Evaluer le danger de la manipulation

Evaluer le danger de la manipulation

Mammifères terrestres

Encore fréquemment cité dans les sites internet gérés par des amateurs comme texte de référence en matière de protection des mammifères terrestres, l’arrêté ministériel du 17 avril 1981 n’est néanmoins plus applicable puisqu’abrogé. L’arrêté ministériel en vigueur est celui du 23 avril 2007 (JORF du 10/05/2007). Cet arrêté fixe la liste d’espèces jouissant d’une protection totale pour laquelle « Sont interdits sur tout le territoire métropolitain et en tout temps la destruction, la mutilation, la capture ou l’enlèvement, la perturbation intentionnelle des animaux dans le milieu naturel » ainsi que « la détention, le transport, la naturalisation, le colportage, la mise en vente, la vente ou l’achat, l’utilisation commerciale ou non ».

Il protège également les aires de repos et de reproduction de ces animaux. Cet arrêté concerne le Loup (Canis lupus), le Chat sauvage (Felis silvestris), le Lynx boréal (Lynx lynx), l’Ours brun (Ursus arctos), le Bouquetin des Alpes (Capra ibex), la Loutre d’Europe (Lutra lutra), le Vison d’Europe (Mustela lutreola), la Genette (Genetta genetta), le Castor d’Europe (Castor fiber), l’Ecureuil roux (Sciurus vulgaris), le Hérisson d’Europe (Erinaceus europaeus), le Muscardin (Muscardinus avellanarius), le Hamster commun (Cricetus cricetus), les musaraignes aquatiques (Neomys fodiens) et de Miller (Neomys anomalus), le Desman des Pyrénées (Galemys pyrenaieus) et enfin de nombreuses espèces de Chiroptères : quatre espèces de Rhinolophidés, vingt-huit espèces de Vespertilionidés et une espèce de Molossidés : le Molosse de Cestoni (Tadarida teniotis).

D’autres espèces ne bénéficient que d’une protection partielle. Le degré de protection partielle est variable en fonction des espèces : pour certaines d’entre elles, seule la destruction est autorisée, alors que pour d’autres, la détention d’animaux vivant est possible. Ainsi, l’arrêté ministériel du 29 avril 2008 (JORF du 11/05/2008) interdit « la mutilation, la détention, le transport, la naturalisation (…), le colportage, la mise en vente, la vente ou l’achat, l’utilisation commerciale ou non des spécimens (…) pour les mustélidés appartenant à la liste suivante :

– Belette (Mustela nivalis),

– Fouine (Martes foina),

– Hermine (Mustella erminea), – Martre (Martes martes), – Putois (Mustela putorius).

« Cependant les dépouilles peuvent être transportées et naturalisées pour le seul compte de l’auteur de la capture et à des fins strictement personnelles. Tout taxidermiste mentionne, dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, tout animal qu’il naturalise, afin de permettre le contrôle de la provenance de celui-ci.» En revanche, seuls les spécimens morts de rongeurs, de Lièvre variable (Lepus timidus) et de Marmotte (Marmota marmota) sont interdits de colportage, d’achat et de mise en vente.

Espèces gibiers

La classification d’un animal en « gibier » prête facilement à confusion car ce qualificatif ne préjuge en rien du caractère licite de sa chasse (dans ce cas, l’espèce est dite « chassable ») (figure 1). En effet, la définition de « gibier » est plus historique que pragmatique, comme en témoigne l’Instruction PN/S2 n°90/2 du 18 avril 1990 : « Le gibier est une notion définie par une longue tradition jurisprudentielle. Il s’agit de certaines espèces animales non domestiques qui ont été admises par la tradition comme susceptibles d’actes de chasse et qui appartiennent au patrimoine biologique national. Tous les oiseaux sont considérés par la jurisprudence comme du gibier. Il en est de même de la majorité des mammifères, la jurisprudence dominante excluant les micro-mammifères (taupes, campagnols,…) et les commensaux de l’homme (souris, rats,…). »

L’arrêté ministériel du 26 juin 1987 (JORF du 20/09/1987) modifié par l’arrêté ministériel du 15 février 1995 précise la liste d’espèces effectivement chassables en France métropolitaine.

