Estimation du coût de production d’un kilogramme de chair de Poisson

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Régime alimentaire des deux espèces

Oreochromis niloticus

Etant donné que les arcs branchiaux d’O. niloticus disposent de branchiospines fines, longues et nombreuses et de microbranchiospines, l’eau qui y transite est véritablement filtrée de son plancton. Cette espèce est donc, en milieu naturel, essentiellement phytoplanctonophage à l’état adulte et consomme de multiples espèces de Chlorophycées, Cyanophycées, Euglenophycées (Huchette et Beveridge, 2003 ; Ouattara et al. 2009 ; Avit et al. 2012), elle absorbe également du zooplancton et même des sédiments riches en bactéries et en diatomées surtout à l’état d’alevin (0 à 5 g) (Lacroix, 2004).
En milieu artificiel, cette espèce est pratiquement omnivore à l’état adulte valorisant divers déchets agricoles (tourteaux d’oléagineux, drèches de brasserie, farine de tomate, par exemple) (Ouedraogo, 2000 ; Azaza et al. 2006 ; Bamba et al. 2008 ; Ble et al. 2011). Elle peut aussi consommer des excréments de porc ou de volailles, des déchets ménagers ; elle consomme facilement les aliments composés (farine de poisson, tourteau de soja, son de riz, par exemple) (Mikolasek et al. 2009 ; Ipungu et al. 2015).

Tilapia guineensis

L’analyse du contenu stomacale du Tilapia guineensis de l’estuaire de Sine Saloum à montrer que sa nourriture se compose essentiellement de particules détritiques (sable et débris végétaux) auxquelles s’associent de nombreuses diatomées ainsi que du zooplancton (Séne, 1997).
Le régime alimentaire du Tilapia guineensis varie en fonction de la disponibilité des ressources de son habitat (Paugy, 1994). En Casamance, Tilapia guineensis se nourrit essentiellement de débris végétaux, de Diatomées, d’Annélides, de Bivalves, de Gastéropodes, de Dinoflagellés, d’Algues, d’Insectes, d’oeufs de poissons, d’Amphipodes, de Crabes, de débris et de Crustacés indéterminés. Au Parc National du Banc d’Arguin en Mauritanie, Tilapia guineensis se nourrit exclusivement de Phanérogames, d’Algues vertes, d’Algues rouges, d’Algues bleues de Bacillariophycée, de Gastéropodes, de Bivalve, de Crustacées, de Lampeidae, d’oeufs de poisson et de vase (Kide et al. 2015).
En milieu d’élevage, Tilapia guineensis est omnivore à l’état adulte, il consomme facilement les aliments composés (farine de poisson, son de blé, tourteaux d’arachide, farine de maïs par exemple). Cependant Imorou Toko et al. en 2010, ont observés dans les étangs contenant des alevins de T.guineensis, un désintérêt de ceux-ci lors de la distribution d’aliment artificiel.

Croissance des deux espèces

La croissance des tilapias varie d’une espèce à une autre et d’une population à une autre. Cette variation est liée à la souche utilisée, la disponibilité alimentaire (qualité et quantité), la structure démographique des populations, la sélectivité des captures et/ou de la prédation, l’étendue du plan d’eau et les variables environnementales (température, salinité, …) (Lazard, 2009 ; Ouattara et al. 2009).
Chez les juvéniles d’Oreochromis niloticus en élevage, pour 10 individus/m2 et 13 individus/m2, les gains de poids respectifs variant de 40,24±7,64 g à 54,03±7,76 g et 36,65±5,73 g à 46,11±5,87 g ont été obtenus (Bamba et al. 2008). Des gains de poids de 25,79±1,54 g et 33,43±2,47 g ont été obtenus respectivement en trous à poissons et en cages (Amoussou et al. 2016). Des gains de poids moyen de 11,19 ± 0,41 g et de 11,04± 0,05g ont été obtenus en 4 mois respectivement en rizipisciculture et en pisciculture (Avit et al. 2012).
Chez les juvéniles de Tilapia guineensis nourris avec une ration renfermant 35 à 45 % de protéine, le taux de croissance spécifique peut atteindre 0,68 à 1,48 g/j pour chaque poisson (Adissin, 2011). Un gain de poids moyen de 145g en 15 mois avec un apport d’aliment artificiel a été obtenu chez des juvéniles de Tilapia guineensis en élevage contre 145g en 21 mois en milieu naturel (Adissin, 2011).

