Expression de la passion dans MADAME BOVARY de GUSTAVE FLAUBERT

L’argent

   Madame Bovary est une des œuvres modèles du roman réaliste, la plus remarquable d’ailleurs comme l’était son auteur, qui lui aussi était un des écrivains les plus réalistes de son époque. Ainsi, Flaubert met-il en exergue la société du XIXe siècle, et développe en quelque sorte des sujets qui portent sur les mœurs d’une société qui, comme l’a montré Jacques Bony, change notablement et : « La nouvelle aventure […] c’est la conquête d’une position sociale, l’initiation à un monde qui n’est pas seulement celui des adultes, mais un monde nouveau et inconnu ». En effet, une tendance matérialiste se manifeste dans tous les domaines. Ainsi, se trouve-t-il mise en scène, un monde matérialiste qui dans son ensemble, se préoccupe à la recherche d’un intérêt financier. Cela s’explique par le développement de l’industrie et l’enrichissement des classes moyennes qui accentuent cette tendance à la recherche exclusive des avantages pécuniaires. D’ailleurs, toutes les particules de la société allant de la bourgeoisie à la paysannerie ont une vocation commune : celle de la recherche active de la richesse. Maintenant, c’est le monde matérialiste qui dicte sa loi, et la passion de l’être humain abrite ce domaine. Cela est selon l’idéologie de Barthes le signe d’une réalité, ainsi affirme-t-il que: « […] l’argent : c’est un indice, il livrait sûrement un fait, une cause, une nature […] ». Ce qui est une remarque générale dans le roman. En partant de l’auteur, bien que n’ayant pas des soucis financiers, car étant ressorti d’une famille aisée, Flaubert marque sa différence en prêtant à ses personnages les caractéristiques de cette société contemporaine dans laquelle il a vécu. Cette dernière est motivée par la recherche du gain ; ce qui fait qu’elle se précipite dans des activités économiques qui auront pour elle une fin rentable. En effet, nous constatons tout au début de l’œuvre des scènes qui soulèvent des questions d’ordre financière, qui continuent tout au long du roman et emplissent les pages du texte. Ainsi, se nouent-elles des relations d’intérêts matériels entre l’homme et la femme. C’est l’exemple des dots que fondent toutes les relations de mariages des différents couples. Il y a celle du père de Charles qui, après son mariage, a vécu : « deux à trois ans sur la fortune de sa femme  », la fille d’un marchand bonnetier ; tout comme cette relation de Charles luimême avec : « la veuve d’un huissier de Dieppe, qui avait quarante-cinq ans et douze cents livres de rente  ». Ce qui déjà explique des relations amoureuses consolidées par une autre d’ordre matériel. Cet attachement considérable à la recherche de la fortune pousse même à la mère de Charles à souhaiter la mort de son prochain ; il s’agit du médecin de Toste dont : « depuis longtemps Madame Bovary guettait sa mort » dans une sorte de rivalité pour l’intérêt de son fils qui doit lui aussi exercer cette profession de médecin. Ainsi commencent les rivalités dans le domaine socio-professionnel. Cela constitue alors la pire hypocrisie que de vouloir la mort à quelqu’un dans un seul intérêt de voir réussir son propre fils; cela consiste donc à pousser son inhumanisme à son dernier degré. La maman trouve une gêne dans la vie du médecin pour la construction financière de son fils. Malgré les stratégies de la maman, les soucis d’argent continuent à faire leurs ravages chez Charles qui se trouve financièrement insatisfait. Cette insuffisance économique explique cet envi immorale de la société à la fortune. Alors, nul n’est épargné selon le rang qu’il occupe ou la profession qu’il exerce. Voici M. Homais, le pharmacien qui s’implique dans des exercices médicaux non appropriés pour en gagner quelques recettes, alors qu’il a échappé belle à la prison à cause de ces mêmes activités qu’il exerçait clandestinement dans son cabinet particulier. Dès lors, après s’en être sorti une première fois, il met en place tous les moyens nécessaires pour se couvrir contre tout danger de condamnation pouvant lui arrivé de ses consultations médicales. Ainsi, dès l’arrivée du médecin Charles à Yonville, Homais se précipite pour défendre sa cause. Il installe une amitié considérable entre lui et les époux Bovary, pour fermer la bouche au médecin qui lui laisserait tranquillement faire ses travaux clandestins, sans aucun risque de dénonciation. Mais cette stratégie ne constitue pas la seule mise au point par cet homme avare. Pour des intérêts qu’il pourrait récolter de la célébrité du médecin Charles, il lui influence dans une opération du pied-bot de ce garçon du Lion d’or, Hippolyte qui ferait, prétend-il, la fortune du médecin par sa célébrité.

