ETUDE DE LA POLYPHONIE ET DU DIALOGISME DANS LE VIEUX NEGRE ET LA MEDAILLE

RELATIONS ENTRE LINGUISTIQUE ET LITTERATURE

    Avant les années 1960 (l’âge de la stylistique), selon Dominique Maingueneau « les relations entre linguistique et littérature n’étaient guère problématique ». En effet, les relations entre linguistique et littérature les plus intéressantes se trouvent dans cette période dite stylistique. En fait en suivant toujours la pensée de Dominique Maingueneau on distingue deux types de stylistique : celle dite « atomiste » ; qui est un stylistique scolaire et qui vise à étudier les « procédés » par lesquels un auteur parvient à créer un certain « effet »sur son interlocuteur ; et un type appelé stylistique « organique », elle est liée à l’esthétique romantique et son but est d’étudier l’œuvre à partir du sujet parlant. Avec les progrès de la linguistique qui vont élaborer une nouvelle interface pour une véritable science du texte littéraire, une mutation importante s’est produite dans l’étude de la littérature. Vu que la linguistique est une discipline qui suscite toujours des débats passionnés. Faire de la linguistique c’est aussi faire « l’ « anatomie d’un rapport », c’est rendre compte de la façon dont les « sens sont appariés aux sons ».Le point de vu des linguistiques sur l’analyse des textes littéraires change d’un courant à l’autre. On continue toujours l’analyse sur l’article de Maingueneau sur la question entre linguistique et littérature et on voit qu’une évolution s’est produite de la linguistique stylistique à la linguistique du discours (d’où nous insérons le thème de notre recherche) et que plusieurs procédés d’analyse textuelle sont mis en place par les différentes écoles. En effet pour cette nouvelle démarche d’analyse, Maingueneau affirme : A présent que l’on dispose d’un peu de recul on est bien obligé de ramené les choses à de plus raisonnable proportions. Si l’on entend par « linguistique » une discipline qui étudie les propriétés de langues naturelles on est surpris de constater que dans ces travaux d’analyse littéraire qui se réclamaient alors du structuralisme il n’est guère question de groupe nominaux, de détermination d’aspect de thermalisation…, ni même de dialecte de variation, d’intonation etc. on y manipule essentiellement des notion comme « paradigme », « syntagme », « connotation », « signifiant », « actant »… . L’évolution des relations entre linguistique et littérature a toujours marqué un changement dans l’analyse textuelle, d’une époque à une autre. C’est ce changement que Dominique Maingueneau appelle « l’impérialisme linguistique ». La linguistique du discours qui est inspiré par les courants pragmatique est née dans la logique des relations entre linguistique et littérature. Il est temps de chercher le sujet parlant dans le discours puisqu’on constate une multiplicité de voix dans une communication donnée. C’est dans le but de comprendre le véritable sens d’un texte. Dans cette perspective, les disciplines les plus scientifiques dans le domaine de la recherche s’intéressent sur les relations entre la linguistique et les autres domaines de la langue tels que la littérature, les sciences (sociales, du langage). La linguistique vit en outre d’échange permanent avec les autres concepts de la langue. Selon Dominique Maingueneau (1993) on ne peut pas comprendre un texte sans le lier à son contexte, la linguistique et les autres disciplines sont inséparables. Les relations entre la littérature et la linguistique constituent un exemple, on ne peut pas parler de littérature sans linguistique et vice versa. Cependant ces deux disciplines n’ont pas les mêmes procédés ou méthodes d’analyse textuelle. Selon Charaudeau, dans un ouvrage intitulé Analyse du discours et littérature : une interface réelle de Renato de Mello, ce qu’on doit connaitre c’est que « la littérature (y compris évidemment des critiques, des théoriciens et des écrivains) et linguistique ne se sont jamais très bien entendus ». Ce n’est pas une séparation au sens figuré du terme mais plutôt une question de méthode d’analyse textuelle. C’est ainsi qu’il affirme : « Question de territoire – les disciplines sont séparées : littérature d’un côté, linguistique et philologie de l’autre – mais aussi question de méthode, quand il s’agit d’analyser des textes, les linguistes s’intéressent plutôt aux faits de langue, les littéraires plutôt à la structure et au sens d’une œuvre. Et cette situation n’est pas d’aujourd’hui. En fait, au passé quand on ne parlait pas encore de linguistique, les explications littéraires se valaient des notions de stylistique (surtout pour les textes poétiques) et les grammairiens ou les chercheurs de la stylistique se valaient des exemples prêtés des textes littéraires. Néanmoins, les deux domaines ne se confondaient pas. » En remontant à l’histoire entre la littérature et la linguistique nous avons vu qu’elles n’ont jamais les mêmes procédés pour aborder un texte. Par contre elles ne peuvent pas se séparer car l’une est faite pour l’autre. Vue la complémentarité qui existe entre elles, une nouvelle interface a vu le jour entre les années 60 et 70 d’où le nom de l’analyse du discours. En partant de la philologie, on voit que la relation la plus intéressante entre linguistique et littérature se situe à la naissance de l’analyse du discours. En effet littérature et linguistique ont plus de rapports car l’analyse du discours vient les souder. La linguistique appuie ces études sur les textes littéraires. Les études linguistiques ont changés de démarche, elles excèdent les vieilles méthodes pour considérer les textes comme communication. L’étude textuelle appelée maintenant l’analyse du discours porte sur plusieurs phénomènes linguistiques tels que : polyphonie et dialogisme ; ethos ; pathos ; énonciation ; sujet parlant ; subjectivité… Les chercheures dans le domaine de la pragmatique linguistique, de la linguistique de l’énonciation et de la linguistique interactionniste ont mis en vigueur une discipline pour étudier les relations entre la linguistique et les textes en production orale ou écrite d’où le nom de l’analyse du discours. L’analyse du discours évoque plusieurs courants parmi lesquels nous pouvons citer les plus intéressants pour notre travail : la pragmatique linguistique, la linguistique de l’énonciation et la linguistique interactionniste.