On notera au passage qu’aucun rapace n’est soumis à une chasse licite, bien que des individus de ce groupe soient régulièrement trouvés blessés ou morts par tir. Néanmoins, cet arrêté ne rend pas pour autant licite la chasse de toutes les espèces inscrites sur la liste. En effet, la liste d’espèces chassables et les dates d’ouvertures sont soumises à autorisation préfectorale reconduite annuellement.

Il existe trois catégories de gibiers.

La première concerne le gibier dit sédentaire, avec 14 espèces d’oiseaux (Colins, Corbeau freux, Corneille noire, Etourneau sansonnet, Faisans de chasse, Geai des chênes, Gélinotte des bois, Lagopède alpin, Perdrix bartavelle, Perdrix grise, Perdrix rouge, Pie bavarde, Tétras lyre, Tétras urogalle) et 23 espèces de mammifères (Blaireau, Belette, Cerf élaphe, Cerf sika, isard, Chevreuil, Chien viverrin, Daim, Fouine, Hermine, Lapin de garenne, Lièvre brun, Lièvre variable, Marmotte, Martre, Mouflon, Putois, Ragondin, Rat musqué, Raton laveur, Renard, Sanglier, Vison d’Amérique). La deuxième catégorie regroupe 37 espèces de gibier dit d’eau (Barge à queue noire, Barge rousse, Bécasseau maubèche, Bécassine des marais, Bécassine sourde, Canard chipeau, Canard colvert, Canard pilet, Canard siffleur, Canard souchet, Chevalier aboyeur, Chevalier arlequin, Chevalier combattant, Chevalier gambette, Courlis cendré, Courlis corlieu, Eider à duvet, Foulque macroule, Fuligule milouin, Fuligule milouinan, Fuligule morillon, Garrot à oeil d’or,

Harelde de Miquelon, Huîtrier pie, Macreuse brune, Macreuse noire, Nette rousse, Oie cendrée, Oie des moussons, Oie rieuse, Pluvier argenté, Pluvier doré, Poule d’eau, Râle d’eau, Sarcelle d’été, Sarcelle d’hiver, Vanneau huppé). Enfin, la troisième catégorie concerne 14 espèces d’oiseaux dits de passage (Alouette des champs, Bécasse des bois, Caille des blés, Grive draine, Grive litorne, Grive mauvis, Grive musicienne, Merle noir, Pigeon biset, Pigeon colombin, Pigeon ramier, Tourterelle des bois, Tourterelle turque, Vanneau huppé).

Code de déontologie :

obligation de soins d’urgence Le code de déontologie de la profession vétérinaire précise dans l’article R*242-48 relatif aux devoirs fondamentaux (article VI) que le vétérinaire « doit répondre dans la limite de ses possibilités à tout appel qui lui est adressé pour apporter des soins d’urgence à un animal.

S’il ne peut répondre à cette demande, il doit indiquer le nom d’un confrère susceptible d’y répondre. En dehors des cas d’urgence, il peut refuser de prodiguer des soins à un animal ou à un lot d’animaux pour des motifs tels qu’injures graves, défaut de paiement, pour des raisons justifiées heurtant sa conscience ou lorsqu’il estime qu’il ne peut apporter des soins qualifiés ».

En substance, cela signifie que le vétérinaire praticien doit être capable de gérer toutes les urgences, que ce soit en intervenant directement ou en communicant les coordonnées d’un référent. Malheureusement, les vétérinaires connaissant les animaux de la faune sauvage sont encore en nombre restreint, rendant faible la probabilité de trouver un référent dans une zone géographique suffisamment proche pour permettre un transfert immédiat. La question qui se pose en matière de faune sauvage, lors d’une urgence, ne concerne finalement pas tant le domaine de compétence du praticien, dont la formation généraliste lui permet de dispenser les premiers soins d’urgence, que sa volonté réelle de s’impliquer sur ces espèces.

En effet, même s’il a affaire à des espèces atypiques par rapport à celles rencontrées dans sa pratique quotidienne, les premiers soins n’ont pour but que de stabiliser l’animal en vue de son transfert vers des structures adaptées. De plus, si l’animal est en état critique, il est illusoire d’espérer le sauver en le renvoyant d’emblée vers un spécialiste sans prodiguer les premiers soins. Dans ce dernier cas, l’euthanasie d’urgence peut être envisagée et ne demande pas de compétence particulière.

