Définitions et enjeux agronomiques du SCV

Définitions et enjeux agronomiques du SCV

Cadre institutionnel et objectifs de l’étude

La FNACS, Fondation Nationale pour une Agriculture de Conservation des Sols, a été fondée en 2002 par des agriculteurs français pratiquant le non-labour, afin de constituer un réseau d’échanges entre agriculteurs sur la mise en oeuvre des techniques associées. Elle regroupe aujourd’hui environ 400 agriculteurs dans toute la France, pratiquant le non-labour sous ses différentes formes, sur 70 000 hectares environ (président de la FNACS, comm. pers.). Le fondement principal de la création de la FNACS est le manque de références techniques disponibles aujourd’hui en France sur ces thématiques, que ce soit de la part des organismes de recherche agronomique, des instituts techniques ou des Chambres d’Agriculture.

Ainsi des agriculteurs « pionniers » se sont organisés pour essayer de pallier ces lacunes, et ont créé une structure indépendante composée uniquement d’agriculteurs. Ils sont en relation avec une quelques conseillers et consultants travaillant en France ou à l’étranger, ainsi qu’avec des entreprises spécialement concernées par le non-labour et les couverts végétaux (semenciers, concessionnaires de semoirs). Cette organisation fonctionne sous la forme de comités régionaux, au nombre de six (voir Annexe 1), au sein desquels existent des groupes d’échanges entre agriculteurs. Trois thèmes prioritaires structurent les centres d’intérêts de la FNACS : la simplification du travail du sol, la gestion des couverts végétaux et la modulation des doses phytosanitaires. Au sein de chacun de ces comités sont organisées des journées d’échange et de formation dans des exploitations, avec très souvent la présence de consultants spécialisés en non-labour et couverts végétaux (techniciens, chercheurs, agriculteurs).

Les agriculteurs peuvent ainsi se rencontrer, s’échanger des informations techniques et se former sur des thèmes pour lesquels ils sont demandeurs. L’échange d’agriculteur à agriculteur constitue ainsi le pilier central de la stratégie de la FNACS. Les ressources financières de l’organisation reposent aujourd’hui uniquement sur les cotisations de ses adhérents et de sociétés partenaires. Ces revenus sont insuffisants pour envisager des actions de grande ampleur, et surtout pour employer des coordinateurs et techniciens qui viendraient soutenir localement le fonctionnement du réseau. La FNACS rencontre en effet des difficultés à obtenir une reconnaissance officielle du Ministère de l’Agriculture, qui permettrait l’obtention de fonds afin de professionnaliser la structure.

Une approche agronomique du fonctionnement de l’exploitation agricole

Dans un premier temps, pour répondre notamment aux deux premières hypothèses, il est nécessaire d’avoir une compréhension fine des exploitations agricoles rencontrées. Selon Capillon et Manichon (1991), l’analyse du fonctionnement technique de l’exploitation, et par Chapitre I : Objectifs, problématique et méthodologie là des systèmes de culture qui y sont pratiqués, constitue en effet une étape importante dans la compréhension du fonctionnement des exploitations agricoles. Un système de culture est défini selon Sebillotte (1990) comme « un ensemble de modalités techniques mises en oeuvre sur des parcelles traitées de manière identique ». Chaque système de culture se définit donc par la nature des cultures et leur ordre de succession, ainsi que par les itinéraires techniques appliqués à ces cultures, ceci incluant le choix des variétés. Combinant ces notions de parcelle, de conduite technique et de succession, le système de culture est donc représenté dans un repère spatio-temporel. L’étude des systèmes de culture doit donc tout d’abord passer par la compréhension du choix des espèces cultivées et des successions mises en place dans ce repère spatiotemporel.

