ENQUETES SOCIO-ECONOMIQUES ET ESSAIS PARMACOGNOSIQUES

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Pharmacologie et études cliniques

On a signalé des cas de sensibilisations allergiques provoquant bronchite avec asthme ou prurit, érythème, œdème des paupières chez les ouvriers manipulant l’extrait de graines utilisé comme apprêt pour les tissus.
Les extraits de tiges et de feuilles possèdent une certaine activité insecticide.
La pulpe mondée est utilisée en thérapeutique. Elle se prescrit à la dose de 30 à 60g en une fois, le matin à jeun comme laxatif. On la prescrit aussi sous forme de tisane. Elle entre dans la composition d’électuaires lénitifs avec le séné, la réglisse, la coriandre ou avec le sucre et de l’acide citrique. C’est aussi un rafraîchissant et un édulcorant acide.
La pectine du fruit est classée dans la catégorie des médicaments protecteurs et constitue un colloïde naturel hydrophile, antitoxine, activant les fonctions physiologiques du transit digestif en raison de ses propriétés chimiques physiques et bactéricides. [23]
La pectine à 1% possède une bonne activité bactéricide principalement vis à vis des bacilles Gram-.
Les extraits de pulpe de Tamarindus indica présentent une activité antifongique en inhibant la germination des spores de :
– Fusarium oxysporum
-Trichophyton mentagrophytes
– Rhizopus nigricans
– Aspergillus fumigatus
– Penicillium digitatum
Par contre aucune activité n’a été relevée sur les champignons unicellulaires (Saccharomyces pastorianus et Candida albicans) et sur les champignons à filaments cloisonnés (Aspergillus niger et Botrytis cinerea).
Une spécialité, la « Tamarine », renfermant des extraits de la pulpe est utilisée dans la constipation occasionnelle.
Tamarindus indica présente une large activité anti-hépatotoxique en s’opposant, d’une part, à la nécrose cellulaire induite par le terbutylhydroxyperoxide et, d’autre part, par un pouvoir antiradicalaire aux phénomènes de péroxydation lipidique qui représentent une des formes d’expression toxicologique de nombreuses substances impliquées dans la pathologie des hépatites toxiques [20].
La pulpe du fruit aurait une activité molluscicide contre Bulinus truncatus snails (présence possible de saponines d’activité molluscicide comme dans Balanites aegyptiaca. [20].
Le tamarin possède une activité anti-inflammatoire en cas d’œdème d’oreille causée par l’acide arachidonique chez les souris et les rats. Les principes actifs isolés des extraits chloroformiques sont plus efficaces que ceux tirés des extraits éthanoliques et qui sont utilisés en médecine traditionnelle dans les pays d’Afrique du nord [31].
La consommation de 10% de fruits mûrs de tamarin entraîne chez les poussins Hisex Brown une hépato-néphropathie prouvée par les changements notés dans l’activité de l’enzyme sérologique et les concentrations en protéines totales, de cholestérol et d’acide urique. Ainsi on note également entre 21 et 35 jours, une perte de poids progressive. Après deux semaines de rétablissement les hépatocytes et les cellules rénales (au niveau du tubule contourné) n’ont pas complètement retrouvé leur état physiologique [20] ; [26].
Le Tamarin, en association avec Hibiscus sabdariffa et Citrus limetta, entraîne une baisse de la biodisponibilité des comprimés d’ibuproféne dosés à 400 mg. On note une augmentation significative des niveaux d’ibuproféne dans le plasma et de ses métabolites OH-ibuproféne et CO2-ibuproféne [17].
L’extrait de fruit de Tamarindus indica augmente la biodisponibilité de l’Aspirine dosée à 600 mg de façon significative lorsqu’ils sont absorbés ensemble [20].
L’acidité d’une boisson à base de pulpe de tamarin entraîne chez l’homme une baisse de la biodisponibilité de la chloroquine du fait de son caractère basique. Il est recommandé de ne pas absorber de médicaments basiques avec des breuvages acides [25].
On a isolé des graines de Tamarindus indica un polysaccharide formé de galactose, mannose et glucose. Ce polysaccharide présente des activités modulatrices telles que le rehaussement de la phagocytose, l’inhibition de la migration des leucocytes et l’inhibition de la prolifération cellulaire. Il a été suggéré que l’augmentation de la phagocytose obtenue avec le polysaccharide de Tamarindus indica, est due à l’activation du complément, est que l’inhibition de la migration des leucocytes résulterait de la production d’une lymphokine par les lymphocytes sensibilisés en présence du polysaccharide. Tous ces résultats suggèrent que le polysaccharide des graines de Tamarindus indica possède des propriétés antitumorales [20].
L’administration orale du mucilage de la pectine des graines et du mésocarpe de Tamarindus indica entraîne une baisse significative de la glycémie chez des rats rendus diabétiques à l’alloxane [20].
Un patch buccal est préparé avec comme composant mucoadhésif un polysaccharide obtenu à partir de la graine de Tamarindus indica. On a évalué son comportement in vivo et in vitro pour la mucoadhésion et la libération de deux principes actifs : benzydamine et la lidocaïne. Les résultats se sont avérés satisfaisants aussi bien in vivo qu’in vitro ; le patch est parfaitement toléré et adhère pendant plus de 8 heures à la cavité buccale des volontaires humains.
Ces patchs mucoadhésifs testés dans cette étude doivent constituer un système prometteur pour la mise en place de dispositifs de délivrance buccaux ou muqueux [20].
L’extrait de feuilles de tamarinier a une activité bactériostatique sur Bacillus pyocyaneus et cette activité n’est pas due à l’acidité de l’extrait mais à des agents bactériostatiques non déterminés [20].
Les feuilles bouillies, appliquées localement chez les personnes atteintes de filariose permettent une meilleure cicatrisation, une réduction de l’inflammation et une accélération du processus d’expulsion du ver [20].
Des études ont montré qu’une préparation contenant le polysaccharide extrait de la plante diminue les dommages causés à l’ADN des cellules cornéennes exposées aux rayons ultra – violets (UV-B) ; ce qui peut être mis à profit pour les médicaments à usage ophtalmique [29].

