Ecole facteur d’intégration social et de développement social

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Education et enseignement

Eduquer viens du Latin educare, prendre soin de, et aussi de faire naître, d’élever.
Enseigner, c’est transmettre à la future générationun corpus de connaissances (savoir et savoir faire) et de valeurs considérées comme faisant partie d’une culture commune. Il est souvent facile de confondre enseignement et éducation. En effet, ce dernier terme, beaucoup plus général, correspond à la formation globale d’un individu à divers niveaux (aux niveaux religieux, morale, social, technique, scientifique, médical, etc.).
Le terme enseignement, de sont côté, se réfère plutôt à un mode d’éducation bien précis, celui de la transmission de connaissances à l’aide de signes. «Signes » et « enseignement » devient d’ailleurs de la même racine Latin. Ces signes utilisés pour la transmission des connaissances font, entre autres, référence au langage parlé et écrit.
Enseigner est donc éduquer mais éduquer n’est pasforcement enseigné. L’éducation ne se limite pas à l’instruction stricto sensu qui serait relative seulement aux pures savoirs et savoirs faire (parie utile à l’élève : savoir se débrouiller dans le contexte sociale et technique qui sera sein). Elle vise également à assurer à cha que individu le développement de toutes ses capacités (physique, intellectuelle, et morales). Ainsi, cette éducation lui permettra d’affronter sa vie personnel, de la gérer en étant un citoyen esponsabler dans la société dans laquelle il évolue, capable de réfléchir pour pouvoir éventuementll construire une nouvelle société. En pratique, tout le monde est d’accord pour considérer que certains savoirs essentiels font partie de bagage minimum du citoyen, et qu’inversement il n’y a pas d’enseignement possible sans un minimum de pure convention, comme l’alphabet, et de capacités rationnelles. Instruction et éducation sont donc généralement confondues.