Ce choix, effectué par l’agriculteur en tant qu’acteur principal de l’exploitation dépend de nombreuses contraintes, propres à l’exploitation même et aux conditions dans lesquelles elle évolue : fonctionnement de l’exploitation, environnement socio-économique, localisation et caractéristiques des parcelles (Sebillotte, 1990). Mais la constitution de ce plan d’assolement peut être remodelée périodiquement, dans le cas d’une conjoncture fluctuante : variations des prix, termes de contrats, modification de volume d’eau,… (Papy, 2001). Le deuxième volet de l’étude des systèmes de culture, en interaction avec le premier, consiste en l’étude des itinéraires techniques appliqués à ces cultures. L’itinéraire technique est signalé par M. Sebillotte (1978) comme une « suite logique et ordonnée de techniques culturales appliquées à une espèce cultivée ». Mais ces techniques utilisées par l’agriculteur prennent leur sens logique dans la mesure où elles sont reliées aux objectifs de l’agriculteur pour l’exploitation, et à ses conceptions par rapport aux conduites des cultures et à leur ordre de succession sur les parcelles.

La technique abordée dans son contexte anthropique renvoie donc véritablement à l’étude des pratiques et à leur logique interne, « fruit du savoir faire de l’agriculteur » (Jouve, 1997). Cette prise en compte du « facteur agriculteur » doit permettre une compréhension plus fine et intégrée du fonctionnement technique de l’exploitation selon F. Papy (2001). L’analyse interne des pratiques passe alors par un questionnement sur leur mise en oeuvre, leur origine en termes de choix de l’agriculteur et leurs performances. Elle constitue en cela « un moyen privilégié pour identifier les contraintes particulières que subissent les agriculteurs, les opportunités qu’ils peuvent valoriser, les objectifs et les stratégies qu’ils poursuivent » (Jouve, 1997).

Importance de la sociologie de l’innovation, des réseaux et organisations : l’agriculteur en tant qu’acteur non-isolé

L’innovation est étudiée par de nombreuses disciplines des sciences sociales, économiques ou de gestion. La théorie de la communication trouve un champ d’application dans l’industrialisation de l’agriculture des pays occidentaux, à partir des années 1940 : mécanisation, généralisation des intrants, création d’organismes gouvernementaux de vulgarisation et de diffusion des nouveautés techniques, et ce dans le but global d’augmenter la production et la productivité. L’étude ex post de la diffusion du maïs hybride dans l’Iowa par Ryan et Gross confirme les principes des théories diffusionnistes, qui considèrent la diffusion des innovations parmi les agriculteurs comme un phénomène cumulatif lié à l’émission d’un message sur la nouveauté : la circulation et surtout l’adoption de l’innovation par les agriculteurs suivent les circuits des réseaux de communication et/ou d’influence, dont les individus membres sont différenciés et identifiés sur la base de leur vitesse d’adoption. Au sein de ces réseaux se distingue une minorité de pionniers, suivis des innovateurs, de la majorité précoce, la majorité tardive, puis des retardataires.

En d’autres termes, des précurseurs, des pionniers, qui ont le goût de l’expérimentation, mettent en pratique des innovations sur leur exploitation, offrant ainsi une vitrine aux autres agriculteurs de leur entourage ; certains, des notables en général, vont chercher à reproduire quelques-uns uns des changements pratiqués dans leur exploitation, ceux qui leur paraissent les plus convaincants et les moins risqués, de façon à affirmer leur position au sein du groupe ou du réseau. Rogers définit 5 étapes constitutives du processus d’adoption : connaissance, persuasion, décision, mise en oeuvre, confirmation (Rogers, 1962). Cette théorie envisage ainsi la diffusion de l’innovation selon un modèle épidémiologique, avec pour foyer d’origine un leader caractérisé par un statut socio-économique plus élevé que celui de ses pairs. Ces leaders furent d’ailleurs souvent mobilisés dans les projets de vulgarisation agricole dans le but d’accélérer la diffusion de l’innovation favorisée par l’encadrement officiel.

