Etude socio-spatiale de l’isard

Etude socio-spatiale de l’isard

 A partir des cornes 

Les cornes des isards se composent de deux éléments distincts : la cheville osseuse et l’étui corné qui l’entoure ou corne proprement dite. La cheville osseuse fait partie intégrante de l’os frontal et assure le développement de l’étui corné et son support. L’étui corné est creux sur toute la portion occupée par la cheville osseuse. Très mince à la base, il s’épaissit régulièrement pour devenir plein vers les 3/5 de sa hauteur. Les cornes commencent à pousser dès la naissance, mais ne forment qu’une protubérance frontale. Elles apparaissent vers 3 ou 4 mois sous la forme d’un petit cornet de kératine droit et pointu, et mesurent de 3 à 5 centimètres à l’âge de 6 ou 7 mois.La croissance des cornes marque un arrêt en hiver (nourriture moins abondante et moins riche en minéraux). Elle reprend au printemps, repoussant vers le haut les cornets des années précédentes. Cet arrêt se manifeste sur l’étui par la présence d’un sillon circulaire, appelé anneau d’âge (à ne pas confondre avec les anneaux de parure, plus étroits, et ne faisant pas le tour complet de la corne). La croissance des cornes n’est pas uniforme : importante les trois premières années et surtout en deuxième année lorsque le crochet se forme, elle ralentit ensuite pour ne plus donner, en cinquième année, qu’un segment d’environ 5 millimètres et des segments de l’ordre du millimètre ensuite. Pour connaître l’âge de l’animal, on compte sur la face postérieure de la corne, de la pointe vers la base, le nombre de segments de croissance délimités par les sillons, sachant que celui du premier hiver est rarement visible.

Les avalanches et les chutes de pierre

Les avalanches de neige sont un facteur de mortalité important : plusieurs observations directes d’animaux emportés ont été faites : « Le 15 janvier 1981, à partir de trois heures de l’après midi, sous les yeux de tout Barèges anxieux, l’énorme avalanche du Capet descend à plusieurs reprises face au village, et vient mourir sur le parking. L’angoisse est grande. On fait évacuer tous les bas quartiers. Les spectateurs croient voir sur des centaines de mètres de parcours des souches d’arbres qui volent à travers la neige, sont enfouies, resurgissent à la surface, disparaissent à nouveau. En vérité, ce sont cinq isards qui ont été pris dans l’avalanche.Ballottés comme des grains de sable, malmenés comme il n’est pas possible de l’être, trois d’entre eux en réchapperont miraculeusement et parviendront à se dégager lorsque l’avalanche arrive à proximité du terrain de tennis. Les deux autres, brisés, vont rester ensevelis » (Marcel Carrère, Emile Labit) (6). Mais le véritable impact des avalanches est impossible à évaluer par la méthode de recherche des cadavres, car le fait de découvrir un cadavre dans un couloir ou à sa base, ne signifie pas nécessairement que la mort est due à une avalanche. Les avalanches les plus dangereuses du fait de leur vitesse et de leur ampleur spatiale sont celles de neige poudreuse. Les chutes de pierre sont fréquentes et constituent un danger objectif important.Elles concernent tout particulièrement les zones de pâture de l’isard (couloirs, base de couloir et de falaises) et sont à considérer comme un facteur de mortalité non négligeable. Bien qu’aucune observation directe n’ait été faite, plusieurs cas de traumatismes crâniens anciens et bris de cornes ont pu être remarqués sur des crânes de cadavres récoltés