GENERALITES SUR OZOROA INSIGNIS Del.

Appellations vernaculaires [8] ; [9]

Bambara : dolisegi
Français : Heeria remarquable
Haoussa : véloouélé
Pulaar : gourougahi, takara kouléhi, kéléli
Sereer : ngueguésan
Socé : kalokoto, nakamang
Wolof : vasvasor, vosvosor

Rappel botanique

Place systématique de l’espèce

La classification ancienne de DEYSSON [14] et CRETE [12] se présente comme suit : Régne végétal
Sous-régne des Cormophytes
Embranchement des Spermaphytes
Sous –embranchement des Angiospermes
Classe des Dicotylédones
Série des Disciflores
Ordre des Rutales
Famille des Anacardiacées
Genre Ozoroa
Selon la nouvelle classification basée sur les données de la biologie moléculaire, l’espèce se situe [19] ; [34] :
– Groupe des Eucaryotes
– Règne des Végétaux
– Sous-Règne des Embryophytes
– Phylum des Spermatophytes
– Embranchement des Angiospermes
– Classe des Eudicotylédones
– Sous –Classe des Rosidées
– Série des Eurosidées II
– Ordre des Sapindales
– Famille des Anacardiacées
– Genre Ozoroa

Répartition géographique et habitat

Ozoroa insignis Del. est un arbuste tortueux ou un arbrisseau de 4 à 6m de haut des savanes soudano – guinéennes sous tous les types de sol.
On le retrouve en Afrique tropicale, du Sénégal à l’Ethiopie, au Rwanda et en Mozambique. Sa  distribution géographique est irrégulière [8] ; [9] ; [6].