MATIERES PREMIERES UTILISEES DANS L’ALIMENTATION DES POISSONS

Matières premières d’origine animale : farine de poisson

Les farines de poisson constituent des sources de protéines très riches en acides aminés indispensables aux vertébrés et en particulier aux poissons. Elles sont également riches en minéraux essentiels (calcium, phosphore, magnésium et oligo-élément) et en vitamines (vitamines B12, A) (Guillaume et al. 1999). La farine est presque exclusivement constituée de sardinelle, cette espèce est aujourd’hui la principale source de protéines d’origine animale, elle est source d’emplois et de revenu des professionnels de la pêche artisanale et des populations de la sous-région. Son utilisation pour l’élevage des poissons s’est traduite par une augmentation de l’implantation des usines de production de farine de poisson aussi bien au Sénégal que dans les autres pays de la sous-région comme la Gambie et la Mauritanie, à ces usines s’ajoutent des unités informelles et artisanales (APRAPAM., 2017). La prolifération incontrôlée des fabriques de farine de poisson se traduit par des impacts néfastes sur la ressource, une augmentation du prix d’achat de la farine et une irrégularité de sa qualité nutritionnelle.

Matières premières d’origine végétale

Feuilles de végétaux : Moringa oleifera

Moringa oleifera (Synonyme : Moringa pterygosperma) appartient à la famille des Moringaceae qui comprend environ 13 espèces (Foidl et al. 2001). L’arbre a une hauteur de 5 à 10 m (Morton, 1991). Il se trouve à l’état sauvage et cultivé dans les plaines, en particulier dans les haies et dans les cours des maisons. Il se développe mieux sous le climat tropical insulaire, et est abondant près des lits de sable des rivières et des ruisseaux (Hêdji et al., 2014). Il peut bien pousser dans les régions tropicales humides ou les terres sèches et chaudes, mais il ne peut survivre sur des sols démunis, et il est peu affecté par la sécheresse (Morton, 1991). Il tolère une large gamme de précipitations avec des exigences minimales annuelles estimées à 250 mm et des exigences maximales à plus de 3000 mm et le pH préférendum est compris entre 5,0-9,0 (Palada et Changl, 2003). Ses feuilles sont duveteuses, alternes et bi ou tripennées et se développent principalement dans la partie terminale des branches (Morton, 1991). Au Sénégal, les zones de culture intensive du moringa sont Kolda, Ziguinchor et Fatick. On le trouve aussi à l’état sauvage dans les régions de Kaolack, de Dakar (www.senegal-export.com/le-moringa, 2017).
Les feuilles de M. oleifera sont un légume de bonne qualité nutritionnelle et constituent l’un des meilleurs légumes tropicaux. Elles sont une excellente source de protéines dont les teneurs moyennes varient entre 19-35 % de la matière sèche. Elles ont un bon profil en acides aminés (Hêdji et al., 2014). La teneur en acides aminés de la farine de feuilles de M. oleifera est comparable à celle du tourteau de soja (Makkar et Becker, 1996) avec une digestibilité de 79,2% (Hêdji et al., 2014). Elle a une teneur relativement élevée en énergie métabolisable, 2273 et 2978 kcal/kg MS (Makkar et Becker, 1996), les feuilles de M. oleifera contiennent une très grande quantité de vitamines A (6,8 mg), B (423 mg), C (220 mg) … ; elles sont riches en minéraux (fer, calcium, zinc, sélénium, par exemple.) et en ß-carotène (Hêdji et al., 2014). Les teneurs en minéraux des feuilles sèches de M. oleifera varient de 0,6 à 11,42% MS. Le taux de matière grasse contenue dans les feuilles de M. oleifera, varie de 2,3 à 10% MS (Hêdji et al., 2014). Par conséquent, M. oleifera se caractérise par une forte teneur en nutriments, en antioxydants, en glucosinolates, en composés phytochimiques et par ses qualités organoleptiques.

Tourteaux d’oléagineux : tourteau d’arachide

Le tourteau d’arachide (Arachis hypogea) est un co-produit de l’extraction d’huile, moins riche en protéine que les matières premières animales (48 à 50%). Il contient une quantité très élevée en arginine mais très faible en lysine et en méthionine qui sont les acides aminés essentiels pour la croissance des poissons. Il contient moins de cendre mais renferme en revanche une quantité non négligeable de composés membranaires ainsi que des éléments antinutritionnels (Guillaume et al. 1999).

