Exercer son pouvoir devenir sujet pour inventer radicalement de nouveaux horizons relationnels 

À la racine de ma question de recherche

   Tout le parcours de formation, de transformation et de mise en pratique relationnelle et professionnelle relaté dans le présent mémoire a été accompli depuis une question touchant principalement la posibilité, pour une personne, de pouvoir accéder à plus de liberté devant les contraintes biographiques inhérentes à son existence, en vue de devenir un sujet responsable. Issue personnellement d’un contexte d’éclatement familial vécu douloureusement, j ‘étais soucieuse de m’accompagner et d’accompagner ceux qui , comme moi, manquaient de voies de passage pour se relever d ‘ un passé difficile et ne savaient pas comment faire pour s’ inventer un futur radicalement nouveau. Mon travail d’accompagnatrice du changement en milieu organisationnel me donnait également à questionner la notion de l’humain et de son devenir vers plus de liberté et de responsabilité, pour lui-même et pour ces autres autour de lui. Je cherchais ainsi à découvrir comment nous accompagner vers un mieux-être, voire un plus-être, individuel et collectif. Plus précisément, je pressentais que le manque de lien – à soi, aux autres et au monde – commandait un réel travail pour moi, mais aussi pour l’ époque dans laquelle j e m ‘inscris, autour de la relation et de l’appartenance. En ce sens, je rêvais d’apprendre la reliance. J’ avais donc à cœur de comprendre comment une personne peut accéder à plus de liberté et à plus de responsabilité au cœur de ses actions, de ses interactions et de ses projets par un apprentissage soutenu de la reliance. Ainsi, ma démarche à la maîtrise poursuivait les objectifs suivants : Approcher mon parcours biographique et comprendre en quoi mes expériences relationnelles fondatrices ont contribué à me mettre sur le chemin de ma quête du pouvoir devenir sujet libre et responsable de mon existence; Extraire de mon parcours singulier de formation et de transformation des moments clés qui révèlent des voies de passage pertinentes pour apprendre à se relier et entrer dans l’exercice de son pouvoir devenir sujet; Comprendre et nommer en quoi le processus de formation à la reliance m’a permis de conquérir mon pouvoir devenir suj et libre et responsable au cœur de mes contextes et dans mon inscription socio-historique; Proposer une approche d’accompagnement pédagogique de la reliance et du pouvoir devenir sujet libre et responsable dans la vie personnelle et professionnelle.

Pour un paradigme compréhensif et interprétatif

   Une science réaliste de l’humanité ne peut être créée que par les hommes qui sont le plus conscients de leur propre humanité. George Devereux (1980) l’ aimerais postuler ici que ma recherche est délibérément située dans une démarche compréhensive et interprétative, en ce sens que son objet n’est pas de démontrer quelque relation de cause à effet ni de prouver l’existence de ceci ou de cela, mais que mon intention de chercheure est précisément d’approcher une réalité pour mieux la comprendre, en tirer du sens et ainsi pouvoir partager avec d’autres. Les sciences humaines et sociales ont historiquement été conviées à un débat entourant la manière la plus appropriée d’approcher leurs objets d’étude – les humains. Alors que les sciences naturelles semblent pouvoir appréhender l’ univers qui les intéresse depuis une posture neutre, il apparaît aujourd’ hui évident que les sciences de l’ humain ne peuvent tout simplement pas prétendre à l’objectivité telle que leurs collègues des sciences naturelles la décri vent et qu ‘ ils peuvent, sinon doivent, approcher les humains depuis leur propre humanité. Comme l’explique Rugira (2004), en citant Lat’ossa (1 998), les recherches qualitatives en sciences humaines ne prétendent pas à la systématisation ni à l’universalité, mais plutôt à la production de sens pouvant éclairer les façons de faire ou modifier les pratiques. Plus encore, certains scientifiques, comme Polanyi qui est un ancien physicien (1959, cité par Craig, 1978, p. 209-2 10), vont jusqu’à dire qu ‘il est tout simplement faux, voire ridicule, de penser que des êtres humains, aussi chercheurs soient-il, puissent aborder la réalité humaine vécue depuis un cadre complètement objectif: « l’idéal d ‘une connaissance formulée dans des énoncés strictement impersonnels nous apparaÎt maintenant contradictoire en soi, dépourvu de sens, et même à la limite du ridicule. »L’invitation faite par les recherches qualitatives et interprétatives est justement desortir de la dénégation de nos postulats subjectifs et d’au contraire les utiliser judicieusement dans nos investigations. Je pourrais nommer cette invitation comme étant celle de sortir de la fausse objectivité-subjective, au sein de laquelle nos a priori sont souvent niés et teintent donc, à notre insu, nos travaux, pour pénétrer une subjectivité objective puisque connue, explicitée,  verbalisée et, qui plus est, mise à profit. Comme nous l’explique Tho (2006, p.12): « Le fait de penser l’expérience subjective fait de cette expérience une donnée objective qui, à ce titre, peut contribuer à la construction d ‘un savoir. » Lorsque les postulats sont mis en lumière, ils deviennent alors un cadre de référence, un terreau initial qui donne à la recherche un relief, un contexte, une base pour qu’elle puisse être appréhendée et appréciée. Mais plus encore, les facultés intuitives, inhérentes à l’être humain du chercheur, peuvent soutenir sa recherche en lui permettant souvent de pénétrer plus profondément les aspects humains qu ‘il cherche à aborder.