LA LINGUISTIQUE DE L’ENONCIATION

   La linguistique de l’énonciation ou linguistique énonciative ou encore approches énonciatives est un courant linguistique qui trouve son origine au début des années 1960 avec les réflexions d’Emil Benveniste. Cette linguistique se poursuit encore avec les travaux très récents des linguistes, comme ceux d’Antoine Culioli sur les opérations énonciatives, ceux de son groupe sur le discours rapporté et ceux d’Alain Rabatel sur la notion de point de vue. En effet, la linguistique de l’énonciation a pour objectif de tenir compte de la position de l’énonciateur, du locuteur dans la production d’un énoncé donné. Elle étudie la différence entre le locuteur et l’énonciateur. Une différence dont Gilles Siouffi et Don Reamdonck notent ainsi : « le locuteur est l’auteur de l’acte de parole, celui qui produit véritablement, matériellement l’énoncé, alors que l’énonciateur est celui à qui est attribuée l’énonciation dans l’énoncé » (2009 : 144). Si nous prenons l’exemple de l’écriture romanesque, on distingue le «moi » créateur et « l’homme du monde. Une théorie qui est valable même dans un roman autobiographique ; si le narrateur dit « je » on distingue le « je » du narrateur à celui du locuteur. La langue n’est plus considérée ici comme un objet inerte mais plutôt un moyen nécessaire pour étudier une énonciation donnée. L’étude des textes dans la perspective de la linguistique de l’énonciation s’appuie sur la situation d’énonciation. On appelle situation d’énonciation l’ensemble des circonstances dans lesquelles se produit une énonciation. Ces circonstances répondent aux questions : qui parle ? A qui il s’adresse la parole ? Quand et où l’énonciation s’effectue-t-elle ? Pour dire quoi et avec quelle intention de communication ? L’ensemble des réponses aux différentes questions posées ci dessus forme ce qu’on appelle le contexte d’énonciation ou situation d’énonciation. Il est constitué de l’ensemble des éléments qu’il faut interroger pour comprendre le dit du locuteur. Selon MAINGUENEAU la notion de « situation d’énonciation » prête à équivoque dans la mesure où l’on est tenté d’interpréter cette notion comme l’environnement physique ou social dans lequel se trouvent les interlocuteurs. D’après lui, une situation d’énonciation renvoie à un moment et à un lieu dans lesquels des interlocuteurs interagissent. Autrement dit c’est un cadre spatio-temporel que des protagonistes partagent pour communiquer. L’ensemble des repères qui constituent la situation d’énonciation (personnels, temporels, spatiaux) permettent d’inscrire un énoncé dans un contexte de production donné. Le linguiste a une conception dynamique de la langue qui n’est plus un simple puzzle mais une stratégie, un agencement conscient, réfléchi des diverses pièces de la langue. En somme, avec la nouvelle tendance de la linguistique, l’évolution des relations entre la linguistique lui-même et la littérature a marqué un changement. Ce changement, en s’appuyant sur les courants de la linguistique comme la pragmatique linguistique, la linguistique interactionniste et la linguistique de l’énonciation, fait apparaître de nouvelles méthodes d’analyse textuelle. La linguistique du discours s’inscrit dans cette perspective et incombe au sujet parlant qui est son principal objet d’étude parce qu’étant le noyau du texte ou de l’énoncé.