Sous-produits de céréales

Ce sont des sous-produits dont la teneur en protéine oscille généralement entre 10 et 20%, donc ils sont plus pauvres en protéines que les tourteaux. Ils sont énergétiques, ils renferment la vitamine E et B, mais ils sont pauvres en minéraux, sauf en phosphore qui est sous forme phytique. La farine de maïs est riche en amidon (62 à 72%) (Guillaume et al. 1999), mais celle-ci est assez peu digestible à l’état cru chez les poissons carnivores surtout si elle est incorporée à dose élevée. Les traitements thermiques améliorent la digestibilité de l’amidon qui peut de ce fait être une source d’énergie intéressante.
Le son de blé (écorce de céréale) renferme beaucoup de fibres, mais aussi de la vitamine E et des vitamines du groupe B (Guillaume et al. 1999).
Les tourteaux de soja, de coton et de mil sont également utilisés (Bamba et al. 2008).

Matériel d’élevage

Infrastructures d’élevage

L’élevage a été effectué en deux temps dans deux sites différents : du 01/11/2018 au 16/01/2019 à SEAAN (Société d’Exploitation Agricole et Aquacole de Ndangane, Fimela, fatick) et du 18/02/2019 au 18/04/2019 à l’ITA (Institut de Technologie Alimentaire, Hann Mariste, Dakar).
A la SEAAN, l’élevage a été conduites dans deux bassins circulaires en béton (figure 4) de 3m de diamètre, 1m de hauteur et 7m2 de surface (πr2). Chaque bassin est muni d’une vanne qui l’alimente en eau saumâtre, provenant d’un bassin de rétention, l’eau est puisée à l’aide d’une pompe électrique. La surface des bassins présente une pente de 1% allant des extrémités au centre. Les bassins sont dotés d’un système de canalisation en PVC, dont le tuyau d’évacuation communique avec le siphon situé au centre de la surface des bassins. Le renouvellement de l’eau se fait matin et soir.
A l’ITA, l’élevage a été mené dans deux bassins rectangulaires en béton (figure 5). Chaque bassin mesure 4m de long, 2m de large et 1,10m de haut et la surface est de 8m2 (4 x 2). Les bassins sont alimentés en eau douce à partir d’un robinet de haute pression. Le fond du bassin est construit avec une pente de 1% (1cm/mètre). Ils sont dotés d’un système de canalisation en PVC enterré, dont le tuyau d’évacuation communique directement avec le moine. Ce moine permet d’évacuer l’eau et de régler son niveau en cas de nécessité sans entrainer les poissons ; il peut aussi jouer le rôle de trop-plein. Le renouvellement de l’eau se fait tous les 15 jours.

Petit matériel d’entretien

L’entretien nécessite les ustensiles suivants :
 Un racleur pour le siphonage ;
 Une brosse, utilisée pour nettoyer les bassins ;
 Une épuisette, utilisée pour récupérer les poissons lors des séances de contrôle de croissance ;
 Une bassine large, utilisée comme conteneur pour les poissons lors des séances de mensuration.

Matériel de mesure

Un appareil multiparamétrique (PCE-PHD1) (figure 6), comprenant un pH-mètre, un thermomètre, un oxymètre et un conductimètre, a été utilisé pour mesurer les paramètres physicochimiques de l’eau des bassins. Une balance de précision (WTB 2000g ± 0,1‰) a servi à peser les poissons lors des séances de contrôle de croissance. Pour mesurer la taille des poissons nous avons utilisé une règle en plastique.

Matériel biologique

Les juvéniles de Tilapia guineensis, utilisés dans cette étude, ont été collectés sur place, dans les étangs de la SEAAN. Ce sont des produits des géniteurs de la ferme piscicole de la SEAAN. Les juvéniles d’Oreochromis niloticus utilisés à L’ITA ont été aussi trouvés sur place, ce sont des produits des géniteurs de l’ITA.

