Etude de l’évolution de la pluviométrie (tendances) 

Etude de l’évolution de la pluviométrie (tendances) 

Partout dans le monde, le changement climatique devient de plus en plus une préoccupation importante et pour pouvoir s’adapter aux conséquences qui en découlent, les changements attendus doivent tout d’abord être compris. On peut affirmer que la climatologie a maintenant atteint un certain niveau de maturité qui la rend plus précieuse et utile pour les décideurs (Charron, 2014). Le changement climatique est devenu rapidement une question qui préoccupe, non seulement les scientifiques, mais toute la communauté internationale. Ses conséquences représentent un défi pour l’humanité. Ce défi est dans les deux sens : chance et risque. Certes le risque est considérable et ne doit pas être ignoré. Mais un tel risque peut néanmoins être une chance pour l’humanité. On peut y voir une occasion exceptionnelle de prendre conscience de notre communauté de destin et de tester notre capacité à changer la direction de la gouvernance mondiale avant qu’il ne soit trop tard (Delmas-Marty et al., 2015). Les scientifiques font donc l’objet de très fortes demandes de la part de la société pour comprendre les conséquences des changements climatiques sur les activités humaines.

La pluviométrie, son régime et ses tendances, sont les paramètres climatiques les plus touchés par le changement climatique. Il est donc nécessaire de s’intéresser aux effets du changement climatique sur les précipitations. Dans cette thèse nous étudions les tendances de la pluviométrie dans 42 stations appartenant au bassin versant de la Macta puis, par une réduction d’échelle statistique (Statistical Downscaling), les changements prévus pour l’horizon 2100.

Le changement climatique

Définition

La confusion qui entoure la question du changement climatique est attribuable en partie au fait que de nombreux termes, scientifiques ou non, nous viennent à l’esprit lorsque nous entendons l’expression changement climatique. Il s’agit, par exemple, du «changement climatique», du «réchauffement de la planète» et de l’ «augmentation de l’effet de serre», qui ont chacun une Signification Scientifique précise. Pourtant, ces concepts ont récemment été vulgarisés à la fois par la communauté scientifique et par les médias. Pour lever la contradiction et pour bien comprendre le problème du changement Climatique, nous devons absolument saisir la distinction entre les différents termes qui seront utilisés (Environnement Canada, 2014).

Termes clés et distinctions

Climat
C’est l’ensemble des phénomènes météorologiques (température, humidité, ensoleillement, pression, vent, précipitations) qui caractérisent l’état moyen de l’atmosphère en un lieu donné. Au sens étroit du terme, le climat désigne généralement le « temps moyen »; il s’agit plus précisément d’une description statistique en fonction de la moyenne et de la variabilité de grandeurs pertinentes sur des périodes variant de quelques mois à des milliers, voire à des millions d’années (la période classique, définie par l’organisation météorologique mondiale, est de 30 ans). Ces grandeurs sont le plus souvent des variables de surface telles que la température, les précipitations et le vent. Dans un sens plus large, le climat est la description statistique de l’état système climatique (Moussa et al., 2006). Selon Moussa (2006), Les climats résultent:
– de facteurs cosmiques (la source d’énergie solaire: variation de l’activité solaire);
– de facteurs planétaires (répartition de cette énergie en fonction de la sphéricité de la Terre, de ses mouvements; de l’état, en même temps que du dynamisme de l’atmosphère);
– de facteurs géographiques (les terres, le lien entre l’atmosphère et les océans, les reliefs, la végétation, les volcans, les installations humaines).

Variabilité climatique

C’est les variations de l’état moyen et autres variables statistiques (écart-type, apparition d’extrêmes, etc.) du climat à toutes les échelles temporelles et spatiales autres que celles des phénomènes météorologiques particuliers. La variabilité peut être due à des processus internes naturels au sein du système climatique (variabilité interne) ou à des variations du forçage externe naturel ou anthropique (variabilité externe) (IPCC, 2013).

Système climatique mondial

À l’échelle mondiale, le climat obéit essentiellement à la quantité d’énergie que la Terre reçoit du soleil et qu’elle rejette dans l’espace. Le climat mondial subit aussi l’influence d’autres flux d’énergie à l’intérieur du système climatique comme tel. Ces flux d’énergie sont régulés par l’atmosphère (qui fournit les gaz, les aérosols, les nuages et les vents), les océans (qui aident à répartir la chaleur par l’entremise des courants), les précipitations (sous forme de pluie, de neige et de glace), l’eau (sous forme de lacs et de rivières) et les sols (qui reflètent ou absorbent l’énergie du soleil). Des changements dans l’un ou l’autre de ces éléments peuvent affecter l’équilibre de tout le système, entraînant un changement du climat. Prenons par exemple le phénomène météorologique El Niño (Ken, 2004).

