii niveau scolaire desparents sur leur sentiment de compétence
2.2.3.a Relation pcirents ‘ école
4 2.2.3.b Parents haïtiens cl aide aux devoirs
2.3 Objectifs de recherche
3. CHAPITRE TROIS MÉTHODOLOGIE
3.1 Méthode
3.2 Échantillon
3.2.1 Méthode d’échantillonnage
3.2.2 Critères de sélection
3.3 Instruments
3.3.1 Questionnaire d’enquête
3.3.1 .a Description de l’instrument
3.3.1.b Validation dit questionnaire
3.3.2 Protocole d’entrevue
3.4 Traitement des données
3.5 Considération d’ordres éthique et déontologique
4. CHAPITRE 4: ANALYSE DES RÉSULTATS
4.1 Analyse des résultats des questions fermées du questionnaire d’enquête
4.1.1 Première rubrique : Les variables affectant ou non l’adaptation scolaire et sociale de l’enfant
4.1 .1 .a Analyse des variables de lapremière rubrique
4.1.1 .b Synthèse des éléments de lapremière rubrique
4.1.2 Seconde rubrique t La scolarisation des parents et son impact sur leurs attentes au regard de la scolarisation de leurs enfants
4. 1 .2.a Résultcits du traitement des variables de la seconde rubrique
4. 1 .2.b Synthèse des éléments de la seconde rubrique
4.1.3 Troisième rubrique La perception des parents à l’égard de la réussite scolaire
4. 1 .3 .a Résultats du traitement des variables de ta troisième rubrique
4.1.3.b Synthèse des éléments de la troisième rubrique
4.1.4 Quatrième rubrique t Opinions et attitudes des parents par rapport au système scolaire québécois
4. 1 .4.a Résultats du traitement des variables de la quatrième rubrique
4.1.4.b Synthèse des éléments de la quatrième rubrique
4.1.5 Cinquième rubrique L’influence des parents sur l’orientation scolaire et professionnelle de l’enfant
1 4.1.5.a Résultats dit traitement des variables de la cinquième rubrique
4.1.5.b Synthèse des éléments de ta cinquième rubrique
4.1.6 Sixième rubrique t Participation des parents au regard des activités scolaires de leurs enfants
4.1 .6.a Résultats dit traitement des variables de la sixième rubrique
4.1 .6.b Synthèse des éléments de la sixième rubrique
4.1 .7 Septième rubrique t Motifs évoqués par les parents concernant leur absence aux activités scolaires de leurs enfants
4.1.7.a Résultats du traitement des variables de la septième rubrique
4.1 .7.b Synthèse des analyses de la septième rubrique
4.1.8 Huitième rubrique : analyse des besoins d’information et de formation des parents
4.1.8.a Analyse des variables de la huitième rubrique
4.1 .8.b Synthèse des anctiyses de la ht;itième rubrique
4.1.9 Neuvième rubrique t Particularités favorisées des besoins d’information et de formation par les parents et les moyens privilégiés en correspondance avec les difficultés scolaires ou comportementales de leurs enfants
4.1.9.aAnctlyse des variables de la neuvième rubrique
4.1 .9.b Synthèse des analyses de la neuvième rubrique
4.2 Analyse des questions ouvertes du questionnaire d’enquête
4.2.1 Perception des parents de leur vécu scolaire
4.2.2 Perception des parents concernant leur réussite sociale et attentes liées
4.2.3 Niveau de satisfaction des parents face au système scolaire québécois
4.2.4 Attentes des parents concernant leurs enfants
4.2.5 Injustices identifiées par les parents dans les écoles
4.2.6 Explications des parents sur le type d’aide fournie à la maison
4.2.7 Synthèse des résultats d’analyse des réponses aux questions ouvertes
4.3 Présentation des résultats issus des entrevues
4.3.1 Description de l’échantillon
4.3.2 Explication de la satisfaction des parents de l’école
4.3.3 Intégration des parents du système scolaire québécois et suivi à la maison
4.3.4 Choix des écoles et implication des parents
4.3.5 Identification des besoins d’information et de formation des parents
4.3.6 Moyens valorisés par les parents pour satisfaire leurs besoins
4.3.7 Synthèse des résctltats d’analyse des informations issues des entrevues
5 CHAPITRE 5: DISCUSSION DES RÉSULTATS
5.1  objectif spécifique Décrire les attentes de parents haïtiens d’enfants âgés entre 4 et 12 ans au regard de la scolarisation de leurs enfants
5.2 2 objectif spécifique : Identifier les ressemblances et les différences perçues par ces parents entre la scolarisation de leurs enfants au Québec et leurs propres expériences en Haïti
5.3 3 objectif spécifique : Identifier l’effet de la durée de séjour, en tant qu’indicateur d’acculturation, sur les attentes des parents au regard de la scolarisation comme instrument de mobilité sociale de leurs enfants
5.4e objectif spécifique Identifier les attentes des parents au regard de l’école québécoise et des pratiques éducatives des enseignantes et des enseignants
5.5 objectif spécifique : Définir les besoins des parents quant à l’information et à la formation qu’ils désirent recevoir afin de soutenir adéquatement leurs enfants dans leurs démarches d’apprentissage
5.5.1 Besoins spécifiques en lien avec le vécu scolaire des parents
5.5.2 Besoins spécifiques en lien avec le suivi scolaire de l’enfant
5.5.3 Moyens identifiés par les parents pour accéder à de l’information et à de la formation
5.6  objectif spécifique t Participation des parents dans l’école
5.7 Limite de la recherche
5.8 Retombées attendues 
CONCLUSION 1
RÉFÉRENCES BiBLIOGRAPHIQUES

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