Pour une approche heuristique en recherche

    Peter Erik Craig (1978 , p. 158) présente d’emblée l’approche heuristique en recherche comme étant : « une approche en sciences humaines basée sur la découverte et mettant en valeur l’ individualité, la confiance, l’intuition, la liberté et la créativité. » Cette manière d’aborder la recherche stipule que les qualités humaines de la personne même du chercheur peuvent être mises à profit au service de la question qu ‘il choisit d’investiguer. L’ auteur précise que: Ce type de recherche part du principe qu ‘ un individu peut vivre profondément et passionnément le moment présent, être complètement captivé par les miracles et les mystères tout en étant engagé dans une expérience de recherche significative. (Craig, 1978, p. 158) Le mot « heuristique » vient du terme «Eureka! » qm renvOie à la notion de découverte, de mystère percé, de sensation interne d’éclairer un phénomène jusqu’ici irrésolu . L’heuristique en recherche est donc une démarche qui consiste, comme le précise encore Craig, à placer la personne même du chercheur au cœur du processus de recherche et à employer ses moments forts de découverte, immanents à la recherche, comme principal mode de mise en lumière de la question initiale: La principale caractéristique de la méthode heuristique consiste en l’ accent mis sur le processus interne de la recherche et sur l’individu en tant que principal instrument de description et de compréhension de l’expérience humaine. (Craig, 1978, p. 159) Approcher le thème de la présente recherche depuis cette posture, qui s’ appuie sur les découvertes, m’est apparu extrêmement pertinent. En effet, la méthode heuristique stipule que le chercheur peut s’ immerger entièrement, comme personne et comme chercheur, dans l’expérience vécue de sa recherche pour y puiser les éclaircissements et les renversements de représentations induits par son investigation. Cette manière d’envisager la recherche s’articule aussi avec la conception chère à Bernard Honoré (1992, p. 61), et à laquelle j’adhère, selon laquelle la vie est d’abord une expérience formatrice, et que c’est au contact de son expérience que l’être humain se forme et se transforme. J’ajouterais qu’au contact de son expérience, l’ être humain peut également tirer, voire créer de la connaissance inédite, issue de sa pratique et de sa démarche de recherche, pour autant qu’il se penche sur elle en vue de la et de se remettre en question. En effet, selon Habermas (1975) cité par Simard (2006, p. 551) : « La raison d’être de toute connaissance gravite autour de l’émancipation des individus qui peut être encouragée par l’autoréflexion critique sur la pratique ». Dans le processus heuristique, le chercheur est ainsi invité à plonger au cœur de sa pratique et de son expérience pour tenter d’ Y déceler les représentations, compréhensions, valeurs et modes de fonctionnement qui sous-tendent son action. La richesse de cette posture tient donc dans la possibilité qu ‘elle déploie pour le chercheur de gagner le pouvoir d’agir sur sa pratique en vue de la renouveler. Pour ce faire, le chercheur doit rester en intimité constante avec son expérience, développer des capacités de l’analyser, tout en évitant de tirer des conclusions hâtives et laisser le processus livrer tout son sens. Toujours selon Craig:Une démarche heuristique insiste sur le caractère exploratoire et ouvert de la recherche, elle mise sur l’effort de demeurer collé à l’expérience telle qu ‘elle se déroule, voire de rester immergé en elle et, tout en visant une certaine objectivation, elle cherche à éviter l’analyse, l’abstraction et les explications hâtives afin de mieux conserver l’intégrité fondamentale des personnes et des phénomènes. (Craig, 1978, p. 186)

