ETUDE ANATOMOCLINIQUE DES TRYPANOSOMOSES BOVINES

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Cycle Biologique du Parasite

A l’exception de T. equiperdum, tous les trypanosomes des mammifères sont des parasites dixènes, dont la transmission à l’hôte définitif est réalisée par un insecte hématophage. Celui-ci peut être un simple vecteur mécanique. Le parasite ne peut survivre, chez celui-ci, qu’un temps très court (quelques secondes ou quelques minutes). Les vecteurs les plus souvent incriminés sont les Tabanidés, les Stomoxyinés, plus rarement les Hippobosccidés. Ils assurent la transmission de T. vivax et T. evansi hors de l’air de répartition des glossines. En revanche les mouches tsé-tsé sont des véritables vecteurs de trypanosomoses animales.
Durant leur cycle chez l’hôte mammifère et chez la mouche tsé-tsé, les trypanosomes passent par différents stades morphologiques. La glossine du genre Glossina, appartient à l’embranchement des Arthropodes, à l’ordre des Diptères et à la famille des Muscidae piqueurs à trompe dure portée horizontalement vers l’avant, ce sont les véritables vecteurs des trypansomoses animales.
La glossine absorbe des formes trypomastigote courts lors du repas sanguin sur un animal infecté. Le sang infecté passe au bout de 10 minutes dans l’intestin moyen de la glossine, puis arrive dans l’espace endoperitrophique. Il y a transformation des formes courtes en formes allongées (trypomastigote procycliques). Celles-ci perdent leur membrane de glycoprotéine et deviennent non infectieuses. Elles connaissent une multiplication très active vers le 3ème – 4ème jour pour le T. brucei et vers le 10ème jour pour le T. congolense et se maintiennent environ 2 mois. Les formes procycliques de T. congolense passent ensuite dans l’espace ectopéritrophique, puis gagnent l’œsophage, le pharynx, et enfin le canal alimentaire. Elles se fixent sur les parois de l’abre respiratoire et se transforment en epimastigotes. Ces formes pénètrent dans l’hypopharynx, et se transforment en métatrypanosomes (métacyliques) infectants revêtus de la glycoprotéine de surface.
La totalité du cycle se déroule dans le proboscis (l’abre et l’hypopharynx) pour le T. Vivax. Apres un repas sanguin infectant, les trypanosomes ayant pu se fixer sur la paroi de l’abre se multiplient activement sous la forme épimastigote. Les autres qui sont entraînés avec le sang dans l’intestin dégénèrent et meurent. Les formes épimastigotes se transforment en trypomastigotes métacycliques infectants.
9 Chez l’hôte mammifère
Les trypanosomes africains appartiennent au groupe Salivaria : ils sont donc transmis par la salive des vecteurs.
La glossine injecte dans le derme des mammifères lors de son repas sanguin, les formes métacycliques infectieuses présentes dans ses pièces buccales. Les métacycliques se multiplient au point d’inoculation pendant plusieurs jours en déterminant parfois une réaction inflammatoire appelée chancre. Les trypanosomes migrent par voie lymphatique vers le ganglion de drainage et sont éjectés dans le sang (EMERY et Coll., 1980 cités par SIDEBE, 1996). La durée de la période prépatente (inoculation à la détection du parasite dans le sang) varie généralement de 1 à 3 semaines, en fonction de l’espèce et la souche de trypanosomes, du nombre de trypanosomes injectés et l’état immunitaire de l’hôte (CLAUSEN et Coll.,1993). Les trypanosomes évoluent dans le sang par « vagues parasitémiques » selon l’état immunitaire de l’hôte. Ces phénomènes sont contrôlés par la glycoprotéine variable de surface (VSG)
Lorsque les défenses immunitaires de l’hôte sont dépassées par ces « vagues parasitémiques », il développe alors une maladie que l’on nomme la trypanosomose africaine.