Education selon l’UNICEF

L’éducation constitue un droit fondamental de l’homme, indispensable au développement de l’individu, de la société et nécessaire au bien être. Tous les enfants méritent une éducation de qualité, suivant une démarche axéesur les droits fondamentaux et enracinée sur le concept d’égalité des sens. Une telle démarche permettra de lutter contre les inégalités de nos sociétés, profondément enracinées et souventsexistes. Des millions d’enfants, notamment les filles, sont exclues de l’école à cause de ces inégalités qui les condamnent à une éducation de très mauvaise qualité. L’éducationpermet une vie meilleure. Elle met fin aux cycles générationnels de pauvreté, de maladiet eelle donne les moyens de prévenir à un développement durable. Une éducation de base de qualité va permettre aux filles et aux garçons d’être mieux doté en connaissances et en compétences nécessaires à l’adoption d’un comportement tenant compte de leur santé, leur permettant de se protéger contre le VIH/SIDA et d’autres maladies sexuellement transmissibles, et de jouer un rôle actif dans le processus décisionnel en matière sociale, économique et politique lorsqu’ils passent à l’adolescence et à l’âge adultes. Ayant reçu une éducation, ils sont m ieux en mesure, devenus adultes, d’avoir moins d’enfants, de connaitre les pratiques appropriées d’éducation des enfants, et de faire en sorte que leurs enfants commencent l’école à l’âge voulu et soient prêts à apprendre.
L’UNICEF plaide en faveur d’une éducation de base de qualité pour tous les enfants, filles et garçons en instant sur l’égalité entre genres et l’élimination des disparités de toute sorte. Soucieux de favoriser l’équité, l’UNICEF met l’accent sur les enfants les plus défavorisés avec tout un éventail de programmes etd’initiatives innovants dans le domaine de l’éducation.
A l’occasion du 10 ème anniversaire de l’année internationale de la famille, cette section du site internet décrit les activités menées par UNICEFl’ dans le monde entier pour renforcer le rôle des familles dans tous les domaines qui tou chent à l’enfant. Les programmes de l’UNICEF s’inspirent de la convention relative aux droits de l’enfant. Nous croyons que la famille doit au cours de toutes les activités de l’UNICEF en faveur de droits. Lorsque l’enfant à l’âge d’aller à l’école, sa famille continue de j ouer un rôle très important. Chaque enfant à le droit fondamental à une éducation de base de bonne qualité. L’UNUCEF s’efforce à particulier de donner aux filles et aux garçons égales de s’instruire.
Lorsque l’enfant arrive à l’adolescence, une étape cruciale, la famille doit continuer à ce protégé. Les adolescences prennent souvent des écisionsd qui changeront le reste de leur vie. C’est précisément à ce moment qu’ils ont besoins de soutien et de l’appui de leur famille afin d’exercer leur droit aux développements et à la participation.
L’UNICEF s’est aussi engagé à promouvoir l’égalitéentre les sexes et à éliminer des disparités entre garçons et filles. Dans le cadre de programme de santé et éducation de base, l’UNICEF soutien la pleine participation à l’autono misation de femme dans leur famille et leur communauté et engagé à faire cesser la violenc à l’égard des femmes et des filles, notamment celle qui s’exerce au niveau de la famille.
Enfin, la protection de la famille est particulièrement importante dans les régions qui ont été frappées par une catastrophe naturelle ounuconflit armé. Lorsque les familles sont en difficultés, les enfants courent plus de risque d’être victimes de l’exploitation et de la maltraitance. L’UNICEF élabore des stratégies destinées à protéger les familles en difficulté et à renforcer leurs capacités, ainsi qu’à protéger les enfants qui n’ont plus leurs parents.
Mais en dépit des efforts pour que les enfants restent dans leur famille, les séparations sont parfois inévitables. L’UNICEF tantes alors de réunir les enfants avec leur famille, lorsque c’est possible, et dans les plus brefs délais.
L’UNICEF veut être sûr que les enfants séparés deleur famille sont recueilles des parents on des proches, ou d’autre personnes qui leur offriront un cadre de vie qui s’apparent le plus possible à une famille, jusqu’à ce qu’ils retrouvent leurs vrais parent « une famille unie, aimante et protectrice est le meilleur milieu qui soit pour élever des enfants. C’est la condition principale qui garantit que les droits des enfants seront respectés » àdéclaré l’ancienne directrice de l’UNICEF, Carol BELLAMY.

Sociologie de la pauvreté selon PAUGAM Serge

Pour saisir ce que Danilo Martuccelli par exemple appelle les « dominations ordinaires » et mener des « explorations de la condition moderne » (2002), le sociologue contemporain ne peut pas ignorer la question de la pauvreté. En effet, la situation de manque de revenus notamment est et reste aujourd’hui une question sociale.
La pauvreté reste, c’est un truisme qu’il n’est pourtant pas inutile de rappeler, le lot commun de l’humanité. Même si là encore, les données chiffrées et les comparaisons sont évidemment critiquées et critiquables, un rapport esd Nations unies en 2001 évaluait par exemple que près de la moitié de l’humanité vit encore dans la misère. Dans les pays à faible revenu, qui comptent 2,5 milliards d’habitants, plus de cent nourrissons sur mille meurent, et quatre personnes sur dix ne savent toujours pas lire ni écrire… Même dans les pays riches, la pauvreté est parfois massive, et rarement résiduell. Alors que les observateurs redécouvraient dans les années 1980, dans les pays riches développés, ce qu’ils appelaient la « nouvelle pauvreté », le phénomène aujourd’hui s’est largement imposé, au point que l’adjectif « nouveau » est lui-même devenu obsolète. Outre Atlantique, et partout en Europe, on retrouve aussi des « workingpoors » (travailleurs pauvres) et des problèmes urbains. Proposant un « diagnostic lucide » de la pauvreté en Europe, Serge Paugam propose d’ordonner la diversité des situations en distinguant trois formes contemporaines. La pauvreté intégrée traduit une configuration où les pauvres onts nombreux, et se distinguent peu des autres couches de population, comme notamment, dans les pays du Sud. La pauvreté marginale renvoie à une configuration différente dans laquelle ceux qu’on appelle « les pauvres » forment une frange peu nombreuse, parfois niée, victime des « accidents de la vie ». La pauvreté disqualifiante traduit une configuration où les « pauvres », de plus en plus nombreux, sont refoulés, pour la plupart, hors de la sphère productive. Il existe donc une relation d’interdépendance entre les pauvres et la société dans laquelle ils vivent, en particulier, l’affaiblissement du lien social qui la caractérise (Paugam, 2005).
Cette analyse présente l’intérêt de souligner l’actualité sociale et politique du problème de la pauvreté. Elle aide en même temps, prendreà la mesure de la différenciation des situations concernées par l’idée de pauvreté età tenir compte à la fois de ce qui est commun aux situations et spécifique en fonction duniveau économique du pays, de sa culture et des réponses institutionnelles apportées. Elle nvite enfin, et c’est ce sur quoi nous voudrions maintenant insister, à faire le lien avec une autre manière d’appréhender les problèmes sociaux, autour des idées de lien socialet de précarité notamment