Notre propos n’est pas d’encourager la mise en place à tout prix de traitements élaborés tels que des interventions chirurgicales en l’absence de connaissance sur ces animaux, pouvant conduire à des résultats catastrophiques, mais d’insister sur le fait qu’en cas d’urgence, le praticien consulté est souvent la seule personne à même de pouvoir apporter les premiers soins, et que s’il démissionne de cette fonction, personne ne pourra le remplacer avant un délai préjudiciable à l’animal, qui reste en état de souffrance pendant ce laps de temps.

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Table des matières

LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES PHOTOGRAPHIES
INTRODUCTION
I  ASPECTS LEGAUX ET ETHIQUES                  
A  Règlementation concernant la faune sauvage en France
1) Classification des espèces de la faune sauvage française autochtone et conséquences légales
a) Le droit français
 Définition espèce domestique/non domestique
 Espèces protégées
o Mammifères
 Mammifères marins
 Mammifères terrestres
oOiseaux
oAmphibiens et reptiles
oInsectes et Mollusques
oPoissons et Crustacés
 Espèces gibiers
 Espèces nuisibles
 Espèces sans statut
b) Le droit européen
 Directive Oiseaux
 Directive Habitat
 Règlement C E E  3626/82 du 3 décembre 1982
c) Le droit international
 Convention internationale de Paris du 19 mars 1902
 Convention de Washington du 3 mars 1973
 Convention de Bonn du 23 juin 1979
 Convention de Berne du 19 septembre 1979
d) Conséquences légales
 Découvreur : chemin le plus court et sans délai
 Situation des cabinets vétérinaires
oStructures exerçant des soins sur la Faune sauvage
2) Autorités compétentes en matière de faune sauvage
a) Autorités compétentes au niveau national
b) Autorités compétentes au niveau régional
c) Autorités compétentes au niveau départemental
d) Autorités compétentes au niveau local
3) Place légale du vétérinaire praticien en matière de faune sauvage autochtone
a) Déclaration obligatoire des maladies réglementées
b) Code de déontologie : obligation de soins d’urgence
c) Tarifs d’intervention
d) Information du public : législation, zoonoses
B  Structures particulières en relation avec la faune sauvage
1) Réseau français des vétérinaires praticiens pour la faune sauvage
2) Union Française des Centres de Sauvegarde
3) Autres centres de soins
4) Associations naturalistes
C  Considérations éthiques liées à la prise en charge de la faune sauvage
1) Considérations concernant l’individu pris en charge
a) Considérations médicales
b) Considérations éthiques se rapportant au bien-être animal                2) Considérations concernant les populations sauvages
a) Compétition pour les ressources du milieu
b) Risque sanitaire
c) Interactions entre individu relâché et populations de la même espèce
 Interférence avec le processus de sélection naturelle
 Risque de pollution génétique
 Problèmes liés à la familiarisation et à l’imprégnation
d) Cas particulier de la prise en charge d’individus d’espèces allochtones
3) Place et éthique du vétérinaire praticien
a) Considérations pratiques, économiques et logistiques
b) Ethique professionnelle
c) Ethique individuelle
 En tant que professionnel
 En tant qu’être humain
II  PRATIQUE DE L’ACCUEIL                      
A  ACCUEIL ET CONSEILS TELEPHONIQUES
1) Vérifier que l’animal a besoin d’assistance
a) Espèce
b) Statut physiologique
c) Circonstances de la découverte
 Cas où l’intervention humaine est nécessaire
 Cas des jeunes
d) Cas particuliers des mammifères marins
2) Evaluer le danger de la manipulation
a) Danger physique
 Oiseaux
 Mammifères
 Ophidiens
b) Danger sanitaire
3) Evaluer l’état de l’animal
4) Conseiller sur les premiers soins et le transport
B  ACCUEIL A LA CLINIQUE
1) Evaluation rapide
a) Détermination de l’espèce, du sexe et de l’âge
b) Première évaluation clinique
2) Relevé des commémoratifs
a) Date et heure de la réception
b) Identité et coordonnées du découvreur
c) Date et heure de la découverte
d) Lieu et circonstances de la découverte
e) Alimentation donnée avant l’accueil
f) Soins donnés avant l’accueil