Immunologie

L’immunité observée dans la trypanosomose est une immunité de prémunition. Il a été établi que les cellules TCD 4 suscitent la génération de mémoire pour l’immunité à une autre réexposition homologue (NAESSENS et Coll., 2003 citée par MAGANGA , 2005). La persistance de cette immunité dépend de la stimulation continue de l’organisme par les parasites. Mais dès l’élimination du parasite, la résistance tombe vite et l’animal redevient sensible.
Chez les bovins, la mauvaise réaction immunitaire vis-à-vis de la trypanosomose s’explique par l’habileté qu’ont les trypanosomes de changer leur caractère antigénique pendant l’infection. Le nombre de variantes antigéniques d’un seul trypanosome serait de 1000. Il s’agirait d’une modification du métabolisme du trypanosome et non d’une mutation.

ETUDE ANATOMOCLINIQUE DES TRYPANOSOMOSES BOVINES

Pathogénie

Les Trypanosomoses sont des affections à évolution généralement chronique, de durée et de symptomatologie variable en fonction de l’espèce animale infectée et de l’agent pathogène en cause. La pathogénie dépendrait de trois facteurs essentiels à savoir : l’anémie, les lésions tissulaires et une immunodépression (URQUHART ,1988).

Anémie

La trypanosomose est parmi les principales maladies du sang chez les bovins en Afrique. Les plus importantes trypanosomoses bovines ont été divisées en deux groupes : le groupe des hématiniques (Trypanoma congolense, T.vivax) qui restent dans le plasma, et le groupe de trypanosomes qui envahissent les tissus (T. Brucei, T. evansi, T. gambense, et T. Rhodesiense) qui sont extravasculaires (ANOSA, 1988)
D’après DARGIE et Coll. ,1979 dans une étude menée en Gambie sur les Zébus et des taurins N’dama, on distingue trois phases dans l’anémie :
9 une phase d’anémie corrélative à l’apparition de la parasitémie ;
9 une phase d’anémie chronique qui débute à la sixième ou septième semaine après l’infection quand la parasitémie commence à baisser ;
9 une phase au cours de laquelle le taux de globules rouges reste constant et inférieur à la normale.
L’étiologie de l’anémie ; diverses hypothèses sont proposées. On pense à une hémolyse provoquée par les trypanosomes, une destruction des globules rouges par une réaction immunologique dans le système réticulo-endothélial, une hémodilution, l’hémorragie et une dysérythropoïèse dans la moelle osseuse.

Lésions tissulaires

Les plus communes sont la myocardite et la myosite. L’étiologie est encore mal connue. Toutefois, T. brucei qui a une localisation plus extracellulaire, va former des amas dans les tissus conjonctif et parenchymateux, provoquant ainsi des lésions nécrotiques. Mais quelque soit la cause de ces lésions, la mort d’un animal infecté résulte le plus souvent d’un arrêt cardiaque (MURRAY et Coll., 1985)

Immunodépression

L’immunodépression peut être la conséquence de lésions des plasmocytes élaborateurs d’anticorps ou d’une inhibition de la sécrétion des globulines associées à une augmentation de leur catabolisme. Elle peut être dû à l’action de l’indole-éthanol et d’acide gras libres sur les lymphocytes ou d’immuns complexes bloquant l’activité des macrophages. Cet état est responsable d’une plus grande sensibilité des animaux, des affections intercurrentes et de réactions post-vaccinales graves.