Changement d’affectation des terres 

Changement apporté par l’homme dans l’utilisation ou l’aménagement des sols, qui peut entraîner une modification de la couverture terrestre. La modification de la couverture terrestre et le changement d’affectation des terres peuvent avoir une incidence sur l’albédo, l’évapotranspiration, les sources et les puits de gaz à effet de serre, ou sur d’autres propriétés du système climatique et peut donc avoir des répercussions sur le climat, au plan local ou à l’échelle du globe.

Changements climatiques

Le changement climatique c’est le changement qui est attribué directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter à la variabilité naturelle du climat observée au cours des périodes comparables (Nations unies, 1992) On appelle aussi changement climatique la variation «significative» de la moyenne pluriannuelle d’un, ou des, paramètre du climat ou de sa variabilité persistant pendant une période prolongée (généralement des décennies ou plus). Les changements climatiques sont davantage qu’une tendance au réchauffement planétaire. Ces hausses de températures peuvent, influer sur le cycle hydrologique (pluviométrie et évaporation), menacer la biodiversité, causer l’augmentation des niveaux des mers, augmenter les risques sanitaires (modifie la distribution des vecteurs de maladies infectieuses « moustiques etc…) et changer l’écosystème des océans. Ce sont les communautés les plus pauvres qui seront le plus exposées aux impacts des changements climatiques, car elles disposent de moins de ressources pour investir dans la prévention et l’atténuation de leurs effets. Certaines des populations les plus à risque sont les paysans pratiquant l’agriculture de subsistance, les populations autochtones et celles qui vivent le long des côtes (Nations unies, 2016).

Réchauffement planétaire

Le réchauffement planétaire est l’un des phénomènes les plus importants du XXème et XXIème siècles. Effet de serre, montée du niveau des mers du fait de la fonte des glaces, climats déréglés un peu partout sur la planète, autant de problèmes qui sont le signe de changements profonds attestant du réchauffement de la planète, menaçant directement l’équilibre naturel, la faune, la flore et l’ être humain (Sebastien, 2006). Le réchauffement planétaire, également appelé réchauffement global ou, changement climatique est un phénomène d’augmentation, à l’échelle mondiale et sur plusieurs années, de la température moyenne des océans et de l’atmosphère. Ce terme est appliqué au changement climatique observé depuis environ vingt-cinq ans, c’est-à-dire depuis la fin du XXème siècle. Au sens strict, le «réchauffement planétaire» et «refroidissement planétaire» font référencés aux périodes de réchauffement et refroidissement que la terre a connues depuis sa création. Toutefois, le terme «réchauffement planétaire» a été vulgarisé et englobe désormais tous les phénomènes en relation avec le changement climatique, et principalement l’influence des activités humaines sur le système climat.

Gaz à effet de serre

Les gaz à effet de serre sont les constituants gazeux de l’atmosphère, tant naturels qu’anthropiques, qui absorbent et émettent un rayonnement à des longueurs d’onde données du spectre du rayonnement infrarouge émis par la surface de la Terre, l’atmosphère et les nuages. C’est cette propriété qui est à l’origine de l’effet de serre. Les principaux gaz à effet de serre sont la vapeur d’eau, le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (ou protoxyde d’azote, de formule N2O) et l’ozone (O3). Les gaz à effet de serre industriels incluent les halocarbones lourds (Fluorocarbones Chlorés incluant les Chlorofluorocarbures (CFC), les molécules de HCFC-22 (Les hydrochlorofluorocarbures) comme le Fréon et le Perfluorométhane) et l’Hexafluorure de Soufre (SF6). Jean (2002) a estimé la contribution approximative à l’effet de serre pour chacun des principaux gaz:
– Vapeur d’eau (H2O): 60 %
– Dioxyde de Carbone (CO2): 34 %
– Ozone (O3): 2 %
– Méthane (CH4): 2 %
– Oxyde nitreux (N2O): 2 %