Description de la plante

C’est un arbre ou arbuste à cime peu dense atteignant 4 à 6m de haut. L’écorce est grise à brun pâle légèrement fendillée, à tranche jaune pâle striée de noir. Parfois on remarque de la résine blanche sur les blessures.
Les rameaux sont légèrement pubescents devenant glabres, bruns, gercés, et lenticellés. On remarque également un latex blanc.
Les feuilles sont pendantes, pliées en gouttière et sont, le plus souvent, groupées en faux verticilles par trois. Elles sont très polymorphes, ordinairement lancéolées ou même linéaires et longues ; elles sont parfois étroitement oblongues ; elles atteignent 15cm de long et 3,5cm de large. On les reconnaît toujours facilement par leur feuillage feutré argenté en dessous, vert foncé au dessus et leur nervation typique. Le pétiole est long de 7 à 12mm, grêle, pubescent.
Les fleurs sont blanchâtres et mesurent 6 mm de diamètre et présentent 5 pétales. Le fruit est une drupe aplatie verticalement, dure noire brillante, de 12mm de long persistant souvent sur l’arbre pendant toute la saison sèche.
La floraison se fait de mai à novembre durant la saison des pluies. [8] ; [9]

Description de la drogue

Toutes les parties de la plante sont utilisées. La poudre d’écorce séchée présente une couleur marron tandis que la poudre de feuille est verte.

Etudes chimiques

La littérature concernant la chimie de la plante est presque inexistante. On signale la présence de tanin. L’effet moussant est rapporté à la présence de saponosides [39].

Ethnopharmacologie

La plante présente de nombreuses utilisations en médecine traditionnelle :
– les feuilles en décoction et en association avec les tiges de Caralluna dalzielli sont utilisées en boisson contre la toux des enfants [3] ;
– la tige feuillée est utilisée en association avec l’écorce de Khaya senegalensis dans le traitement de l’oxyurose [2] ;
– les feuilles pilées et macérées dans de l’eau et prises en boisson ont des effets antidysentériques et galactogènes [4] ;
– la décoction de l’écorce de tige, également prise en boisson, est anti-entéralgique et cholagogue avec un léger effet laxatif [4] ;
– d’après BERHAUT, la racine est utilisée contre la blennorragie. Les feuilles broyées et bouillies dans du lait sont données comme vermifuge contre le ver solitaire. Des onctions souvent répétées avec des feuilles pilées, légèrement chauffées, auraient une action émolliente, désensibilisante et curative dans des enflures des pieds [9] ;
– Ozoroa insignis et Guiera senegalensis réunis seraient galactagogues et anti-épileptiques en médecine humaine [9] ;
– d’après KERHARO, Ozoroa insignis entre dans la préparation d’associations médicamenteuses traitant des affections variées (syphilis, trachomes, ascites, kystes utérins et fibromes) ; [23].
Ozoroa insignis est traditionnellement utilisé au Zimbabwe pour le traitement de la bilharziose urinaire [27].

Pharmacologie et Etudes cliniques

Une étude portant sur des plantes médicinales du Zimbabwe dont Ozoroa insignis a été entreprise pour expliquer leur utilisation traditionnelle comme anthelminthique. Les extraits de feuilles possèdent une bonne activité contre Hymenolepis dimunita et Shistosoma mansoni. [27].
D’autres auteurs ont isolé l’acide 6-pentadecylsalicylique comme étant à l’origine de cette activité. Les concentrations létales obtenues avec les extraits de feuilles pour les schistosomes se situent entre 0,6 et 33,8 mg/ml pour le matériel sec [35].
Un extrait méthanolique de plantes médicinales du Zimbabwe, dont Ozoroa insignis, a montré in vitro une activité cytotoxique chez l’homme vis-à-vis de certains gènes du carcinome hépatocellulaire, des marqueurs de l’adénocarcinome mammaire, et également sur le carcinome primaire de la vessie. La séparation par chromatographie des principes actifs de l’extrait a permis l’isolement de l’acide anacardique et de l’acide ginkgoique [30].
Des propriétés antibactériennes sont observées à pH 6,2 et pH 8 vis-à-vis de Staphilococcus aureus [39].

