ETUDE DE LA RELATION ENTRE LES AGES DENTAIRE, CIVIL ET OSSEUX

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La croissance faciale

D’après Nanda, il y a une relation étroite entre les poussées de croissance staturale et faciale, parfois le maximum de croissance faciale a lieu un peu plus tard. Les structures faciales ne présentent pas toutes le même taux de croissance et le même pic pubertaire (1955) (39).
Hunter précise que la croissance mandibulaire présente la plus grande corrélation avec la croissance staturale r = 0,72. Il n’y a pas de synchronisme absolu entre le pic de croissance faciale et staturale : 57% des pics faciaux sont synchrones des pics staturaux, tandis que 29% sont plus tardifs et 14% plus précoces.
Pour la croissance du maxillaire supérieur dans le sens sagittal (croissance suturale) Björk trouve une vitesse de croissance de 1 mm par an chez le jeune enfant, elle tombe à 0, 25 mm dans la période prépubertaire, s’élève à 1,5 mm par an lors du maximum pubertaire et diminue peu à peu jusqu’à 17 ans.
Pour la mandibule, le taux de croissance est d’environ 3 mm par an durant la première enfance, puis il descend à 1,5 mm vers 11 ans et demi, pour atteindre un maximum de 5 mm par an au moment de la puberté. La croissance mandibulaire se poursuit en moyenne pendant 2 ans après que celle du maxillaire a cessé, mais les variations individuelles sont très importantes.
D’après Björk (4), il y a un quasi-synchronisme des pics de croissance staturale, mandibulaire et maxillaire. La croissance mandibulaire se prolonge au delà de la croissance staturale.

L’ostéogenèse

L’ostéogenèse est l’ensemble des phénomènes qui président à la formation du tissu osseux. Il peut être de deux types : l’ostéogenèse membraneuse (dans le « corps » de l’os) et l’ossification enchondrale (qui se produit à l’intérieur du cartilage). Les étapes suivies au cours de ces deux voies d’ossification sont différentes :
– pour l’ossification membraneuse, tout débute par la formation d’un point d’ossification, suivie par la formation d’une matrice osseuse, puis la formation de l’os fibreux et enfin par la formation de l’os compact.
– les étapes successives de l’ostéogenèse enchondrale sont la formation d’une gaine osseuse puis d’une cavité où se forme ensuite l’os spongieux, puis la formation du canal médullaire et enfin l’ossification des épiphyses.
Il faut noter que le processus de remodelage osseux est un phénomène constant associant les phénomènes d’ostéogenèse (menés par les ostéoblastes) et les processus de résorption osseuse (mettant en jeu les ostéoclastes)
L’ostéogenèse comprend sur le plan histologique, l’apposition du tissu osseux sur les travées du cartilage calcifié au cours de l’ossification enchondrale, la croissance osseuse au cours de l’ossification de membrane, et enfin la formation de nouvelles lamelles osseuses faisant suite à une phase de résorption ostéoclastique au cours du remodelage osseux.

Histologie de l’os

Le tissu osseux est un tissu conjonctif dont la substance intercellulaire est minéralisée. Il est constitué d’éléments ayant chacun un rôle bien défini et dont leur agencement nous permet de distinguer trois sortes de tissu osseux (38). On distingue : une partie organique, une partie minérale et des formations anatomiques annexes.

La partie organique

– Le collagène: il constitue 90% du contenu protidique de l’os. Il s’agit essentiellement de collagène de type I et d’une faible quantité de collagène de type V. Les fibres de collagène sont stabilisées par des molécules de pontage qui se constituent entre les chaînes alpha du collagène.
– Les protéines non collagéniques osseuses: elles jouent probablement un rôle important dans la nucléation et la croissance des cristaux d’apatite, la résorption et la formation osseuses. Nous avons : l’ostéopontine, la sialoprotéine, l’ostéonectine et l’ostéocalcine.
– La substance amorphe disposée entre les fibres de collagène et qui contient des complexes protéino-polysaccharidique et des glycoprotéines.
– Cellules osseuses :
Elles comprennent:
* Les ostéocytes qui se situent dans la matrice osseuse, dans des cavités appelées ostéoplastes. Ils sont reliés entre eux par de fins canalicules. Ils jouent un rôle dans le maintien de l’homéostasie phosphocalcique.
* Les ostéoclastes qui sont de grosses cellules, souvent plurinucléés, possédant une bordure en brosse capable de résorber la matrice osseuse. Les ostéoclastes dérivent des cellules macrophagiques.
* L’ostéoblaste provient d’une cellule souche médullaire qui peut donner aussi des cellules adipeuses chondroblastiques. Le rôle de l’ostéoblaste est de synthétiser, de déposer, d’organiser la matrice osseuse et de participer ensuite à sa minéralisation (38).