Infectieuses

Certaines maladies infectieuses ont été rencontrées sur des animaux présentant des symptômes cliniques ou des lésions, d’autres par examen sérologique alors qu’il n’y avait aucune lésion. – Les broncho-pneumonies représentent, après les traumatismes, la deuxième cause de mortalité des ongulés sauvages de montagne. Si la bronchite vermineuse de l’isard est maintes fois rencontrée, elle se trouve souvent accompagnée par des atteintes de broncho-pneumonies d’origine infectieuses. Celles-ci peuvent évoluer également en dehors de tout contexte de protostrongylose. Elles sont favorisées par la rigueur du climat qui prédispose les animaux à contracter différentes bactéries à tropisme pulmonaire, telles que les pasteurelles, les mycoplasmes. Surtout observés en hiver, les signes cliniques sont la toux et la présence sur les naseaux d’un jetage muco-purulent.La mortalité est importante chez les jeunes animaux de première année. Elles seraient aussi responsables de la mortalité survenant en juillet sur des chevreaux. En effet, dans certaines hardes, beaucoup de chevreaux meurent sur une courte période (15 jours), suite à des épisodes de toux. Ce pic de mortalité estival correspondrait à une baisse des défenses immunitaires transmises par la mère par le biais du colostrum. De plus, le regroupement en nurseries de femelles et cabris qui tend à constituer des groupes importants est un facteur propice à la contagion. – La kérato-conjonctivite infectieuse (K.C.I.) (50) de l’isard est une maladie contagieuse, virulente, incurable, considérée comme spécifique du genre Rupicapra et qui atteint tous les animaux, quel que soit leur âge ou leur sexe. Elle se manifeste par de violentes épizooties.On peut observer une morbidité de 90 à 95 %. Cependant, le taux de mortalité reste faible (15 à 20 %) et la mort est souvent due aux traumatismes ou chutes subis par les animaux rendus aveugles. C’est au cours de l’hiver 1980-81 que furent recensés officiellement les premiers cas de K.C.I. sur l’isard, dans les vallées de Luchon et d’Aure, ainsi que dans la vallée de Saint Lary. Puis, l’épidémie s’est propagée vers l’est et l’ouest de la chaîne, et vers le sud en Espagne. L’agent étiologique est Mycoplasma conjonctivae. Au début, l’atteinte est unilatérale, mais elle devient très rapidement bilatérale. Elle se traduit par une conjonctivite suraiguë, avec photophobie prononcée, un épiphora abondant, souillant le chanfrein et du chémosis. Ce stade initial dure environ deux ou trois jours. Puis s’installe une phase d’état avec une conjonctivite folliculaire. Cette phase peut évoluer vers la guérison, mais souvent apparaissent des complications : ulcères, kératite bleue, surinfections bactériennes. Certains isards deviennent aveugles, ne peuvent se déplacer correctement et donc ne s’alimentent plus. Leur état général se dégrade progressivement, la déshydratation et l’amaigrissement s’accentuent, et la cachexie, prélude à la mort, s’installe. Parfois les isards sont victimes de chutes mortelles, à cause de leur cécité : « Affaiblie, squelettique, ne se nourrissant plus, une femelle atteinte de K.C.I. aux deux yeux, reste exposée au soleil d’août toute la journée.Elle ne se déplace que très peu, la bouche grande ouverte, la langue pendante, entourée d’un nuage de mouches. Seuls semblent lui donner la force de faire quelques pas, les appels de son chevreau, qui fait des allées et venues pour lui faire quitter ce lieu. Plus tard, nous retrouverons leurs dépouilles au pied d’une falaise : le jeune était à son tour atteint à un oeil. » (Jean Cédet) (6) Aucun traitement n’est envisageable à grande échelle. Le maintien d’une population équilibrée semble être un bon moyen d’éviter la réapparition de telles épidémies. Quelques cas d’entérotoxémie à Clostridium surviennent avec le changement brutal de nourriture au printemps. La mort est alors inévitable et rapide (en moins de 24 heures). On citera aussi d’autres affections beaucoup moins fréquentes telles que la brucellose, la tuberculose, la chlamydiose, la salmonellose, la maladie caséeuse (ou maladie des abcès), la paratuberculose, l’ecthyma. Ainsi les isards sont soumis à diverses affections plus ou moins graves.