L’effet de serre

L’effet de serre est le piège d’une fraction du rayonnement infrarouge réémis par la Terre vers l’atmosphère terrestre. Ceci est réalisé en particulier par les gaz dits «à effet de serre», accroissant la température troposphérique. Il n’en demeure pas moins que l’effet de serre sur la Terre est un phénomène réel et essentiel qui nous permet d’avoir une température moyenne à la surface de 15 °C au lieu de – 18 °C s’il n’existait pas (Dufresne, 2007). Les rayons du soleil qui atteignent la Terre réchauffent sa surface et sont absorbés à hauteur des deux tiers. Le tiers restant est renvoyé sous forme de rayonnement infrarouge vers l’espace, mais se trouve en partie piégé par une couche de gaz située dans la basse atmosphère: celle-ci renvoie la chaleur vers la Terre et contribue à la réchauffer davantage.

Cet effet de serre résulte pour les deux tiers de l’absorption de chaleur par la vapeur d’eau et les nuages (qui évoluent entre le sol et 12 km d’altitude). Le troisième tiers résulte de l’interaction d’un certain nombre de gaz dits à effet de serre (ou GES) qui se situent environ à 15 km au-dessus du sol. En majeure partie, leur origine est naturelle, mais la proportion due à l’activité humaine, qui est dite d’origine anthropique, s’accroît depuis le début de l’ère industrielle (1750). L’augmentation incontrôlée de l’effet de serre pourrait provoquer selon les pires prévisions (violents incendies de forêts dus aux sécheresses et réchauffement progressif des océans entraînant la fonte puis la remontée à la surface du méthane stocké au fond des mers) une augmentation de la température du globe jusqu’à 10°C en moyenne d’ici à 2150 si rien n’est fait pour diminuer les rejets humains de gaz à effet de serre. Ce phénomène naturel a été renforcé car la quantité de gaz à effet de serre (en particulier l e CO2, naturellement en très faible concentration dans l’atmosphère) a augmenté ces dernières années, ce qui a pour conséquence de déséquilibrer le bilan radiatif de la Terre. Cette augmentation est due à la combustion de matière carbonée fossile. Si bien que nombre de scientifiques pensent que l’effet de serre est la cause principale du réchauffement planétaire actuel.

Avec le temps, la Terre doit dégager dans l’espace autant d’énergie qu’elle en absorbe, émise par le soleil. L’énergie solaire nous parvient sous forme de rayonnement de courte longueur d’onde. Une partie de ce rayonnement est réfléchie par la surface terrestre et l’atmosphère, mais la plus grande partie traverse directement l’atmosphère pour réchauffer la surface du globe. La Terre, à son tour, se défait de cette énergie (la renvoie dans l’espace) sous forme de rayonnement infrarouge, de grande longueur d’onde (Haus, 2005). Les gaz à effet de serre ont pour caractéristique commune d’absorber une partie des infrarouges émis par la surface de la Terre. Sans effet de serre (ce qui implique notamment : sans vapeur d’eau et sans nuages), et à albédo constant, la température moyenne sur Terre chuterait à−18 °C. Mais à cette température la glace s’étendrait sur le globe, l’albédo terrestre augmenterait, et la température se stabiliserait vraisemblablement en dessous de −50 °C (Baruch, 2007). Si la concentration en gaz à effet de serre augmente, l’absorption du rayonnement infrarouge par l’atmosphère va augmenter (rendant l’atmosphère opaque), induisant une augmentation corrélative de sa température. Et comme la puissance du rayonnement émis par un corps augmente avec sa température, l’atmosphère enverra plus d’énergie vers le sol qu’auparavant, d’où augmentation de la température d’équilibre de la surface (Dufresne, 2010). Les gaz à effet de serre ont en effet la particularité d’être pratiquement transparents au rayonnement solaire, et opaques au rayonnement infrarouge émis par la terre. L’énergie est piégée (Trenberth, 2009).