Sociologie de l’éducation selon Pierre BOURDIEU5

La sociologie de l’éducation est une des branches de la sociologie qui étudie l’éducation. Bien que plus ancienne, elle compte actuellement deux écoles principales, l’école de Pierre Bourdieu et l’école de Raymond Boudon.
Les théories de Pierre Bourdieu sont qualifiées deconflictualistes tout comme celles de Bernard Lahire ou de Baudelot-Establet ; on les oppose (mais se complètent) aux théories externalistes de Boudon.
Chez le premier, ce sont les rapports sociaux qui détermineront l’orientation scolaire, la réussite ou l’échec. L’origine sociale à une importance mais pas uniquement. Il parle de l’école comme « Machine de reproduction des inégalités » ; le second considère que les individus sont des êtres libres et rationnels qui ontf des calculs coûts/avantages pour s’orienter. L’origine sociale ne jouerait ici qu’entant que facteur économique. Cependant Berthelot souhaite dépasser ce conflit et explique que les parents sont libres de leur choix mais qu’il existe des surdéterminations : temporelles, géographiques et positionnelles

Les interactions des enfants et de la société selon Jean PIAGET

Pour Jean PIAGET, ce qui est intéressant d’étudieren sociologie de l’éducation, c’est l’ensemble des interactions des enfants et de la société dans laquelle ils évoluent. Les enfants connaissent une évolution par alternance d’étapes uccessives, de ruptures et de rétablissements. Il s’agit de passages de phases d’équilibre à des phases de déséquilibre pour reconnaître ensuite une stabilisation. On parle de fonctionnement « homéostatique » pour désigner le mécanisme par lequel les êtres humainschangent et évoluent. Pour PIAGET, la socialisation correspond à un processus actif d’adaptation discontinue à l’environnement et à des formes mentales ou sociales de plus en plus complexes. Cette vision est assez éloignée de celle de Durkheim qui conçoit la socialisation comm e un continuum. La notion de structure est importante chez Piaget. Pour lui, la structure mentale est principalement la résultante de deux dimensions : cognitive et affective. L’adaptation de l’individu se réalise à travers deux mouvements : l’assimilation (incorporation) et l’accommodation (ajustement des structures).
On peut distinguer 4 grandes étapes dans ce dévelopement :
-le passage du respect absolu (parents-enfant) au respect  mutuel (parents- enfant/enfant-parents).
-le passage de l’obéissance personnalisée au sentiment de la règle (notion de contrat, de norme sociale, d’accord mutuel, etc.).
-le passage de l’hétéronomie totale à l’autonomieéciproque (camaraderie).
-le passage de l’énergie à la volonté (différenciation du devoir et du plaisir).