BUT DU TRAVAIL ET CADRE D’ETUDE

Il s’agit d’apporter un certain nombre de réponses aux questions relatives à l’identification et l’échantillonnage des herboristes, des tradipraticiens et des ménages impliqués dans la filière de commercialisation de Tamarindus indica et de Ozoroa insignis dans la zone dakaroise. Dans le cadre de cette étude, ont également été ciblées les conditions de conservation et de vente, la qualité pharmacognosique des drogues, les difficultés d’approvisionnement, la nécessité de valoriser et d’améliorer la filière de commercialisation.

MATERIEL ET METHODES

Enquêtes socio-économique

Ces enquêtes ont été menées auprès des principaux concernés, en l’occurrence les herboristes, les tradipraticiens et les ménages.
Pour chaque groupe cible, un questionnaire a été réalisé couvrant 3 zones d’enquêtes choisies :
– la zone centre ville (CV) : Sandaga, Thilène,
– la zone quartier résidentiel (QR) : Castors, Liberté V, Grand Dakar,
– la zone Banlieue périphérie (BP) : Yeumbeul, Thiaroye, Keur Massar, Parcelles Assainies.

Thème de l’étude

Les actions pour valoriser la pharmacopée traditionnelle, recette essentielle des tradipraticiens encore très fréquentés, s’inscrivent dans une dynamique de recherche opérationnelle.
Les questions de recherche se posent en terme de demande en plantes médicinales et plus particulièrement les espèces que nous étudions.
Les difficultés d’approvisionnement des herboristes, des ménages et des tradipraticiens, ainsi que les tonnages annuels utilisés sont des éléments significatifs de cette étude.
L’aspect économique de la filière relatif aux deux espèces étudiées entre aussi dans ce cadre, ainsi que les protocoles thérapeutiques et effets secondaires éventuels de ces plantes.

Questionnaire (voir annexe)

Nous avons élaboré trois types de questionnaires suivant les objectifs visés.
Le questionnaire Q1 consacré aux herboristes comporte cinq parties. Celles-ci abordent les questions portant sur l’identification des herboristes et des espèces étudiées, l’approvisionnement et la conservation des drogues, la vente.
Le questionnaire sur les ménages dakarois Q2 suit la même logique en cinq parties. La première et la deuxième partie concernent l’identification des plantes et des utilisateurs. La troisième partie et la quatrième partie sont réservées à la valeur économique des plantes et la conservation des organes. L’efficacité et les effets secondaires du traitement à base de Tamarindus indica et Ozoroa insignis sont abordés dans la cinquième partie.
Le questionnaire Q3 sur les tradipraticiens dakarois est subdivisé en cinq parties identiques à celles des autres questionnaires, à l’exception de la cinquième partie qui est une petite discussion avec l’enquêté.

Echantillonnage

Herboristes

Nous avons choisi dans chacune des 3 zones d’étude de Dakar, de façon arbitraire, un certain nombre de marchés. L’enquête est menée auprès de 30 herboristes suivant la répartition ci-après :
– zone centre ville (CV),
– zone quartiers résidentiels (QR),
– zone Banlieue – Périphérie (B.P).

Tradipraticiens

L’échantillon comporte 15 tradipraticiens localisés dans les 3 zones.

Ménages

C’est l’échantillon le plus large avec 50 familles choisies au hasard et localisées dans les trois zones d’étude (centre ville, quartier résidentiel, banlieue – périphérie).

Difficultés rencontrées

La principale difficulté est l’approche des tradipraticiens et herboristes qui très souvent sont réticents à collaborer, de peur de perdre le monopole de l’exploitation de ces plantes, au profit des pharmacies d’officine.