Les outils de recueil de données: le journal du praticien-chercheur

   Il me faut d’abord spécifier que, dès mon entrée à la maîtrise, nous étions invités à tenir de façon continue un Journal du praticien-chercheur, au sein duquel nous étions conviés à noter nos questionnements, nos prises de conscience, nos expériences, nos états d’âme, nos souvenirs ou nos préoccupations passées ou du moment, en lien avec notre thème de recherche. Nos professeurs nous demandaient parfois de leur livrer des extraits de ce journal en vue de suivre l’évolution de notre démarche de recherche. Pour ma part, j’ai consigné, au bout de cinq années de recherche, plus de dix volumes de ce dit journal, comportant chacun entre 50 et 100 pages, dont la forme est un mariage entre le Journal d’itinérance de René Barbier (1996) et le Récit de pratique, tel qu’en parle l-P. Gauthier (2007, p. 102) en citant Ernst Jouthe (1996).Comme l’explique Rugira (2004, p. 112) en s’appuyant sur Barbier (1996), le journal d’itinérance a, comme son nom l’indique, la principale fonction de baliser nos itinéraires,c’est-à-dire d’offrir à nos chemins un espace pour être consignés, accueillis, contenus et résonnés. La maîtrise en étude des pratiques psychosociales constitue un véritable itinéraire en soi, pour ne pas dire une réelle déambulation, au cœur de nos questions, de notre pratique et de notre existence, déambulation intense qui touche tous les plans de l’être et qu’il convient de baliser et d’accompagner. Dans ce contexte, le journal d’itinérance offre un cadre tout à fait adapté, comme l’explique encore une fois Rugira:Le journal d’itinérance constitue un véritable carnet de route dans lequel le sujet chercheur note ce qu’il sent, ce qu’il pense, ce qu’il médite, ce qu’il poétise, ce qu’il retient d’une lecture, d’une théorie, d’une conversation ou encore d’une correspondance. Il y consigne ainsi tout ce qu’il investit pour donner du sens à sa vie. (Rugira, 2004, p. 113) Proche du journal intime, le journal d’ itinérance n’en est pas tout à fait un puisque sa forme peut évoluer du journal brouillon au journal élaboré, en passant par le journal commenté (Barbier, 1996). Dans ces trois formes, le chercheur tend à non seulement noter ses propres pensées ou ressentis, mais il en vient peu à peu à s’appuyer sur d’autres auteurs, sur des concepts ou sur des compréhensions plus structurées que sa recherche l’amène à élaborer. Lentement mais sûrement, ce journal devient un véritable espace où la recherche prend et trouve sa forme. Encore selon Rugira: [ … ] le journal d’ itinérance constitue un véritable journal de recherche, dans la mesure où il représente bien un instrument méthodologique d’investigation exprimant, de jour en jour, l’appropriation et le déploiement d’une problématique centrale. (Rugira, 2004, p. 114) Par la suite, ce journal, dans sa forme élaborée, peut être partagé à d’ autres, collègues ou professeurs, en vue de recueillir des résonânces ou feed-back, qui peuvent à leur tour venir faire évoluer la question et ses conclusions. De son côté, le Récit de pratique est constitué d’une écriture plus structurée, au sein de laquelle le chercheur est amené à décrire des moments concrets de sa pratique, en vue de les consigner pour pouvoir plus tard les analyser et en comprendre mieux les fondements et les savoirs d’action qui y sont à l’œuvre. Comme le précise J.P. Gauthier (2007, p. 102) en citant Jouthe (1996, p. 80) : « Les récits de pratique sont précisément un discours sur les pratiques pour faire émerger leur sens, pour valider les connaissances implicites dont elles sont porteuses. » En cours de maîtrise, nous étions invités de façon fréquente à décrire, dans nos journaux, des moments où nous étions à l’ œuvre, au sein de nos pratiques psychosociales, qu ‘elles soient personnelles, relationnelles ou professionnelles, en vue de pouvoir suivre, au cœur de nos actions, comment notre question de recherche évoluait et nous livrait de nouvelles informations.Mon journal du praticien-chercheur est donc un matériau considérable qui contient à la fois mes déambulations réflexives, mes dialogues intérieurs, mes rencontres avec la pensée d’ autres auteurs, mes conceptualisations naissantes, mes poèmes et même quelques dessins. Il contient aussi de nombreux récits de moments de pratique tout autant personnelle, relationnelle ou professionnelle