DURKHEIM et l’éducation6

L’école est après la famille, le principal instrument de socialisation. Selon Emile DURKHEIM, « l’école est un facteur d’intégration sociale et aussi un facteur de développement social ».
-Ecole, facteur d’intégration social et de développement social.
D’une part, Emile DURKHEIM est considéré comme le ondateurf de la sociologie de l’éducation. Il n’a pas seulement bâti une théorie de l’éducation, il s’est activement engagé dans les débats scolaires de la troisième République. Selon lui, « l’école doit transcender de rivalités et les conflits et se conformer aux différent évolutions de la société pour pouvoir y adapter les individus qu’elle doit socialiser ».
De plus, d’après Emile DURKHEIM, « l’école est uninstrument de socialisation qui a deux rôle principaux : d’une part, d’unifier la soc iété autour des valeurs générales comme le respect de la patrie, de la raison et de discipline. Ce rôle est autant plus important selon DURKHEIM que lues individus sont naturellement asociaux et que l’individualisme croissant doit être contré par des valeurs et principe fortsD’autre. part, de préparer les individus aux différents emplois, il s’agit d’un rôle de qualific ation professionnelle.
Enfin, l’école aussi est un facteur d’intégrationsocial. En effet, dans nos société pour avoir un emploi stable c’est-à-dire avoir un revenu nécessaire pour répondre au besoin de la famille, il faut être scolarisé ou avoir des minimu d’acquit à l’école. En ce sens, le travail conditionne l’accès aux revenus et crée une identité sociale (se définir par rapport aux autres, de se construire une manière d’être en société). Deplus, l’économie exige un niveau global de qualification élevé et lutter contre l’analphabétisme, est un moyen de faire reculer l’exclusion. Il est aussi un facteur de l’uniformisation culturelle. Quelque soit leur région et leur catégorie sociale d’appartenance, tout les individus peuvent profiter du même enseignement primaire.
D’autre part, l’école participe au développement social de l’humanité. En effet, L’éducation est un droit fondamental inscrit dans la déclaration Universelle des Droits de l’Homme comme dans la Convention relative aux Droits de l’Enfant. Elle doit être un moyen de donner aux enfants comme aux adultes la possibilité de devenir des participants actifs de la transformation des sociétés dans lesquelles ils vivent. En ce sens, il joue également un rôle important dans la réduction de la pauvreté et des négalités. Elle rend les populations moins vulnérables et favorise leur participation au développement, l’exercice de la citoyenneté et la bonne gouvernance.

PROBLEMETISATION ET FORMULATION DES HYPOTHESES

Le lien entre la pauvreté et l’éducation sont généralement analysés au niveau macro-économique, en termes d’accès à l’éducation (taux’alphabétisme,d taux de scolarisation) et d’allocation des dépenses publiques à ce secteur. Ainsi, la baisse de la scolarisation à l’école primaire observée à Madagascar. Le facteur économique a en effet largement entamé d’une part les revenus que les familles peuvent consacrer à la scolarisation de leurs enfants et d’autre part les budgets de l’Etat alloués à l’enseignement. Ainsi formuler, le lien de causalité entre pauvreté et sous-scolarisation apparaît de fait comme une évidence. En complément à ces analyses, il est utile d’examiner la problématiquesuivant :
– la contrainte financière et matérielle due à la misère ambiante ne pousse t- elle pas les familles en difficultés à inciter leur progénitures à s’engager précocement et illégalement dans le monde du travail ?
Ce problème amène à vérifier l’hypothèse suivant :
-la difficulté financière et la faiblesse de pouvoir d’achat au sein de la famille influx grandement sur le rapport au savoir chez les apprenants .
-la mise en œuvre de la politique sectorielle sur l ’éducation semble inadéquate, inapproprié, inadapté au contexte social et économique de la Commune Rurale d’Anosizato-Andrefana.