LA SUBJECTIVITE LINGUISTIQUE : MARQUEURS DE SUBJECTIVITE

   La notion de subjectivité se définit par le Trésor de la Langue Française informatisé (TLFi) comme étant « le caractère de ce qui est subjectif, de ce qui a rapport au sujet, au moi conscient ». La subjectivité se voit en philosophie pour tout ce «qui a rapport au sujet, en parlant de ce qui se passe dans notre esprit, de ce qui est en nous et s’oppose à objectif. » En effet, elle est l’attribut du sujet pensant c’est-à-dire tout ce qui est en rapport au sujet pensant. Le concept en linguistique se définit comme tout ce qui est en rapport avec le sujet parlant ou écrivant. La subjectivité renvoie donc à tous les phénomènes qui expliquent la présence du sujet parlant dans son discours. Ainsi le linguiste Emile Benveniste le définit comme « la capacité du locuteur à se poser comme sujet » (1966 :269). Pour lui, la subjectivité est omniprésente dans le langage et se présente comme une caractéristique intrinsèque et essentielle du langage marquée sous diverses formes dans toutes les langues. Cependant, plusieurs linguistes lui emboitent le pas développant cette théorie de l’immanence de la subjectivité dans le langage. Les définitions philosophiques comme linguistiques du concept nous permettent donc de montrer les marqueurs de subjectivé dans le discours. Il y a deux sous-catégories : les marqueurs de la subjectivité au premier degré et les marqueurs de la subjectivité au second degré. Les marqueurs de la subjectivité au premier degré renvoient à l’ensemble des déictique (personnels ; spatio-temporels renvoyant à la situation d’énonciation) par exemple « je » ; « tu » ; « ici » et « maintenant ». Quant aux marqueurs de la subjectivité au second degré ; ce sont les modalisateurs et les substantifs évaluatifs organisant le discours en terme de jugement de valeur, d’adhésion ou de rejet de la part du sujet. Ce sont des mots classés dans différentes catégories (verbes ; adverbes ; adjectifs…), des expressions aussi par des figure de style (métaphore ; comparaison…), des signes de ponctuation ou des type de phrases particuliers. Les modalisateurs indiquent le degré d’engagement de l’énonciateur sur son énoncé, dans ce cas ce n’est pas seulement la présence physique du sujet parlant, mais aussi son attitude et sa prise de position dans ses paroles ou ses écrits. En effet on peut souligner les marques de l’émotion (qui marquent les affectifs) et du jugement (à travers l’emploi de termes évaluatifs). Dans ce cas, l’énonciation se caractérise par l’abondance des traces du sujet parlant, ici le locuteur prend en charge son énoncé. La subjectivité linguistique renvoi donc à l’ensemble des déictiques et modalisateurs présents dans un énoncé, ce qui fait que le langage est si profondément marqué par l’expression de la subjectivité. Le langage est par essence subjectif puisque la présence du locuteur dans ses réalisations langagière devient plus ou moins perceptible à travers des moyens linguistiques différents. En effet Benveniste soutient que « le langage n’est possible que parce que chaque locuteur se pose comme sujet, en renvoyant à lui-même comme je dans son discours » (1966 :261). Aussi, affirme-t-il : « une langue sans expression de la personne ne conçoit pas ». La subjectivité peut servir au locuteur comme un élément ou un procédé argumentatif et renvoie aussi à ce que l’on appelle la notion « d’éthos » que Ducrot définit ainsi : Dans ma terminologie, je dirai que l’ethos est attaché à L, le locuteur en tant que tel : c’est en tant qu’il est source de l’énonciation qu’il se voit affublé de certains caractères qui, par contrecoups, rendent cette énonciation acceptable ou rebutante. Nous avons vu que la subjectivité en linguistique renvoie à toutes les marques qui montrent que l’énonciateur assume son propos. Cette subjectivité qu’Emile Benveniste considère comme le fait que « le locuteur s’approprie l’appareil formel de la langue et il énonce sa position du locuteur par des indice spécifique ». Cela s’explique par les critères de la modalité ou les embrayeurs. Et toujours selon lui, c’est « comme l’unité psychique qui transcende la totalité des expériences vécues qu’elle assemble et qui assure la permanence de la conscience »