Ces affections, même si elles ne tuent pas directement les animaux, ont des conséquences sur leur survie ultérieure, notamment durant l’hiver. Les jeunes sont les plus touchés par les maladies. Il semble aussi que la densité des isards ait une influence non négligeable sur la prévalence de ces affections. La plupart de ces maladies sont communes aux ovins, caprins et bovins domestiques, et donc transmissibles d’une catégorie d’animaux à l’autre. Cependant, il semble que les animaux sauvages en sont presque toujours les victimes et qu’ils ne sauraient constituer un réservoir de contamination pour les ruminants domestiques.

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Table des matières

INTRODUCTION
I. Présentation de l’isard
I. 1. Systématique et répartition
I. 1. 1. Origine 11
I. 1. 2. Systématique
I. 1. 3. Répartition et effectifs du genre Rupicapra
I. 1. 3. 1. Dans le monde
I. 1. 3. 2. En France
I. 2. Reconnaissance de l’animal
I. 2. 1. Morphologie
I. 2. 2. Reconnaissance du sexe
I. 2. 2. 1. Critères morphologiques et anatomiques
I. 2. 2. 1. 1. Allure générale
I. 2. 2. 1. 2. Cornes
I. 2. 2. 1. 3. Pelage
I. 2. 2. 2. Critères comportementaux
I. 2. 3. Reconnaissance de l’âge
I. 2. 3. 1. Estimation de l’âge à distance
I. 2. 3. 2. Détermination exacte de l’âge, animal en main
I. 2. 3. 2. 1. A partir des cornes
I. 2. 3. 2. 2. A partir de la denture
I. 2. 4. Reconnaissance de la condition physique
I. 3. Perception de l’environnement
I. 3. 1. La vue
I. 3. 2. L’ouïe
I. 3. 3. L’odorat
I. 4. Alimentation
I. 4. 1. Alimentation végétale
I. 4. 1. 1. En hiver
I. 4. 1. 2. Au printemps
I. 4. 1. 3. En été et en automne
I. 4. 2. L’eau
I. 4. 3. Attirance pour le sel
I. 5. La reproduction
I. 5. 1. Le cycle de reproduction
I. 5. 1. 1. Le rut
I. 5. 1. 2. La gestation
I. 5. 1. 3. La mise-bas
I. 5. 1. 4. La lactation
I. 5. 2. Maturité sexuelle
I. 5. 2. 1. Chez le mâle
I. 5. 2. 2. Chez la femelle
I. 6. Mortalité
I. 6. 1. Les causes accidentelles
I. 6. 1. 1. Les chutes
I. 6. 1. 2. Les pièges naturels
I. 6. 1. 3. Les avalanches et chutes de pierre
I. 6. 1. 4. La foudre
I. 6. 2. La prédation
I. 6. 3. Agressions intraspécifiques
I. 6. 4. Les maladies
I. 6. 4. 1. Parasitaires
I. 6. 4. 2. Infectieuses
I. 6. 4. 3. Origines diverses
II. Etude socio-spatiale de l’isard
II. 1. Description de l’habitat
II. 1. 1. L’altitude
II. 1. 2. Le relief
II. 1. 3. Le climat
II. 1. 3. 1. Le climat atlantico-montagnard
II. 1. 3. 2. Le climat montagnard
II. 1. 4. La végétation
II. 1. 4. 1. L’étage montagnard : de 600 à 1500 mètres
II. 1. 4. 2. L’étage subalpin : de 1500 à 1900 mètres
II. 1. 4. 3. L’étage alpin : au dessus de 1900 mètres
II. 2. Adaptations à cet environnement
II. 2. 1. A l’altitude
II. 2. 2. Au froid
II. 2. 3. A une nourriture coriace
II. 2. 4. Au terrain
II. 2. 4. 1. Description
II. 2. 4. 2. Particularités anatomiques
II. 3. La vie sociale