La partie minérale

La substance minérale est d’environ 70% du poids de l’os. L’analyse chimique montre qu’elle contient 90% de phosphates tricalcique et 10% de carbonate calcique. On admet que le cristal osseux est un cristal d’hydroxy-apatite.

Les formations anatomiques annexes

Nous avons :
– des vaisseaux capillaires de type embryonnaire à travers lesquels les transsudations sont faciles. Ce sont eux qui conditionnent la fonction spécialisée, soit par l’apport du calcium, soit par son utilisation. Leur vasomotricité présente une importance capitale. Dès qu’il y a hyperhémie d’une certaine durée, l’os se résorbe, il disparaît au contact même des vaisseaux sans ostéoclasie. Par contre, les circulations habituellement pauvres font les tissus denses.
– des nerfs : le périoste présente d’importants plexus nerveux et de nombreux nerfs pénètrent dans le tissu osseux lui-même ; des nerfs de la sensibilité, des fibres centrifuges du sympathique et des fibres centripètes cérébro-spinales.
– des éléments du tissu réticulo-endothélial : ce sont des cellules mobiles du tissu conjonctif de tout l’organisme qui seraient peut-être à l’origine des ostéoclastes.
– des éléments hémato-poïétiques : ce sont des cellules conjonctives réticulo-endothéliales adaptées à l’hématopoïése.
– la lymphe : le tissu osseux n’est pas un tissu sec, mais un tissu qui présente une circulation continu de lymphe, où se font les échanges du perpétuel remaniement minéral.
– les cellules adipeuses : elles remplacent peu à peu les cellules hémato-poïétiques. La moelle qui était rouge devient peu à peu jaune.
Les os sont formés de 3 sortes de tissu :
– un tissu osseux fibreux ou périostique qui présente peu de cellules et peu d’espaces médullaires.
– un tissu osseux compact, cortical constitué d’un système lamellaire cylindrique formé d’ostéons. Les lamelles d’un ostéon sont comparables à une série de cubes emboîtés les uns dans les autres.
– un tissu osseux spongieux constitué de travées irrégulièrement disposées, qui limitent des espaces intertrabéculaires communiquant entre eux et contenant la moelle hématopoïétique. Chaque travée est composée de lamelles osseuses accolées (38).

Croissance du tissu osseux

Le tissu osseux commence à se former, soit à partir d’une ébauche conjonctive (os de membrane), soit à partir d’une ébauche cartilagineuse (ossification enchondrale).
On distingue :
– La croissance qui se produit à l’intérieur du tissu cartilagineux pour les os qui proviennent de cartilages.
– La croissance qui se produit aux sutures tant qu’il existe entre elles des synfibroses. La croissance suturale est terminée lorsque les synfibroses sont transformées en synarthroses et surtout en synostoses.
– La croissance est également périostée. Il se produit des phénomènes de résorption et d’apposition sur les surfaces osseuses. Cette formule de croissance est très active, tout au long du développement de l’enfant. Elle subsiste la dernière.
La prolifération du tissu osseux se poursuivra jusqu’à l’édification de l’organe osseux suivant un potentiel de croissance déterminé par la maquette héréditaire, réglé par les glandes endocrines, et orienté par l’utilisation fonctionnelle (38).

Les facteurs de la croissance osseuse

Bien que programmée génétiquement, la croissance est influencée par plusieurs paramètres qui sont : les facteurs génétiques, l’environnement (la nutrition, l’écologie, le niveau socioéconomique de la famille, le rang de naissance et le nombre d’enfants, le stress, l’activité physique), et des facteurs hormonaux etc.