LE DIALOGISME INTERDISCURSIF

  Le dialogisme interdiscursif est une notion qu’on peut mettre en relation avec l’intertextualité, mais elle ne se résume pas à elle seulement. A la différence de ce que l’on entend habituellement par intertextualité qui est la relation de coprésence entre deux ou plusieurs textes, « le dialogisme interdiscursif structure fondamentalement tout texte, en ce que celui-ci est obligatoirement réponse à des textes antérieurs. Un peu comme un tour de parole est toujours à comprendre globalement comme une réponse au précédent tour, tout discours aussi monologal, et long soit-il, interagit avec des discours antérieurs ». Quand on approche le dialogisme interdiscursif à la relation d’intertextualité, on fait référence à « une somme de « déjà dit » à l’aide des même mots ou propos du même objet ; ils font écho et réagissent à d’autres paroles ou points de vue qu’ils intègrent ». En effet le roman de Kourouma constitue en grande partie un dialogisme interdiscursif par la composition des différents tours de parole mais aussi du fait qu’il est une réponse à la colonisation. L’analyse des scientifiques du langage sur la notion de dialogisme interdiscursif fait sortir les rapports dialogiques entre l’énoncé du locuteur et les énoncés réalisés antérieurement sur le même objet de discours. Avec l’enchaînement des deux tours suivants, nous avons un exemple qui explique le dialogisme interdiscursif.
Exemple :
Q : _ Es-tu malade, as-tu mal quelque part ? Bégaya le Père Vandermayer. p.108
R : _ Non, mon père je suis un peu fatigué, menti Meka. P.109
Ces deux tours de parole constituent un dialogisme interdiscursif du fait qu’il y a une réponse (R) du deuxième intervenant à la question (Q) du premier intervenant. Ainsi, nous voyons que le dialogisme interdiscursif tourne autour du dialogue qui marque la présence de deux ou de plusieurs intervenants dans un discours. En résumé, le dialogisme interdiscursif comme le dialogisme interlocutif du discours reposent tous les deux sur l’interaction c’est-à-dire sur le dialogue. En accord avec la racine « dialog- », Bakhtine pose le discours comme réponse, dans une double interaction qui le constitue en tant que tel : réponse en amont (le dialogisme interdiscursif), et en aval (le dialogisme interlocutif). Cette distinction, parfaitement pertinente pour les textes monologaux, devient parfois problématique dans le dialogal.