Mais cette théorie de la diffusion comporte un certain nombre de limites : tout d’abord elle porte sur des « innovations de consommation » (Réal, cité par Chiffoleau, 2001), telle une nouvelle variété de maïs, et non sur des « innovations de procédé », autrement dit des façons de faire. Cette différence est essentielle pour les approches systémiques en agronomie qui se basent sur l’analyse des « pratiques », par opposition aux « techniques ». Pour Teissier (cité par Jouve, 1997), les techniques sont « des ensembles ordonnés d’opérations ayant une finalité de production », alors que les pratiques sont des « manières de faire contingentes de Chapitre I : Objectifs, problématique et méthodologie l’opérateur ». Ainsi, d’un même outil, d’une même plante, chaque agriculteur peut faire un usage différent selon sa propre expérience, ses conditions de production, ses objectifs. Or un nouveau produit, un nouvel outil implique généralement des « innovations de procédé », parce que son usage n’est pas intégré dans les routines (Darré, 1996).

Dès lors, pour l’agronome, l’utilisation d’un nouveau produit ne peut être isolée en soi lorsqu’il s’agit d’étudier les modalités de sa mise en pratique par un individu : en effet, Sebillotte montre qu’une pratique ou une façon culturale n’est pas isolée ni isolable des autres, mais interdépendante au sein d’un itinéraire technique et d’un système de culture. De plus, dans des démarches de conseil aux agriculteurs, et donc sous-entendu d’incitation au changement de pratiques, Capillon et Manichon (1991) insistent sur l’importance de prendre en compte, au-delà même des itinéraires techniques et des systèmes de culture, le fonctionnement global de l’exploitation agricole. Ainsi, l’adoption d’une innovation en agriculture implique vraisemblablement des processus agronomiques et sociaux, et son étude doit donc elle aussi suivre un modèle systémique en intégrant entre autres les sciences agronomiques et la sociologie.