Les facteurs génétiques

L’héritabilité de la croissance staturale a été largement étudiée. Le coefficient r de corrélation, très élevé, entre la taille des parents et des enfants mesurée au même âge est maximal vers 4 ans (coefficient r =0,64) avec une légère variabilité dans le temps qui traduit l’action de l’environnement. La taille finale qui traduit la fin de la croissance est inscrite dans le patrimoine génétique d’un individu, du moins celle qu’il aurait atteint dans des conditions idéales: nutrition suffisante, environnement favorable. (48)
Selon une étude de Susanne (1993) citée par Loreille (34), et portant sur un échantillon de 125 familles dont les membres ne vivent pas sous le même toit, le coefficient de corrélation pour la stature est de 0,59 entre jumeaux , 0,52 entre frères , 0,57 entre sœurs. Pour des familles vivant sous le même toit, donc soumises au même environnement, la corrélation r est de 0,94 pour les jumeaux et r est égale à 0,63 entre la moyenne des parents et des enfants (34).

CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT DENTAIRE

Embryologie dentaire (2)

Formation des tissus dentaires

Les dents appartiennent au système des phanères ; elles sont de la même origine embryologique que les poils, les cheveux. Le développement dentaire est initié depuis la 5ème semaine de la vie intra utérine. Et l’histoire naturelle des dents comporte l’installation des germes dentaires, l’histocytogenèse et la maturation histophysiologique.
Les différentes études morphologiques ont montré la double origine des divers constituants dentaires qui proviennent d’une part du mésenchyme appartenant au territoire maxillaire et à l’ectomésenchyme provenant des crêtes neurales et, d’autre part du tissu épithélial les recouvrant.
Au 28ème jour du développement embryonnaire, on assiste à un épaississement de l’épithélium buccal qui tapisse la cavité buccale primitive depuis le 27ème jour. Cet épaississement va s’enfoncer dans le mésenchyme sous jacent pour former le mur plongeant ou lame primitive. A partir de cette lame, se constitue une expansion linguale ou palatine : la lame dentaire. Il se forme cinq générations chronologiques d’ensembles épithélio-mésenchymateux qui donneront les dents temporaires, soit au total vingt ébauches de dents temporaires. Ces germes vont successivement être des bourgeons, des cupules puis des cloches dentaires. C’est la cloche qui va se transformer en follicule dentaire qui donnera la dent achevée. C’est aussi au stade de cloche que commence la mise en place de la papille dentaire et du sac folliculaire (Figure 2)

Histoire différenciation des tissus dentaires durs

Formation de la couronne

L’histodifférenciation des cellules de l’organe de l’émail et de la papille dentaire commence au stade de cloche. Pendant ce stade, les cellules de l’épithélium s’accroissent et prennent le nom de préaméloblastes. Les cellules périphériques de la papille dentaire, adjacentes aux préamaloblastes prennent un aspect cuboïde et deviennent des odontoblastes qui vont ensuite migrer vers le centre de la papille et secréter derrière eux une matrice dentinaire ou prédentine.
Les cellules odontoblastiques en se différenciant vont subir un allongement considérable qui s’accompagne d’une différenciation spectaculaire des organites cytoplasmiques. Le préaméloblaste polarisé devient un améloblaste qui est prêt pour la sécrétion de l’émail. Dès que la matrice est secrétée, l’améloblaste migre de la dentine vers l’épithélium adamantin externe alors que les odontoblastes migrent vers le centre de la papille. Le produit initial de l’odontoblaste est la matrice de l’émail alors que l’émail dentaire est le produit final minéralisé et mature.
Ce processus est le même, aussi bien pour les dents temporaires que pour les dents permanentes et il commence par le sommet (de la cuspide la plus haute) vers la base.

Formation radiculaire

Elle commence avec la fin de la formation de la couronne par suite de la mise en place de la gaine épithéliale de Hertwig. Celle ci croît en épaisseur et forme le diagramme épithélial de la gaine radiculaire qui détermine le nombre de racines et leurs cellules tandis que la gaine détermine la longueur de la racine.
En même temps que la racine s’édifie, on assiste à la mise en place de la pulpe, du cément, du ligament alvéolo-dentaire et de l’os alvéolaire.