II. 3. 1. Description
II. 3. 1. 1. Structure de base
II. 3. 1. 2. Taille et composition des groupes
II. 3. 1. 2. 1. Fréquence globale
II. 3. 1. 2. 2. Variations
II. 3. 1. 2. 2. 1. Saisonnières
II. 3. 1. 2. 2. 2. D’un massif à l’autre
II. 3. 2. Base du comportement
II. 3. 2. 1. La communication interindividuelle
II. 3. 2. 1. 1. Les signes sonores
II. 3. 2. 1. 2. Les odeurs
II. 3. 2. 1. 3. Les signes visuels
II. 3. 2. 2. Ontogenèse
II. 3. 3. Hypothèses sur cette organisation
II. 3. 3. 1. La vie en groupe
II. 3. 3. 2. La ségrégation des sexes
II. 3. 4. Conséquences pour la chasse
II. 4. Utilisation de l’espace
II. 4. 1. Notion de « noyaux géographiques de peuplement »
II. 4. 2. Notion de domaine vital et de territoire
II. 4. 2. 1. Observation
II. 4. 2. 2. Domaine vital
II. 4. 2. 3. Territoire
II. 4. 3. Déplacements saisonniers
II. 4. 3. 1. A l’échelle du massif
II. 4. 3. 2. Evolution du domaine vital
II. 4. 4. Rythme journalier d’activité
II. 4. 5. Conséquences pour la chasse
II. 5. Paramètres des populations
II. 5. 1. Effectifs
II. 5. 2. Rapport des sexes
II. 5. 3. Rapport des classes d’âge et longévité
II. 5. 4. Indice de reproduction
II. 5. 5. Taux de survie
II. 5. 6. Taux annuel d’accroissement
II. 6. Interaction de l’isard avec les autres Vertébrés
II. 6. 1. Avec les prédateurs
II. 6. 1. 1. L’aigle royal
II. 6. 1. 2. Le renard
II. 6. 1. 3. Le lynx
II. 6. 1. 4. L’ours
II. 6. 2. Avec les ongulés compétiteurs
II. 6. 2. 1. Avec les ongulés domestiques
II. 6. 2. 2. Avec les ongulés sauvages
II. 6. 3. Avec d’autres espèces animales
II. 6. 3. 1. Le vautour
II. 6. 3. 2. Le gypaète barbu
II. 6. 3. 3. Autres
II. 6. 4. Avec l’homme
III. Pratique de la chasse à l’isard
III. 1. La chasse à l’isard d’hier à aujourd’hui
III. 1. 1. Le mythe du grand chasseur
III. 1. 2. L’après guerre 14-18
III. 1. 3. Aujourd’hui
III. 1. 4. Le braconnage
III. 2. Structure et réglementation de la chasse à l’isard
III. 2. 1. Définition de la chasse
III. 2. 2. Bref état de la chasse en France
III. 2. 2. 1. Effectifs
III. 2. 2. 2. Permis de chasse
III. 2. 2. 3. Visa annuel
III. 2. 2. 4. Territoire et droit de chasse
III. 2. 3. Les institutions nationales de la chasse
III. 2. 3. 1. La fédération nationale des chasseurs
III. 2. 3. 2. Les fédérations régionales des chasseurs
III. 2. 3. 3. Les fédérations départementales des chasseurs
III. 2. 3. 4. Les associations de chasse
III. 2. 3. 5. Le groupement d’intérêt cynégétique ou GIC
III. 2. 4. Le plan de chasse
III. 2. 4. 1. De 1963 à 1990
III. 2. 4. 2. Le plan de chasse obligatoire
III. 2. 4. 2. 1. Postulat biologique
III. 2. 4. 2. 2. Objectif du plan de chasse
III. 2. 4. 2. 3. Mise en oeuvre
III. 2. 4. 2. 4. Période de chasse
III. 3. Les différentes techniques de chasse à l’isard
III. 3. 1. Les chasses d’hier
III. 3. 1. 1. La chasse à la battue ou chasse à la traque en montagne
III. 3. 1. 2. La chasse au chien courant