g) Examen et suivi cliniques
h) Suivi quotidien
3) Stabilisation initiale
a) Oxygéner et réchauffer
b) Réhydrater
4) Evaluation approfondie
a) Examen à distance
 Observation de la vigilance de l’animal
 Observation de la posture de l’animal
 Examen du plumage/pelage
 Observation de la respiration
oMouvements respiratoires
oFréquence respiratoire
 Observation des éléments présents dans le carton
oSang
oDéjections
oPelotes de réjection
b) Examen rapproché
 Etat d’embonpoint
 Examen général
 Déshydratation
5) Tri
a) Cas des jeunes
b) Cas où l’euthanasie est conseillée
6) Produits administrés lors du traitement de soutien
a) Anxiolytiques et analgésiques
b) Antibiotiques
C  PRISE EN CHARGE DE QUELQUES SITUATIONS FREQUENTES
1) Hémorragies
2) Détresse respiratoire
3) Fractures
a) Fractures du membre thoracique
 Clavicule
 Coracoïde
 Humérus
 Radius et/ou ulna
 Carpe, carpométacarpe et doigt
b) Fracture du membre pelvien
 Fémur
 Tibiotarse
 Tarsométatarse
 Doigts
4) Luxations
5) Mazoutage
6) Brûlures
7) Plaies de morsure ou griffure
8) Troubles nerveux
III  PRATIQUE DES GESTES ELEMENTAIRES           
A  RECONNAITRE UNE ESPECE DE FAUNE SAUVAGE METROPOLITAINE ET RISQUES INHERENTS
A CETTE ESPECE
1) Identification des principales espèces sauvages de France métropolitaine
2) Maîtrise du risque physique
a) Contention des mammifères
b) Contention des oiseaux
3) Maîtrise du risque sanitaire
a) Zoonoses communes aux mammifères et aux oiseaux
b) Zoonoses provenant plus spécifiquement des mammifères sauvages            c) Zoonoses provenant plus spécifiquement
d) des oiseaux sauvages
B  GESTES TECHNIQUES
1) Voies d’administration
a) Voie orale
b) Voie sous-cutanée
c) Voie intramusculaire
d) Voie intraveineuse
e) Voie intra-osseuse
2) Intubations
a) Intubation de la trachée
b) Intubation d’un sac aérien
3) Pansements
a) Pansement sur les ailes, dit en « 8 »
b) Pansement sur les pattes
4) Ponction lors d’emphysème sous-cutané
5) Transfusion sanguine
6) Enture
a) Technique de « remplacement »
b) Technique de « redressement »
C  EXAMENS COMPLEMENTAIRES
1) Radiographie
a) Indications
b) Réalisation
c) Eléments d’interprétation
2) Autres méthodes d’imagerie
3) Analyses sanguines
IV  PARTICULARITES DES SOINS PAR ESPECE OU GROUPE D’ESPECES                 A  OISEAUX                          
1) Anatidés : Cygne tuberculé et Canard colvert
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
2) Columbidés : Pigeon biset, Pigeon ramier, Tourterelle turque             a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
3) Corvidés : Geai des chênes, Corneille noire, Corbeau freux, Choucas des tours
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
4) Martinet noir
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
5) Petits passereaux : Moineau domestique, Mésange charbonnière, Merle noir, Hirondelle de fenêtre
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
6) Rapaces diurnes : Bondrée apivore, Buse variable, Epervier d’Europe, Faucon crécerelle
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
7) Rapaces nocturnes : Effraie des clochers, Chouette hulotte, Hibou moyen-duc
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
8) Autres espèces d’oiseaux : Héron cendré, Bécasse des bois, Gallinule poule d’eau, pics, mouettes et goélands
a) Héron cendré
b) Bécasse des bois
c) Gallinule poule d’eau
d) Pics
e) Mouettes et goéland
B  MAMMIFERES
1) Hérisson
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
2) Mustélidés : exemple de la Fouine
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
3) Renard
a) Particularités biologiques à l’état sauvage
 Morphologie et diagnose
 Biotope et alimentation
 Vie de relation
b) Prise en charge clinique
 Contention
 Dominantes et particularités pathologiques
 Cas rédhibitoires
c) Maintien temporaire en captivité
 Logement
 Nourriture
 Devenir
 Cas particulier des jeunes
4) Autres espèces : Ecureuil roux, chauves-souris
a) Ecureuil roux
b) Chauves-souris
CONCLUSION                            
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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