Histologie

La dent est constituée d’une couronne et d’une racine séparée par le collet. La dent est logée dans l’os alvéolaire, reliée avec l’os par l’intermédiaire du desmodonte constitué essentiellement par des fibres de Sharpey (47).

L’émail

L’émail est constitué de 96% d’éléments inorganiques (hydroxyde d’apatite), de 4% d’éléments organiques (eau, corps organique, amélogénine, énaméline). Il est élaboré en totalité pendant l’odontogenèse. Il est doté d’une organisation complexe et d’un taux de minéralisation qui en fait la structure la plus dure du corps.

La dentine

C’est un tissu conjonctif minéralisé avasculaire en connexion permanente avec la pulpe par l’intermédiaire des prolongements cytoplasmiques des odontoblastes. Elle est traversée sur toute son épaisseur, par des tubules représentant 10 à 30% de son volume et assurant sa perméabilité. La dentine est constituée de 70% de matières inorganiques (hydroxyde d’apatite), de 20% de matières organiques (collagènes, glucoproteines, phosphoproteines, protéoglucanes), de 10% d’eau. On distingue une dentine prénatale et une dentine post natale. La dentine des dents temporaires est moins dense, moins robuste, relativement friable, plus perméable et protége très mal la pulpe par rapport à la dentine des dents permanentes.

La pulpe

La pulpe est un tissu conjonctif mou présentant des fonctions nutritives, neurosensorielles et réparatrices. La pulpe est constituée essentiellement de paquets vasculo-nerveux. La pulpe des dents temporaires est plus importante
que celle des dents permanentes avec des cornes très développées formant parfois de véritables digitations pulpaires.
La dent ayant terminé sa formation va subir des mouvements permettant sa mise en place sur l’arcade dentaire, c’est le phénomène de l’éruption.

L’éruption dentaire

L’éruption dentaire correspond au déplacement d’une dent depuis son site de développement dans les maxillaires jusqu’à sa position fonctionnelle sur l’arcade.
C’est un processus de croissance complexe impliquant à la fois les dents et les tissus environnants et qui fait partie intégrante de la croissance crânio-faciale de l’enfant. Son mécanisme intime n’est pas encore totalement élucidé et elle peut être sujette à de nombreux troubles. Plusieurs mécanismes non encore totalement élucidés ont été avancés pour expliquer les phénomènes d’éruption qui aboutissent à la mise en place des dents dans la cavité buccale suivant une séquence et une chronologie bien déterminées.
Elle est accompagnée de multiples modifications tissulaires comme la résorption de l’os alvéolaire, la croissance radiculaire et le développement du desmodonte. Il y a 3 phases ou stades de l’éruption : une phase pré éruptive, une phase éruptive pré fonctionnelle et une phase fonctionnelle post occlusale.
La chronologie et la date d’éruption des dents temporaires ou permanentes présentent une grande variabilité, liée à des facteurs tels que la race, l’origine ethnique, le sexe, sans toutefois avoir des conséquences pathologiques. Ainsi l’éruption est plus précoce chez les filles et chez les personnes de race noire. De plus les conditions socio-économiques favorables, les conditions géographiques (climat chaud) ou le degré d’urbanisation sont
autant de facteurs accélérant l’éruption dentaire. Outre ces facteurs environnementaux, les conditions séculaires interviennent aussi et c’est ainsi qu’aujourd’hui globalement, l’éruption est plus précoce que par le passé.
L’éruption va de 6 à 30 mois, les dents temporaires apparaissent dans l’ordre suivant : incisives, premières molaires, canines, deuxièmes molaires. La chronologie d’éruption des dents temporaires la plus couramment observée est : – apparition des incisives centrales inférieures à 6 mois ;
-entre le 6ème et le 12ème mois, apparition des incisives centrales supérieures, des incisives latérales supérieures et des incisives latérales inférieures ;
– entre le 12ème et le 18ème mois, éruption des premières molaires ;
– du 18ème au 24ème mois, apparition des canines ;
– du 24ème au 30 mois, éruption des deuxièmes molaires.
L’éruption des dents permanentes va de 6 à 18-30 ans, les dents apparaissent habituellement dans l’ordre suivant : première molaire (6 ans), incisive centrale (7 ans), incisive latérale (8 ans), première prémolaire (9 ans), canine (11 ans), deuxième prémolaire (11 ans), deuxième molaire (12 ans), troisième molaire.
La formation et l’éruption des dents temporaires et des dents permanentes varient en fonction du sexe, de la race et constituent un indicateur de la maturité biologique car elles nous permettent de déterminer un âge biologique notamment l’âge dentaire.
Ces phénomènes sont sous l’influence de plusieurs facteurs (héréditaires, génétiques, environnementaux, nutritionnels) qui peuvent les retarder ou au contraire les accélérer.