Forçage radiatif

En climatologie, le forçage radiatif est défini comme la différence de l’insolation (rayonnement solaire) absorbée par la Terre et de l’énergie rayonnée vers l’espace. Typiquement, le forçage radiatif est quantifié à la tropopause (10 à 16 km d’altitude) en unités de watts par mètre carré de la surface de la Terre. Un forçage positif (plus d’énergie entrante) réchauffe le système, tandis que qu’un forçage négatif (plus d’énergie sortante) le refroidit. Les causes du forçage radiatif incluent des changements dans l’insolation et les concentrations de gaz radiatif, communément appelé gaz à effet de serre et aérosols (Shindell et al., 2013). En général, on calcule le forçage radiatif après avoir laissé les températures stratosphériques se réadapter à l’équilibre radiatif, toutes les autres propriétés troposphériques étant toutefois maintenues à leurs valeurs non perturbées. Le forçage radiatif est qualifié d’instantané si l’on n’observe aucune modification de la température troposphérique (Glossaire du GIEC sur le Changement Climatique, 2006).

Effets indirects des aérosols

Les aérosols peuvent provoquer indirectement un forçage radiatif du système climatique en agissant comme noyaux de condensation ou en modifiant les propriétés optiques ou la durée de vie des nuages. On distingue deux effets indirects.

Premier effet indirect 

La condensation du noyau des nuages, dû possiblement à la pollution anthropique, peut augmenter la quantité du rayonnement solaire réfléchi par les nuages (albédo des nuages). Ce phénomène est appelé premier effet indirect du forçage radiatif. Twomey (1974) est le premier à avoir parlé de cet effet d’où l’appellation de l’effet Twomey. Les particules d’aérosol peuvent agir comme condensation du noyau des nuages et créer ainsi davantage de gouttelettes ayant une distribution de taille plus petite. Cela augmente l’albédo des nuages et apparaissent plus blanches et plus grandes, ce qui conduit à un refroidissement compris entre -0.3 et -1.8 Wm-2 (Lohmann, 2006).

Second effet indirect 

Le forçage radiatif provoqué par un accroissement des aérosols anthropiques, qui entraîne une diminution de la taille des gouttelettes, réduisant la capacité de précipitation et modifiant ainsi la teneur en eau liquide ainsi que l’épaisseur et la durée de vie des nuages. Cet effet est également connu sous le nom d’effet sur la durée de vie des nuages ou d’effet d’Albrecht. (Glossaire du GIEC sur le Changement Climatique, 2006).

L’effet de serre additionnel

La plupart des gaz à effet de serre (GES) sont d’origine naturelle. Mais certains d’entre eux sont uniquement dus à l’activité humaine, d’où on voit leur concentration dans l’atmosphère augmenter en raison de cette activité. C’est le cas en particulier de l’ozone (O3), du dioxyde de carbone (CO2) et du méthane (CH4). La preuve que l’augmentation du CO2 atmosphérique est d’origine humaine se fait par analyse isotopique (Denhez et Petit, 2005). C’est cet ajout de gaz à effet de serre gaz qui est appelé effet de serre additionnel. Par leur contribution, en pourcentage, à l’effet de serre sur la Terre, les quatre principaux gaz sont (Kiehl et al., 1997) :
– Vapeur d’eau, 36–70%
– Dioxyde de carbone, 9–26%
– Méthane, 4–9%
– Ozone, 3–7%

Cependant, la NASA (2009) pense qu’il n’est physiquement pas réaliste d’attribuer un pourcentage spécifique de chaque gaz parce que les bandes d’absorption et d’émission des gaz se chevauchent. Le principal contributeur, non-gaz, à l’effet de serre de la Terre est les nuages. Ils absorbent et émettent, aussi, le rayonnement infrarouge et donc ont un effet sur les propriétés radiatives de l’atmosphère. L’ozone filtre les entrées de radiation solaire (l’ultraviolet) et participe ainsi à l’équilibre du système. Ces gaz sont présents depuis toujours dans l’atmosphère, c’est leur augmentation qui occasionne un effet de serre additionnel. Les activités humaines, en particulier depuis la révolution industrielle (fin du 18ème siècle), ont modifié la composition chimique de l’atmosphère (25% de Co2 de plus qu’en 1750, destruction de l’ozone stratosphérique par les Chlorofluorocarbone, CFC) (Martine, 2000).

Conclusion

Ce travail de thèse avait été abordé avec l’idée d’étudier l’évolution des précipitations et de comprendre, à l’aide d’arguments simples, les tendances, actuelles et futures, au niveau du bassin versant de la Macta (Nord-Ouest Algérien). Dans un premier chapitre nous avons résumé les théories expliquant le phénomène de changement climatique en déterminant la terminologie associée, et nous avons montré l’impact de l’activité humaine sur les changements actuels. Le deuxième chapitre était consacré aux modèles de circulation générale (MCG ou en anglais GCM). Nous avons surtout expliqué brièvement le concept de fonctionnement, les différents modèles existants, leurs applications, leurs limites et enfin les incertitudes actuelles.