L’amour

   L’amour est un thème assez fréquent dans la littérature, surtout en cette époque où les écrivains le considéraient comme un champ abondant qui fournissait à la fiction littéraire le maximum d’imagination. Ainsi, selon Jacques Bony, en cette période : « L’amour, en effet, fait partie d’un domaine étranger aux valeurs sociales […] ». Ce qui provoque souvent des transgressions, car les lois qui régissent les bases de la société opposent des barrières très contraignantes aux droits infinis du cœur. Malgré tout, depuis les prédécesseurs de Flaubert, cette vague réalité aussi abstraite n’a cessé d’alimenter les œuvres littéraires. Nous pouvons citer des exemples très précis comme : Tristan et Iseut, qui est l’épopée par excellence de l’adultère depuis la période Médiévale, et qui selon Gustave Cohen : « […] contient comme un coffret précieux toute l’essence de l’amour humain, sa fatalité et son abime des délices et de souffrance ». Il y a aussi La princesse de Clèves , de même qu’Andromaque  qui renferment toute la gamme des passions, qui datent tous deux de la période classique, et traitent des scènes d’intrigues amoureuses. En effet, on peut souligner que ce n’est pas le sujet qui fait une innovation, mais il s’agit plutôt de la façon dont il est traité dans le roman qui révèle une nouveauté. Cette forte émotion caractérisant la plus part des héros flaubertiens, représente une particularité du public auquel il s’adresse. Devant cette situation, son motif est donc en particulier de démasquer les dangers auxquels cette société s’expose, et qui d’ailleurs résulte d’une éducation non appropriée au milieu dans lequel on doit vivre. Dès lors, nous pouvons nous concentrer d’abord sur Madame Bovary, personnage éponyme du roman, en suite sur son mari Charles, et en fin sur les autres protagonistes qui sont tous victimes d’un amour illégitime. Aspirant vers un monde et une société pour laquelle elle n’était pas faite, Emma est la principale figure centrale vers laquelle tous les sentiments convergent ; elle est donc le centre de gravité de toutes les intrigues amoureuses, qui créent des dépendances physiques illusoires. Malheureuse de la condition modeste dans laquelle le sort lui a placé, elle oublie d’abord ses devoirs de mère, manque ensuite à ses devoirs d’épouse, en introduisant successivement dans sa maison l’adultère et la ruine ; elle finit misérablement par le suicide. Pourtant avant d’en arriver là, elle est passée par tous les degrés de la dégradation la plus complète. Cette passion amoureuse comme mouvement contraire à la nature, conduit à l’égarement lié à la crainte et à l’abattement que crée la douleur dans le transport violent en direction de biens absents, ou d’un désir non accompli. La destruction est l’effet fantasmé de la passion ; ce que va vivre Emma sans aucune possibilité d’apaisement. Ecoutant les raison de son cœur, la femme n’a pas échappé aux contraintes de cette passion amoureuse dans laquelle la société s’est laissé enfoncer. Tout a commencé chez Emma à partir d’une invitation à une cérémonie au château de la Vaubyessard par le marquis d’Andervilliers. Cette fête a réveillé en elle autant de choses passionnelles, comme ce fragment du texte le démontre : « Son voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu’un orage, en une seule nuit, creuse quelques fois dans les montagnes ». Maintenant, c’est une question d’histoire sentimentale qui prend naissance à partir de sa rencontre avec le Vicomte qui se révèle comme un coup de foudre dans la vie d’Emma. Cette nouvelle situation laisse apparaître les traits d’une faiblesse manifeste chez Emma. Ainsi, est-elle condamnée par ses désirs et s’engage dans un amour dégradant. Dès lors, des attitudes nouvelles s’affichent dans sa vie, et par de là, se multiplient ses envies de jouissances qu’elle a poussés jusqu’à leur extrême ; ce qui l’ont fait accéder progressivement à l’adultère, à la souffrance puis à la mort misérable. Si on remonte à son jeune âge, on remarque qu’Emma a cultivé ces sentiments passionnels en elle-même depuis ses lectures au couvent. Elle s’est inspirée des héros des livres qu’elles utilisaient en cachettes lui et ses camarades de couvent. Ainsi, dès qu’elle a rencontrée Charles au Berteaux pour la première fois, leur « flamme » s’est allumée, et ils s’aiment d’une manière réciproque. Cependant, par vice ou par mal chance, cet amour n’a pas demeuré assez longtemps, puisqu’Emma est restée insatisfaite de son mari. Par conséquent, elle rêve d’une relation conjugale meilleure que celle dans laquelle elle s’est engagée.