DETERMINATION DES OBJECTIFS SPECIFIQUES

Actuellement, près de 61 millions d’enfants en âge d’être à l’école n’étaient toujours pas scolarisés dans le monde en 2010. La scolarisation continue à progresser sur la planète mais Il reste des millions d’enfants pour qui l’ins ertion économique et sociale risque d’être difficile dans des sociétés où l’emploi requiert deplus en plus de compétences.
Il est à noté que l’objectif spécifique de cette recherche sont les suivants :
-Réduire le nombre d’enfant en situation de rue et le taux de travail des enfants .
-Formuler des recommandations en rapport avec les résultats de l’étude en vue de programmer les activités futures et d’élaborer desstratégies IEC/CCC (Information Education Communication) adaptées.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
-Contexte et justification de l’étude
-Motif de choix du thème et du terrain
-Question de départ
-Les étapes de la recherche
-Annonce du plan
PREMIERE PARTIE : CADRAGE CONTEXTUEL, CONCEPTUEL ET METHODOLOGIQUE
Chapitre 1 : ETATS DES LIEUX
1.1.HISTORIQUE
1.2.Situation géographique et délimitation administrative
1.2.1.Délimitation géographique et superficie
1.2.2.Ressources naturelles
1.3.Situation démographique
1.4.Situation socio-économique
1.5.Ressources humaines
Chapitre 2 : REPERES THEORICO-CONCEPTUELS
Section 1 : Repère conceptuel
2.1.1.La pauvreté
2.1.2.Education
a)-Education et enseignement
b)-Education selon l’UNICEF
Section 2 : Cadre théorique
a)-Sociologie de la pauvreté selon
b)-Sociologie de l’éducation selon Pierre BOURDIEU
d)-Durkheim et l’éducation
-Ecole facteur d’intégration social et de développement social
2.3.Problématisation et formulation des hypothèses
2.4.Détermination des objectifs spécifiques
Section 3 : METHODOLOGIE DE RECHERCHE
3.1.Outils
3.1.1.Méthode comparative
3.1.2.Méthode qualitative
3.1.3.Méthode quantitative
3.1.4.Collecte de donne
3.1.5.Plan de sondage
3.2.Technique
3.2.1.Documentaires
3.2.2.Vivante
1)-Echantillonnage
a)-Caractéristique des établissements scolaires
b)-Caractéristique de l’échantillon de ménage
c)-Caractéristique de l’échantillon d’enseignant
2)-Questionnaires
3)-Entretien
3.2.3.Test incluant les NTIC
DEUXIEME PARTIE : APPLICATION DES CHOIX THEORIQUES SUR LE TERRAIN
Section 1 : ASPECT QUALITATIF
-Détermination d’exclusion
A- Les principaux facteurs de la non scolarisation et déscolarisation des enfants
a)-L’importance des facteurs économiques
b)-Les facteurs sociologiques
B- Une école qui est loin d’être gratuite
C- Rendement scolaire
D- Performance scolaire et travail des enfants
-Les disparités de scolarisation intrafamiliale
E- Les principaux acteurs
-La place des enfants dans la société et le développement
Section 2 : ASPECT QUANTITATIF
A-Dépenses scolaires
1)-Cas des enfants non scolarisés
2)-Abandon scolaire
3)-Cas des enfants en cour de scolarisation
4)-Problème actuels rencontré par les enfants en terme d’accès à l’éducation
Chapitre 5 : IDEM AUTRE ASPECT DU PROBLEME
A-Les faiblesses des programmes d’éducation
1)-La pauvreté de l’enseignant
2)-L’inadéquation du contenue du programme scolaire avec les réalités sociales
B- Les problèmes liés aux enseignants
-Contourner ou pallier à la pauvreté de l’école par la mobilisation des trois capitaux 43
TROISIEME PARTIE : APPROCHE PROSPECTIVE SUR LA RESOLUTION DE LA PROBLEMATIQUE
A-Vérification des hypothèses
B- Pratiques de scolarisation des familles
C- Les obstacles sur la scolarisation des enfants
Chapitre 7 : RECOMMANDATIONS DU TRAVAILLEUR SOCIALE
A-Stratégie pour réduire l’exclusion scolaire
B-Recommandation en tant qu’agent de développement
-La part des organisations non gouvernemental dans la résolution des problèmes
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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