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Table des matières

Introduction
I. Chapitre 1 : Le changement climatique 
1.1. Définition
1.1.1. Termes clés et distinctions
1.1.1.1. Climat
1.1.1.2. Variabilité climatique
1.1.1.3. Système climatique mondial
1.1.1.4. Changement d’affectation des terres
1.1.1.5. Changements climatiques
1.1.1.6. Réchauffement planétaire
1.1.1.7. Gaz à effet de serre
1.1.1.8. L’effet de serre
1.1.1.9. Forçage radiatif
1.1.1.10. Effets indirects des aérosols
1.1.1.10.1. Premier effet indirect
1.1.1.10.2. Second effet indirect
1.1.1.11. L’effet de serre additionnel
1.1.1.12. Le « fonctionnement » de l’effet de serre
1.1.1.13. Potentiel de réchauffement global (PRG)
1.1.1.14. L’équivalent carbone
1.1.1.15. Augmentation de l’effet de serre
1.1.1.16. Changement climatique (explications scientifiques)
1.1.1.17. Changement climatique rapide
1.2. Les changements climatiques régionaux
1.3. Le changement climatique global «mondial»
1.3.1. Causes des variations climatiques à l’échelle de la planète
1.3.1.1. Les cycles glaciaires-interglaciaires
1.3.1.2. L’origine des cycles glaciaires-interglaciaires
1.3.1.3. Glacières
1.3.1.4. Interglaciaires
1.3.1.5. Causes du réchauffement planétaire
1.3.1.5.1. Causes naturelles
1.3.1.5.2. Les activités humaines qui contribuent au changement climatique
1.3.2. La situation passée du climat mondial
1.3.3. La situation actuelle du climat mondial
1.3.4. Le future du climat mondial «Prévisions»
1.3.4.1. Les Modèles climatiques
1.3.5. Les conséquences probables des changements climatiques
1.3.6.1. Les conséquences physiques du changement climatique
1.3.6.1.1. La montée des eaux et fonte des glaciers
1.3.6.1.2. L’humidité absolue
1.3.6.1.3. La précipitation
1.3.6.1.4. La circulation thermo haline
1.3.6.1.5. Glaces et couverture neigeuse
1.3.6.1.6. Des phénomènes à très long terme
1.3.6.2. Les conséquences du changement climatique sur l’homme et la nature
1.3.6.2.1. Au niveau biologique et écologique
1.3.6.3. Conséquences positives pour l’humanité
1.3.7. Les effets du changement climatique sur les ressources en eau
1.3.8. Les incidences du changement climatique
1.3.8.1. Incidence du changement climatique sur les régions polaires
1.3.8.2. Incidence du changement climatique sur les forets
1.3.9. Le changement climatique à l’échelle de la méditerranée
1.3.9.1. Changements des régimes thermiques et hydrologiques «impact sur les hydro
systèmes continentaux et leur peuplement»
1.3.9.1.1. Le changement thermique
1.3.9.1.2. Le changement hydraulique
1.3.9.2. Conséquences possibles des changements climatiques sur la flore et la végétation
du bassin méditerranéen
1.3.9.2.1. L’influence des « changements globaux »
1.3.9.2.2. Les maladies émergentes consécutives au réchauffement et à l’extension des
zones humides
1.4. Le changement climatique aux pays du Maghreb
1. 5. Le changement climatique en l’Algérie
II. Chapitre 2 : Les modèles climatiques 
2.1 Introduction
2.2. Modèles climatiques
2.3. Principe de fonctionnement d’un modèle climatique
2.4. Liste des modèles de circulation atmosphérique
2.5. Scénarios climatiques
2.5.1. Les scénarios du GIEC
2.5.1.1. Scénarios SRES (Special Report on Emission Scenarios)
2.5.1.2. Nécessité de définir des nouveaux scénarios (scénarios RCP)
2.6. Incertitudes
2.6.1. Causes d’incertitudes
2.6.1.1. Scénarios d’émission
2.6.1.2. Transformation : émissions concentrations