Symptômes et lésions

La trypanosomose bovine se traduit par des syndromes de gravité variable. La symptomatologie passe d’un chancre d’inoculation, généralement invisible aux symptômes généraux. Tous les modes d’évolution sont possibles ; l’infection suraiguë mortelle en quelques jours à l’infection chronique durant des mois, en passant par l’infection aiguë mortelle en 3 à 4 semaines. Le mode d’évolution chronique, caractérisé par des parasitémies intermittentes, est le plus fréquent chez les bovins.
La maladie débute par de fortes poussées fébriles correspondant au pic de parasitémie. Deux à trois semaines après la piqûre infectante, le taux d’hémoglobine et d’hématocrite chute, reflétant l’anémie, de la splénomégalie symptômes majeurs des trypanosomoses bovines. Les atteintes nerveuses de types parésie des membres postérieurs, se traduisent le plus souvent par de l’affaiblissement du train postérieur, quelquefois de la parésie voire de la paralysie, peu avant la mort. Dans les formes suraiguës, les premiers apparaissent autour de 3 à 6 jours, séparés par des intervalles de rémission de 6 à 8 jours. Chaque accès aggrave le processus et la mort en 7 à 8 semaines. Chez les animaux chroniquement infectés, on note une détresse physiologique qui conduit à la cachexie, une réduction de la fertilité, anoestrus chez les femelles, les avortements et la mort.
Les lésions sont inconstantes, peu spécifiques et sans signes pathognomoniques. Ces lésions souvent liées aux troubles de la composition sanguine. Elles sont de types inflammatoires accompagnées de dégénérescence et de nécrose. Ces signes seront plus ou moins accusés suivant la durée de l’évolution de la maladie et l’espèce affectée. Elles se traduisent par :
9 une anémie due à une érythrophagocytose par les macrophages et une hémolyse par les métabolites de parasites ou par des complexes antigènes anticorps à la surface des globules rouges de même qu’un ictère ;
9 des lésions vasculaires caractérisées par des foyers de nécrose touchant les artérioles et des oedèmes déclives ;
9 des lésions cardiaques dans les formes chroniques avec myocardite congestive en plage associée parfois à de l’hydro-péricardite parfois dégénérative avec des foyers de nécrose ;
9 une polyadénite avec hypertrophie, parfois des pétéchies sous capsulaires ;
9 des atteintes dermatologiques par défaut de vascularisation. On observe un mauvais état du pelage ou une perte de poils ;
9 des lésions congestives et d’hypertrophie atteignant les poumons (plages d’atélectasie, congestion des lobes apicaux), la rate, le foie, les riens ou d’autres organes ;
9 un dysfonctionnement de l’axe hypothalamo-hypophysaire conduisant à des troubles de dysfonctionnement endocriniens.

Diagnostic

Le diagnostic du trypanosome bovin est rendu difficile par l’absence de symptômes caractéristiques et par l’abondance des sources de parasites. De ce fait, seul l’examen de sang permet de déceler la présence des trypanosomes (LEFEVRE et Coll., 2002). Le diagnostic des trypanosomes bovins fait appel à différentes méthodes présentées ci-dessous.

Diagnostic clinique

Le diagnostic clinque repose sur les symptômes que présentent les animaux suspects. Ils sont variables selon les trypanosomes en cause et le stade d’évolution de la maladie. Ce diagnostic est basé sur l’anémie, la fièvre intermittente et quelquefois sur la réaction ganglionnaire, des troubles nerveux avec parésie, oedèmes et larmoiement. Il n’est pas de certitude car il n’y a pas de signes pathognomoniques et cette pathologie peut prêter à confusion avec plusieurs autres hémoparasitoses et certaines helminthoses. Ainsi chez les bovins, la trypanosomose est à différencier des autres maladies parasitaires telles que :
9 les babesioses où il y a l’hémoglobinurie et l’ictère ;
9 les helminthoses gastro-intestinales auxquelles sont souvent associées des diarrhées;
9 les theilérioses caractérisées par des adénites ;
9 l’anaplasmose où l’anémie est plus sévère.
Toutefois, le diagnostic de certitude repose sur le diagnostic parasitologique car les différences entre la trypanosomose bovine et ces maladies ne sont pas toujours évidentes.

Diagnostic Parasitologique

Le diagnostic parasitologique a pour but la mise en évidence des trypanosomes soit directement, soit après concentration ou par inoculation des animaux de laboratoire. La recherche des trypanosomes se fait à partir de prélèvements de sang, de sérosité des oedèmes, de suc ganglionnaire, éventuellement de liquide céphalorachidien ou de décalques d’organes et du sang obtenus par ponction cardiaque (CHARTIER et Coll., 2000).