L’art

   C’est une activité humaine, une pratique abondante composée de diverses branches, qui chacune renvoie à un domaine particulier. En effet, pour être beaucoup plus explicite, nous pouvons énumérer la littérature, la musique, la danse et le spectacle qui sont les formes d’art que l’on retrouve dans le roman. Dès lors, nous constatons que cette pratique artistique a beaucoup enthousiasmé les personnages, qui d’ailleurs s’en ont profité différemment, à l’image de l’auteur lui-même. Si nous nous intéressons d’abord à Flaubert, nous constatons qu’il représente une figure emblématique dans l’univers artistique, et fut depuis sa jeunesse très passionné par l’art. Il rêvait de projets littéraires extravagants, auxquels il n’a même pas réussis à combler avant sa mort. Ce qui a fait de lui un homme de lettre, c’est cette inspiration que lui ont inculqué ses lectures dès son bas âge; ainsi qu’il est parvenu durant sa majorité à créer une œuvre d’illusion réaliste grâce à son pouvoir d’évocation, en recréant avec des moyens artistiques les sensations et les émotions. Dans Madame Bovary, on remarque que la plupart des personnages sont aussi d’une sensualité étonnante en matière d’art à l’image de l’auteur lui-même. Cette sensualité est basée sur le mode de la nostalgie, qui engendre des effets d’émotion dans la vie de l’individu. Flaubert a passé sa jeunesse à la compagnie d’artistes avec qui il se lie d’amitiés; cette situation explique alors une influence récurrente sur son avenir. A partir de là, on note une transposition de son affection à la littérature dans la peinture de la nature de ses personnages. C’est dans ce cadre que s’inscrit ces mots d’Alain Vaillant qui affirme que: « Flaubert n’invente donc plus rien, passé cette jeunesse; mais il consacre son temps à réaliser une œuvre qui soit à la fois le ressassement artistique et le tombeau de ses illusions perdues». A la façon dont l’homme a toujours conçu l’art, qui serait un moyen de transposition d’une existence vitale pour l’artiste, Flaubert s’en est servi pour créer un univers par lequel il retrouve des satisfactions pour les besoins de son être intérieur. Cet univers imaginaire qu’il se fabrique, représente pour lui un lieu de séjour pour son esprit, qui lui détourne de ce monde réel dans lequel il est contraint par les besoins. Il est parvenu ainsi à faire par l’écriture ses évasions et ses conquêtes. Cette opportunité est par ailleurs la première selon la vision de tout artiste. Cependant, cette dernière n’est pas la seule et unique vocation de l’art ; il se trouve d’autres qui restent encore assez importantes et parfois s’érigent au premier rang. En se basant sur la situation des personnages, nous pouvons noter autant de comportements qui renvoient directement à des excitations émotionnelles par l’art. Emma Rouault est la première qui se montre comme une aventurière, très sensible à la lecture, à la musique tout comme au spectacle. Elle est émue dès son jeune âge par les livres qu’elle lisait au couvent : « Pendant six mois, à quinze ans, Emma se graissa donc les mains à cette poussière des vieux cabinets de lecture. Avec Walter Scott, plus tard, elle s’éprit de choses historiques, rêva bahuts, salle des grandes et ménestrels.» C’est ainsi qu’elle s’est embellie une vie imaginaire dont elle se croit être capable d’accéder, tout comme ses compagnons de couvent, qui eux aussi sont très dépendantes