III. 3. 1. 3. L’affût
III. 3. 2. La chasse à l’approche ou « vraie chasse »
III. 3. 2. 1. Les phases d’une chasse à l’approche
III. 3. 2. 1. 1. Le repérage de la remise
III. 3. 2. 1. 2. La découverte
III. 3. 2. 1. 3. L’approche
III. 3. 2. 1. 4. Le tir
III. 3. 2. 2. La recherche de l’animal blessé
III. 3. 2. 3. Les chasses à l’approche de certains animaux
III. 3. 2. 3. 1. Chasse à l’approche du « vieux solitaire »
III. 3. 2. 3. 2. La chasse pendant le rut
III. 4. Choix des armes et tir de l’isard
III. 4. 1. Les différents types d’armes rayées
III. 4. 1. 1. Les carabines à verrou
III. 4. 1. 2. Les armes à levier sous garde et à pompe
III. 4. 1. 3. Les armes semi-automatiques
III. 4. 1. 4. Les carabines à un coup
III. 4. 1. 5. Les carabines à canon basculant
III. 4. 1. 5. 1. Les carabines doubles dites « express »
III. 4. 1. 5. 2. Les armes mixtes
III. 4. 1. 5. 2. 1. Les drilling
III. 4. 1. 5. 2. 2. Les fusils mixtes
III. 4. 1. 5. 2. 3. Les vierling
III. 4. 1. 6. Le calibre
III. 4. 2. Les munitions
III. 4. 2. 1. Description
III. 4. 2. 1. 1. Les balles blindées
III. 4. 2. 1. 2. Les balles expansives
III. 4. 2. 2. Effets biologiques
III. 4. 2. 2. 1. Mort par blessure
III. 4. 2. 2. 2. Mort par inhibition ou choc nerveux
III. 4. 2. 3. Efficacité des balles
III. 4. 3. Le tir
III. 4. 3. 1. Trajectoire d’un projectile dans l’air
III. 4. 3. 2. L’optique de chasse
III. 4. 3. 3. Le réglage d’une lunette de visée
III. 4. 3. 4. Particularités du tir en haute montagne
III. 4. 3. 4. 1. Effet de l’altitude
III. 4. 3. 4. 2. Le tir oblique
III. 4. 3. 4. 3. Modifications de la dérive des projectiles en raison d’un vent transversal
III. 4. 3. 5. Le tir de l’isard
III. 4. 4. Règles de sécurité
III. 4. 5. Réglementation
III. 5. Le devenir de l’animal mort et son utilisation
III. 5. 1. Devenir de l’animal mort
III. 5. 1. 1. Mise en place du bracelet
III. 5. 1. 2. Eviscération ou vidage
III. 5. 1. 3. Le portage
III. 5. 1. 4. Le dépeçage
III. 5. 2. Utilisation de l’animal
III. 5. 2. 1. Le trophée
III. 5. 2. 2. La viande
III. 5. 2. 3. Croyances et Médecine
III. 6. L’équipement du chasseur
III. 6. 1. La tenue
III. 6. 2. Les jumelles
III. 6. 3. La nourriture
IV. Chasse et gestion
IV. 1. Le chasseur et la nature
IV. 2. Les excès du passé
IV. 3. Gestion de la chasse à l’avenir
IV. 3. 1. Rôle de la chasse?
IV. 3. 2. Objectifs
IV. 3. 2. 1. Recoloniser l’espace
IV. 3. 2. 2. Travailler avec les organismes gestionnaires de l’isard
IV. 3. 2. 3. Donner une bonne image
IV. 3. 3. Moyens à mettre en oeuvre
IV. 3. 3. 1. Pour favoriser la recolonisation de proche en proche
IV. 3. 3. 2. Pour augmenter les populations en place
IV. 3. 3. 2. 1. Rééquilibrer le sex-ratio
IV. 3. 3. 2. 2. Préserver les adultes entre 3 et 10 ans
IV. 3. 3. 3. Pratiquer des réintroductions artificielles
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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