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Table des matières

Introduction
Chapitre I : Objectifs, problématique et méthodologie
1.Cadre institutionnel et objectifs de l’étude
1.1. La FNACS, partenaire du projet KASSA
1.2. Objectif de l’étude pour la FNACS et le CIRAD
2.Problématique, cadre conceptuel et méthodologie
2.1. Problématique et hypothèses de travail
2.2. Un cadre conceptuel agronomique et sociologique
2.2.1. Une approche agronomique du fonctionnement de l’exploitation agricole
2.2.2. Importance de la sociologie de l’innovation, des réseaux et organisations : l’agriculteur en tant qu’acteur non-isolé
3.Méthodologie
3.1. Choix de deux groupes régionaux et constitution des échantillons d’agriculteurs
3.2. Première série d’ « enquêtes exploitations » : fonctionnement de l’exploitation, systèmes de culture et relations avec la FNACS
3.3. Deuxième série d’ « enquêtes exploitations »
3.4. Enquêtes « personnes ressources »
3.5. Enquêtes « ateliers »
Chapitre II : Enjeux agronomiques et historiques du SCV et des TCS, présentation des régions d’études
1.Définitions et enjeux agronomiques du SCV
1.1. Du semis sous couvert traditionnel au SCV « moderne »
1.2. Atouts et contraintes du SCV
2.Un transfert sud-nord du SCV à partir du continent américain vers la France
2.1. La genèse du SCV aux Etats-Unis pour lutter contre l’érosion
2.2. Les SCV au Brésil : une diffusion massive et un intérêt de la part de la recherche agronomique française
2.2.1. Les pionniers
2.2.2. Les travaux du CIRAD-CA au Brésil
2.3. Le cas français : poids culturel du labour et histoire du non-labour en France
2.3.1. En France : des pratiques variées du non-labour entre SCV, semis direct et TCS et une terminologie riche pour désigner les couverts végétaux
2.3.2. Représentations et symboliques autour du travail du sol : un attachement culturel fort au labour et à la charrue
2.3.3. La dynamique productiviste de 1945 au début des années 1990
2.3.4. Début des années 90 : changement du contexte économique, environnemental et politique
2.3.5. Des « pionniers » français en voyage au Brésil : le CIRAD passerelle de l’arrivée du SCV en France à la fin des années 90
3.Régions d’études, exploitations enquêtées et histoire des changements techniques autour du travail du sol
3.1. Présentation des deux régions d’étude
3.1.1. Types de sols rencontrés
3.1.2. Données climatiques
3.1.3. Données agricoles
3.2. Les exploitations enquêtées dans ces contextes régionaux
3.2.1. SAU et surfaces irriguées des exploitations
3.2.2. Des exploitations plus diversifiées dans la Drôme qu’en Indre-et-Loire
3.3. Histoire du non-labour et motivations des agriculteurs dans les deux régions d’étude
3.3.1. En Indre-et-Loire, l’aboutissement d’un accompagnement de la Chambre d’Agriculture pour la réduction des charges
3.3.2. Dans la Drôme, des précurseurs isolés et la création d’un groupe de réflexion autour de professionnels indépendants
3.3.3. Une évolution des motivations et l’aboutissement à des représentations communes sur le sol dans les deux régions : importance de la traduction
3.3.4. Points communs et divergences sur l’histoire des deux groupes
Chapitre III : Dimensions agronomiques de la mise en pratique du non-labour au sein des exploitations agricoles et des groupes
4.Fonctionnement des systèmes de culture en non-labour
4.1. Assolements et rotations
4.1.1. Assolements et critères de choix des cultures
4.1.2. Les rotations, pilier de la mise en pratique du SCV
4.2. Conduite de l’interculture et couverts végétaux : une question de temps et de saisons
4.2.1. Les intercultures longues
4.2.2. Les intercultures courtes
4.2.3. Les intercultures très courtes
4.2.4. Bilan de l’étude des intercultures
4.3. Contrôle des états du milieu en non-labour : importance clé de l’interculture
4.3.1. Influence sur le calage des cycles et impacts sur les dates de semis
4.3.2. Importance de l’interculture dans la gestion des adventices en TCS et en SCV
4.3.3. Gestion des parasites et des maladies des cultures
4.3.4. Gestion des résidus de récolte
4.3.5. Diminution des volumes d’eau apportés aux cultures
4.3.6. Gestion de la fertilisation en non-labour
4.4. Distribution spatio-temporelle et règles de faisabilité des modes d’implantation au sein de l’exploitation agricole : une multitude de systèmes de culture en construction
4.4.1. Synthèse d’une approche à l’échelle du système de culture
4.4.2. Distribution et gestion au sein de l’exploitation des différentes pratiques de semis et parcours décisionnel
4.4.3. Succession des intercultures et des modes de semis à l’échelle des rotations pratiquées
5.Evaluation agronomique par les agriculteurs des performances et de l’intégration de ces systèmes de culture au sein des exploitations agricoles