Examens microscopiques directs

9 L’observation directe
L’observation immédiate d’une goûte de sang frais, entre lame et lamelle, peut être d’une grande utilité sur le terrain, pour contrôler la parasitémie d’animaux en cours d’observation ou de traitement, ou pour connaître l’état de santé du troupeau au cours des saisons. Une goûte de sang prélevée est déposée sur une lame propre et dégraissée, puis recouverte d’une lamelle et examinée au microscope, avec un objectif à sec x 20 ou x 40. Cet examen permet de reconnaître aisément les trypanosomes qui se déplacent, dans le champ microscopique, avec des mouvements ondulatoires plus ou moins rapides.
• T. congolense reste collé à un érythrocyte et ses mouvements sont lents ;
• T. vivax traverse rapidement le champ du microscope ;
• T. brucei lui se déplace aussi librement, mais beaucoup moins vite que T. vivax, et il décrit souvent des cercles (BOYT, 1986)
9 L’observation après coloration
L’examen microscopique direct après coloration permet un diagnostic plus précis des trypanosomes. La méthode de coloration la plus utilisée est la méthode panoptique, qui associe deux colorants May-Grünwald et Giemsa (CHARTIER et Coll., 2000). L’examen est plus sensible mais l’identification plus délicate. Lorsque la parasitémie est faible, les résultats seront nettement améliorés en pratiquant systématiquement des goûtes épaisses en même temps que les étalements et, si possible, en complétant ces examens par la ponction d’un ganglion superficiel.

Examens microscopiques après concentration

La détection des trypanosomes sur frottis est très peu sensible. La concentration facilite grandement leur recherche, notamment lorsque la parasitémie est faible. Cette concentration est obtenue soit par centrifugation d’un volume donné du sang total, soit après séparation, par filtration des trypanosomes, soit après la lyse des hématies.
La technique qui donne les meilleurs résultats sur le terrain est la centrifugation différentielle en microtubules à hématocrite. Elle consiste à remplir avec du sang prélevé au niveau d’une veinule de l’oreille, 4/5ème d’un tube capillaire à hématocrite de diamètre intérieur préalablement hépariné. Les tubes, bouchés à une extrémité par la plasticine, sont disposés dans une centrifugeuse, à l’extrémité bouchée dirigée vers la périphérie, et centrifugés à 12000 tours/minute pendent 5 minutes. Les trypanosomes se retrouvent à l’interface globules blancs/plasma. L’observation doit être réalisée dans les quatre à cinq heures suivant le prélèvement. Elle se fait directement dans le tube sous le microscope à contraste de phase, avec un objectif x 20 en faisant varier la mise au point (CHARTIER et Coll., 2000). Mieux encore, on sectionne le tube capillaire 1mm au dessous et 3cm au dessus de la couche de globules blancs. Le contenu de la partie isolée est étalé sur une lame recouverte d’une lamelle et observé au microscope.
On peut également utiliser la technique de Murray ou BCM (Buffy Coat Method) qui consiste à examiner à l’état frais, entre lame et lamelle le Buffy Coat issu du tube capillaire, au microscope à fond noir. On coupe le tube capillaire afin d’en extraire le matériel biologique situé au niveau de l’interface globule rouges/plasma. Les trypanosomes sont brillants et attirent l’œil par leur mouvement. Cette technique est beaucoup plus sensible que celle des étalements ou des goûtes.

Inoculation à des animaux de laboratoire

L’injection de prélèvements (sang, liquide d’oedème etc.) provenant d’animaux suspects à des animaux sensibles permet de mettre en évidence, longtemps après, des trypanosomes rares au moment du prélèvement. On utilise la chèvre pour la recherche de T. vivax et les rats ou souris pour T. congolense et T. brucei. Les inoculations sont effectuées par voie sous cutanée ou intrapéritonéale. Cette méthode ne peut être pratiquée de façon courante sur le terrain, en raison du nombre d’animaux et du matériel nécessaire à sa mise en application.