de la poésie. Emma n’est pas comparable à l’artiste qui crée son œuvre à son propre gré, mais par le degré d’attirance des ouvrages dont elle s’est inspirée, et qui lui ont poussés à se comparer aux personnages, naisse une nouvelle nature chez elle, qui prend les allures d’une destinée irrémédiable. En effet, il lui arrive comme par intuition des idées qui l’influencent et qui seront à la limite la cause de ses futurs comportements. Ici, c’est l’illusion entant que première objectif de l’art qui prend le relai. Emma est de par ses lectures, comme le lecteur idéal dont Flaubert se cherche, et qui doit par la belle phrase qui allie la solidité et la composition, la sensualité de la sonorité et la précision de la pensée, être enlevé et élevé ; dans la mesure où elle s’est entièrement soumise à la lecture, et s’en sert comme une science qui lui enseigne un mode de vie. A partir de l’affection des personnages envers les œuvres écrites, nous pouvons affirmer que cette théorie flaubertienne du lecteur vis-à-vis de l’œuvre trouve son explication dans le roman. Ainsi, Emma et Léon approuvent en même temps ce bonheur qui leur vient de la lecture, et Léon affirme que : « […] ces ouvrages ne touchant pas au cœur, s’écartent, il me semble du vrai but de l’art ». En somme, ils éprouvent les mêmes effets, et sont tous deux du même avis sur la vocation de l’art, qui reste à créer des émotions et à réveiller des sentiments. Cette vision commune consiste d’ailleurs à trouver à l’art une fin abstraite qui n’est rien d’autre que l’inspiration des sentiments émotionnels. La sensualité et une caractéristique commune très remarquable de ce public. Même Homais qui se révèle comme scientiste en a fait preuve. Il dispose d’une bibliothèque composée de plusieurs auteurs. En dehors de l’art littéraire, qui provoque tant d’affections, la société est aussi contrainte à d’autres types d’arts. La music, qui serait homologue à la poésie par sa douceur et sa capacité d’exciter, a fait naître des comportements encore plus rigoureux chez les personnages de l’œuvre. En effet, d’une manière fantastique, les protagonistes se laissent bercer par les mélodies ou les rythmes musicaux, qui donnent une sorte de gaieté étrange qui les entraîne et dont ils ne peuvent pas résister. Toutefois, le thème musical a une très grande signification chez Flaubert. Dans la majeure partie de ses œuvres, il le traite d’une manière particulière et l’accorde beaucoup d’importance. Le piano, assez symbolique pour l’image de la bourgeoisie, est qualifié dans l’œuvre comme un instrument nécessaire pour l’épanouissement et le bonheur de l’héroïne qui s’en attache absolument. Mais par conséquent, l’éloigne de ses devoirs de femme mariée ; car : « [il] servira ironiquement à en bafouer la morale », puisque le prétexte de leçons de piano permettra à Emma de retrouver Léon à Rouen. Cette attitude de la société vis-à-vis de l’art musical est générale. Emma et Rodolphe en sont victimes au moment de leur promenade à cheval. Alors aux sons d’une musique qui leur venait d’assez loin des montagnes, Emma s’est distraite et s’est laissée à la merci de l’amant qui cherchait à conquérir son cœur ; ce qui révèle un acte de transgression comme l’a expliqué Philippe Dufour pour qui : « L’univers de la musique, signifiant sans signifié et sans référent, nous place hors de la société. Le sens n’est plus contrôlé, régulé. De fait, la