LA PERTINENCE PERSONNELLE: UNE HISTOIRE DE MANQUE DE SENS ET DE PAUVRETÉ DU LIEN

   Mes premiers élans à entamer cette maîtrise et à m’engager dans ce projet d’écriture me venaient de mes réflexions, mais surtout de mes expériences au sein d’ une problématique d’ éclatement familial. Je posais l’hypothèse que mon histoire de familles multiples et éclatées avait laissé en moi des traces, des incomplétudes, des souffrances, mais aussi des incapacités à être et à être en relation. Je portais le souhait, à travers cet exercice de recherche, de trouver des voies nouvelles pour soutenir les familles et leurs membres afin qu ‘ensemble ils puissent apprendre à trouver du sens au cœur de leur expérience parfois douloureuse de séparation et qu ‘ils puissent, malgré tout, apprendre à se relier au sein de leurs structures relationnelles complexes. En m’engageant sérieusement au cœur de ce processus de recherche et de création de soi et de sa pratique que propose la maîtrise en études des pratiques psychosociales, j’ai lentement pu apercevoir la teneur de ces traces, incomplétudes et souffrances, mais surtout j ‘ai pu y apprendre à tirer du sens de mon expérience et du coup à renouveler ma compréhension de mon histoire, de mes liens et de mes manières d’envisager mes relations. Cette mise en lumière sur mon expérience, mais surtout ce processus de formation et de transformation m’ont légué de nouvelles compétences me permettant de mieux m’accompagner sur le chemin de mon expérience humaine et aussi d’accompagner mes semblables en quête de sens et de reliance sur ce grandiose et parfois éprouvant chemin de l’existence.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
RÉSUMÉ
ABSTRACT
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION
PARTIE 1 : QUESTION
CHAPITRE 1 : MISE EN CONTEXTE ÉPISTÉMOLOGIQUE ET MÉTHODOLOGIQUE
1.1 Introduction 
1.2 Avec quels postulats épistémologiques ?
1.2.1 Pour un paradigme compréhensif et interprétatif
1.2.2 Pour une approche heuristique en recherche
1.2.3 Pour la recherche à la première personne
1.3 Avec quels outils méthodologiques?
1.3.1 Les outils de recueil de données : le journal du praticien chercheur
1.3.2 Pour une approche qualitative de la recherche
1.3.3 L’analyse des don nées qualitatives en mode d’écriture
CHAPITRE 2: PROBLÉMATIQUE
2.1 Introduction : l’étape de la question dans l’ approche heuristique
2.2 La pertinence personnelle: une histoire de manque de sens et de pauvreté du lien
2.2. 1 De la genèse d’ une quête de reliance
2.2.2 Du besoin de devenir sujet libre et relié
2.2.3 Terre d’exil, terre d’ accueil : entrer en formation
2.3 La pertinence socioprofessionnelle et scientifique: devenir acteur de changement humain 
2.3. 1 Du développement personnel , relationnel et professionnel
2.3.2 Du besoin de sens dans les organisations: se relie r à soi, aux autres, à la vie
2.3.3 De l’ impératif du travail du lien à l’ère postmoderne et de l’urgence de créer une société de sujets autonomes, libres et responsables
2.3.4 De la question du devenir sujet libre et responsable en formation
2.4 Les articulations de ces différentes dimensions 
2.5 Originalité