Intrants alimentaires

Les feuilles de Moringa oleifera ont été collectées sur différents arbres, les uns se trouvant au jardin de la SEAAN et les autres dans les maisons de Ndagane. A l’usine de fabrication d’aliment, les feuilles ont été séchées (figure 7) à l’ombre pendant 48h sur du papier journal. La poudre de Moringa oleifera (figure 8) est obtenue par broyage des feuilles à l’aide d’un moulin électrique. La farine de poisson provient des déchets n’ayant pas de valeur commerciale, rejetés par des pêcheurs artisanaux, et d’abats non commercialisés destinés aux ordures des marchés locaux ; Les autres intrants tels que le son de blé, le tourteau d’arachide, les brisures de maïs, les prémix vitaminés, la vitamine de croissance et le liant ont été trouvés sur place dans l’usine de fabrication d’aliment de la SEAAN.

Broyage

Les feuilles de moringa séchées à l’ombre (à la température ambiante) pendant 48h sont transformées en poudre à l’aide d’un moulin à céréale. Les brisures de maïs ont été réduites en de fines particules par broyage dans un moulin broyeur à marteaux de mailles 2,5mm, puis remises dans un moulin à céréale pour obtenir une poudre plus fine.

Mélange

Après broyage, tous les intrants ont été pesés sur une balance électrique (HELLOSHOP26 100kg).
Tous les composants pour chaque régime sont mélangés à l’aide d’un mixeur en y ajoutant de l’eau en raison de 20% par régime.

Granulation

Après mixage, le mélange est introduit dans la machine à granulation (DGP-80 ; 300 Kg/h) qui chauffe l’aliment à une température de 80°C puis le fait sortir sous forme de spaghettis à travers un disque granulateur (figure 9) dont les trous ont un diamètre de 4mm. Le disque est accolé à un hachoir (figure 10) qui découpe les spaghettis en de petites graines à une vitesse de 380 m/s. Les graines sont séchées à l’ombre pendant 24h. Les granulés obtenus (figure 11 et 12) sont conditionnés dans des sacs en plastique imperméable de 15kg.

Paramètres physico-chimiques du milieu d’élevage

En fonction du milieu d’élevage les paramètres physico-chimiques mesurés sont les suivants :
 A la SEAAN, les paramètres mesurés sont : la température, la salinité, le pH et l’oxygène. Ces mesures s’effectuaient avant et après la pêche de contrôle à raison de 5 fois par jour (7h, 10h, 13h, 16h et 19h).
 A l’ITA, la température et le pH ont été mesurés avant et après la pêche de contrôle à raison de 5 fois par jour (7h, 10h, 13h, 16h et 19h). L’analyse de la teneur de l’eau en phosphore a été effectuée à la fin de l’expérience.

Suivi de l’expérimentation

Nourrissage

Les poissons sont nourris tous les jours. L’aliment est distribué à la main 4 fois par jour (8h, 11h, 14h et 17h) pendant 60 jours. La ration alimentaire (R) est calculée en respectant un pourcentage (P) selon le poids, et en tenant compte de la biomasse (b). Ce pourcentage (Lazard, 2007 ; Djiba, 2013) se répartit comme suit :
 Poisson de 0-3g : taux de distribution/jour 15% de la biomasse ;
 Poisson de 3-10g : taux de distribution/jour 10 à 15% de la biomasse ;
 Poisson de 10-20g : taux de distribution/jour 7 à 10% de la biomasse ;
 Poisson de 20-100g : taux de distribution/jour 4 à 7% de la biomasse ;
 Poisson supérieur de 100g : taux de distribution/jour 3 à 4% de la biomasse ;
𝐑 = 𝐛 x 𝐏
R = ration alimentaire
b = biomasse
P = pourcentage
Or la biomasse (b) dans un bassin est égale au poids moyen (Pm) d’individus adultes multiplié par le nombre total d’individus (N).
𝐑 = 𝐏𝐦 x 𝐍 x 𝐏
Une pêche de contrôle des différents paramètres zootechniques a été programmée tous les 15 jours, quatre pêches de contrôle ont été effectuées.
Après chaque pêche de contrôle, les rations alimentaires journalières ont été réajustées en fonction de la nouvelle biomasse.