musique se lie chez Flaubert à l’idée de transgression». Ce même constat est fait sur le public au bal à la Vaubyessard, tout comme aux spectacles du théâtre à Rouen, qui sont aussi de parfaites illustrations ; ce qui donne la preuve d’une société très sensible à la musique, et dont elle ne peut pas s’abstenir. En outre, on retrouve un public qui danse et qui vibre au moindre coup d’un violon, d’un piano ou même d’une simple représentation théâtrale. C’est par ailleurs un public charmé par les représentations artistiques ; un public pour qui : « Le théâtre […] servait à fonder les préjugés, et, sous le masque du plaisir, enseignait la vertu ». Cette activité théâtrale, bien que bannie par les coutumes religieuses, est qualifiée par ce public comme une pratique de bon usage, pour une éducation morale de l’être humain. Malgré les critiques de l’ecclésiastique Bournisien envers ces manifestations, Homais affirme d’avoir vu des hommes religieux qui s’habillent en bourgeois pour aller voir gigoter des danseuses. Ce n’est plus seulement la population ordinaire qui est atteinte de cette passion de l’art ; il est à signalé dès lors, cette couche religieuse qui est elle aussi affectée par cette même passion. Cette société cible s’est en général beaucoup intéressée aux pratiques, tout comme aux représentations artistiques. Ainsi, on remarque d’une part des acteurs, comme au théâtre de Lucie de Lammermoor, mais aussi, des spectateurs comme cette foule énorme au théâtre de Rouen, qui sont tout à fait enivrés par leur passion des inventions artistiques. Madame Bovary est certes une œuvre dans laquelle, l’art est représenté comme une activité essentielle par laquelle l’homme se trouve des vocations qui lui imprègnent une source de vie. D’ailleurs, la population est en étroite relation avec les pratiques artistiques, qui sont en parfaite évolution dans les préoccupations humaines depuis leur invention. C’est ainsi que l’art est devenu jusqu’aujourd’hui une des plus remarquables sources d’inspirations que l’homme s’approprie pour l’épanouissement de son être. Par ce fait, on constate que l’art dans ses dimassions, s’affirme de plus en plus comme une discipline autonome et indispensable à l’épanouissement de la société. Par conséquent, par la platitude de cette conscience humaine, l’art ne manque pas de dresser des bassesses par ses effets ; à plus forte raison qu’il soit en parfaite harmonie avec toutes les natures que la passion réveille chez l’être humain. N’oublions pas de signaler que l’art et les passions sont dans la même continuité, car l’art réveille des passions et la passion motive à la pratique artistique.

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Table des matières

Introduction
Première partie : Etude thématique : l’image de la société
Chapitre I : Une société matérialiste
1- L’argent
2- Le luxe
Chapitre II : Une société émotionnelle
1- L’amour
2- L’art
Deuxième partie : Les causes et les conséquences
Chapitre I : Les causes
A°) Les causes surnaturelles ou prédestination humaine
1- Le destin
2- Le déterminisme
B°) Les causes naturelles
1- L’acquis personnel
2- L’influence du milieu
Chapitre II : Les conséquences
A°) Les conséquences sociales
1- De l’échec à la mort
2- L’instabilité sociale
B°) Les conséquences religieuses
1- Le manque de foi
2- La dégradation des valeurs religieuses
Conclusion

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