2.5. 1 De la posture radicalement subjective dans l’exploration du rapport au corps, à l’expérience et à la parole du sujet en devenir en contexte d’accompagnement du changement humain
2.6 Problème de recherche 
2.7 Question de recherche
2.8 Objectifs de recherche 
PARTTE 2 : EXPLORATTON 
CHAPITRE 3 : RÉCIT AUTOBIOGRAPHIQUE
3.1 Récit autobiographique: Un cœur brisé qui bat à tout rompre 
3. 1.1 Une enfance et une adolescence faite de liens brisés
3. 1.2 Ma belle-mère: une femme entre le cœur de mon père et moi
3. 1.3 La maladie de ma mère et des femmes de ma lignée: le poids des héritages
3.1.3 Une vie reliée, malgré tout
3.1A L’imaginaire, les arts et les mots comme voie de résilience
3.1.5 Le début de ma vie de jeune adulte: craindre le monde et y entrer toutefois
CHAPITRE 4 : RÉCIT DE FORMATION ET DE TRANSFORMATION 
4.1 Introduction 
4.2 Plonger au cœur de son histoire pour en ressortir tout autre 
4.2.1 À l’origine de mon questionnement: la réalité des familles clu Québec contemporain vécue de l’ intérieur
4.2.2 L’ écriture autobiographique comme voie cie connaissance et cie transformation de soi
4.2.3 Écrire sur sa vie au service d’une question qui se cherche
4.2.4 Les « Je me souviens » : fragments d’écriture autobiographique d’inspiration phénoménologique
4.2.5 Retour en groupe de recherche-formation
4.2.6 Reformulation et analyse
4.2.7 Le récit autobiographique: une œuvre en mouvement
4.2.8 Un autre récit de vie sous une forme romancée
4.2.9 Une dernière analyse
4.3 Dans son corps, trouver les gués qui mènent par-delà
4.3.1 Rencontre avec la somato-psychopédagogie
4.3.2 Des expériences signifiantes et formatives de rencontre avec soi au cœur de son corps
CHAPITRE 5 : NAISSANCE D’UNE PRATIQUE RELATIONNELLE NOVATRICE 
5.1 Exercer son pouvoir devenir sujet pour inventer radicalement de nouveaux horizons relationnels 
5.1.1 Œuvrer pour nous hisser à plus de nous-mêmes
5.1.2 Agir et interagir au nom de l’amour, de la vie et de la liberté
5.1.3 Première synthèse autour de l’exercice du pouvoir devenir sujet
5.2 Exercer son pouvoir devenir sujet au cœur d’une pratique professionnelle d’accompagnement du changement humain en contexte organisationneI 
5.2.1 Moment de pratique # 1 : accompagner une équipe dans une transition personnelle, groupale, historique et organisationnelle
5.2.2 Moment de pratique # 2 : Faire un point d’appui dans soi, dans l’autre, dans l’organisation
5.2.3 Deuxième synthèse autour de l’exercice du pouvoir devenir sujet
PARTIE 3 : COMPRÉHENSION 
CHAPITRE 6: COMPRÉHENSION ET MODÉLISATION AUTOUR DU POUVOIR DEVENIR SUJET
6.1 Introduction 
6.2 Retour sur la question et les objectifs de recherche: un chemin pour définir et comprendre
6.2.1 Du processus de formation à la reliance
6.2.2 Du pouvoir devenir
6.2.3 Du désir, de la capacité et de l’exercice du pouvoir devenir suj et en vue d’ une liberté et d’ une responsabilité du sujet
6.2.4 Le suj et du pouvoir devenir sujet
6.2.5 De ia conquête du pouvoir devenir sujet
6.2.6 Pour une pédagogie du pouvoir devenir sujet
6.2.7 Conclusion
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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