2.6.1.3. Modèle climatique
2.6.1.4. Régionalisation ou réduction d’échelle (RE)
2.6.1.5. Modèles d’impacts
2.7. Techniques de réduction d’échelle (RE)
2.7.1. Réduction d’échelle statistique (RES)
2.7.1.1. Les méthodes de réduction d’échelle statistique (RES)
2.7.1.1.1. Les méthodes de régression linéaire
2.7.1.1.1.1. La régression linéaire multiple
2.7.1.1.1.2. Méthode de changement de facteur (LOCI)
2.7.1.1.1.3. La régression canonique
2.7.1.1.1.4. Le réseau de neurones artificiel
2.7.1.1.2. Les méthodes de classification synoptique du temps
2.7.1.1.3. Les générateurs stochastiques de conditions météorologiques
2.7.1.1.4. La méthode des deltas
2.8. Conclusion
III. Chapitre 3 : Zone d’étude 
3.1. Présentation géographique
3.1.1. La situation géographique
3.2. Caractéristique des rivières
3.2.1. Oued El-Hammam
3.2.2. Oued Mékérra
3.2.3. Oued Saida
3.3. Esquisse hydrologique
3.3.1. Cycle hydrologique
3.4. Le réseau hydrographique
3.5. Le réseau hydro-climatologique
3.6. Potentialités des ressources en eau superficielle dans le bassin de la Macta
IV. Chapitre 4 : Climatologie 
4.1. Introduction
4.2. Le climat
4.2.1. Eléments du climat
4.2.1.1. La température
4.2.1.2. Les vents
4.2.1.3. Les précipitations
4.2.2. Les facteurs du climat
4.3. Collecte et traitement des données
4.3.1. Collecte des données
4.3.2 Choix des stations et de la période de l’étude
4.3.3. Etude de l’homogénéité
4.3.4. Valeurs aberrantes
4.3.4.1. Méthodes analytiques
4.3.4.2. Méthodes graphiques
4.3.4.2.1. Le simple cumul
4.3.4.2.2. Le double cumul (ou double masse)
4.3.4.2.3. Méthode du cumul des résidus
4.3.5 Estimation des données manquantes
4.3.5.1. Méthodes de comblement des lacunes
4.3.5.1.1. Méthode de régression simple
4.3.5.1.2. Méthode de régression multiple
4.3.5.1.3. Méthode de l’analyse en composante principale (ACP)
4.4. Période de retour
4.5. Conclusion
V. Chapitre 5 : Etude de l’évolution de la pluviométrie (tendances) 
5.1. Introduction
5.2. Etude de la tendance (Coefficient de corrélation de Bravais-Pearson)
5.2.1. Introduction
5.2.2. Méthodologie
5.2.3. Résultats et discussion
5.2.3.1. Etude de la tendance mensuelle
5.2.3.1.1. Conclusion
5.2.3.2. Etude de la pluviométrie saisonnière
5.2.3.2.1. Conclusion
5.2.3.3. Etude de la pluviométrie annuelle
5.2.3.4. Conclusion
5.3. Etude de la tendance par le test de Kendall
5.3.1. Introduction
5.3.2. Méthodologie
5.3.2.1. Approximation des échantillons assez grands
5.3.2.1.1. Traitement des ex-æquo
5.3.3. Résultats et discussion
5.3.3.1 Etude de la tendance mensuelle
5.3.3.1.1. Conclusion
5.3.3.2. Etude de la tendance saisonnière
5.3.3.2.1. Conclusion
5.3.3.3. Etude de la tendance annuelle
5.3.4. Conclusion
5.4. Etude des tendances (coefficient de corrélation de Spearman)
5.4.1. Introduction
5.4.2. Méthodologie
5.4.2.1. Traitement des ex-aequo
5.4.3. Résultats et discussion
5.4.3.1. Etude de la tendance mensuelle
5.4.3.1.1. Conclusion
5.4.3.2. Etude de la tendance saisonnière
5.4.3.2.1. Conclusion
5.4.3.3. Etude de la tendance annuelle
5.4.4. Conclusion
5.5. Etude des tendances par l’Analyse innovante de la tendance de la pluviométrie
5.5.1. Introduction
5.5.2. Méthodologie
5.5.3. Résultats et discussion
5.5.4. Conclusion
5.6. Conclusion
VI. Chapitre 6 : Prévision de la pluviométrie 
6.1. Introduction
6.2. Méthodologie
6.3. Résultats et discussion
6.4. Conclusion
Conclusion

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