Culture in vitro

Les cultures de trypanosomes in vitro sont délicates, longues et coûteuses et de ce fait très peu employées pour le diagnostic des trypanosomoses bovines. Ce procédé n’a pas d’application pratique dans le diagnostic des trypanosomoses sauf pour la mise en évidence de T. theileri. L’hémoculture est alors la méthode de choix.

Diagnostic séro – immunologique

Les tests sérologiques utilisent la réponse immunitaire des bovins infectés qui élaborent des anticorps. Les méthodes de diagnostic qui cherchent à mettre en évidence ces anticorps comprennent des méthodes non spécifiques, (tests au mercure, formol gélification, titrage des IgM par diffusion) et des méthodes spécifiques, permettant de déceler des occultes ayant échappés aux techniques plus classiques.
Les tests de diagnostic utilisés sont :
• Test d’immunofluorescence direct
• Fixation de complément
• Hémagglutination passive
• Test d’agglutination sur carte (CATT= Card agglutination Trypanosomiasis test)
• Test immunoenzymatique, ou micro-ELISA
Toutefois, l’exécution et l’interprétation de ces tests demandent de bonnes connaissances en sérologie et la mise à disposition de laboratoires bien équipés (ZWART et Coll., 1982).

Diagnostic par PCR

La PCR ou l’amplification de gènes est une réaction en chaîne induite par l’ADN polymérase. C’est une méthode très simple qui permet de recopier un segment d’ADN en un nombre théoriquement infini d’exemplaires et qui permet aussi de synthétiser des quantités importantes d’ADN qu’il serait impossible d’étudier autrement. La polymérisation est artifiellement obtenue en imposant des cycles thermiques à un mélange constitué d’ADN matriciel, de Taq polymerase, d’acide désoxyribonucleiques triphosphates (dNTP), d’un tampon adéquat, et d’un couple d’oligonucléotides spécifiques. Les cycles sont constitués de trois (3) phases :
• une phase de dénaturation ;
• une phase d’appariement des oligonucléotides avec la séquence complémentaire de l’ADN matriciel (50°C environ)
• une phase de polymérisation des acides nucléiques (70°C environ).
Le produit de la polymérisation est révélé par électrophorèse de l’ADN sur gel d’agarose à l’aide du bromure d’éthidium afin de visualiser l’ADN en lumière ultraviolette. Une fois que le diagnostic des trypanosomes est confirmé, les bovins doivent être rapidement traités.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : TRYPANOSOMOSES ANIMALES
CHAPITRE 1: GENERALITES SUR LES TRYPANOSOMES
1.1. Définition et importance
1.2. Répartition géographique
1.3. Taxonomie
1.4. Morphologie et Structure
1.5. Biologie
1.5.1. Habitat
1.5.3. Nutrition
1.5.4. Multiplication
1.6. Cycle Biologique du Parasite
1.7. Immunologie
CHAPITRE 2 : ETUDE ANATOMOCLINIQUE DES TRYPANOSOMOSES BOVINES
2.1. Pathogénie
2.1.1. Anémie
2.1.2. Lésions tissulaires
2.1.3. Immunodépression
2.2. Symptômes et lésions
2.3. Diagnostic
2.3.1. Diagnostic clinique
2.3.2. Diagnostic Parasitologique
2.3.2.1. Examens microscopiques directs
2.3.2.2. Examens microscopiques après concentration
2.3.2.3. Inoculation à des animaux de laboratoire