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA CROISSANCE ET LE DEVELOPPEMENT
1.1 – La croissance et le développement osseux
1.1.1 – Définition
1.1.2 – Le développement somatique après croissance
1.1.2.1 – Les étapes principales du développement de l’enfant
1.1.2.2 – Le pic de croissance
1.1.3 – La croissance faciale
1.1.4 – L’ostéogenèse
1.1.5 – Histologie de l’os
1.1.5.1 – La partie organique
1.1.5.2 – La partie minérale
1.1.5.3 – Les formations anatomiques annexes
1.1.6 – Croissance du tissu osseux
1.1.7 – Les facteurs de la croissance osseuse
1.1.7.1 – Les facteurs génétiques
1.1.7.2 – Les facteurs extrinsèques
1.1.7.3 – Les facteurs intrinsèques
1.1.8 – Appréciation clinique de la croissance
1.1.9 – Troubles de la croissance
1.1.9.1 – L’accélération de la croissance
1.1.9.2 – Le retard de croissance
1.2 – Croissance et développement dentaire
1.2.1 – Embryologie dentaire
1.2.1.1 – Formation des tissus dentaires
1.2.1.2 – Histodifférenciation des tissus dentaires durs
1.2.1.2.1 – Formation de la couronne
1.2.1.2.2 – Formation radiculaire
1.2.2 – Histologie
1.2.2.1 – L’émail
1.2.2.2 – La dentine
1.2.2.3 – La pulpe
CHAPITRE II : LA MATURATION : LES AGES BIOLOGIQUES
2.1 – Définitions
2.2 – L’âge statural
2.3 – L’âge morphologique
2.4 – L’âge osseux
2.4.1 – Principes
2.4.2 – Intérêts
2.4.3 – Indications
2.4.4 – Techniques
2.4.4.1 – A partir de la radiographie du poignet
2.4.4.2 – A partir de la radiographie de la main
2.4.4.3 – D’après le cubitus et les os du poignet
2.4.4.4 – A partir des vertèbres
2.4.4.5 – Age osseux à partir du coude
2.5 – L’âge dentaire
2.5.1 – Définition
2.5.2 – Intérêt de l’âge dentaire
2.5.3 – Les différentes méthodes de détermination de l’âge dentaire
2.5.3.1 – L’âge d’éruption
2.5.3.2 – L’âge de calcification
2.6 – L’âge sexuel
CHAPITRE III : ETUDE DE LA RELATION ENTRE LES AGES DENTAIRE, CIVIL ET OSSEUX
3.1 – Patients et méthode
3.1.1 – Cadre d’étude
3.1.2 – Sujets
3.1.2.1 – Critères d’inclusion
3.1.2.2 – Critères d’exclusion
3.1.3 – Détermination de l’âge dentaire
3.1.4 – Détermination de l’âge osseux
3.2 – Résultats
3.2.1 – Répartition des enfants selon leur âge civil
3.2.3 – Répartition des enfants selon leur âge osseux
3.2.4 – Corrélations entre l’âge dentaire, l’âge civil et l’âge osseux
3.2.5 – Comparaison des âges dentaire, civil et osseux
3.3 – Discussion
3.3.1 – Selon la méthodologie
3.3.2 – Selon les résultats
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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