5.1. L’évaluation des performances des systèmes de culture par les agriculteurs
5.1.1. Le rendement des cultures
5.1.2. Du rendement à la marge, un changement de critère d’évaluation d’une récolte
5.1.3. Action sur l’eau dans le sol et importance de la « vie du sol »
5.2. Intégration des systèmes de culture dans les exploitations : évaluation organisationnelle et économique
5.2.1. Impacts sur le parc matériel
5.2.2. Temps de travaux et organisation du travail sur l’exploitation
5.2.3. Cohabitation élevage et non-labour
5.2.4. Impacts économiques
5.3. Bilan et parcours décisionnel de la parcelle à l’exploitation
6.Des façons de faire différentes, des prises de risques individuelles et une gestion mutualisée
Chapitre IV : L’apprentissage collectif du non-labour : statuts et rôles des acteurs, fonctionnement interne des groupes
7.Courants de pensées et courants de pratiques, perceptions mutuelles
7.1. Des façons de voir nuancées au sujet du non-labour
7.2. Perceptions mutuelles entre TCS et SCV
7.2.1. Relations entre « façons de faire » et « façons de penser
8.Trajectoires et environnement socioprofessionnel des exploitants
8.1. Age, formation et trajectoire des exploitants rencontrés
8.1.1. Des exploitants jeunes et aux parcours divers dans la Drôme
8.1.2. L’arrivée de la nouvelle génération en Indre-et-Loire, mais des trajectoires plus uniformes
8.2. Statuts socioprofessionnels des pères des exploitants enquêtés
8.2.1. Dans la Drôme, des pères avant-gardistes en agriculture et figures de la vie locale 138
8.2.2. En Indre-et-Loire, l’héritage d’un statut pour les deux leaders
8.3. Statuts et environnements socioprofessionnels des agriculteurs enquêtés
8.3.1. Dans la Drôme, engagements et pluri appartenance pour les jeunes et retrait des plus anciens
8.3.2. Moins d’engagements extérieurs en Indre-et-Loire, à l’exception des deux leaders
8.3.3. Des groupes contrastés par les individus qui les composent : répartition dans les groupes de pratiques
9.Activités internes au sein des groupes de pairs
9.1. Les leaders : distribution des ressources et des compétences, influence sur les flux d’échanges techniques
9.1.1. En Touraine, LeadA et LeadB précurseurs-leaders
9.1.2. Une paire de leaders dans la Drôme
9.1.3. Affiliations des pratiques aux leaders : des sous-communautés de pratiques au sein des groupes
9.1.4. Rôles du leader, ressources et évaluation par les pairs
9.2. Les semoirs, des objets intermédiaires au centre de niches sociotechniques
9.3. De nouvelles relations entre membres en marge de l’activité professionnelle dans la Drôme
9.4. Conclusion : des groupes de natures différentes et des ciments de la cohabitation différents
9.4.1. Des contraintes d’appartenance faibles et un « vide structurel » dans la Drôme
9.4.2. Un groupe multifonctionnel et fondé sur des co-optations en Touraine
9.5. Importance de la multifonctionnalité du groupe et fragilité des liens autour des semoirs, piliers des flux de dialogue technique
9.6. Les actions collectives entreprises
9.6.1. Peu d’implications individuelles pour des actions tournées vers l’importation d’informations en Touraine
9.6.2. Démonstration et sensibilisation auprès des agriculteurs : mise à disposition des connaissances et implication forte des individus dans la Drôme
10.Les relations professionnelles hors des groupes : un démarquage des réseaux de l’agriculture « traditionnelle
10.1. Un obstacle culturel aboutissant à une non-diffusion de la part des initiés auprès des laboureurs
10.2. Rapport avec les institutions et les circuits commerciaux : détachement et recherche d’autonomie
10.2.1. Rapports avec les Chambres d’Agriculture, les techniciens et la formation agricole
10.2.2. Rapport avec les organisations agricoles et autonomisation par rapport aux circuits d’approvisionnement et de vente
10.3. Les « clubs » de SCV en Indre-et-Loire, des communautés de pratiques détachées de toute organisation
10.4. Perception de la FNACS par les agriculteurs des groupes étudiés
10.4.1. Des avis partagés en Touraine
10.4.2. Des difficultés à s’identifier à une organisation nationale dans la Drôme
Chapitre V : Synthèse et réflexions
11.Des dimensions techniques et sociales indissociables du changement technique
12.Quelle place pour les institutions et pour la FNACS dans un éventuel développement du non-labour à l’avenir ?
13.Place du non-labour et du SCV dans le monde des « agricultures durables »
13.1. Bio, agriculture raisonnée et non-labour : avantages comparatifs ou représentations sur la qualité ?
13.2. Certification du produit ou qualification de l’exploitation?
Conclusion
Bibliographie

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