Paramètres zootechniques et indices calculés

Pour estimer la croissance des poissons et caractériser l’efficacité des aliments, les différents paramètres zootechniques et indices ont été utilisés :
 Gain de masse corporelle
Appelé couramment gain de poids moyen (GPM), ce critère permet d’évaluer la croissance pondérale des poissons pendant un temps donné. Il est calculé à partir de la formule ci-dessous (Sarr et al., 2015) : GPM (g) = Poids final (g) – Poids initial (g) Croissance individuelle journalière (CIJ)
Appelé encore gain de poids quotidien (GPQ), cet indice permet d’apprécier le gain de poids journalier des poissons en élevage (Sarr et al., 2015).
Il est déterminé à partir de la relation ci-dessous 𝐂𝐈𝐉(gJ)=Poids final (g) −Poids initial (g) Durée d′élevage (j)
 Taux de croissance spécifique (TCS)
Ce coefficient permet d’évaluer le poids gagné par le poisson chaque jour, en pourcentage de son poids vif (Sarr et al., 2015).
𝑻𝑪𝑺(%𝑃𝐶𝑗)=[ln (poids moyen final)−ln(poids moyen initial)]Durée d′élevage (j) 𝑋 100
 Ingestion volontaire (IV)
Cette donnée intéresse directement l’éleveur. L’ingestion volontaire est la quantité d’aliment volontairement ingérée par unité de temps et par unité de biomasse(Gueye et al., 2017). Elle se détermine à partir de la relation suivante : 𝐈𝐕(%/𝑗)=100𝑥(𝐷(𝐵𝑖+𝐵𝑓2))Durée de l′experience (j)
Avec D : quantité cumulée d’aliments distribués (g), Bi et Bf, respectivement biomasses initiale et finale (g).
 Indice de consommation (IC)
Ce coefficient est couramment utilisé par les zootechniciens. Il permet de caractériser l’efficacité d’utilisation de l’aliment ; c’est le rapport entre l’aliment ingéré et le gain de masse corporelle. Il est fonction non seulement de la qualité de l’aliment et de l’animal, mais dépend également de la quantité ingérée. Le gain de poids corporel est proportionnel à la quantité d’aliments ingérés. En effet, la croissance n’est possible que lorsque les nécessités principales du métabolisme sont satisfaites ; c’est-à-dire lorsque l’énergie introduite est supérieure aux besoins. Dans ce cas, l’énergie en excès peut être utilisée pour la croissance du corps (Gueye et al., 2017). 𝑰𝑪=𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑑′𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑐 𝑖𝑛𝑔é𝑟é𝐺𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑜𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒.

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Table des matières

Liste des tableaux
INTRODUCTION
CHAPITRE I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I.1 ETAT ACTUEL DE LA PISCICULTURE AU SENEGAL
I.2 PRESENTATION DES ESPECES
I.2.1 Position Systématique
I.2.2 Description des espèces
I.2.3 Exigences écologiques des deux espèces
I.2.4 Régime alimentaire des deux espèces
I.2.5- Croissance des deux espèces
I.3- MATIERES PREMIERES UTILISEES DANS L’ALIMENTATION DES POISSONS
I.3.1- Matières premières d’origine animale : farine de poisson
I.3.2 Matières premières d’origine végétale
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODES
II.1- MATERIEL
II.1.1- Matériel d’élevage
II.1.1.1- Infrastructures d’élevage
II.1.1.2 Petit matériel d’entretien
II.1.1.3 Matériel de mesure
II.1.2 Matériel biologique
II.1.3 Intrants alimentaires
II.2 METHODES
II.2.1 Formulation d’aliment
II.2.2 Fabrication d’aliment
II.2.2.1 Broyage
II.2.2.2 Mélange
II.2.2.3 Granulation
II.2.3 Echantillonnage
II.2.4 Paramètres physico-chimiques du milieu d’élevage
II.2.5 Suivi de l’expérimentation
II.2.5.1 Nourrissage
II.2.6 Paramètres zootechniques et indices calculés
II.2.7 Estimation du coût de production d’un kilogramme de chair de Poisson
II.2.8 Analyse des données
CHAPITRE III : RESULTATS ET DISCUSSION
III-1 RESULTATS
III-1-1 Survie
III-1-2- Performance de croissance des poissons
III-1-2-1- Ingestion et efficacité alimentaire
III.1.3 Approche économique
III.1.3.1 Estimation du prix de revient d’un kilogramme d’aliment
III.1.3.2 Estimation du coût de production d’un kilogramme de chair de Poisson
III. 1.3.3 Intérêt économique de l’utilisation de l’aliment R1 et R2
III.1.4 Paramètres physico – chimiques du milieu d’élevage
III.2. DISCUSSION
CONCLUSION, PERSPECTIVES ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
RAPPORTS
WEBOGRAPHIE

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