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE LA RECHERCHE
I-1 METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
I-1.1 PROBLEMATIQUE DE LA RECHERCHE
I-1.1.1 LA POSITION DU PROBLEME
I-1.1.2 LA QUESTION DE RECHERCHE
I-1.2 LES OBJECTIFS
I-1.2.1 OBJECTIF GENERALE
I-1.2.2 OBJECTIFS SPECIFIQUES
I-1.3 LES HYPOTHESES
I-1.3.1 L’HYPOTHESE PRINCIPALE
I-1.3.2 LESHYPOTHESES SECONDAIRES
I-1.4 LA REVUE DELITTERATURE
I-2 CADRES THEORIQUES
I-2.1 RELATIONS ENTRE LINGUISTIQUE ET LITTERATURE
I-2.2 LES THEORIES DE BASE EN LINGUISTIQUE
I-2.2.1 LA PRAGMATIQUE LINGUISTIQUE
I-2.2.2 LA LINGUISTIQUE INTERACTIONNISTE
I-2.2.3 LA LINGUISTIQUE DE L’ENONCIATION
CHAPITRE II : LES THEORIES DU DISCOURS ET LES NOTIONS DE POLYPHONIE ET DE DIALOGISME
II – 1 LA NOTION DE DISCOURS
II-1.1 SUBJECTIVITE LINGUISTIQUE ET TYPE DE DISCOURS
II-1.1.1 LA SUBJECTIVITE LINGUISTIQUE : MARQUEURS DE SUBJECTIVITE
II-1.1.2 TYPE DE DISCOURS : LE DISCOURS ROMANESQUE
II-1.2 L’IDEE DE L’ANALYSE DU DISCOURS
II-2 LES THEORIES DE LA POLYPHONIE
II-2.1 LA POLYPHONIE SELON BAKHTINE
II-2.2 LA POLYPHONIE CHEZ DUCROT
II-3 LE CONCEPT DE DIALOGISME
II-3.1 LE DIALOGISME INTERLOCUTIF
II-3.2 LE DIALOGISME INTERDISCURSIF
II-4 DU DIALOGISME A LA POLYPHONIE : DEUX CONCEPTS A LA FOIS VOISINS ET DISTINCTS
II-4.1 DIALOGISME ET/OU POLYPHONIE : REFLEXION SUR LA LITTERATURE ET SUR LA LINGUISTIQUE
II-4.1.1 POLYPHONIE EN LITTERATURE
II-4.1.2 POLYPHONIE EN LINGUISTIQUE
II-4.2 ANCRAGES ENONCIATIFS
CHAPITRE III : LES FORMES DE POLYPHONIE DANS LE VIEUX NEGRE ET LA MEDAILLE DE FERDINAND OYONO
III-1 APPROCHE : L’AUTEUR ET SON OUVRAGE
III-1.1 LA POSTURE DE FERDINAND OYONO
III-1.2 LA PRESENTATION DU ROMAN
III-2 ETUDEDE LA POLYPHONIE DANSLE ROMAN
III-2-1 LES PROCEDES DE NARRATION
III-2.1.1 LE DISCOURS RAPPORTE
III-2.1.2 LA SEQUENCE ENONCIATIVE OU L’ORGANISATION DES TOURS DE PAROLE
III-2.2 ETUDE DES DIFFERENTES RELATIONS DANS LE ROMAN
III-2.2.1 LA RELATION HORIZONTALE : DISTANCE VS FAMILIARITE
III-2.2.2 LA RELATION VERTICALE : LE SYSTEME DES PLACES
III- 3 « L’IMPOLITESSE LINGUISTIQUE » DANS LE ROMAN
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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