2.3.2.4. Culture in vitro
2.3.3.Diagnostic séro – immunologique
2.3.4. Diagnostic par PCR
CHAPITRE 3 : LUTTE CONTRE LES TRYPANOSOMOSE BOVINE
3.1. Méthodes Traditionnelles
3.2. Méthodes modernes
3.2.1. Elevage des bovins trypanotolerants
3.2.2. Lutte antivictorielle
3.2.3. Chimioprophylaxie et Chimiothérapie
3.3. Chimiorésistance
DEUXIEME PARTIE : LES VITAMINES
CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LES VITAMINES
1. Introduction
1.1. Définition
1.2. Historique
1.3. Mode d’action
1.4. Carence ou hypovitaminose
1.5. Excès ou hypervitaminose
2. Classification des vitamines (MOULIN et COQUEREL, 2002 ; REGINALD et Coll., 2000 ; LE GRUSSE et WATIER, 1993)
2.1. Les vitamines liposolubles
2.1.1 Vitamine A
2.1.2. Vitamine D
2.1.3. Vitamine E ou Tocophérol
2.1.4. Vitamine K
2.2. Les vitamines hydrosolubles
2.2.1. Vitamine C ou Acide Ascorbique
2.2.2. Les vitamines du Groupe B
2.2.2.1. Vitamine B1 ou Thiamine
2.2.2.2. Vitamine B2 ou Riboflavine
2.2.2.3. Vitamine B3 ou PP ou acide nicotinique ou nicotinamide …45ix
2.2.2.4. Vitamine B5 ou acide Pantothénique
2.2.2.5. Vitamine B6 ou pyridoxine
2.2.2.6. Vitamine B8 ou biotine
2.2.2.7. Vitamine B9 ou acide folique
2.2.2.8. Vitamine B12
CHAPITRE 2 : VITAMINE B12
2.1. Historique (MOULIN et COQUEREL, 2002 ; LE GRUSSE et WATIER, 1993)
2.2. Sources (REGINALD et Coll., 2000)
2.3. Propriétés biologiques
2.4. Structure chimique
2.5. Propriétés physico-chimiques
2.6 Métabolisme (LE GRUSSE & WATIER, 1993)
2.6.1. Absorption
2.6.2. Distribution
2.6.3 Excrétion
2.7. Fonctions
2.7.1. Méthylation de l’homocystéine en méthionine
2.7.2. Isomérisation du méthylmalonyl-co A
2.7.3. Métabolisme de l’acide Propionique
2.7.4. Production des Hématies
2.7.5. Rôle dans la croissance
2.7. Carences
2.8. Diagnostic de carences en Vitamine B12
2.9. Traitement des carences en Vitamine B12
TROISIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE 1 : MATERIEL ET METHODES
1.1. Introduction
1.1.1. Objectif général
1.1.2. Objectif Spécifique
1.2. Cadre d’étude
1.2.1. Zone d’essai
1.2.2.Période d’essai
1.3. Matériel
1.3.1. Matériels Biologiques
1.3.2. Matériel de laboratoire
1.3.3. Produits utilisés
1.3.3.1. Formulation C550
1.3.3.2. VERIBENND
1.3.3.3. SANGAVETND
1.4. Méthodologie
1.4.1. Préparation de l’inoculum de trypanosomes
1.4.2. Préparation des animaux
1.4.3. Pesée et Infestation des animaux
1.4.4. Suivi des animaux après infestation
1.4.5. Traitement des animaux infestés
1.4.6. Suivi après traitement
CHAPITRE 2 : RESULTATS
2.1. Examen clinique
2.2. Tolérance des animaux vis-à-vis des Trypanocides utilisés
2.3. Efficacité thérapeutique
2.4. Evolution de l’hématocrite
2.5. Evolution Pondérale
CHAPITRE 3 : DISCUSSIONS
3.1. La méthodologie de l’essai
3.1.1. Choix du site
3.1.2. Les animaux
3.1.3. Trypanocides utilisés
3.2. Discussions des résultats
3.2.1. Examen Clinique
3.2.2. Efficacité curative des Trypanocides utilisés
3.2.3. Evolution de l’hématocrite
3.2.4. Evolution pondérale
CONCLUSION ET SUGGESTIONS
BIBLIOGRAPHIE

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