Méthode de calcul des tonnages et chiffres d’affaire des herboristes

La détermination des tonnages et chiffres d’affaires des herboristes dakarois par rapport à ces plantes reposent sur le calcul de plusieurs paramètres. Soient :
1- les indices de présence et d’absence des drogues au niveau des herboristes enquêtés,
2- le poids total de drogue disponible par herboriste enquêté,
3- le nombre total d’herboristes disposant théoriquement de la drogue,
4- le poids de drogue théoriquement vendu par an.
a) Indices de présence (IP) et d’absence (IA) des drogues au niveau des étalages des herboristes
Soient : IP l’indice de présence de la drogue sur les étalages, IA l’indice d’absence, HP le nombre d’herboristes disposant de la drogue, HA le nombre d’herboristes ne disposant pas de la drogue, NH nombre d’herboristes total. Les indices de présence et d’absence d’une drogue s’obtiennent par les formules suivantes :
HP IP (%) = ——- x 100
NH HA IA=——— x 100 NH

Estimation du poids moyen de drogue disponible pour chaque herboriste

Soient : FX le nombre d’échantillons collectés, Px le poids d’un échantillon x), Pm le poids moyen des fagots ou sachets de poudre. Le poids moyen de drogue disponible pour chaque herboriste est donné par la formule suivante :
P 1+ P 2 + P 3 +……..+ Px
Pm = ————————————- Fx

Estimation du poids total de drogue disponible

Nous avons collecté chez les herboristes des trois zones cibles 6 échantillons de fagots de racines pour Tamarindus indica et 6 échantillons de poudre de feuilles pour Ozoroa insignis. Les poids moyens des drogues sont déterminés après pesée. Ensuite, est calculé le poids total de drogue disponible au niveau de chaque herboriste ; connaissant le nombre moyen de fagots de racines et de sachets de poudre par herboriste.
Soient : Pm t le poids moyen total de drogue disponible par herboriste, Pm le poids moyen d’un sachet de poudre ou de feuilles ou d’un fagot de racines), N d le nombre moyen de sachets ou de fagots par herboriste. Le poids total de drogue disponible est donnée par la formule suivante : P m t=P m x N d.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I. GENERALITE SUR TAMARINDUS INDICA L
I.1. Appellations vernaculaires
I.2. Rappel botanique
I.3. Etudes chimiques
I.4. Ethnopharmacologie
I.5. Pharmacologie et études cliniques
II. GENERALITE SUR OZOROA INSIGNIS Del
II.1. Appellations vernaculaires
II.2. Rappel botanique
II.3. Etudes chimiques
II.4. Ethnopharmacologie
II.5. Pharmacologie et études cliniques
DEUXIEME PARTIE ENQUETES SOCIO-ECONOMIQUES ET ESSAIS PARMACOGNOSIQUES
I. BUT DU TRAVAIL ET CADRE D’ETUDE
II. MATERIEL ET METHODES
II.1. Enquêtes socio-économiques
II.1.1. Thème de l’étude
II.1.2. Questionnaire
II.1.3. Echantillonnage
II.1.4. Difficultés rencontrées
II.1.5 .Méthode de calcul des tonnages et chiffres d’affaires de la filière
II.2. Etude de la qualité pharmacognosique des échantillons de Tamarindus indica L. et de Ozoroa insignis Del
II.2.1.Essais botaniques
II.2.2. Essais physico-chimiques
III. RESULTATS ET DISCUSSION
III.1. Etude socio-économiques
II.1.1. Enquêtes au niveau des marchés
II.1.2. Tonnages estimés au niveau des marchés dakarois et chiffres d’affaires de la filière
III.1.3. Enquêtes au niveau des ménages et des tradipraticiens
III.1.4. Conclusion sur les traitements ciblés et les auteurs de la filière
III.2. Résultats de l’étude de la qualité pharmacognosique des échantillons de Tamarindus indica L. et Ozoroa insignis Del
III.2.1. Essais botaniques
III.2.2. Essais physico-chimiques
III.2.3. Commentaires et discussions sur la qualité des échantillons des marchés
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION GENERALE
I. ETUDE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
II. STRATEGIE DE CONSERVATION « EX SITU » DES PRODUITS AU NIVEAU DES HERBORISTERIES
III. STRATEGIE DE PROTECTION ET DE CONSERVATION « IN SITU » DE TAMARINDUS INDICA ET OZOROA INSIGNIS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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